Le soir mon oncle est rentré. Il ne rentrait plus tard depuis que Tantine Alexia était à la maison. J’avais donc compris ce qu’il faisait souvent dehors quand il y’avait pas de femme à la maison.
Lorsqu’il est descendu de la voiture Brenda est allée l’accueillir étant totalement triste.
ONCLE FABRICE : Qu’est ce qu’il y’a ? Tu n’es pas joyeuse
BRENDA : Oui papa. Je ne suis pas fière de ce que tantine Alexia fait
ONCLE FABRCICE : Qu’est ce qu’elle a fait ?
Lorsqu’elle s’apprêtait à lui dire, Tantine Alexia est sortie. L’oncle l’a donc laissé pour embrasser sa femme qu’il aimait tant.
ALEXIA : Humm bonne arrivée chéri (l’embrassant)
ONCLE FABRICE : merci ma puce comment s’est passée ta journée ?
ALEXIA : Très bien. J’ai passé toute la journée à travailler avec les enfants.
ONCLE FABRICE : Mais pourquoi ? Il y’a une bonne
ALEXIA : Non j’ai résilié son contrat. Chéri j’ai remarqué que ces enfants sont trop faible. Alors j’ai décidé qu’ensemble nous allons souvent travailler. Les entrainer à devenir des vrais hommes et des bonnes femmes. Demain elle va vouloir se marier et si elle n’est pas douée à la, cuisine et autres tâches domestiques aucun homme ne voudra d’elle.
ONCLE FABRICE : Tu as vraiment raison. Tu es un ange ma chéri. Euuuhhh Hector retire la viande de brousse la et tu mets au congélateur.
J’étais debout près de la voiture. J’ai fait ce qu’il m’a demandé. Brenda n’avait plus d’argument. Nous avions passé la journée ce jour à travailler tandis que tantine Alexia elle, était couché dans la chambre et causait au téléphone en longueur de journée. Elle n’avait rien fait. Même le balaie n’était pas passé entre ses mains. Elle avait alors menti à mon oncle.
Deux semaines après les choses allaient de mal en pire. Devant mon oncle elle était une vraie femme. Elle souriait avec nous comme il n’était pas permit. Mais dès lors que mon oncle s’absentait elle nous maltraitait et nous malmenait à tout moment.
Mon oncle un matin allait voyager pour un pays étranger. Nous étions surpris de cela. Il avait l’habitude de nous le dire au moins 5 jours avant pour que nous nous préparions à son départ. Mais cette fois si c’était différent. Il était 7h quand il a crié fort mon nom et celui de Brenda depuis le salon. Nous sommes sortis de notre tanière.
ONCLE FABRICE : Vous faites quoi encore dans la chambre à pareille heure ? Qui va laver le sol ? La vaisselle ? C’est quoi ces enfants paresseux ? Dans tous les cas je suis en train d’aller en Afrique du Sud. J’en ai pour 5 jours et je veux que vous restiez bien sage par derrière. Votre mère ici prendra soin de vous. Et j’espère qu’elle ne se plaindra pas de vous.
BRENDA : Mais papa, comment tu nous annonce la nouvelle à pareil moment ? D’habitude tu le fais longtemps avant.
ALEXIA : Est-il obligé de vous dire son programme ? Vous êtes des enfants quand vous allez grandir vous allez mieux comprendre.
J’étais là debout. J’étais vraiment nerveux. Je savais que pendant ce temps Alexia allait nous rendre la vie vraiment difficile.
Mon oncle a pris son sac et il est parti. Nous l’avons accompagné jusqu’à la voiture puis nous sommes rentrés. Sans attendre que cette femme vienne créer du désordre j’ai commencé les travaux domestiques. Brenda n’était pas habituée aux choses pareilles mais depuis que la bonne était partie elle s’efforçait de travailler avec mon aide bien sûr.
Aux environs de 10h alors que j’étais assis à la véranda avec Brenda, Tantine Alexia qui était sortie il y’a 30mn est revenu avec un homme. Je dirais moins âgé qu’elle. Il était tout souriant quand il nous a vus.
