J’ai décidé de courir à la maison fouiller sa chambre si je peux trouver quelques sous pour l’aider. Quand je suis rentré il y’avait toujours personne. Brenda je ne sais où elle était. Je suis entré dans la chambre d’Alexia. J’ai fouillé. Et j’ai pu trouver 30 mille dans un coffre. Quand je voulais sortir j’ai fait face à face avec mon oncle qui entrait dans la chambre. Il a regardé à l’intérieur de la chambre il n’a vu personne. Il a vu cet argent entre mes mains. La seule chose dont je me rappelle c’est que je me suis levé attaché. La gifle qu’il m’avait donnée m’a fait perdre connaissance car en même temps qu’il me giflait j’ai frappé ma tête sur le battant de la porte.
ONCLE FABRICE : Donc comme ça tu es un vrai voleur.
MOI : Non tonton ce n’est pas ce que tu crois. Je ne voulais pas
ONCLE FABRICE : Tu ne voulais pas ? Merde.
MOI : Oui je suis rentré de l’école j’ai trouvé tantine Alexia pleurant et presque inconsciente au sol couverte de sang. Je me suis battu avec une moto taximan pour la transporter à l’hôpital. On t’a appelé plusieurs fois mais ton numéro ne passait pas.
ONCLE FABRICE : Quoi ? Qui ? Seigneur ! Qu’est ce qui s’est passé ?
MOI : A l’hôpital on a dit qu’elle a eu une fausse couche. Et il fallait l’argent pour commencer les soins. Mais il y’avait rien vu qu’elle est inconsciente. Je suis donc rentré en vitesse comme ça pour voir si je peux trouver l’argent tonton. Et ce sont les 30 mille là que j’ai pu trouver. J’allais comme ça à l’hôpital.
Mon oncle s’est levé il m’a vite détaché. Il avait fait appel à ses 2 amis pour qu’ils voient le voleur de sa maison. Nous avons filé donc à l’hôpital et par chance les médecins ont commencé les soins. Quand il se faisait tard, vers 18h30 je suis rentré à la maison les laissant à là-bas.
Brenda et moi nous avons passé la nuit seule à la maison. J’avais déjà été mal traité dans cette maison que cela ne m’affectait plus. À chaque fois je voyais cela comme un frein pour mes études et dès que ça passait je recommençais encore mes études.
Le lendemain après l’école, Brenda et moi nous sommes allés à l’hôpital la saluer. Elle était si gentille et aimable. La vérité est que devant les gens elle affichait un autre visage qui n’était pas son visage même.
Apres 5 jours elle est rentrée à la maison. Je souligne que mon oncle ne s’était pas excusé pour m’avoir giflé ou attaché quand il m’avait vu. Et Tantine Alexia ne m’avait pas remercié de l’avoir sauvé la vie. Elle était juste calme et ne m’adressait pas la parole. Mais je savais que mes bonnes actions, seul Dieu voit.
Cette année-là j’ai réussi avec bravoure mon entrée en Première. Brenda aussi. J’allais composer le probatoire. Mon 2ème examen secondaire. Il fallait que je me consacre au maximum pour décrocher ce diplôme.
A la maison quand je rentrais avec mes bulletins, Alexia était jalouse. Je me rappelle une fois quand je lui avais montré une de mes feuilles où j’avais eu 19, 75/20 elle m’a traité de tricheur et de fil inutile. Elle m’a dit ce jour :
ALEXIA : Tu penses que tu iras où avec ça ? Tu ne seras rien dans ta vie. Tu es un va nu pied et un pauvre misérable comme ta vielle maman au village.
Cette même année en première elle a eu encore une fausse couche quand sa grossesse était à 2 mois. Je l’avais su en espionnant une conversation entre elle et mon oncle.
Les séjours passaient, j’avais 17 ans. La puberté me dérangeait un peu. Et il y’avait une fille dans la classe de Brenda qui me plaisait vraiment. En fait chaque fois que j’allais dans la salle de Brenda elle me regardait beaucoup. A la maison Brenda ne cessait de me dire comment cette fille m’aime. Un soir alors Brenda est venue dans ma chambre toujours pour cette affaire.
BRENDA : Gars chaque fois je te parle du go là tu fais comme si tu ne comprends pas. L’école est bien mais il faut aussi …
MOI : Regarde alors. C’est ce que tu peux me conseiller ? Mais toi tu fuis les hommes comme la peste.
