Quelques mois après c’était la période des travaux dirigés. Mon temps était limité. Pour cuisiner je n’avais plus assez de temps. Je devais étudier à fond pour sortir meilleur. C’était déjà la fin du mois. J’ai appelé mon oncle pour lui dire que mon argent du mois était fini. Tout ce qu’il a pu m’envoyer c’était 5 mille franc.
Ce soir-là, pour une première fois j’ai pleuré. Qu’allais-je faire avec 5 mille franc pendant tout un mois de Td ?
J’ai gardé mon mal en patience. J’ai appelé ma mère. jusqu’ici elle n’avait jamais su comment je vivais avec son frère. Selon elle j’étais aux anges. Elle s’est débrouillé comme elle pouvait elle m’a envoyé 15 mille.
J’ai passé la journée &a
Qu’est-ce que je ne disais pas dans mon esprit. Elle a léché mes couilles. J’ai poussé un gros « aaaaah merde ! ». Je voyais en elle une fille nymphomane. Mais je ne pouvais la stopper à ce moment précis. Le plaisir me comblait. Elle s’est levé et s’est assise sur ma bite. Bonté divine !MOI : IVANA…IVANA : Oui Hector. Mince j’adore ta bite je te jure.Elle arrivait à peine à ouvrir les yeux. Elle ressentait un plaisir extrême. Elle faisait de ses mouvements impeccables. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses fesses pour que je les caresses pendant qu’elle me fait l’amour. Elle gémissait terriblement et me mordillait les oreilles. Seigneur ! Le noir de mes yeux allait partir définitivement. A un moment elle s’est mise à accélérer le mouvement. J’entendais juste les «
Le matin je me suis réveillé de bonne heure. J’ai commencé à faire le nettoyage. Mon oncle m’a traversé au salon puis il est allé au boulot après avoir répondu à ma salutation.J’ai fini au salon je suis allé faire la vaisselle. Quand j’ai fini je suis retourné au salon pour essuyer les meubles et enlever la poussière. Alexia est sortie de sa chambre. Elle avait attaché le pagne. On s’est salué. Et j’ai réagi comme si je n’avais pas vu son message de la nuit. Elle est retournée dans sa chambre. Quand j’ai fini, elle m’a appelé. Je suis allée la voir. Elle m’a demandé une tasse de thé et du pain. Je devais aussi faire les omelettes. Je n’ai pas refusé. Je lui ai demandé l’argent du pain elle m’a tendu un billet de 10 mille Franc.Je me suis d
Quand je suis retourné à l’hôpital et que nous étions seuls, je me suis excusé pour ce que j’avais fait. Alexia ne m’adressait pas la parole. Il y’avait les papiers qu’il fallait signer. Le médecin est venu me demandant si j’étais le mari. J’ai souri plus je lui ai répondu non. J’ai signé là où il fallait.ALEXIA : tu peux partir maintenant. Ce que tu voulais tu l’as obtenu. Mais crois-moi tu ne vas pas t’en sortir aussi facilement.MOI : Mais pourquoi tu t’obstines à me pourrir la vie ? dans tous les cas l’important pour l’instant est que tu guérisses. C’est tout.Je ne savais vraiment pas ce que cette femme avait. Une nouvelle forme de maladie ? j’ai passé deux jours auprès d’elle. mais je n’avais pas su qu’en mon absence elle racontait des tas de mens
J’ai dépouillé un sac qui contenait des avocats et autres denrées périssables. J’évitais que cela ne pourrisse dans le sac.SANDRA : Ah j’oubliais. J’ai deux amis qui m’ont parlé de leur cité. Les chambres sont quand même modernes 200 mille et 225mille. J’ai dit que je vais t’en parler.Je n’ai pas voulu crier. Ces prix étaient le double de ce que j’avais prévu pour la chambre sans compter les dépenses pour l’aménagement.MOI : Toi tu payes combien ici ?SANDRA : 450 milleMOI : Je comprends. Ok demande-leur de laisser. Je vais me battre à chercher moi-mêmeJe suis resté avec elle quelques heures puis je suis sorti pour chercher la chambre.J’ai passé toute la journée à chercher celle qui correspondait à mon budget mais je n’ai pas tro
Deux mois plus tard elle m’a envoyé un message. Elle m’invitait à l’accompagner à un anniversaire. Et dans cet anniversaire il fallait saper. Les cours de répétitions que je dispensais me permettaient un peu de vivre. J’avais acheté un costume que j’avais gardé. Et une bonne paire qu’elle m’avait achetée. J’ai accepté son invitation. Le soir je suis allé me coiffer et me rendre plus beau gosse.Je me suis habillé autours de 21h ayant bien révisé au préalable. Je suis allé chez elle. Elle m’a ouvert la porte. Raïssa était aussi là.SANDRA : Waouhhhh Seigneur ! Hector tu es trop mignon je te jure. Regarde ta coiffure. Seigneur tu es beau Hector. Entre !Je suis entré en souriant, j’avoue j’étais vraiment beau. J’ai salué Raïssa. Elle m’a au
J’ai compris que sa confession était sincère. Je me suis levé et elle aussi. Je l’ai relevé. Je l’ai embrassé.MOI : Tu as raison de pleurer. Tu as vraiment commis une bêtise. Mais la plus grande bêtise c’est d’avoir déçu tes parents. On dit que la mauvaise compagnie corrompt les bonnes mœurs. La convoitise peut pousser à faire des choses regrettables. Les longs yeux. Si tu ne lançais aucun intérêt pour ces choses ce qu’aujourd’hui tu es loin. Ce que tu dois faire c’est de changer. De promettre à toi-même que tu désires être une nouvelle version de Sandra. D’accord ?SANDRA : D’accord chérie j’ai comprisMOI : Alors ne pleure plus. Je t’aiderai à devenir la meilleure Sandra du monde. Déjà cette nuit j’ai fouillé la signification du n
Deux semaines après elle est sortie de l’hôpital. J’ai décidé de prendre certaines de mes affaires et j’ai aménagé chez elle. Il fallait quelqu’un près d’elle pendant ce moment de convalescence. Je préparais pour nous, je l’aidais à laver ses vêtements, je l’aidais parfois à réviser ses cours. Je ne voulais pas qu’elle exerce un travail difficile. Mon amour pour elle grandissait et elle aussi elle m’aimait vraiment.Cette période de classe est passée dans les bonnes conditions. L’accident de Sandra n’a aucunement affecté ses études. Moi auprès d’elle je lui ai vraiment redonné le gout de l’école. Nous étions plus que des amis et des complices étant en couple.J’avais rattrapé la soirée que nous devions avoir avant que l’acci
Mon téléphone a sonné longtemps puis s’est arrêté.SANDRA : Tu devrais au moins répondre pour écouter ce que a personne a à dire. On n’ignore pas un appel de la sorte.MOI : Non ceci je ne veux pas décrocher.SANDRA : Mais pourquoi Hector ? Je commence déjà à avoir les pensées négatives je te jure. Et je n’aimerai pas. Alors s’il te plait dis-moi ce qu’il y’a.Je me suis levé j’ai bu un verre d’eau. Puis je suis revenu m’assoir. Je n’avais pas l’habitude de cacher les choses à ma dulcinée.MOI : En fait c’est un homme qui m’appelle depuis. L’autre jour j’ai décroché pour la première fois. Il s’avère que c’est mon père.SANDRA : Ton père ? Mais ton père comment ?MOI : Au