ALEXIA : Hector et Brenda quelqu’un arrive vous ne pouvez pas vous lever et le saluer ? C’est quelle mentalité ça ?
MOI : Désolé Tantine. Bonne arrivée tonton.
Il nous a salués en souriant comme d’habitude.
ALEXIA : C’est mon cousin. Il était dans la ville et il est là pour 3 jours. J’espère que vous serez bien sage.
Ils nous ont traversés et ils sont allés au salon. Brenda et moi ne nous doutions de rien. Nous avons continué à jouer aux cartes. Depuis le salon Alexia nous a appelés. Nous nous sommes précipités évitant qu’elle ressorte son venin.
ALEXIA : Brenda, prend la liste si et va au supermarché me chercher ces choses.
BRENDA : (surprise) Mais… je ne suis jamais allé au supermarché. Je ne connais même pas où c’est situé. C’est la bonne et Alice qui faisaient tout ça avant.
ALEXIA : et ça fait quoi ? Il y’a un début à tout. Ne m’énerve pas hein ?
BRENDA : Tantine je ne mens pas. Papa nous interdit toujours de sortir. Je ne connais pas.
ALEXIA : Si je me lève ici je vais te taper très mal. Viens prendre ça entre mes mains. N’importe quoi ! Je suis ta mère pour faire les caprices ?
MOI : Tantine. Je peux me battre je cours acheter ça. C’est une fille et elle est vulnérable. Surtout qu’elle ne connaît pas. Moi au moins je suis un homme je vais me renseigner. Donne-moi la liste.
ALEXIA : Ah tu veux me montrer quoi là ? Que tu l’aimes déjà ? Petit villageois que tu sois. Tu penses que je ne t’ai pas vu ? Si je veux que tu ailles en ville je vais te dire d’aller en ville. Si je ne dis rien alors je n’ai rien dit. Toi va derrière la maison au jardin là. Tu arraches toutes les herbes qui ne sont pas les fleurs là. Je ne veux plus voir le jardin là sale comme ça. Sortez ! Dégagez de ma vue. Et je ne veux pas voir quelqu’un ici s’il n’a pas fait ce que je lui ai dit.
Brenda a coulé les larmes en prenant la liste. Elle voulait se diriger dans la chambre pour se changer lorsqu’Alexia lui barra la route
ALEXIA : Tu vas où ?
BRENDA : Je vais porter un vêtement décent.
ALEXIA : yôni ! Tu veux montrer quoi ? Que tu es trop responsable ? Didon sort
BRENDA : Mais Tantine regarde comment je suis habillée. Je ne peux pas sortie en mini-jupe ainsi. Ce n’est pas décent.
ALEXIA : Je vais te gifler hein ?
MOI : Brenda vient
Je l’ai arrêté par la main je l’ai tiré dehors
MOI : Franchement je ne sais pas mais c’est mieux que tu gère s et tu pars comme ça. Je ne sais pas pourquoi elle a changé comme ça. Mais si tu ne fais pas ce qu’elle te demande elle risque te rendre la vie un peu difficile. Vas faire ce qu’elle a dit. Moi je pars derrière arracher les herbes.
Brenda n’avait pas le choix, elle est allée comme Alexia avait demandé et moi je suis allé arracher les herbes. Il était 10h
C’est aux environs de 15h que Brenda est rentrée. Elle était toute faible. Elle n’avait pas mangé depuis le matin autant que moi. Je suis allé l’aidé et j’ai amené les choses à la cuisine. J’ai retiré deux pots de Yaourt et je lui ai donné un. Nous avons bu pour avoir un peu d’énergie.
Brenda est allée demander à Tantine Alexia ce qu’on allait manger ce jour. Car jamais à 1(h nous n’avions pas encore mangé. c’était une première.
ALEXIA : Je dis hein ? Je suis votre bon ici ? Tu n’es pas une fille ? Mais va préparer. Tu étais au supermarché acheter quoi ?
