Le lendemain je suis sorti de bonne heure avec Brenda nous avons cheminé. Les 2 mille qu’Alexia m’avait donné j’avais plié et garder. Mon intuition m’avait demandé de garder. Je ne sais pourquoi. A l’école ce jour j’avais eu la meilleure note sur mes devoirs et j’étais très content. J’étais très intelligent au secondaire et j’avais une facilité de comprendre les cours. En fait l’école n’avais jamais été mon problème. Mon véritable problème c’était à la maison.
Mon oncle est rentré ce soir-là à 20h. Tantine Alexia était allée le chercher à l’aéroport avec une des voitures. Quand ils sont arrivés, ils étaient tout souriants. Tu pouvais voir en tantine Alexia une femme débordée d’amour pour son mari. Une femme tellement amoureuse. Elle le remplissait de baiser dans la cour. Brenda et moi Sommes allés le Saluer. Et porter son sac de voyage. Mais la façon dont il me gifla j’ai cogné la tête sur le rétroviseur de sa voiture avant de me retrouver au sol. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Je venais à peine de lui dire « Bonne arrivée papa ». Il eut un calme un moment. Je me suis relevé il a encore voulu me giflé et j’ai esquivé
ONCLE FABRICE : C’est toi le petit voyou qui tape sur ma femme ? Hector ! Je voyage je fais quelques jour dehors et tu manques le respect à ma femme au point de battre sur elle.
J’ai grandement ouvert les yeux surpris par ce beau mensonge. Moi battre sur elle ?
MOI : Non pa’a je ne l’ai même pas touché c’est elle qui m’a giflé hier dans sa chambre. Je n’ai rien fait
ONCLE FABRICE : Et quand je parle il ose me répondre. Tu veux dire qu’elle ment ? Ma femme ment. Tu sais de combien d’année elle te dépasse ? Je t’ai fait venir dans cette maison. Je t’ai un jour mal traité ?
MOI : Non jamais pa’a (pleurant)
ONCLE FABRICE : Tu as un jour manqué de quelque chose dans cette maison ?
MOI : Non Pa’a
ONCLE FABRICE : Et qui te donne l’autorisation de poser la main sur ma femme ? Jusqu’à deux fois ? Quand je quittais de cette maison je vous ai dit demandé de rester bien sage n’est-ce pas ? Hein Brenda ? C’est ce que j’ai dit ?
BRENDA : Oui papa c’est ça.
ONCLE FABRICE : Et qui vous demande de désobéir à ses ordres ? Brenda elle te supplie de préparer pour elle parce qu’elle ne se sent pas très bien et tu dis carrément qu’elle n’est pas ta mère pour te donner des ordres ? Mais ça c’est quel enfant ça ? J’attendais rentrer et qu’on me dise que vous vous êtes bien comporté, mais depuis 2 jours je ne reçois que de mauvaise nouvelles ? Même venant de toi ? Toi ma fille ?
Il parlait étant certain de ce qu’il disait au point où il y’avait aucun moyen de discuter. Brenda était restée bouche bée les larmes ruisselaient sur sa joue. Qu’allait-elle faire ? Elle n’avait pas le choix que d’accepter. Alexia était là, elle observait son mari nous gronder et nous châtier.
ONCLE FABRICE : Ok Hector, avant de dormir tu vas me nettoyer toutes ces 3 voitures. Quant à toi Brenda, tu vas nettoyer toute la maison. Et vous n’aurez pas d’argent de ration demain et vendredi. Des imbéciles comme ça ! Touchez encore mon épouse voir. Des délinquants là
Ils sont entrés à l’intérieur. Brenda et moi nous étions tellement dépassés que personne n’osa adresser la parole à l’autre. Je suis allé brancher le tuyau d’eau au robinet et j’ai commencé à laver la voiture. Brenda de son côté nettoyait le salon et les couloirs en pleurant. Moi je venais du village. Certes on ne m’avait jamais battu mais j’étais dur, j’avais essuyé mes larmes juste après le départ de mon oncle. J’ai fini de laver les voitures aux environs de 1h et je suis allé aider Brenda à finir son travail. La maison était très grande elle ne pouvait pas finir cela seule. Ensemble nous sommes allés nous coucher à 2h du matin. A 6h j’étais debout. Je suis allé réveiller Brenda qui était encore profondément endormie. Elle avait le corps en flamme. Le dos qui faisait mal à cause du travail du sol. Après s’être nettoyé, nous avons pris la route aux environs de 6h50 pour ne plus arriver en retard et subir le fouet de monsieur « Bikarata ».
