COUCOU LUUUV
- Bien. Cependant, je ne pense pas que je pourrais te garder, ta maladresse pourrait me couter beaucoup plus que cette sculpture que tu viens de briser. À la pensée de ne plus jamais le revoir sans réfléchir, je me retrouvai à genoux à ses pieds là où était ma juste place, là où j’avais envie d’être depuis que j’avais posé mes yeux sur lui.- Pardon, monsieur, j’ai besoin de ce travail. Suppliais-je face contre terre- Non mais je rêve, dis l’autre, Sergey, on ne va pas la garder, ne te laisse pas attendrir par son air innocente, elle ne…- Regarde-moi quand tu parles. Et là, je relevai mon visage vers le sien et je fus happé par le vert de ses Iris. Il fit un pas vers moi et la senteur envahit tout l’air autour de moi, je n’avais jamais rien senti d’aussi délicieux, il sentait si bon, son parfum était viril, masculin et sauvage, celui-ci réveilla tout mon être, me rendant plus sensibles, et cette position, moi à ses pieds et lui me surplombant me paraissait tout simplement « juste ».
Le soir, j'ai reçu un message de monsieur Yang stipulant qu’il espérait bien que le carnage qui m’a servi de cheveux toute cette journée ne refera pas son apparition demain, j'ai lu mon message sous le regard amusé de Nesla, elle n’arrêtait pas de rire à s’en briser les cotes cependant je ne voyais pas ce qu’ils trouvaient à mes cheveux, certes, je ne les entretenais pas beaucoup, mais de là à les qualifier de carnage, je trouvais ça un peu excessif. Heureusement que pour se faire pardonner de s’être payé ma tête toute la journée, celle qui me sert d’amis s’est proposée de s’occuper de mes cheveux le matin, ce que j’ai accepté le cœur joyeux. Mais ça, ce fut avant qu’elle ne vienne me tirer du lit à cinq heures du matin, je vous assure cinq heures ! et ça ce n’est même pas le pire, madame à malmener ma tête tout le long de ses fameux soins, j’avais littéralement la larme aux bords des yeux tout ça nom de « il faut souffrir pour être belle » mais que la beauté aille bien se faire foutre
- Quoi ? dis-je aussitôt que je décrochai l’appel. Je ne sais pas qui c’est et très sincèrement, je m’en fous, vous manquez clairement de bon sens qu’est-ce qui vous animent au point de vous motiver à appeler quelqu’un à sept heures un samedi matin une putain de samedi matin. Les gens normaux dorment à cette heure si- Je dirais plutôt les gens paresseux. Cette voix, oh mon Dieu, c'était lui,- Mon… mon… monsieur ?- Un véhicule t’attend au bas de ton immeuble, tu as cinq minutes pour être à bord de celui-ci. Et il raccrocha, cinq minutes comment ? me demandais-je en quittant précipitamment le lit, mes pieds s’emmêlaient dans les draps et ma face embrassa le sol, je me relevai dans une litanie de juron, je me dirigeai à la douche afin de me rincer les dents par la suite, je sortis de là ouvrant ma penderie pour essayer d’y trouver quoi me mettre, mais mes vieux jeans habituel et mes joggings me paraissait tout d’un gout beaucoup trop fade, je sortis avec précipitation et me dirigeant
- Par… pardon monsieur ?, fis-je semblant de ne pas avoir compris, mais il ne bougea pas d'un iota, seul le silence me répondis, mais la pression que je ressentais me donnait cette impression qu’il attendait ma réponse. Je mourais littéralement d’envie de revoir son visage à nouveau, juste un peu, mais pour, je ne sais quelle foutue raison malgré toute ma volonté ma tête ne bougea pas d’un pouce restant incliné devant lui. Bien que je sois sûre que je ne ressemble à rien, j’ai certes une robe, mais mes cheveux sont sans doute en pagailles, ces derniers jours, j'ai passé mon temps à me rendre présentable dans l’espoir de le voir et rien, mais quand je ne m’attends pas, c'est là qu’il se pointe… Je vous prie de m’excuser monsieur, je ne savais pas que c’était vous, - Si tu avais su, qu’aurais-tu fait ? pourquoi me tutoyait-il ?- Je n’aurais pas déversé ma frustration sur vous- Pourquoi ? - Jamais je n’oserais. Dis-je sans rien ajouter.- Et pourquoi ? je n’avais pas la réponse à cett