BRENDA : Pourquoi tu fais ça tantine ? Pourquoi tu es comme ça ? Sérieusement qu’est-ce que je t’ai fait ?
ALEXIA : Tsuipp dégage devant moi. Il y’avait le ndolè sur la liste là. J’espère que tu as acheté. Hector et toi allez préparer. Je veux manger avant 17h. Sortez.
Comme toujours nous sommes sortis sans problème. Brenda et moi nous nous sommes dirigés à la cuisine. Brenda s’est assise au sol elle s’est mise à pleurer. Je l’ai consolé comme je pouvais. Ensemble nous avons fait la cuisine ce jour. Nous leur avons servi. Son soit disant cousin et elle. Et je suis allé dans ma chambre étudier. Je ne sais ce que Brenda elle, faisait dans sa chambre, mais elle était très calme.
Le lendemain c’était Lundi. Comme toujours nous avions droit chacun à 1000f d’argent de beignet par jour. Car déjà grand nous devions payer nous même le taxi retour.
Ce matin alors après s’être vêtu je me suis dirigé dans la chambre d’Alexia pour avoir mon argent de la journée.
ALEXIA : Quel argent ?
MOI : L’argent de la journée. Pour le taxi et la ration
ALEXIA : je n’ai pas d’argent. Vous m’avez donné l’argent de garder ?
MOI : Non tantine. Mais je pensais que papa a laissé l’argent pour nous. Il sait que chaque matin nous partons en taxi et nous rentrons en taxi. Et il y’a l’argent de ration
ALEXIA : Pourquoi tu m’expliques ta vie ? Je n’ai pas d’argent pour vous. Il ne m’a rien laissé
MOI : mais comment ça ? Ok ce n’est pas grave. Il a surement oublié. S’il te plait Tantine donne nous l’argent s’il te plait. 2 mille franc pour Brenda et moi
ALEXIA : Je suis l’Unicef ? Ou bien je suis le FMI ? Je n’ai rien. Vous êtes déjà grand vous pouvez marcher
MOI : Tantine il est déjà 7H s’il te plait
ALEXIA : je dis je n’ai pas d’argent.
Je n’ai pas voulu trop discuter. Mon heure des classes avançait et la distance était longue. Au lieu de discuter je pouvais tout simplement courir. Je suis sortie annoncer la nouvelle à Brenda. Elle était stupéfaite. Elle a juste secoué la tête et s’est mise à marcher. Je ne pouvais pas marcher plus qu’elle et la laisser bien qu’elle soit mon ainée j’étais quand même un homme.
Nous sommes arrivés avec un retard. La condition au portail était de prendre 10 coups de fouet et entrer à l’ instant où de patienter 12h à la pause pour entrer.
Brenda a refusé de se faire humilier. Mais moi j’étais un garçon qui aimait l’école alors j’ai serré le cœur et je suis allé me coucher et le surveillant m’a fouetter. Les élèves se sont moqués de moi. Mais je m’en branlais. Je voulais rejoindre la classe.
Chose faite, je me suis levé et je suis allé dans ma salle de classe. Mon professeur de PCT était en salle. Il m’a fait encore suivre une punition à cause de mon retard. Je suis resté à genoux devant la salle de classe, les mains sur la tête pendant une heure de temps. Puis je suis allé m’assoir. J’ai passé la pause à recopier les cours du matin que j’avais laissé.
Je m’étais fait un ami. Ley Mane. Il était cool. Ce qui nous avait réunis c’était principalement les études. Ley Mane était un élève studieux il était très intelligent, mais à la différence de moi, c’était un gars dégagé et très blagueur. Il est venu me voir pendant que je copiais les cours
LEY MANE : Djo ça dit quoi ? Mais gars qu’est ce qui s’est passé tu n’es jamais arrivé en retard.
MOI : Tsuipp laisse-moi comme ça Mane. Je vis une situation depuis un moment chez nous-là qui me met vraiment à bout. Mais j’espère ça va aller.