BRENDA : pour moi est grave si je commets une erreur. Or toi. Tu as versé dehors tu rentres au calme. Or moi je pars prendre dehors pour rentrer avec. Tu vois que c’est moi qu’on va tuer nor ? Moi j’ai quand même un amoureux. Enfin bref la fille là m’a dit qu’elle veut te voir demain.
MOI : Déjà même elle s’appelle comment ?
BRENDA : Kelly.
MOI : En tout cas je verrai demain
Le lendemain comme prévu je suis allé dans sa salle, nous avons causé de tout et de rien. Elle me plaisait bien. C’est comme ça que j’ai commencé à sortir avec elle. Ma toute première relation amoureuse.
Cela dura presque 2 mois. Je ne l’avais pas encore embrassé. Je n’avais même pas une idée sexuelle dans la tête. Sans portable, on ne se voyait qu’à l’école. L’amour d’ado… trop magnifique. Un jour après l’école je suis resté avec elle causer puis ce fut la première fois que je goutte aux lèvres pulpeuses et très admirables de la douce Kelly Yemdji.
MOI : je t’aime Kelly. J’aime ta manière de m’embrasser
KELLY : Moi aussi je t’aime Hector. S’il te plait ne me trompe jamais hein. Je vais me suicider au cas contraire
MOI : Ne t’inquiète pas.
Nous nous sommes encore embrassé langoureusement ce soir-là. J’ignorais que c’était ma première et ma dernière fois. Aux environs de 18h nous sommes sortis du lycée. Nous cheminions ensemble. Puis de derrière mon oncle est passé dans sa voiture. Je ne l’avais pas vu, mais lui si. Il a garé devant moi et est sorti tout furieux. Sans demander les explications il m’a giflé devant Kelly et m’a trainé comme un fou dans sa voiture. Et nous sommes partis. A la maison je suis descendu de la voiture tout honteux. Alexia est venue accueillir son mari en demandant ce qui n’allait pas
ONCLE FABRICE : C’est cet idiot. Je vois. Donc tu sors déjà les femmes au point de rentrer de l’école à 18h. C’est ça ? Tu voles mon argent pour donner aux femmes n’est-ce pas ? Je vais te dire une chose. Déjà de un tu n’auras plus d’argent de beignet cette année. Et si un jour je comprends que tu as enceinté une fille je te renvois de cette maison. J’espère que tu as compris. Idiot là
ALEXIA : Massa à quel âge ? Ton petit truc là te dérange déjà hein... si tu veux faire tes betises là c’est hors de cette maison.
Quand je suis arrivée dans ma chambre je me suis décidé d’arrêter cette relation et de me concentrer dans mes études. Le soir Brenda est venu dans ma chambre pour me soutenir. Elle a fini par se moquer de moi et rire aux éclats.
J’ai obtenu mon probatoire cette année et Brenda aussi. J’avais mes 18 ans en Terminale. J’étais un mignon jeune garçon. Les filles me tournaient autours à cause de ma beauté et de mon intelligence. Mais je n’avais tête que pour l’école. Je ne voulais pas risquer ma vie à cause des femmes. Un soir quand j’étudiais mon oncle est venu dans ma chambre avec un tas de papier. Il s’est assis et au lit et m’a demandé de me retourner car nous avons à causer.
ONCLE FABRICE : Bien je suis venu te montrer certaines choses.
MOI : Oui papa
ONCLE FABRICE : Tu vois tout ça ? Voilà mes 6 cartes de crédit et comme tu vois ces papiers ce sont des papiers de mon héritage. La plus petite somme que j’ai parmi les cartes que tu vois c’est 20 million. Ceci ce sont les papiers de mon collège à Bafoussam et l’autre si de ma société de provenderie. Voici aussi les titres fonciers de mes 7 terrains que j’ai, et sur lesquels j’ai déjà construit et c’est en location. Voici mon bulletin de paye. J’ai 735 mille franc par mois. Donc tu vois je suis riche.
MOI : Waouh
ONCLE FABRICE : Sur cet argent, tu n’as et tu n’auras jamais rien ! J’ai souffert et voici le fruit de ma souffrance. Reste là et joue avec ta vie c’est ton problème mais mon travail les autres ne vont jamais profiter gratuitement. Tu composes le Bac cette année. Toi et Brenda vous avez chacun 3 ans à l’université pour me ramener la licence. Après cela je lave mes mains sur vous. C’est ce que je tenais à dire.
Il s’est levé et il est parti. Je ne savais même pas prier mais je me suis courbé j’ai dit « Seigneur je te supplie de faire en sorte que je sois une étoile dans ce pays. Je veux avoir ce que tu as prévu pour moi pour aider ceux qui sont dans le besoin et élever ma mère plus haut ». Puis je me suis levé et j’ai continué à étudier.
