Sam et Avery sont deux personnes différentes, ils sont frère et sœur. victime d'une malédiction générationnel, ils sont condamné à se partager la même existence, chaque année ils alternent cette année c'est Sam le garçon qui vit et l'année prochaine Sam disparait et laisse place à Avery. malgré le fait qu'ils soient frères chacun à son caractère et sa personnalité. par le plus incroyable des hasard, Avery rencontre Sergey, un jeune baron du pétrole et de l'immobilier, propriétaire de plusieurs filiales et société dans le monde, il à battit son empire de ses propres mains. les deux vont se lancer dans une relation torride de soumis et dominants, qui va laisser naitre entre eux des sentiments amoureux que ni l'un ni l'autre ne pourra contrôler. cependant Sergey porte sur ses épaules au lourd fardeau, sa femme et sa fille ont été salement assassiner par un inconnu un soir, et il s'était promis de les venger, en détruisant tout ce qui à un trait à voir avec le meurtrier de sa femme. alors comment réagir a-t-il quand il découvrira que celui-ci n'est autre que le frère de celle dont il est fou amoureux, et surtout que l'éliminer lui reviendrait par la même à l'éliminer elle. laisser a-t-il le passer derrière lui pour se consacrer au futur? ou les démons de sont passé seront plus forts que les anges de son présent?
Lihat lebih banyak- Je vais te faire l’amour Avery. - Monsieur ? demandais-je. Mon « monsieur » avait plusieurs connotations, mais ce qui me surprenait le plus c’est qu’ils les comprenaient toutes.- Juste pour cette fois. Dit-il en frottant son nez contre le mien alors que ses lèvres effleuraient les miennes, j’avais envie de pleurer. Tellement, je voulais les sentir pleinement. Je voulais les dévorés, et je voulais qu’elles dévorent les miennes, je me sentais si faible dans ses bras. Je te ferais l’amour, reprit-il la voix basse. Tu as besoin de connaitre ce que c’est vu que c’est ta première expérience. Dit-il en picorant légèrement ma lèvre inférieure. Putain ses lèvres étaient d’une douceur et d’une fermeté infinies.Comment quelqu’un pouvait-il être comme ça ? est-ce que les dieux l’avaient créé pour moi ? je n’avais jamais rien désiré autant que je le désire lui. Ce que je ressentais était tellement intense que je craignais avoir été victime de cupidon, si c’était le cas, cupidon n’avait qu’à s
- Tu es magnifique. - Monsieur, dis-je ne sachant que dire d’autre.- Tu es magnifique. Redit-il en me fixant. Je ne répondis rien cette fois-ci rouge comme une tomate. Je vais devoir te bâillonner, tu es beaucoup trop brillante. - A une condition. Il eu une mine surprise- Tu connais le concept de soumis et dominant ?- Les règles sont faites pour être brisée. Il sourit légèrement.- Essaie pour voir.- Je veux vous sentir monsieur, la chaleur et la fermeté de votre peau, j’en ai besoin s’il vous plait.- Ça ce n’est pas possible, j’ai horreur du contact physique- Dans ce cas, je refuse le bâillon. Il me regarda la mine choquée. - Tu sais que tu n’as pas le droit de me contredire sauf pour une raison valable et tangible- Je suis désolée monsieur. Dis-je ne l’étant pas- Tu ne l’es pas. Tu ne penses pas qu’il est trop tôt pour te rebeller ? en plus, tu as deux punitions que je dois t’infliger ? tu veux que j’en rajoute ? - Monsieur, je me suis touché dans le bain malgré votre in