La vie n’était plus facile dans cette maison. Alexia avait surement charmé cet oncle. Chaque jour il changeait envers nous. Les punitions sur punitions. Même sa propre fille subissait. Pour moi je pouvais encore comprendre que je ne suis pas son fils mais pas cette fille innocente.
La mère de Brenda était décédée de suite de longue maladie quand elle était encore toute petite. Elle n’avait donc pas connu l’amour maternel comme moi. Sa seule vraie maman c’était Alice. Mais malheureusement elle était hors du pays.
Deux années venaient de s’écouler. J’étais alors en classe de seconde. A 16 ans j’étais déjà un homme je dirai. J’avais déjà les barbes qui se pointaient et mon torse aussi commençait à produire les poils. J’avais l’apparence d’un adulte de 23 ans. Brenda elle avait échoué le BEPC cette année-là. Alors elle était en 2nde ainsi que moi. Mais nous n’étions pas dans la même salle de classe à cause de la différence de série. Moi, étant en série scientifique et elle en série littéraire. Je l’aidais constamment dans les matières scientifiques. Mais elle ne m’apportait aucune aide car j’étais super intelligent.
Un soir après les cours je suis resté au lycée étudier avec Ley Mane et un autre ami. Notre professeur nous avait laissé une série d’exercice à faire. Alors c’est aux environs de 17h30 que je suis rentré chez nous. Mon Oncle était au salon tout nerveux.
MOI : Bonsoir Tonton.
ONCLE FABRICE : Où est l’argent de ta mère que tu as volé ?
MOI : Pardon Pa’a ? Quel argent ? Qui a volé l’argent ?
Je me suis retourné vers tantine Alexia qui était assise de l’autre côté du salon.
MOI : Tantine c’est encore de quel argent dont on parle ?
ALEXIA : Tu me demandes ? Sort l’argent que tu as volé là. J’ai déposé 150 mille hier et tu as pris. Regarde même à quelle heure tu rentres alors que Brenda est rentré depuis. Tu as utilisé déjà nor
MOI : Mais de quel argent vous parlez ? Je n’entre jamais dans ta chambre tantine. Et je suis rentré tard parce que j’étais en train de faire les exercices avec des amis je peux même vous montrer. Le professeur nous a donné des séries d’exercices à faire. Et hier je ne suis presque pas sortie de ma chambre.
ONCLE FABRICE : Tu as 5mn pour me sortir cet argent. J’entre dans ma chambre et quand je ressors que tu as produit cet argent.
MOI : Mais Pa’a…
J’ai commencé à couler les larmes. Je me suis approché de tantine Alexia pour savoir vraiment pourquoi elle m’accusait. Elle a crié fort que je la laisse tranquille. Mon oncle est sorti avec la ceinture il m’a soigneusement tapé. Brenda ne pouvait plus supporter mes pleurs, elle est sortie de sa chambre et s’est mise entre son père et moi. Elle me supportait.
ONCLE FABRICE : Ah bon je vois. Donc non seulement tu es un voleur, mais tu as réussi à avoir ma fille au point où elle est contre moi c’est ça ? Ok.
Il est sorti, et après 10mn il est revenu avec un policier. Il m’a menotté en tenu de classe comme un voleur. Il était 18h20 le dehors n’était pas encore sombre. Et le poste de police n’était pas loin de chez nous. J’ai cheminé avec ce policier jusqu’au poste de police. Tous les passants me regardaient et les moto man se moquaient de moi et m’insultaient. Ce soir-là j’ai reçu l’humiliation de ma vie. Arrivé au poste de police, ils m’ont mis torse nu. Je n’avais que mon bermuda. Mon oncle avait donné l’ordre de me fouetter toute la nuit jusqu’à ce que je dise où se trouvait cet argent. C’est comme ça que ce soir-là j’ai reçu toute sorte de fessé. Sur le corps, la plante des pieds, la tête. J’avais pleuré au point où mes larmes ne coulaient plus. Le matin je n’avais toujours rien dire car en réalité je ne savais quoi dire. Je n’avais que 16 ans je ne pouvais pas être transféré. J’étais mineur. Mon oncle a appelé au poste et a demandé qu’on me libère. Quand je suis arrivé à la maison je me suis écroulé. J’avais mal partout. Je n’arrivais ni à marcher, ni à m’assoir. Mon oncle a souri
ONCLE FABRICE : Orr mon petit désolé hein c’était un mal entendu de ma femme. Tu sais avec la grossesse, elle oublie un peu les choses. Elle a oublié qu’il fallait bien chercher. On argent était tombé en bas du lit surement sa main avait poussé. Et c’est tombé.