- As-tu manger ? - Non, monsieur… je n’ai pas faim. - Assieds-toi là. Dit-il en indiquant le petit salon qui était dans le coin du bureau. Puis, il passa un rapide coup de fil et continua de travailler sur ses documents. Puis sa porte s’ouvrit un homme entra avec un plateau bien rempli qu’il déposa devant et je fis les gros yeux. Quand le monsieur ressorti, j’entendis-juste- Mange. Mes yeux firent des aller et retour entre le plateau et le bureau, mais lui ne posa même pas les yeux sur moi alors, je me mis à manger, et putain, c'était délicieux, je dévorais littéralement en chantonnant ou plutôt poussant des petits gémissements de pur bonheur dandinant dans tous les sens. J’avais complètement oublié où je me trouvais, la nourriture était le meilleur plaisir que la vie avait à offrir et quand tout fut fini, je ne pus m’empêcher de lécher mon doigt pour ne perdre aucune miette de ce délicieux festin, je ne sais pas qui avait fait ça, mais, c’était un chef. Et là, je réalisais ou j’é
Le lendemain matin, je fus debout de bonne heure pour me rendre au café, car Nesla ne travaille pas aujourd’hui donc je devais m’y rendre par mes propres moyens. J’avais comme un poids sur le cœur, dès que mes yeux se sont ouverts, j'ai regardé mon téléphone, je ne sais pas ce que j’espérais y trouver, mais il n’y avait rien. La journée était comme un lourd fardeau que je devais trainer sur mes épaules, j’ai dû me coltiner la bonne humeur d’Olivia toute la journée et les requêtes incessantes de monsieur Yang. Par la suite, je suis allé à la tour de verre et comme je l’espérais bien le roi n’y était pas. Quand jeu fini à la sortie de l’immeuble, j'y ai trouvé Nesla, à bord de sa Ford.- Allons faire du shopping lady- Non.- J’ai besoin que tu arrêtes de me piquer mes vêtements donc allons faire du shopping madame. Et si tu n’entres pas dans ce véhicule, je vais t’y trainer par le chignon- Non, non, non et non. - Ce n’est pas avec ton style vestimentaire que tu vas réussir à plaire à
- As-tu manger ?- Non, monsieur… je n’ai pas faim.- Assieds-toi là. Dit-il en indiquant le petit salon qui était dans le coin du bureau. Puis, il passa un rapide coup de fil et continua de travailler sur ses documents. Puis sa porte s’ouvrit un homme entra avec un plateau bien rempli qu’il déposa devant et je fis les gros yeux. Quand le monsieur ressorti, j’entendis-juste- Mange. Mes yeux firent des aller et retour entre le plateau et le bureau, mais lui ne posa même pas les yeux sur moi alors, je me mis à manger, et putain, c'était délicieux, je dévorais littéralement en chantonnant ou plutôt poussant des petits gémissements de pur bonheur dandinant dans tous les sens. J’avais complètement oublié où je me trouvais, la nourriture était le meilleur plaisir que la vie avait à offrir et quand tout fut fini, je ne pus m’empêcher de lécher mon doigt pour ne perdre aucune miette de ce délicieux festin, je ne sais pas qui avait fait ça, mais, c’était un chef. Et là, je réalisais ou j’étai
À aucun moment, il n’a pas posé ses yeux sur moi, ne fut ce qu’une seule fois moi continuant de se déchainer sur le pauvre sac. Je ne souhaite pas être à la place de la personne qui l’a mis dans cet état.je ne saurais dire combien de temps, je suis resté là à le regarder frapper dans le sac. Quand il eut fini, il descendit du ring et sorti de la pièce, toujours sans me regarder, j’ai même lâché un « bonsoir monsieur » auquel il n’a pas répondu. Samedi dernier, c'était la même chose, je ne comprenais pas ce qui se passait, avais-je fait quelque chose de mal ? je repassai la journée de samedi dernier dans mon esprit à la milliseconde près, mais je ne trouvai pas. Finalement, je quittai la salle de gym pour aller m’installer dans le salon, et à aucun moment de la journée, il ne fit appel à moi. Je suis resté là assise sûre dans son fauteuil super confortable, dans d’autres circonstances, je me serais endormi, mais là, je n’avais pas sommeil, j'étais beaucoup trop mal alaise aux environs