Ma mère est tombée malade. J’étais en plein Bac Blanc. Cette nouvelle m’a vraiment déconcentré pendant cette période d’évaluation. Ce soir je suis allé frapper à la porte de mon Oncle.
ONCLE FABRICE : Oui qui va là ?
MOI : C’est moi papa.
ONCLE FABRICE : Oui il y’a quoi entre ?
Je suis entré dans sa chambre. Il était allongé sur tantine Alexia.
MOI : Pa’a Désolé de déranger. Tu m’as dit l’autre jour que ma mère est malade et sans mentir ça m’a vraiment troublé. Et je ne me suis pas assez concentré pendant les examens. Bien j’ai réfléchi et je suis venu te demander 3 choses. J’aimerai s’il te plait que tu fasses ma carte d’identité nationale. Je suis déjà dans mes 18 ans. Je voulais aussi te demander le téléphone s’il te plait. Pour communiquer avec ma mère constamment. Et en dernière position j’aimerai aller au village la voir. Ça fait déjà plusieurs années que je ne l’ai pas vu et … sa situation si …
ALEXIA : Mais tu ne peux pas demander une chose après l’autre ? Tu demandes toutes ces 3 choses on t’a dit qu’il y’a un guichet automatique dans cette chambre ?
ONCLE FABRICE : Chérie calme toi s’il te plait. Pour une fois il dit quelque chose d’important. Ok pour ça ce n’est pas un souci. Tu as ta carte scolaire n’est-ce pas ?
MOI : Oui oui j’en ai
ONCLE FABRICE : Ok demain c’est Samedi. Tu pourras aller au village voir ta maman. A ton retour nous allons faire ta carte et celle de Brenda aussi. Bon pour ton téléphone je vais te donner un téléphone qu’on m’avait donné à un séminaire. C’est dans mes affaires là, je vais fouiller après.
C’était la toute première fois depuis des années que mon oncle était si compréhensif. J’étais tellement heureux que j’ai pleuré. Ma tante était nerveuse et je pari qu’elle a boudé mon oncle pendant un bon moment.
Je suis rentré dans ma chambre tout en joie.
Le lendemain matin je me suis habillé tout beau et tout chaud. Il était 5h du matin. Mon oncle était au salon travaillant. Je l’ai salué. Puis je me suis assis. Je lui ai demandé les directives pour me rendre au village. Brenda s’est réveillée et elle-même est venue au salon.
ONCLE FABRICE : Oui Brenda comment tu vas ?
BRENDA : Bien papa. En fait pa’a je voulais te demander s’il te plait si je peux voyager avec Hector s’il te plait j’ai envie de sortir un peu. S’il te plait papa.
ONCLE FABRICE : Non je ne peux pas accepter.
Tantine Alexia depuis la chambre qui avait suivi nos conversations a demandé à voix haute à mon oncle de laisser Brenda partir.
Mon oncle n’ayant pas de choix a accepté. Brenda a sauté de joie, puis elle est allée faire son petit sac pour 2 jours. Mon oncle est allé dans la chambre prendre de l’argent. Il est sorti avec 70 mille.
ONCLE FABRICE : voilà. Votre transport allé et retour sera en moyen 20 mille franc. Avec 50 mille vous donnez à la mère comme argent de traitement.
MOI : Merci beaucoup Papa, Que dieu te bénisse merci vraiment.
Il est allé dans sa chambre il m’a donné le téléphone dont il avait promis me donner. J’étais vraiment heureux de savoir que mon oncle pouvait un jour se comporter de la sorte. Je ne sais pas ce qui avait changé en lui.
Il était 06h30 quand Brenda et moi nous sommes sorties. J’ignore vraiment pourquoi il avait laissé Brenda me suivre sachant que sa fille a toujours grandit dans le luxe et qu’elle allait dormir dans une cabane.
Nous avons pris 5h de temps pour arriver au village. J’ai appelé ma mère au téléphone pour qu’elle m’indique le chemin de la maison. Eh oui j’étais quitté du village quand j’avais à peine 11 ans. Et je ne m’en souvenais vraiment plus.
J’ai pris la moto et je suis arrivé avec Brenda. C’est là que j’ai vraiment eu la confirmation que la ville m’avait transformé. J’étais tout chaud et mignon. Vraiment élégant. Quand ma mère m’a vu elle a fondu en larme. Moi aussi j’ai pleuré. Il y’avais une sorte d’émotion inexplicable. J’avais grandi. Son fils qu’elle n’avait plus revu depuis 6 ans était devenu un homme battit. Elle me serra très fort dans ses bras.