Je ne répondis rien trop concentrer à me retenir pour ne pas pousser mon bassin vers lui afin qu’il me pénètre, je savais que ça risquait d’être douloureux pour une première fois, mais je n’étais plus vierge, ses doigts s’en étaient chargés. Il se positionna enfin à mon entrée et se mis à pousser légèrement et je fermai les yeux anticipant la douleur. Mais aussitôt, je sentis sa chaleur et j’ouvris les yeux pour voir nos reflets à travers le miroir. Il était penché juste au-dessus de moi.- Détends-toi ma belle. Dit-il déposant des baisées mouillé dans mon cou. Il m’avait appelé ma belle, me trouvait-il belle ? ne pus-je m’empêcher de penser. Ça fera beaucoup moins mal que ta première fois. Je ne dis rien, car c’était ma première fois. Il continua son ascension en moi jusqu’à je ressentais la douleur, mais tous mes sens étaient focalisés sur les baiser dans mon cou, c'était si doux.- Haaan. Hurlais-je en ressentant une vive douleur comme une sorte de déchirure. Ça faisait un mal de c
Etait-ce des vrais ?, me demandais-je, mais je n’osai pas poser la question. Le contact entre sa peau et le lobe de mes oreilles me fit frissonner et je fermai les yeux. J’imaginais sa langue, juste là à cet endroit et ça m’excita comme pas possible, j’étais tellement mouillée que j’avais l’impression de ressentir mon jus couler le long de mes cuisses. Allais-je tenir à cette soirée ? je ne pense pas.- Ouvre les yeux. Ordonna-t-il et immédiatement mes yeux s’ouvrirent et je fus happé par les siens à travers les glaces. Ses pupilles étaient complètement dilatés. Je fis que j’avais un collier sur le cou, à quel moment me l’avait-il mis ? je n’en savais rien. Mais là, je ressentais le froid du diamant qui se trouvait au bout du collier et était logé bien au chaud entre mes seins. Il se mit à caresser sensuellement mon cou du bout des doigts, et là encore, j'avais envie de fermer les yeux, mais je n’y arrivais pas, car il m’avait ordonné le contraire.Lentement, il s’abaissa au niveau de
Je vais accéder à ta requête même en dehors des quatre murs, tant qu’on est que tous les deux, je suis ton dominant et ton patron. Mais toi par contre, tu ne devras laisser aucun homme te toucher vingt-quatre heures avant que je ne te touche. Je n’aurais pas besoin de te dire ou après, car je sais que je te comblerais toujours pour les jours à venir à chaque fois. Donc il revient à toi de me dire si tu as eu des rapports avec un autre homme la veille, car chaque fois que ce sera le cas, je ne te toucherais pas. - D’accord monsieur. De toute façon même un siècle avant ou après, je n’aurais pas besoin d’un autre que lui me touche pensais-je. Sur le coup, j'en étais intimement convaincu ne sachant pas que trois mois plus tard, je ferais la bourde de ma vie qui me fera le perdre à jamais.- Bien, maintenant qu’on est d’accord, va prendre ta douche, je t’ai commandé une robe pour le gala. Normalement ça commence dans une heure, ta robe sera là avant. On ira au gala, mais on ne fera que t
- Tu comptes entrer ? demanda-t-il, je n’osai pas relever le regard vers lui, maintenant ma tête baissée. J’avais honte de l’avoir dévisagé ainsi, et surtout, j'avais honte de m’être fait prendre.- Pardon monsieur. Dis-je en avançant vers l’intérieur avec ma valise. Quand je fus à l’intérieur la porte se referma derrière moi, je restai planté là ne sachant où aller ni que faire. Devrais-je commencer par m’excuser pour avoir dépassé les bornes tout à l’heure ou devrais-je faire comme si de rien n’était. Il ne m’a pas lancé de pique concernant le fait que je sois venu dans sa suite au lieu de rester dans celle du père formidable avec son adorable fille. Je m’attendais à ce qu’il le fasse pour au moins avoir une fenêtre d’action pour pouvoir entamer le sujet, Mais il ne fit rien.- Il y a des chambres à ta gauche, choisis celle qui te sied le mieux. Entendis-je de nouveau suivit du son de ses pas qui s’éloignèrent de moi. Alors c’était tout ? il comptait faire comme si rien ne s'était p
