Je suis revenu m’assoir. J’ai continué à échanger avec lui. Il m’a promis se rendre dans un hôpital à l’extérieur pour se faire soigner. Sa femme est entrée, nous nous sommes salué. C’était une femme gentille. Docteur Angel. Eh oui sa femme était aussi une grosse tête.
J’ai passé quelques heures sur place puis je suis rentré chez moi. J’ai fait signe à Sandra. Elle s’est dépêchée de venir. Je lui ai expliqué tout ce qui s’était passé. Elle n’a pas caché sa surprise. Elle était fort étonnée de ce que je venais de lui raconter.
SANDRA : Donc tu souffrais comme ça alors qu’il y’avait quelqu’un qui pouvais souffler seulement et tu deviens milliardaire ?
J’ai souri à cette question.
MOI : j’ai au
Nous sommes en Fin Aout. Bientôt septembre et le début de l’école. Je suis au champ avec ma mère. C’est une très belle journée ensoleillée. Je suis en train de récolter le maïs. Avec certains de mes amis du quartier que j’ai invité pour m’aider. Ma maman m’a interpellé après que nous avons fini de manger.MA MERE : Hector tes amis savent que tu vas quitter le village Après demain ?MOI : ékié ma’a ? Moi-même tu ne m’as rien ditMA MERE : C’est vrai ? Ah j’ai oublié. J’ai causé avec Ton Oncle Fabrice hier soir, tu dois partir dans 2 jours. La rentrée c’est dans quelques jours. Et tu ne connais pas la ville. Donc il faut que tu rentres tôt pour visiter ton école et coudre ta tenue scolaire.MOI : Wer ma’a donc je vais vraiment te laisser ?
Le soir mon oncle est rentré. Il ne rentrait plus tard depuis que Tantine Alexia était à la maison. J’avais donc compris ce qu’il faisait souvent dehors quand il y’avait pas de femme à la maison.Lorsqu’il est descendu de la voiture Brenda est allée l’accueillir étant totalement triste.ONCLE FABRICE : Qu’est ce qu’il y’a ? Tu n’es pas joyeuseBRENDA : Oui papa. Je ne suis pas fière de ce que tantine Alexia faitONCLE FABRCICE : Qu’est ce qu’elle a fait ?Lorsqu’elle s’apprêtait à lui dire, Tantine Alexia est sortie. L’oncle l’a donc laissé pour embrasser sa femme qu’il aimait tant.ALEXIA : Humm bonne arrivée chéri (l’embrassant)ONCLE FABRICE : merci ma puce comment s’est passée ta journée ?ALEXIA : Très bien. J&rsqu
Le lendemain je suis sorti de bonne heure avec Brenda nous avons cheminé. Les 2 mille qu’Alexia m’avait donné j’avais plié et garder. Mon intuition m’avait demandé de garder. Je ne sais pourquoi. A l’école ce jour j’avais eu la meilleure note sur mes devoirs et j’étais très content. J’étais très intelligent au secondaire et j’avais une facilité de comprendre les cours. En fait l’école n’avais jamais été mon problème. Mon véritable problème c’était à la maison.Mon oncle est rentré ce soir-là à 20h. Tantine Alexia était allée le chercher à l’aéroport avec une des voitures. Quand ils sont arrivés, ils étaient tout souriants. Tu pouvais voir en tantine Alexia une femme débordée d’amour pour son ma
J’ai décidé de courir à la maison fouiller sa chambre si je peux trouver quelques sous pour l’aider. Quand je suis rentré il y’avait toujours personne. Brenda je ne sais où elle était. Je suis entré dans la chambre d’Alexia. J’ai fouillé. Et j’ai pu trouver 30 mille dans un coffre. Quand je voulais sortir j’ai fait face à face avec mon oncle qui entrait dans la chambre. Il a regardé à l’intérieur de la chambre il n’a vu personne. Il a vu cet argent entre mes mains. La seule chose dont je me rappelle c’est que je me suis levé attaché. La gifle qu’il m’avait donnée m’a fait perdre connaissance car en même temps qu’il me giflait j’ai frappé ma tête sur le battant de la porte.ONCLE FABRICE : Donc comme ça tu es un vrai voleur.MOI : Non tonton ce n’
Mama avait fait du couscous gombo pour nous attendre. Eh Seigneur ! Ce repas m’avait extrêmement manqué. Brenda et moi nous avons dégusté ce plat comme si c’était notre dernier repas sur terre.Une idée m’a traversée l’esprit. Je me posais la question de savoir pourquoi ma mère avait décidé de demeurer seule. Pourquoi ne s’était-elle pas remariée ? pourquoi avait-elle décidé de vivre seule dans cette maison ?Je ne pouvais pas lui poser cette question devant Brenda. J’ai attendu qu’elle soit endormie tard dans la nuit pour aller frapper dans la chambre de ma mère. Jusqu’à ce jour j’ignore toujours les raisons de ma mère. Ce soir-là elle ne m’avait pas donné ample information. Elle ne voulait pas m’en parler.Le lendemain était dimanche. Lundi devait être
Deux semaines après cela, elle est venue me voir un jour dans la chambre j’étais en train de faire mes recherches sur le net.MOI : Oui Tantine.ALEXIA : J’aimerai qu’on essaie de causer un peuMOI : Oui par rapport à quoi ?ALEXIA : Je sais que tu as vu quelques choses il y’a 3 semaines. Mais depuis tu gardes ton Silence. Et… je ne veux pas que mon mariage soit détruit et...MOI : Arrête arrête. Je vais te dire quelque chose. Je ne suis pas dans tes histoires. Je ne suis pas chez nous ici. Ma mère maman Francine est là au village. Et je m’efforce pour lui donner le sourire plus tard. Ta vie et celle de mon oncle je m’en branle. Désolé pour le mot mais c’est vrai. Si tu veux amène tous les hommes que tu désires, continuez à coucher partout et à vous droguer. C’est votre problème. Mais que la g
Quelques mois après c’était la période des travaux dirigés. Mon temps était limité. Pour cuisiner je n’avais plus assez de temps. Je devais étudier à fond pour sortir meilleur. C’était déjà la fin du mois. J’ai appelé mon oncle pour lui dire que mon argent du mois était fini. Tout ce qu’il a pu m’envoyer c’était 5 mille franc.Ce soir-là, pour une première fois j’ai pleuré. Qu’allais-je faire avec 5 mille franc pendant tout un mois de Td ?J’ai gardé mon mal en patience. J’ai appelé ma mère. jusqu’ici elle n’avait jamais su comment je vivais avec son frère. Selon elle j’étais aux anges. Elle s’est débrouillé comme elle pouvait elle m’a envoyé 15 mille.J’ai passé la journée &a
Qu’est-ce que je ne disais pas dans mon esprit. Elle a léché mes couilles. J’ai poussé un gros « aaaaah merde ! ». Je voyais en elle une fille nymphomane. Mais je ne pouvais la stopper à ce moment précis. Le plaisir me comblait. Elle s’est levé et s’est assise sur ma bite. Bonté divine !MOI : IVANA…IVANA : Oui Hector. Mince j’adore ta bite je te jure.Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux. Elle ressentait un plaisir extrême. Elle faisait de ses mouvements impeccables. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses pour que je les caresses pendant qu’elle me fait l’amour. Elle gémissait terriblement et me mordillait les oreilles. Seigneur ! Le noir de mes yeux allait partir définitivement. A un moment elle s’est mise à accélérer le mouvement. J’entendais juste les «