- Tu comptes entrer ? demanda-t-il, je n’osai pas relever le regard vers lui, maintenant ma tête baissée. J’avais honte de l’avoir dévisagé ainsi, et surtout, j'avais honte de m’être fait prendre.- Pardon monsieur. Dis-je en avançant vers l’intérieur avec ma valise. Quand je fus à l’intérieur la porte se referma derrière moi, je restai planté là ne sachant où aller ni que faire. Devrais-je commencer par m’excuser pour avoir dépassé les bornes tout à l’heure ou devrais-je faire comme si de rien n’était. Il ne m’a pas lancé de pique concernant le fait que je sois venu dans sa suite au lieu de rester dans celle du père formidable avec son adorable fille. Je m’attendais à ce qu’il le fasse pour au moins avoir une fenêtre d’action pour pouvoir entamer le sujet, Mais il ne fit rien.- Il y a des chambres à ta gauche, choisis celle qui te sied le mieux. Entendis-je de nouveau suivit du son de ses pas qui s’éloignèrent de moi. Alors c’était tout ? il comptait faire comme si rien ne s'était p
Je vais accéder à ta requête même en dehors des quatre murs, tant qu’on est que tous les deux, je suis ton dominant et ton patron. Mais toi par contre, tu ne devras laisser aucun homme te toucher vingt-quatre heures avant que je ne te touche. Je n’aurais pas besoin de te dire ou après, car je sais que je te comblerais toujours pour les jours à venir à chaque fois. Donc il revient à toi de me dire si tu as eu des rapports avec un autre homme la veille, car chaque fois que ce sera le cas, je ne te toucherais pas. - D’accord monsieur. De toute façon même un siècle avant ou après, je n’aurais pas besoin d’un autre que lui me touche pensais-je. Sur le coup, j'en étais intimement convaincu ne sachant pas que trois mois plus tard, je ferais la bourde de ma vie qui me fera le perdre à jamais.- Bien, maintenant qu’on est d’accord, va prendre ta douche, je t’ai commandé une robe pour le gala. Normalement ça commence dans une heure, ta robe sera là avant. On ira au gala, mais on ne fera que t
Etait-ce des vrais ?, me demandais-je, mais je n’osai pas poser la question. Le contact entre sa peau et le lobe de mes oreilles me fit frissonner et je fermai les yeux. J’imaginais sa langue, juste là à cet endroit et ça m’excita comme pas possible, j’étais tellement mouillée que j’avais l’impression de ressentir mon jus couler le long de mes cuisses. Allais-je tenir à cette soirée ? je ne pense pas.- Ouvre les yeux. Ordonna-t-il et immédiatement mes yeux s’ouvrirent et je fus happé par les siens à travers les glaces. Ses pupilles étaient complètement dilatés. Je fis que j’avais un collier sur le cou, à quel moment me l’avait-il mis ? je n’en savais rien. Mais là, je ressentais le froid du diamant qui se trouvait au bout du collier et était logé bien au chaud entre mes seins. Il se mit à caresser sensuellement mon cou du bout des doigts, et là encore, j'avais envie de fermer les yeux, mais je n’y arrivais pas, car il m’avait ordonné le contraire.Lentement, il s’abaissa au niveau de
Je ne répondis rien trop concentrer à me retenir pour ne pas pousser mon bassin vers lui afin qu’il me pénètre, je savais que ça risquait d’être douloureux pour une première fois, mais je n’étais plus vierge, ses doigts s’en étaient chargés. Il se positionna enfin à mon entrée et se mis à pousser légèrement et je fermai les yeux anticipant la douleur. Mais aussitôt, je sentis sa chaleur et j’ouvris les yeux pour voir nos reflets à travers le miroir. Il était penché juste au-dessus de moi.- Détends-toi ma belle. Dit-il déposant des baisées mouillé dans mon cou. Il m’avait appelé ma belle, me trouvait-il belle ? ne pus-je m’empêcher de penser. Ça fera beaucoup moins mal que ta première fois. Je ne dis rien, car c’était ma première fois. Il continua son ascension en moi jusqu’à je ressentais la douleur, mais tous mes sens étaient focalisés sur les baiser dans mon cou, c'était si doux.- Haaan. Hurlais-je en ressentant une vive douleur comme une sorte de déchirure. Ça faisait un mal de c
