Deux mois plus tard elle m’a envoyé un message. Elle m’invitait à l’accompagner à un anniversaire. Et dans cet anniversaire il fallait saper. Les cours de répétitions que je dispensais me permettaient un peu de vivre. J’avais acheté un costume que j’avais gardé. Et une bonne paire qu’elle m’avait achetée. J’ai accepté son invitation. Le soir je suis allé me coiffer et me rendre plus beau gosse.
Je me suis habillé autours de 21h ayant bien révisé au préalable. Je suis allé chez elle. Elle m’a ouvert la porte. Raïssa était aussi là.
SANDRA : Waouhhhh Seigneur ! Hector tu es trop mignon je te jure. Regarde ta coiffure. Seigneur tu es beau Hector. Entre !
Je suis entré en souriant, j’avoue j’étais vraiment beau. J’ai salué Raïssa. Elle m’a au
J’ai compris que sa confession était sincère. Je me suis levé et elle aussi. Je l’ai relevé. Je l’ai embrassé.MOI : Tu as raison de pleurer. Tu as vraiment commis une bêtise. Mais la plus grande bêtise c’est d’avoir déçu tes parents. On dit que la mauvaise compagnie corrompt les bonnes mœurs. La convoitise peut pousser à faire des choses regrettables. Les longs yeux. Si tu ne lançais aucun intérêt pour ces choses ce qu’aujourd’hui tu es loin. Ce que tu dois faire c’est de changer. De promettre à toi-même que tu désires être une nouvelle version de Sandra. D’accord ?SANDRA : D’accord chérie j’ai comprisMOI : Alors ne pleure plus. Je t’aiderai à devenir la meilleure Sandra du monde. Déjà cette nuit j’ai fouillé la signification du n
Deux semaines après elle est sortie de l’hôpital. J’ai décidé de prendre certaines de mes affaires et j’ai aménagé chez elle. Il fallait quelqu’un près d’elle pendant ce moment de convalescence. Je préparais pour nous, je l’aidais à laver ses vêtements, je l’aidais parfois à réviser ses cours. Je ne voulais pas qu’elle exerce un travail difficile. Mon amour pour elle grandissait et elle aussi elle m’aimait vraiment.Cette période de classe est passée dans les bonnes conditions. L’accident de Sandra n’a aucunement affecté ses études. Moi auprès d’elle je lui ai vraiment redonné le gout de l’école. Nous étions plus que des amis et des complices étant en couple.J’avais rattrapé la soirée que nous devions avoir avant que l’acci
Mon téléphone a sonné longtemps puis s’est arrêté.SANDRA : Tu devrais au moins répondre pour écouter ce que a personne a à dire. On n’ignore pas un appel de la sorte.MOI : Non ceci je ne veux pas décrocher.SANDRA : Mais pourquoi Hector ? Je commence déjà à avoir les pensées négatives je te jure. Et je n’aimerai pas. Alors s’il te plait dis-moi ce qu’il y’a.Je me suis levé j’ai bu un verre d’eau. Puis je suis revenu m’assoir. Je n’avais pas l’habitude de cacher les choses à ma dulcinée.MOI : En fait c’est un homme qui m’appelle depuis. L’autre jour j’ai décroché pour la première fois. Il s’avère que c’est mon père.SANDRA : Ton père ? Mais ton père comment ?MOI : Au
Je suis revenu m’assoir. J’ai continué à échanger avec lui. Il m’a promis se rendre dans un hôpital à l’extérieur pour se faire soigner. Sa femme est entrée, nous nous sommes salué. C’était une femme gentille. Docteur Angel. Eh oui sa femme était aussi une grosse tête.J’ai passé quelques heures sur place puis je suis rentré chez moi. J’ai fait signe à Sandra. Elle s’est dépêchée de venir. Je lui ai expliqué tout ce qui s’était passé. Elle n’a pas caché sa surprise. Elle était fort étonnée de ce que je venais de lui raconter.SANDRA : Donc tu souffrais comme ça alors qu’il y’avait quelqu’un qui pouvais souffler seulement et tu deviens milliardaire ?J’ai souri à cette question.MOI : j’ai au
Nous sommes en Fin Aout. Bientôt septembre et le début de l’école. Je suis au champ avec ma mère. C’est une très belle journée ensoleillée. Je suis en train de récolter le maïs. Avec certains de mes amis du quartier que j’ai invité pour m’aider. Ma maman m’a interpellé après que nous avons fini de manger.MA MERE : Hector tes amis savent que tu vas quitter le village Après demain ?MOI : ékié ma’a ? Moi-même tu ne m’as rien ditMA MERE : C’est vrai ? Ah j’ai oublié. J’ai causé avec Ton Oncle Fabrice hier soir, tu dois partir dans 2 jours. La rentrée c’est dans quelques jours. Et tu ne connais pas la ville. Donc il faut que tu rentres tôt pour visiter ton école et coudre ta tenue scolaire.MOI : Wer ma’a donc je vais vraiment te laisser ?
Le soir mon oncle est rentré. Il ne rentrait plus tard depuis que Tantine Alexia était à la maison. J’avais donc compris ce qu’il faisait souvent dehors quand il y’avait pas de femme à la maison.Lorsqu’il est descendu de la voiture Brenda est allée l’accueillir étant totalement triste.ONCLE FABRICE : Qu’est ce qu’il y’a ? Tu n’es pas joyeuseBRENDA : Oui papa. Je ne suis pas fière de ce que tantine Alexia faitONCLE FABRCICE : Qu’est ce qu’elle a fait ?Lorsqu’elle s’apprêtait à lui dire, Tantine Alexia est sortie. L’oncle l’a donc laissé pour embrasser sa femme qu’il aimait tant.ALEXIA : Humm bonne arrivée chéri (l’embrassant)ONCLE FABRICE : merci ma puce comment s’est passée ta journée ?ALEXIA : Très bien. J&rsqu
Le lendemain je suis sorti de bonne heure avec Brenda nous avons cheminé. Les 2 mille qu’Alexia m’avait donné j’avais plié et garder. Mon intuition m’avait demandé de garder. Je ne sais pourquoi. A l’école ce jour j’avais eu la meilleure note sur mes devoirs et j’étais très content. J’étais très intelligent au secondaire et j’avais une facilité de comprendre les cours. En fait l’école n’avais jamais été mon problème. Mon véritable problème c’était à la maison.Mon oncle est rentré ce soir-là à 20h. Tantine Alexia était allée le chercher à l’aéroport avec une des voitures. Quand ils sont arrivés, ils étaient tout souriants. Tu pouvais voir en tantine Alexia une femme débordée d’amour pour son ma
J’ai décidé de courir à la maison fouiller sa chambre si je peux trouver quelques sous pour l’aider. Quand je suis rentré il y’avait toujours personne. Brenda je ne sais où elle était. Je suis entré dans la chambre d’Alexia. J’ai fouillé. Et j’ai pu trouver 30 mille dans un coffre. Quand je voulais sortir j’ai fait face à face avec mon oncle qui entrait dans la chambre. Il a regardé à l’intérieur de la chambre il n’a vu personne. Il a vu cet argent entre mes mains. La seule chose dont je me rappelle c’est que je me suis levé attaché. La gifle qu’il m’avait donnée m’a fait perdre connaissance car en même temps qu’il me giflait j’ai frappé ma tête sur le battant de la porte.ONCLE FABRICE : Donc comme ça tu es un vrai voleur.MOI : Non tonton ce n’