MOI : (pleurant) Donc vous m’avez… vous m’avez traité ainsi pour rien.
ALEXIA : ça va aller. Toi-même tu oublies souvent les choses nor... ekiéé. Désolé. En tout cas ça va te rendre fort.
Mon oncle et sa femme ont souri puis il est entré dans sa voiture et est allé au travail. Je suis resté là, j’ai eu toute sorte d’idée. Je voulais rentrer à cet instant là au village vers ma maman. Je voulais tuer quelqu’un. J’avais une haine dans mon cœur contre cette femme. Mais je ne pouvais rien. Son mari était un homme influent. J’ai passé 3 jours sans aller à l’école à cause de mon état.
IV
Lundi je peinais toujours à marcher. Je me suis tout de même battu à aller à l’école. Brenda avant ce Lundi, photocopiait les cours chez mon ami et rentrait me donner et j’étudiai à la maison. Pendant ces 3 jours tantine Alexia n’avait rien dit. Et ne passait même pas voir si je vis ou pas dans ma chambre. Je me levais avec beaucoup de force et j’allais manger, boire de l’eau ou me laver.
Nous devions avoir un cours de Physique ce matin mais le professeur n’est pas venu. Alors mon ami Ley Mane est venu où j’étais assis.
LEY MANE : Yess tara comment tu vas ?
MOI : Je suis là gars, Ça va pour le mieux
LEY MANE : Brenda m’a dit que tu ne te sentais pas bien. Et tu connais, je ne pouvais pas venir te saluer.
MOI : Tu as raison. Que cette idée ne te traverse même jamais l’esprit mon pot.
LEY MANE : Ok qu’est ce qui ne va pas ?
J’ai respiré longuement sans mot dire. Je pensais encore au traitement qu’on m’a infligé en cellule pour rien. J’avais encore les traces de Gourdain sur mes bras, raison pour laquelle j’avais porté un t-shirt longue manche dans ma tenue.
MOI : Gars c’est une longue histoire je t’assure. Elle m’a fait ça vraiment dure.
LEY MANE : Qui ?
MOI : Tantine Alexia
Je me suis mis à lui raconter tout ce qui s’était passé. De la fausse accusation jusqu’à la cellule. Il était très nerveux.
LEY MANE : Mais c’’est même quelle story ça nord iman ? Non sérieux moi je ne peux pas tolérer certains ways kooo les mater do ici dehors là... mince. On te fouette nu en cellule gratos ? Pour rien comme ça ? T’ayant d’abord léché avec la ceinture au piol ? diman tu es trop mou je t’assure.
MOI : Ekié à ton avis que devrais-je faire ? Ce n’est pas ma famille. Je vis chez mon oncle pour avoir au moins l’occasion de fréquenter. Je ne sais quoi faire.
LEY MANE : Aka tu ne sais quoi faire comment. Man la go la mérite la tombe je te jure. Buy même l’arrata tchop die. Le poison des souris là. Tu mets même dans sa tchop nor. C’est quelle histoire ça
MOI : Nooon je ne peux pas quand même la tuer. C’est la femme de mon oncle. Je ne peux pas faire ça. Ce n’est même pas dans mes habitudes
LEY MANE : Ton oncle c’est un millionnaire norr. Cherche même à voler même un million ou 2. Tu quittes de cette piol tu pars louer ailleurs.
MOI : Non non mais qu’est-ce que tu me propose comme ça ?