- Tu es magnifique. - Monsieur, dis-je ne sachant que dire d’autre.- Tu es magnifique. Redit-il en me fixant. Je ne répondis rien cette fois-ci rouge comme une tomate. Je vais devoir te bâillonner, tu es beaucoup trop brillante. - A une condition. Il eu une mine surprise- Tu connais le concept de soumis et dominant ?- Les règles sont faites pour être brisée. Il sourit légèrement.- Essaie pour voir.- Je veux vous sentir monsieur, la chaleur et la fermeté de votre peau, j’en ai besoin s’il vous plait.- Ça ce n’est pas possible, j’ai horreur du contact physique- Dans ce cas, je refuse le bâillon. Il me regarda la mine choquée. - Tu sais que tu n’as pas le droit de me contredire sauf pour une raison valable et tangible- Je suis désolée monsieur. Dis-je ne l’étant pas- Tu ne l’es pas. Tu ne penses pas qu’il est trop tôt pour te rebeller ? en plus, tu as deux punitions que je dois t’infliger ? tu veux que j’en rajoute ? - Monsieur, je me suis touché dans le bain malgré votre in
- Je vais te faire l’amour Avery. - Monsieur ? demandais-je. Mon « monsieur » avait plusieurs connotations, mais ce qui me surprenait le plus c’est qu’ils les comprenaient toutes.- Juste pour cette fois. Dit-il en frottant son nez contre le mien alors que ses lèvres effleuraient les miennes, j’avais envie de pleurer. Tellement, je voulais les sentir pleinement. Je voulais les dévorés, et je voulais qu’elles dévorent les miennes, je me sentais si faible dans ses bras. Je te ferais l’amour, reprit-il la voix basse. Tu as besoin de connaitre ce que c’est vu que c’est ta première expérience. Dit-il en picorant légèrement ma lèvre inférieure. Putain ses lèvres étaient d’une douceur et d’une fermeté infinies.Comment quelqu’un pouvait-il être comme ça ? est-ce que les dieux l’avaient créé pour moi ? je n’avais jamais rien désiré autant que je le désire lui. Ce que je ressentais était tellement intense que je craignais avoir été victime de cupidon, si c’était le cas, cupidon n’avait qu’à s
Je fus réveillé par Sergey, il était aux environs dix-neuf heures, il avait fait monter le diner, je me suis jeté dessus comme une louve affamée, j'ai mangé tout ce que je pouvais, je n’avais rien mangé depuis la veille, alternant entre sommeil et orgasme. Je ne savais pas que le corps humain pouvait avoir une telle capacité de résistance, oui, j'avais des courbatures, et pas qu’un peu, beaucoup de courbature, chaque mouvement me faisait souffrir le martyre. Pourtant j’étais curieusement heureuse. Quand mon ventre fut à peu près rempli, je relevai les yeux vers Sergey et je vis qu’il me regardait, pas directement moi, mais mon corps, ou plus particulièrement mes seins. Je n’avais pas réalisé que j’étais toujours complètement nue, avec un bout de drap sur la taille. Quand je suivis son regard, je vis des traces violacées sur ma poitrine, en regardant plus bas, je vis que j’en avais aussi sur le ventre et mes cuisses. Je relevai les yeux vers lui et son sourire s’agrandit.- Tu es magni
Après ma douche bien froide pour faire redescendre la tension, je suis allé choisir ma tenue, j'ai opté pour un pantalon rose pâle que Nes avait mis dans ma valise et d’un chemisier en laine blanc, j'arrangeai mes cheveux et je sortis de la chambre. Quand je vis mon patron dans le salon en train de boire du café, je ne pus empêcher mes yeux de se diriger vers ses doigts ces mêmes doigts qui dans mon rêve me donnait des claques sur les fesses tout un me pénétrant bien profond.- Tu vas bien ? me demanda-t-il en me regardant étrangement. Encore heureux qu’il ne puisse pas lire dans mes pensées.- Oui monsieur, dis-je en passant inutilement une mèche fantôme derrière mon oreille. Monsieur, on devrait y aller pour ne pas être en retard à la réunion. - Tu n’as rien manger. Dit-il et dans ma tête ça raisonnait « putain de bonne » comme il l’avait dit dans mon rêve. Je secouai la tête essayant de réarranger mes pensées. J’évitais soigneusement de regarder son corps. Il était vétu d'un jean
Avec Monsieur les choses aussi se passaient bien, un peu trop bien d’ailleurs et surtout plus que ce que j’avais espéré. Sur le plan sexuel vous vous doutez bien que c’était l’apothéose, on avait exploré tellement d’aspect sur le sexe que je n’en comptais plus, chaque fois qu’il en avait envie, je me rendais disponible et chaque fois que j’en avais envie, il se rendait disponible, peu importe le lieu où le moment. C’était tellement récurant que je ne portais mes sous-vêtements que pendant mes périodes, car avec lui, on ne savait jamais quand est-ce que l’opportunité pouvait se présenter. Je ne sais pas dans quelle pièce de sa maison, on ne l’a pas fait, on a inauguré chaque meuble chaque surface, j’avais même déjà mes effets personnels chez lui de façon que je n’ai pas à me tracasser pour le travail si j’y passe la nuit. Je connaissais tous ses gardes et aussi la majeure partie de son entourage, il avait un cercle très réduit. J’avais appris qu’il était orphelin et fils unique, cepend