LEY MANE : Ah ok si tu le dis. Si tu ne comprends pas quelques chose sur ce que tu copies là tu me dis hein je vais mieux t’expliquer.
MOI : Merci gars mais j’ai pu comprendre.
LEY MANE : Ok je vais à la quantine. Tu ne pars pas ?
MOI : Humm Non pas aujourd’hui. Ça va aller
LEY MANE : Ok dak. Je vais quand même te garder quelques beignets.
C’était un vrai gars cool. Il m’a ramené quelques beignets. Mais je suis allé dans la salle de Brenda et je lui ai donné. Je pouvais encore supporter mais elle non.
Le soir je suis passé la chercher, nous avons cheminé ensemble jusqu’à la maison.
Deux jours plus tard, Alexia nous a appelé Brenda et moi. Son soit disant cousin venait à peine de partir.
ALEXIA : Bien je vais vous donner chacun 2 mille Franc pour arrêter vos poches avec. C’est mon cousin-là qui a laissé en partant.
MOI : Merci beaucoup
Brenda est restée silencieuse pendant qu’on me donnait mon billet de 2mille franc
ALEXIA : Brenda il y’a quoi ? Tu n’es pas heureuse ? Tu me dis je peux utiliser.
BRENDA : Non merci. Juste que je n’ai pas besoin de cet argent. Ça va aller pour moi
ALEXIA : Et pourquoi ? C’est vous qui demandiez l’argent hier nor ? Et voilà je vous donne vous refusez ? En tout cas ça va. Et je ne veux pas entendre dans les oreilles de votre père que quelqu’un était ici. Il a eu les problèmes avec mon cousin depuis et s’il apprend qu’il était ici, il risque se fâcher contre mon cousin. Il rentre demain. Allez préparer je mange.
BRENDA : J’ai beaucoup de devoir à faire Tantine je ne peux pas préparer maintenant. Et demain nous allons commencer les évaluations.
ALEXIA : ça vous regarde. C’est quel comportement ça ? Une grande fille comme toi est à la maison et moi je prépare ? Didon sortez
Je n’avais pas le choix. J’ai pris mon 2 mille franc et je suis sorti. Brenda et moi nous sommes allés à la cuisine préparer.
Le soir aux environs de 20h Alexia m’a appelé dans sa chambre. J’étais en plein traitement d’un exercice de Physique. J’étais obligé de laisser pour courir dans sa chambre de peur qu’elle ne se mette à crier dans toute la maison en prononçant des mauvaises paroles.
MOI : Oui Tantine je suis là.
ALEXIA : Ok j’ai besoin que tu laves ces habits sales là devant la porte.
MOI : Mais il est 20h40 Tantine je suis en train d’étudier pour demain. Je vais le faire demain
ALEXIA : Ce sont de nouvelles études ? Tu veux montrer à qui que tu études ? Va me laver les habits là. Espèces d’idiot. On t’a dit que je suis ta pauvre mère misérable avec qui tu peux avoir des discussions ?
MOI : Ma pauvre mère ? Tantine Alexia qu’est-ce que ma mère a à y voir dans cette affaire ? Pourquoi l’insulter en le traitant de pauvre misérable ?
ALEXIA : Ne m’énerve pas. J’ai dit tu feras quoi ?
J’étais là debout devant elle. J’étais blessé au plus profond de mon âme. Ma mère ? La prunelle de mes yeux ? J’ai eu à ce moment des remonté de colère mélangé aux larmes. J’avais une forte envie de casser le guéridon qui était près de moi sur sa tête. J’avais une colère intérieure. Ma mère traitée ainsi ?
MOI : C’est par respect que je ne fais rien. Ma mère est tout ce qu’il y’a de chère sur cette terre. Je ne permettrai jamais qu’on parle mal d’elle.
ALEXIA : J’ai mal parlé. Tu ferras quoi ? Je vais te gifler hein ?
MOI : Je te laisser chanter. Mais c’est la dernière fois que tu parles mal de ma mère. Je te respecte assez. Et depuis je suis calme car j’espère un jour que tu changeras. En plus tu es la femme de mon Oncle. Je vais continuer à faire ce que tu voudras mais ne mentionne plus ma mère dans tes exposés sans tête ni queue.