Et ce fut comme un électro-choc, cinq minutes, je me levai du lit et je tombai à même le sol, comme saouler par la fatigue, mais je me relevai aussitôt me trainant jusqu'à la douche et j’enclenchai l’eau, et ce fut la douche froide, littéralement, je n’avais pas bien réglé la température. Au moins ça eu pour effet de me réveiller, j’avais encore ma nuisette, je la retirai avant de retourner sous la douche, cette fois-ci, ce fut la bonne température, mais je n’eus pas le loisir de pouvoir en profiter, car j’avais cinq minutes. Je m’empressai de me vêtir et d’arranger mes cheveux avant de sortir de la chambre, c’est dans des situations comme ça que Nesla me manque. Dans le salon, je tombai sur Stevenson qui prenait du café en faisant les cents pas.- Bonjour Avery, bien dormit ? - Oui pardon, désolé, je dois partir, je suis en retard, mon patron m’attend en bas, je n’ai pas pu faire ma valise, mais je reviendrais et je ne comptais pas partir comme une voleuse non plus, j'ai juste que j
Je me levai pour les suivre et il prit ma valise et marcha avec sa fille qui n’arrêtait pas de le taquiner, je n’étais pas vraiment à l’aise avec le fait de taper l’incruste de cette façon, en plus il ne paraissait pas si vieux pour avoir une fille de quinze ans. J’étais sûr qu’il avait moins de la quarantaine. Ce qui me frappa plus c’était l’alchimie qu’il y avait entre lui et sa fille, c’était si beau de voir ça. Quand on arriva dans la suite, il me conduit dans ce qui devait être ma chambre et déposa ma valise.- Quand tu auras fini, tu peux nous rejoins dans le salon, il y a beaucoup trop de pizza pour seulement deux personnes.- D’accord, merci. Dis-je d’une petite voix- Je t’en prie, ça me fait plaisir que tu sois là. Et visiblement ça fait aussi très plaisir à Amber. Il prit une pause et reprit. Je suis désolé pour ma fille tout à l’heure, elle n’a pas encore l’habitude de me voir avec une femme.- Tu n’as pas à t’excuser Steve, tu as une fille magnifique, et elle m’a plus fai
- Ça ne va pas te tuer, laisse-les dans ta valise, ça ne prend pas de l’espace. A-t-elle conclu en bouclant ma valise.J’ai passé la nuit dans son lit, je n’avais pas le cœur joyeux, je n’étais pas habitué à être séparé de Nesla et la façon dont la journée, c'était déroulé n’aidait pas non plus.Le lendemain matin, je me suis réveillé dans un meilleur état d’esprit, Nes m’a aidé à me préparer et à dix heures tapantes, j'étais devant la berline noire de Sergey, mais il n’était pas à l’intérieur, il y avait juste Arthur. Bien évidement il ne m’a pas aidé à mettre ma voiture dans le coffre, mais j’étais décidé à ce que rien ne perturbe ma bonne humeur aujourd’hui. Je pensais qu’on allait être conduit à l’aéroport, mais à la place, on s’est retrouvé dans un aérodrome, au bout d’une éternité d’attente Sergey nous a rejoints. Je l’ai salué de façon professionnelle sans plus. Ensuite, je suis resté dans mon coin durant tout le vol, c’est lui qui savait l’humeur dans laquelle il était, moi, j
4 ans plus tôt Je regarde encore le parquer sur lequel se trouve une grosse flaque de sang, je ne savais pas que le corps humain pouvait contenir tant de sang, ou peut-être que c'était le fait que ce soit deux corps, sa chevelure blond platine qui autrefois m'avait séduit est aujourd'hui tinté de rouge par son propre sang ou celui de sa fille, je ne saurais le dire. L'enfant est un dommage collatéral et je ne pouvais pas permettre qu'il y ait des témoins et cette petite fouine, c'est une fois de plus trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Je devrais peut-être ressentir quelque chose de voir ce petit être innocent sans vie baignant dans tout ce sang, mais ce n'est pas le cœur d'ailleurs, c'est à se demander si j'ai un cœur, il est difficile d'en avoir un avec une existence panachée comme la mienne. Ça n'excuse pas mes actes, je suis ce que beaucoup qualifieraient d'être ignoble, je suis foncièrement mauvais, je me complais dans ça, je ne suis pas une âme qu'on peut sauver et de ...
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