MA MERE : Warr Hector mon fils regarde comment tu es devenu un homme. Un vrai homme.
MOI : Ma’a toi aussi tu es devenu une grande femme. Pardon tu ne devais même pas te lever. Il faut t’assoir
MA MERE : C’est qui ici ? C’est Brenda ou Lucie ?
MOI : Euill tu les connais ? C’est Brenda
BRENDA : Moi-même je suis dépassé. Bonsoir maman
MA MERE : Bonsoir ma fille. Qu’est-ce qui vous surprend ? Mais Ton père c’est mon frère consanguin. Nous avons le même père, mais pas la même mère. C’est normal.
BRENDA : Ah je vois maintenant.
MOI : maman tu souffres de quoi ? Depuis que j’ai appris que tu te sens mal je n’ai plus eu la joie. Il me fallait supplier tonton pour qu’il me laisse venir te voir. En passant il a donné 50 mille pour toi et pour ton traitement.
MA MERE : Waouh… Merci beaucoup à votre père. Il est très gentil. Mon fils j’ai un problème que je ne sais vraiment pas. Je suis allé à l’hôpital on dit que c’est le diabète. Alors que je ne prends même pas les sucreries. Je ne sais pas où j’ai vu cette maladie. Ça m’a vraiment menacé.
MOI : Wer Seigneur le diabète ? C’est grave hein. Tu vas alors vivre comment ? Quand tu as le diabète et tu te blesse pour que la blessure là guérisse ce sont les problèmes. Et tu fais les travaux du champ. J’espère seulement que ça ira Mama. Werr Mum tu m’as tellement manqué je t’assure.
Je l’ai encore pris dans mes bras. Je l’ai embrassé. Je l’aimais de tout mon cœur c’était elle qui me redonnait la force chaque fois que je pensais à elle. Brenda était assise sur le lit à la cuisine elle nous observait.
Mama avait fait du couscous gombo pour nous attendre. Eh Seigneur ! Ce repas m’avait extrêmement manqué. Brenda et moi nous avons dégusté ce plat comme si c’était notre dernier repas sur terre.
Mama avait fait du couscous gombo pour nous attendre. Eh Seigneur ! Ce repas m’avait extrêmement manqué. Brenda et moi nous avons dégusté ce plat comme si c’était notre dernier repas sur terre.Une idée m’a traversée l’esprit. Je me posais la question de savoir pourquoi ma mère avait décidé de demeurer seule. Pourquoi ne s’était-elle pas remariée ? pourquoi avait-elle décidé de vivre seule dans cette maison ?Je ne pouvais pas lui poser cette question devant Brenda. J’ai attendu qu’elle soit endormie tard dans la nuit pour aller frapper dans la chambre de ma mère. Jusqu’à ce jour j’ignore toujours les raisons de ma mère. Ce soir-là elle ne m’avait pas donné ample information. Elle ne voulait pas m’en parler.Le lendemain était dimanche. Lundi devait être
Deux semaines après cela, elle est venue me voir un jour dans la chambre j’étais en train de faire mes recherches sur le net.MOI : Oui Tantine.ALEXIA : J’aimerai qu’on essaie de causer un peuMOI : Oui par rapport à quoi ?ALEXIA : Je sais que tu as vu quelques choses il y’a 3 semaines. Mais depuis tu gardes ton Silence. Et… je ne veux pas que mon mariage soit détruit et...MOI : Arrête arrête. Je vais te dire quelque chose. Je ne suis pas dans tes histoires. Je ne suis pas chez nous ici. Ma mère maman Francine est là au village. Et je m’efforce pour lui donner le sourire plus tard. Ta vie et celle de mon oncle je m’en branle. Désolé pour le mot mais c’est vrai. Si tu veux amène tous les hommes que tu désires, continuez à coucher partout et à vous droguer. C’est votre problème. Mais que la g
Quelques mois après c’était la période des travaux dirigés. Mon temps était limité. Pour cuisiner je n’avais plus assez de temps. Je devais étudier à fond pour sortir meilleur. C’était déjà la fin du mois. J’ai appelé mon oncle pour lui dire que mon argent du mois était fini. Tout ce qu’il a pu m’envoyer c’était 5 mille franc.Ce soir-là, pour une première fois j’ai pleuré. Qu’allais-je faire avec 5 mille franc pendant tout un mois de Td ?J’ai gardé mon mal en patience. J’ai appelé ma mère. jusqu’ici elle n’avait jamais su comment je vivais avec son frère. Selon elle j’étais aux anges. Elle s’est débrouillé comme elle pouvait elle m’a envoyé 15 mille.J’ai passé la journée &a