- Oh non les filles, ne vous arrêtez pas juste pour moi, continué, c'était très divertissant. - Papa !, c'était censé être une surprise, tu ne dois pas voir ton gâteau avant. Répondit sa fille en tapant du pied sur le sol.- Ne t’inquiète pas, je vois tout sauf le gâteau en ce moment. Et je t’avais dit que je ne voulais rien pour mon anniversaire, tu n’avais à déranger Avery, et… - Nes…la, je veux dire Nesla, je m’appelle Nesla. Enchanté monsieur, je suis Nesla. Répéta-t-elle pour la troisième fois sous mon regard ébahis, que lui arrivait-il tout d’un coup ? l’amie d’Avery, désolé de m’être invité ainsi chez vous, Avery m’a appelé à la rescousse quand votre fille à une panne de gâteau et...- Enchanté Nesla, je suis Stevenson, Lui coupa-t-elle. Et tu n’as pas à t’adresser à moi de façon si formelle, tu es là bien venue à la maison, il se racla la gorge avant de reprendre. Je veux dire, ça ne me dérange pas que tu sois là. Non plutôt ça fait plaisir… bref, je vais prendre ma douche,
- Ah !, c'est long ! tu ne peux pas faire plus vite ? demanda-t-elle d’une vois plus vive. Et surtout, tu peux venir avec ton amie ? ma future maman ? - Il faudrait d’abord que je réussisse à tirer cette larve du lit. Rigolais-je en regardant Nes toujours étalé dans le lit, cette fois-ci, elle était en étoile de mer. Une vraie calamité cette fille, je ne vous le fais pas dire.- Merci Ave, tu es mon sauveur, mon Messi. Je vais essayer de nettoyer la cuisine en attendant votre arrivée. - D’accord, Nes est un cordon bleu et elle adore cuisiner, donc je vais t’envoyer une liste de course que tu pourras commander pour gagner en temps.- D’accords merci, J’attends ton retour. Conclu-t-elle avant de raccrocher.Dans quel pétrin je m’étais fourré encore, je positionnai mes mains sur les hanches en regardant Nes, il était déjà dix heures pourtant elle dormait encore comme s’il était deux heures du matin. Je m’avançai vers le lit et décida d’opter pour la méthode douce. Alors, je pris délica
Viktor n'a plus rien dit du reste de la journée, et sa présence a refermé monsieur, il était redevenu le même qu'au début, on n'avait même pas encore quitté notre cocon que la bulle avait déjà éclaté. La journée avec nous et on a pris le jet ensemble pour rentrer sur NY, je n’ai fait que dormir durant tout le trajet et plus drôle encore, j’ai voyagé avec cette tenue qui me faisait ressembler à rien. À l’atterrissage, il y avait deux voitures, les deux frères sont partis ensemble dans une et l’autre étaient chargés de me ramener à la maison. Juste avant de se séparer monsieur m’a remis mon téléphone, chose que j’avais complètement oublié, j’avais vraiment vécu comme dans une sorte de bulles fermés, en vérifiant mes messages, je vis qu’un message avait été envoyé à Nesla « ton amie ne sera pas en mesure de te répondre dans les prochaines semaines, mais ne t’inquiètes pas, elle va bien » un message auquel elle avait répondu « d’accord monsieur ». J’ai ressenti un Léger pincement au cœur
Sans pouvoir me contrôler, je lui sautai dans les bras, j’étais heureuse, tellement heureuse, je n’avais jamais su que vivre était si bon. Surtout que c’était mil fois mieux qu’exister sinon je n’aurais pas perdu tout ce temps à n’être qu’une figurante de ma propre vie.Après avoir pris ma douche, je me rendis compte que ma valise n’était pas dans la garde-robe, monsieur ne m’avait pas dit de m’habiller, si ? peut-être, il voulait que je reste nu comme je le suis depuis notre arrivée à Londres. Alors sûr de cette idée, je sortis de la chambre marchant vers la terrasse, un moment, j'eus l’impression d’entendre des voix, mais je n’en fus pas sûr, car ce fut bref.- Monsieur, dis-je en me rapprochant de la terrasse, je tirai les volets et aussi tôt mes yeux tombèrent sur Viktor, un hoquet de surprise s’échappa de mes lèvres alors que lui ses yeux s’agrandissaient. Que faisait-il là et pourquoi me regardait-il comme ça ? monsieur qui me tournait le dos se retourna aussitôt et ses yeux s’a