- Entrouvres légèrement les lèvres, dit-il d’une voix gorgée de désir, et je me sentis frustré de ne pas avoir le plaisir de voir ses si beaux yeux désireux de ma personne. Je fis ce qu’il avait demandé et je sentis une boule toute douce se frayer son chemin dans ma bouche puis une légère pression le long de mes joues, il était sans doute en train d’attacher le bâillon. Quand se fut fait, je sentis mes mains tirées vers l’avant, et rencontré une surface dure. C’était sans doute le bois, puis par, je ne sais quel moyen mes bras se retrouvèrent maintenue par cette surface dure puis je ne sentis plus rien, on aurait dit qu’il était sorti de la pièce et j’étais là nu privé de ma vue mes mains étaient liées et je ne pouvais même pas crier pour l’appeler, mon cœur commença à battre à une vitesse folle puis je le sentis derrière moi, il était juste à mon entrée, me titillant avec son membre érigé, il se contentait de se frotter contre moi, mais moi, je le voulais à l’intérieur de moi.- C’es
- je voudrais toujours vous obéir monsieur, vous ne comprenez pas, jamais avant vous, je n’ai ne serait-ce que penser ou même songer à vouloir d’un homme, mais depuis que vous êtes entrée dans ma vie, je ne veux que vous, je ne vois d’ailleurs que vous et personne d’autre, alors peu importe ou cela nous mène tant du meilleur que du pire, je suis ravi de faire du chemin à vos cotées.- Tu es tout simplement parfaite, parfaite pour moi, comme si tu avais été crée exclusivement pour moi, c'est pourquoi tu n'as attendu que moi tout ce temps. - Juste pour vous monsieur.- Bien, tu vois là porte là ? je suivis des yeux son doigt qui m’indiquait une porte de velours et je fis oui de la tête. Tu vas retirer tous tes vêtements et relâcher tes cheveux, une fois que ce sera faite, je veux que tu pousses cette porte et que tu me retrouves à l’intérieur, on va essayer d’étancher cette faim de moi qui te torture depuis des jours. - Monsieur, gémis-je lamentablement alors que tout mon être s’enfla
- Va faire préparer ta valise. - Monsieur pardon si j’ai dit quelques choses de mal, dis-je en me mettant à genoux la peur au ventre, il voulait se débarrasser de moi, car j’étais devenue folle, mais je ne voulais pas, je ne pouvais pas être loin de lui, je veux pouvoir partager son espace. - Tu oses me désobéir. Demanda-t-il d’un ton dominant tout en me surplombant de sa taille, cet homme allait être ma perte au sens littéral du terme. - Non monsieur pardon. - Tu as deux minutes. Dit-il en tournant son dos me laissant là. - Préparé l’hélico, je suis à l’aérodrome dans trente minutes. Je l’entendis dire au loin. Alors que je rassemblai le peu de force qu’il me restait pour aller faire ma valise. Durant le trajet jusqu’à l’aérodrome personne n’a dit un mot, il avait la main posée sur ma cuisse et effectuait de petites caresses sur mes cuisses et moi, je regrettais d’avoir mis un Jean, j’aurais dû mettre une robe qui me permettrait de sentir son contact peau à peau. Une fois sur p
J’ai l’impression de devenir folle, complètement tarer notre dernière réunion est fini jeudi, j’ai pensé qu’on allait rentrer, mais non, il m’a amené dans une boutique et m’a acheté un nouveau téléphone avant de me dire que le départ est prévu pour dimanche et que jusque-là, j'avais quartier libre. Mais de quel quartier libre, il parle ? je ne veux pas de quartier libre, je veux qu’il m’enferme dans une pièce et qu’il fasse de moi sa chose. Je ne sais plus ce que je dis ou peut-être que si je sais très bien ce que je dis et c’est exactement ce que je veux. Sauf que le formuler à haute voix me fait peur, j’aurai plus l’impression d’avoir une case en moins. Depuis il sort et rentre sans que je le voie, des fois, je reste au salon pour attendre de voir quand il va rentrer, mais je finis par m’endormir sans le voir et à mon réveil, il ne reste que des effluves de son parfum dans l’air de la pièce et je me mets à l’inhaler comme une camée en manque. Je ne l’ai pas vue depuis jeudi et mon é
Après ma douche bien froide pour faire redescendre la tension, je suis allé choisir ma tenue, j'ai opté pour un pantalon rose pâle que Nes avait mis dans ma valise et d’un chemisier en laine blanc, j'arrangeai mes cheveux et je sortis de la chambre. Quand je vis mon patron dans le salon en train de boire du café, je ne pus empêcher mes yeux de se diriger vers ses doigts ces mêmes doigts qui dans mon rêve me donnait des claques sur les fesses tout un me pénétrant bien profond.- Tu vas bien ? me demanda-t-il en me regardant étrangement. Encore heureux qu’il ne puisse pas lire dans mes pensées.- Oui monsieur, dis-je en passant inutilement une mèche fantôme derrière mon oreille. Monsieur, on devrait y aller pour ne pas être en retard à la réunion. - Tu n’as rien manger. Dit-il et dans ma tête ça raisonnait « putain de bonne » comme il l’avait dit dans mon rêve. Je secouai la tête essayant de réarranger mes pensées. J’évitais soigneusement de regarder son corps. Il était vétu d'un jean