Qu’est-ce que je ne disais pas dans mon esprit. Elle a léché mes couilles. J’ai poussé un gros « aaaaah merde ! ». Je voyais en elle une fille nymphomane. Mais je ne pouvais la stopper à ce moment précis. Le plaisir me comblait. Elle s’est levé et s’est assise sur ma bite. Bonté divine !MOI : IVANA…IVANA : Oui Hector. Mince j’adore ta bite je te jure.Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux. Elle ressentait un plaisir extrême. Elle faisait de ses mouvements impeccables. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses pour que je les caresses pendant qu’elle me fait l’amour. Elle gémissait terriblement et me mordillait les oreilles. Seigneur ! Le noir de mes yeux allait partir définitivement. A un moment elle s’est mise à accélérer le mouvement. J’entendais juste les «
Le matin je me suis réveillé de bonne heure. J’ai commencé à faire le nettoyage. Mon oncle m’a traversé au salon puis il est allé au boulot après avoir répondu à ma salutation.J’ai fini au salon je suis allé faire la vaisselle. Quand j’ai fini je suis retourné au salon pour essuyer les meubles et enlever la poussière. Alexia est sortie de sa chambre. Elle avait attaché le pagne. On s’est salué. Et j’ai réagi comme si je n’avais pas vu son message de la nuit. Elle est retournée dans sa chambre. Quand j’ai fini, elle m’a appelé. Je suis allée la voir. Elle m’a demandé une tasse de thé et du pain. Je devais aussi faire les omelettes. Je n’ai pas refusé. Je lui ai demandé l’argent du pain elle m’a tendu un billet de 10 mille Franc.Je me suis d
Quand je suis retourné à l’hôpital et que nous étions seuls, je me suis excusé pour ce que j’avais fait. Alexia ne m’adressait pas la parole. Il y’avait les papiers qu’il fallait signer. Le médecin est venu me demandant si j’étais le mari. J’ai souri plus je lui ai répondu non. J’ai signé là où il fallait.ALEXIA : tu peux partir maintenant. Ce que tu voulais tu l’as obtenu. Mais crois-moi tu ne vas pas t’en sortir aussi facilement.MOI : Mais pourquoi tu t’obstines à me pourrir la vie ? dans tous les cas l’important pour l’instant est que tu guérisses. C’est tout.Je ne savais vraiment pas ce que cette femme avait. Une nouvelle forme de maladie ? j’ai passé deux jours auprès d’elle. mais je n’avais pas su qu’en mon absence elle racontait des tas de mens
J’ai dépouillé un sac qui contenait des avocats et autres denrées périssables. J’évitais que cela ne pourrisse dans le sac.SANDRA : Ah j’oubliais. J’ai deux amis qui m’ont parlé de leur cité. Les chambres sont quand même modernes 200 mille et 225mille. J’ai dit que je vais t’en parler.Je n’ai pas voulu crier. Ces prix étaient le double de ce que j’avais prévu pour la chambre sans compter les dépenses pour l’aménagement.MOI : Toi tu payes combien ici ?SANDRA : 450 milleMOI : Je comprends. Ok demande-leur de laisser. Je vais me battre à chercher moi-mêmeJe suis resté avec elle quelques heures puis je suis sorti pour chercher la chambre.J’ai passé toute la journée à chercher celle qui correspondait à mon budget mais je n’ai pas tro
Deux mois plus tard elle m’a envoyé un message. Elle m’invitait à l’accompagner à un anniversaire. Et dans cet anniversaire il fallait saper. Les cours de répétitions que je dispensais me permettaient un peu de vivre. J’avais acheté un costume que j’avais gardé. Et une bonne paire qu’elle m’avait achetée. J’ai accepté son invitation. Le soir je suis allé me coiffer et me rendre plus beau gosse.Je me suis habillé autours de 21h ayant bien révisé au préalable. Je suis allé chez elle. Elle m’a ouvert la porte. Raïssa était aussi là.SANDRA : Waouhhhh Seigneur ! Hector tu es trop mignon je te jure. Regarde ta coiffure. Seigneur tu es beau Hector. Entre !Je suis entré en souriant, j’avoue j’étais vraiment beau. J’ai salué Raïssa. Elle m’a au