LEY MANE : Non gars tu me connais ne djoss pas que je te prodigue des mauvais conseils. C’est une façon de parler. Je vois juste ce que tu subis et franchement ça m’écœure. Mais tu know ce qu’on appelle le karma ? La go la va subir ça onong.
MOI : je n’ai plus que 2 ans dans cette maison-là. Après mon Bac je vais me chercher. Donc je supporte
LEY MANE : j’espère que tu finiras ces 2 ans vivant.
Pendant que nous causions le professeur d’anglais est entré et mon pot est allé à sa place.
Ley Mane était un vrai ami. Ses suggestions qu’il me donnait étaient justes sous colère. Il ne se sentait pas à l’aise en me voyant dans cet état. Nous avons fait cours jusqu’au soir et chacun est rentré.
Quand je suis arrivé à la maison depuis le portail j’ai entendu Tantine Alexia crier et pleurer. J’ai accouru vers le salon. Elle était couchée au sol rempli de sang.
MOI : Tantine Alexia qu’est ce qu’il y’a ? C’est quoi ça ?
ALEXIA : (pleurant) s’il te plait prends mon téléphone dans ma chambre tu appelles mon mari s’il te plait je vais mourir ici oh
Je me suis dépêché à aller dans sa chambre prendre son portable. Elle a déverrouillé et j’ai appelé mon oncle. Mais il était injoignable. Je suis sorti hors du portail j’ai stoppé une moto. Le taximan m’a suivi au salon et nous avons transporté Alexia à l’hôpital.
Le médecin nous a fait savoir qu’elle avait fait une fausse couche. Elle était enceinte depuis 4 mois déjà. Il fallait donc qu’on retire le fœtus décédé de son ventre et qu’on l’interne. Mais il y’avait pas d’argent. Et elle était inconsciente. Je ne savais que faire. Le numéro de l’oncle ne passait pas.
J’ai décidé de courir à la maison fouiller sa chambre si je peux trouver quelques sous pour l’aider. Quand je suis rentré il y’avait toujours personne. Brenda je ne sais où elle était. Je suis entré dans la chambre d’Alexia. J’ai fouillé. Et j’ai pu trouver 30 mille dans un coffre. Quand je voulais sortir j’ai fait face à face avec mon oncle qui entrait dans la chambre. Il a regardé à l’intérieur de la chambre il n’a vu personne. Il a vu cet argent entre mes mains. La seule chose dont je me rappelle c’est que je me suis levé attaché. La gifle qu’il m’avait donnée m’a fait perdre connaissance car en même temps qu’il me giflait j’ai frappé ma tête sur le battant de la porte.ONCLE FABRICE : Donc comme ça tu es un vrai voleur.MOI : Non tonton ce n’
Mama avait fait du couscous gombo pour nous attendre. Eh Seigneur ! Ce repas m’avait extrêmement manqué. Brenda et moi nous avons dégusté ce plat comme si c’était notre dernier repas sur terre.Une idée m’a traversée l’esprit. Je me posais la question de savoir pourquoi ma mère avait décidé de demeurer seule. Pourquoi ne s’était-elle pas remariée ? pourquoi avait-elle décidé de vivre seule dans cette maison ?Je ne pouvais pas lui poser cette question devant Brenda. J’ai attendu qu’elle soit endormie tard dans la nuit pour aller frapper dans la chambre de ma mère. Jusqu’à ce jour j’ignore toujours les raisons de ma mère. Ce soir-là elle ne m’avait pas donné ample information. Elle ne voulait pas m’en parler.Le lendemain était dimanche. Lundi devait être
Deux semaines après cela, elle est venue me voir un jour dans la chambre j’étais en train de faire mes recherches sur le net.MOI : Oui Tantine.ALEXIA : J’aimerai qu’on essaie de causer un peuMOI : Oui par rapport à quoi ?ALEXIA : Je sais que tu as vu quelques choses il y’a 3 semaines. Mais depuis tu gardes ton Silence. Et… je ne veux pas que mon mariage soit détruit et...MOI : Arrête arrête. Je vais te dire quelque chose. Je ne suis pas dans tes histoires. Je ne suis pas chez nous ici. Ma mère maman Francine est là au village. Et je m’efforce pour lui donner le sourire plus tard. Ta vie et celle de mon oncle je m’en branle. Désolé pour le mot mais c’est vrai. Si tu veux amène tous les hommes que tu désires, continuez à coucher partout et à vous droguer. C’est votre problème. Mais que la g