Cette dernière phrase a eu un impact en elle. Elle s’est levé avec fureur et elle m’a giflé tellement fort que je me suis retrouvé au sol.
ALEXIA : Espèce d’idiot. Petit voyou. Tu manques du respect à qui ? Ta mère c’est quoi pour ne pas l’insulter ? C’est la femme du président ? gnè gnè gnè… koo ma mère c’est ce que j’ai de plus chère au monde. Bande de pauvre profiteur. Tu es venu dans cette maison pour profiter des biens de ton Oncle c’est ça ? Bandit.
Je me suis relevé, je l’ai regardé avec des yeux larmoyant. Je ne voulais pas jouer à l’enfant délinquant ou porter la main sur elle. Ma mère ne m’avait pas éduqué ainsi. Je n’ai avancé aucun mot. J’ai ramassé ses habits et je suis sortie. Je suis allé à la buanderie et je me suis assis là, j’ai commencé à couler les larmes. Brenda qui avait tout entendu est venue me réconforter en me promettant de tout raconter à son père. Elle m’a aidé à laver les habits de cette femme puis aux environs de 22h je suis rentré dans ma chambre. J’ai forcé j’ai fini les exercices que j’avais à faire.
Le lendemain je suis sorti de bonne heure avec Brenda nous avons cheminé. Les 2 mille qu’Alexia m’avait donné j’avais plié et garder. Mon intuition m’avait demandé de garder. Je ne sais pourquoi. A l’école ce jour j’avais eu la meilleure note sur mes devoirs et j’étais très content. J’étais très intelligent au secondaire et j’avais une facilité de comprendre les cours. En fait l’école n’avais jamais été mon problème. Mon véritable problème c’était à la maison.Mon oncle est rentré ce soir-là à 20h. Tantine Alexia était allée le chercher à l’aéroport avec une des voitures. Quand ils sont arrivés, ils étaient tout souriants. Tu pouvais voir en tantine Alexia une femme débordée d’amour pour son ma
J’ai décidé de courir à la maison fouiller sa chambre si je peux trouver quelques sous pour l’aider. Quand je suis rentré il y’avait toujours personne. Brenda je ne sais où elle était. Je suis entré dans la chambre d’Alexia. J’ai fouillé. Et j’ai pu trouver 30 mille dans un coffre. Quand je voulais sortir j’ai fait face à face avec mon oncle qui entrait dans la chambre. Il a regardé à l’intérieur de la chambre il n’a vu personne. Il a vu cet argent entre mes mains. La seule chose dont je me rappelle c’est que je me suis levé attaché. La gifle qu’il m’avait donnée m’a fait perdre connaissance car en même temps qu’il me giflait j’ai frappé ma tête sur le battant de la porte.ONCLE FABRICE : Donc comme ça tu es un vrai voleur.MOI : Non tonton ce n’
Mama avait fait du couscous gombo pour nous attendre. Eh Seigneur ! Ce repas m’avait extrêmement manqué. Brenda et moi nous avons dégusté ce plat comme si c’était notre dernier repas sur terre.Une idée m’a traversée l’esprit. Je me posais la question de savoir pourquoi ma mère avait décidé de demeurer seule. Pourquoi ne s’était-elle pas remariée ? pourquoi avait-elle décidé de vivre seule dans cette maison ?Je ne pouvais pas lui poser cette question devant Brenda. J’ai attendu qu’elle soit endormie tard dans la nuit pour aller frapper dans la chambre de ma mère. Jusqu’à ce jour j’ignore toujours les raisons de ma mère. Ce soir-là elle ne m’avait pas donné ample information. Elle ne voulait pas m’en parler.Le lendemain était dimanche. Lundi devait être