Je fus réveillé par Sergey, il était aux environs dix-neuf heures, il avait fait monter le diner, je me suis jeté dessus comme une louve affamée, j'ai mangé tout ce que je pouvais, je n’avais rien mangé depuis la veille, alternant entre sommeil et orgasme. Je ne savais pas que le corps humain pouvait avoir une telle capacité de résistance, oui, j'avais des courbatures, et pas qu’un peu, beaucoup de courbature, chaque mouvement me faisait souffrir le martyre. Pourtant j’étais curieusement heureuse. Quand mon ventre fut à peu près rempli, je relevai les yeux vers Sergey et je vis qu’il me regardait, pas directement moi, mais mon corps, ou plus particulièrement mes seins. Je n’avais pas réalisé que j’étais toujours complètement nue, avec un bout de drap sur la taille. Quand je suivis son regard, je vis des traces violacées sur ma poitrine, en regardant plus bas, je vis que j’en avais aussi sur le ventre et mes cuisses. Je relevai les yeux vers lui et son sourire s’agrandit.- Tu es magni
- Je vais te faire l’amour Avery. - Monsieur ? demandais-je. Mon « monsieur » avait plusieurs connotations, mais ce qui me surprenait le plus c’est qu’ils les comprenaient toutes.- Juste pour cette fois. Dit-il en frottant son nez contre le mien alors que ses lèvres effleuraient les miennes, j’avais envie de pleurer. Tellement, je voulais les sentir pleinement. Je voulais les dévorés, et je voulais qu’elles dévorent les miennes, je me sentais si faible dans ses bras. Je te ferais l’amour, reprit-il la voix basse. Tu as besoin de connaitre ce que c’est vu que c’est ta première expérience. Dit-il en picorant légèrement ma lèvre inférieure. Putain ses lèvres étaient d’une douceur et d’une fermeté infinies.Comment quelqu’un pouvait-il être comme ça ? est-ce que les dieux l’avaient créé pour moi ? je n’avais jamais rien désiré autant que je le désire lui. Ce que je ressentais était tellement intense que je craignais avoir été victime de cupidon, si c’était le cas, cupidon n’avait qu’à s
- Tu es magnifique. - Monsieur, dis-je ne sachant que dire d’autre.- Tu es magnifique. Redit-il en me fixant. Je ne répondis rien cette fois-ci rouge comme une tomate. Je vais devoir te bâillonner, tu es beaucoup trop brillante. - A une condition. Il eu une mine surprise- Tu connais le concept de soumis et dominant ?- Les règles sont faites pour être brisée. Il sourit légèrement.- Essaie pour voir.- Je veux vous sentir monsieur, la chaleur et la fermeté de votre peau, j’en ai besoin s’il vous plait.- Ça ce n’est pas possible, j’ai horreur du contact physique- Dans ce cas, je refuse le bâillon. Il me regarda la mine choquée. - Tu sais que tu n’as pas le droit de me contredire sauf pour une raison valable et tangible- Je suis désolée monsieur. Dis-je ne l’étant pas- Tu ne l’es pas. Tu ne penses pas qu’il est trop tôt pour te rebeller ? en plus, tu as deux punitions que je dois t’infliger ? tu veux que j’en rajoute ? - Monsieur, je me suis touché dans le bain malgré votre in
Je ne répondis rien trop concentrer à me retenir pour ne pas pousser mon bassin vers lui afin qu’il me pénètre, je savais que ça risquait d’être douloureux pour une première fois, mais je n’étais plus vierge, ses doigts s’en étaient chargés. Il se positionna enfin à mon entrée et se mis à pousser légèrement et je fermai les yeux anticipant la douleur. Mais aussitôt, je sentis sa chaleur et j’ouvris les yeux pour voir nos reflets à travers le miroir. Il était penché juste au-dessus de moi.- Détends-toi ma belle. Dit-il déposant des baisées mouillé dans mon cou. Il m’avait appelé ma belle, me trouvait-il belle ? ne pus-je m’empêcher de penser. Ça fera beaucoup moins mal que ta première fois. Je ne dis rien, car c’était ma première fois. Il continua son ascension en moi jusqu’à je ressentais la douleur, mais tous mes sens étaient focalisés sur les baiser dans mon cou, c'était si doux.- Haaan. Hurlais-je en ressentant une vive douleur comme une sorte de déchirure. Ça faisait un mal de c