Quelques mois après c’était la période des travaux dirigés. Mon temps était limité. Pour cuisiner je n’avais plus assez de temps. Je devais étudier à fond pour sortir meilleur. C’était déjà la fin du mois. J’ai appelé mon oncle pour lui dire que mon argent du mois était fini. Tout ce qu’il a pu m’envoyer c’était 5 mille franc.Ce soir-là, pour une première fois j’ai pleuré. Qu’allais-je faire avec 5 mille franc pendant tout un mois de Td ?J’ai gardé mon mal en patience. J’ai appelé ma mère. jusqu’ici elle n’avait jamais su comment je vivais avec son frère. Selon elle j’étais aux anges. Elle s’est débrouillé comme elle pouvait elle m’a envoyé 15 mille.J’ai passé la journée &a
Qu’est-ce que je ne disais pas dans mon esprit. Elle a léché mes couilles. J’ai poussé un gros « aaaaah merde ! ». Je voyais en elle une fille nymphomane. Mais je ne pouvais la stopper à ce moment précis. Le plaisir me comblait. Elle s’est levé et s’est assise sur ma bite. Bonté divine !MOI : IVANA…IVANA : Oui Hector. Mince j’adore ta bite je te jure.Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux. Elle ressentait un plaisir extrême. Elle faisait de ses mouvements impeccables. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses pour que je les caresses pendant qu’elle me fait l’amour. Elle gémissait terriblement et me mordillait les oreilles. Seigneur ! Le noir de mes yeux allait partir définitivement. A un moment elle s’est mise à accélérer le mouvement. J’entendais juste les «
Le matin je me suis réveillé de bonne heure. J’ai commencé à faire le nettoyage. Mon oncle m’a traversé au salon puis il est allé au boulot après avoir répondu à ma salutation.J’ai fini au salon je suis allé faire la vaisselle. Quand j’ai fini je suis retourné au salon pour essuyer les meubles et enlever la poussière. Alexia est sortie de sa chambre. Elle avait attaché le pagne. On s’est salué. Et j’ai réagi comme si je n’avais pas vu son message de la nuit. Elle est retournée dans sa chambre. Quand j’ai fini, elle m’a appelé. Je suis allée la voir. Elle m’a demandé une tasse de thé et du pain. Je devais aussi faire les omelettes. Je n’ai pas refusé. Je lui ai demandé l’argent du pain elle m’a tendu un billet de 10 mille Franc.Je me suis d
Quand je suis retourné à l’hôpital et que nous étions seuls, je me suis excusé pour ce que j’avais fait. Alexia ne m’adressait pas la parole. Il y’avait les papiers qu’il fallait signer. Le médecin est venu me demandant si j’étais le mari. J’ai souri plus je lui ai répondu non. J’ai signé là où il fallait.ALEXIA : tu peux partir maintenant. Ce que tu voulais tu l’as obtenu. Mais crois-moi tu ne vas pas t’en sortir aussi facilement.MOI : Mais pourquoi tu t’obstines à me pourrir la vie ? dans tous les cas l’important pour l’instant est que tu guérisses. C’est tout.Je ne savais vraiment pas ce que cette femme avait. Une nouvelle forme de maladie ? j’ai passé deux jours auprès d’elle. mais je n’avais pas su qu’en mon absence elle racontait des tas de mens
J’ai dépouillé un sac qui contenait des avocats et autres denrées périssables. J’évitais que cela ne pourrisse dans le sac.SANDRA : Ah j’oubliais. J’ai deux amis qui m’ont parlé de leur cité. Les chambres sont quand même modernes 200 mille et 225mille. J’ai dit que je vais t’en parler.Je n’ai pas voulu crier. Ces prix étaient le double de ce que j’avais prévu pour la chambre sans compter les dépenses pour l’aménagement.MOI : Toi tu payes combien ici ?SANDRA : 450 milleMOI : Je comprends. Ok demande-leur de laisser. Je vais me battre à chercher moi-mêmeJe suis resté avec elle quelques heures puis je suis sorti pour chercher la chambre.J’ai passé toute la journée à chercher celle qui correspondait à mon budget mais je n’ai pas tro