Deux semaines après cela, elle est venue me voir un jour dans la chambre j’étais en train de faire mes recherches sur le net.MOI : Oui Tantine.ALEXIA : J’aimerai qu’on essaie de causer un peuMOI : Oui par rapport à quoi ?ALEXIA : Je sais que tu as vu quelques choses il y’a 3 semaines. Mais depuis tu gardes ton Silence. Et… je ne veux pas que mon mariage soit détruit et...MOI : Arrête arrête. Je vais te dire quelque chose. Je ne suis pas dans tes histoires. Je ne suis pas chez nous ici. Ma mère maman Francine est là au village. Et je m’efforce pour lui donner le sourire plus tard. Ta vie et celle de mon oncle je m’en branle. Désolé pour le mot mais c’est vrai. Si tu veux amène tous les hommes que tu désires, continuez à coucher partout et à vous droguer. C’est votre problème. Mais que la g
Quelques mois après c’était la période des travaux dirigés. Mon temps était limité. Pour cuisiner je n’avais plus assez de temps. Je devais étudier à fond pour sortir meilleur. C’était déjà la fin du mois. J’ai appelé mon oncle pour lui dire que mon argent du mois était fini. Tout ce qu’il a pu m’envoyer c’était 5 mille franc.Ce soir-là, pour une première fois j’ai pleuré. Qu’allais-je faire avec 5 mille franc pendant tout un mois de Td ?J’ai gardé mon mal en patience. J’ai appelé ma mère. jusqu’ici elle n’avait jamais su comment je vivais avec son frère. Selon elle j’étais aux anges. Elle s’est débrouillé comme elle pouvait elle m’a envoyé 15 mille.J’ai passé la journée &a
Qu’est-ce que je ne disais pas dans mon esprit. Elle a léché mes couilles. J’ai poussé un gros « aaaaah merde ! ». Je voyais en elle une fille nymphomane. Mais je ne pouvais la stopper à ce moment précis. Le plaisir me comblait. Elle s’est levé et s’est assise sur ma bite. Bonté divine !MOI : IVANA…IVANA : Oui Hector. Mince j’adore ta bite je te jure.Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux. Elle ressentait un plaisir extrême. Elle faisait de ses mouvements impeccables. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses pour que je les caresses pendant qu’elle me fait l’amour. Elle gémissait terriblement et me mordillait les oreilles. Seigneur ! Le noir de mes yeux allait partir définitivement. A un moment elle s’est mise à accélérer le mouvement. J’entendais juste les «
Le matin je me suis réveillé de bonne heure. J’ai commencé à faire le nettoyage. Mon oncle m’a traversé au salon puis il est allé au boulot après avoir répondu à ma salutation.J’ai fini au salon je suis allé faire la vaisselle. Quand j’ai fini je suis retourné au salon pour essuyer les meubles et enlever la poussière. Alexia est sortie de sa chambre. Elle avait attaché le pagne. On s’est salué. Et j’ai réagi comme si je n’avais pas vu son message de la nuit. Elle est retournée dans sa chambre. Quand j’ai fini, elle m’a appelé. Je suis allée la voir. Elle m’a demandé une tasse de thé et du pain. Je devais aussi faire les omelettes. Je n’ai pas refusé. Je lui ai demandé l’argent du pain elle m’a tendu un billet de 10 mille Franc.Je me suis d
Quand je suis retourné à l’hôpital et que nous étions seuls, je me suis excusé pour ce que j’avais fait. Alexia ne m’adressait pas la parole. Il y’avait les papiers qu’il fallait signer. Le médecin est venu me demandant si j’étais le mari. J’ai souri plus je lui ai répondu non. J’ai signé là où il fallait.ALEXIA : tu peux partir maintenant. Ce que tu voulais tu l’as obtenu. Mais crois-moi tu ne vas pas t’en sortir aussi facilement.MOI : Mais pourquoi tu t’obstines à me pourrir la vie ? dans tous les cas l’important pour l’instant est que tu guérisses. C’est tout.Je ne savais vraiment pas ce que cette femme avait. Une nouvelle forme de maladie ? j’ai passé deux jours auprès d’elle. mais je n’avais pas su qu’en mon absence elle racontait des tas de mens