Je suis réveillé depuis quelques minutes et je me demande ce qu’il peut bien être en train de faire, il n’est pas dans la pièce et je ne sais pas si je peux e lever du lit pour le chercher, la seule chose que j’ai le droit de faire sans avoir son accord, c'est respirer. Savez-vous le bonheur que ça procure d’appartenir à quelqu’un ? d’être guidé par lui ? ça nous retire la pression et le poids des responsabilités, beaucoup de gens prendrait ça comme une mauvaise chose, mais pour comprendre ce qu’il en est, il faut l’avoir vécu, et malheureusement des hommes comme Sergey ne sont pas à la portée de tout le monde. J’entendis des pas dans la pièce et je me mis à regarder attentivement l’entrée de la chambre, quand je le vis enfin un grand sourire pris possession de mon visage, il était vêtu d’une culotte en coton et d’un T-shirt. Je lui ai dit dernièrement que j’aimais ses jambes, et qu’il en avait de très belle, alors depuis un certain temps, je le vois plus en short, et j’aime ça. Je ne
- Entrouvres légèrement les lèvres, dit-il d’une voix gorgée de désir, et je me sentis frustré de ne pas avoir le plaisir de voir ses si beaux yeux désireux de ma personne. Je fis ce qu’il avait demandé et je sentis une boule toute douce se frayer son chemin dans ma bouche puis une légère pression le long de mes joues, il était sans doute en train d’attacher le bâillon. Quand se fut fait, je sentis mes mains tirées vers l’avant, et rencontré une surface dure. C’était sans doute le bois, puis par, je ne sais quel moyen mes bras se retrouvèrent maintenue par cette surface dure puis je ne sentis plus rien, on aurait dit qu’il était sorti de la pièce et j’étais là nu privé de ma vue mes mains étaient liées et je ne pouvais même pas crier pour l’appeler, mon cœur commença à battre à une vitesse folle puis je le sentis derrière moi, il était juste à mon entrée, me titillant avec son membre érigé, il se contentait de se frotter contre moi, mais moi, je le voulais à l’intérieur de moi.- C’es
- je voudrais toujours vous obéir monsieur, vous ne comprenez pas, jamais avant vous, je n’ai ne serait-ce que penser ou même songer à vouloir d’un homme, mais depuis que vous êtes entrée dans ma vie, je ne veux que vous, je ne vois d’ailleurs que vous et personne d’autre, alors peu importe ou cela nous mène tant du meilleur que du pire, je suis ravi de faire du chemin à vos cotées.- Tu es tout simplement parfaite, parfaite pour moi, comme si tu avais été crée exclusivement pour moi, c'est pourquoi tu n'as attendu que moi tout ce temps. - Juste pour vous monsieur.- Bien, tu vois là porte là ? je suivis des yeux son doigt qui m’indiquait une porte de velours et je fis oui de la tête. Tu vas retirer tous tes vêtements et relâcher tes cheveux, une fois que ce sera faite, je veux que tu pousses cette porte et que tu me retrouves à l’intérieur, on va essayer d’étancher cette faim de moi qui te torture depuis des jours. - Monsieur, gémis-je lamentablement alors que tout mon être s’enfla
- Va faire préparer ta valise. - Monsieur pardon si j’ai dit quelques choses de mal, dis-je en me mettant à genoux la peur au ventre, il voulait se débarrasser de moi, car j’étais devenue folle, mais je ne voulais pas, je ne pouvais pas être loin de lui, je veux pouvoir partager son espace. - Tu oses me désobéir. Demanda-t-il d’un ton dominant tout en me surplombant de sa taille, cet homme allait être ma perte au sens littéral du terme. - Non monsieur pardon. - Tu as deux minutes. Dit-il en tournant son dos me laissant là. - Préparé l’hélico, je suis à l’aérodrome dans trente minutes. Je l’entendis dire au loin. Alors que je rassemblai le peu de force qu’il me restait pour aller faire ma valise. Durant le trajet jusqu’à l’aérodrome personne n’a dit un mot, il avait la main posée sur ma cuisse et effectuait de petites caresses sur mes cuisses et moi, je regrettais d’avoir mis un Jean, j’aurais dû mettre une robe qui me permettrait de sentir son contact peau à peau. Une fois sur p