Le matin je me suis réveillé de bonne heure. J’ai commencé à faire le nettoyage. Mon oncle m’a traversé au salon puis il est allé au boulot après avoir répondu à ma salutation.
J’ai fini au salon je suis allé faire la vaisselle. Quand j’ai fini je suis retourné au salon pour essuyer les meubles et enlever la poussière. Alexia est sortie de sa chambre. Elle avait attaché le pagne. On s’est salué. Et j’ai réagi comme si je n’avais pas vu son message de la nuit. Elle est retournée dans sa chambre. Quand j’ai fini, elle m’a appelé. Je suis allée la voir. Elle m’a demandé une tasse de thé et du pain. Je devais aussi faire les omelettes. Je n’ai pas refusé. Je lui ai demandé l’argent du pain elle m’a tendu un billet de 10 mille Franc.
Je me suis d
Quand je suis retourné à l’hôpital et que nous étions seuls, je me suis excusé pour ce que j’avais fait. Alexia ne m’adressait pas la parole. Il y’avait les papiers qu’il fallait signer. Le médecin est venu me demandant si j’étais le mari. J’ai souri plus je lui ai répondu non. J’ai signé là où il fallait.ALEXIA : tu peux partir maintenant. Ce que tu voulais tu l’as obtenu. Mais crois-moi tu ne vas pas t’en sortir aussi facilement.MOI : Mais pourquoi tu t’obstines à me pourrir la vie ? dans tous les cas l’important pour l’instant est que tu guérisses. C’est tout.Je ne savais vraiment pas ce que cette femme avait. Une nouvelle forme de maladie ? j’ai passé deux jours auprès d’elle. mais je n’avais pas su qu’en mon absence elle racontait des tas de mens
J’ai dépouillé un sac qui contenait des avocats et autres denrées périssables. J’évitais que cela ne pourrisse dans le sac.SANDRA : Ah j’oubliais. J’ai deux amis qui m’ont parlé de leur cité. Les chambres sont quand même modernes 200 mille et 225mille. J’ai dit que je vais t’en parler.Je n’ai pas voulu crier. Ces prix étaient le double de ce que j’avais prévu pour la chambre sans compter les dépenses pour l’aménagement.MOI : Toi tu payes combien ici ?SANDRA : 450 milleMOI : Je comprends. Ok demande-leur de laisser. Je vais me battre à chercher moi-mêmeJe suis resté avec elle quelques heures puis je suis sorti pour chercher la chambre.J’ai passé toute la journée à chercher celle qui correspondait à mon budget mais je n’ai pas tro
Deux mois plus tard elle m’a envoyé un message. Elle m’invitait à l’accompagner à un anniversaire. Et dans cet anniversaire il fallait saper. Les cours de répétitions que je dispensais me permettaient un peu de vivre. J’avais acheté un costume que j’avais gardé. Et une bonne paire qu’elle m’avait achetée. J’ai accepté son invitation. Le soir je suis allé me coiffer et me rendre plus beau gosse.Je me suis habillé autours de 21h ayant bien révisé au préalable. Je suis allé chez elle. Elle m’a ouvert la porte. Raïssa était aussi là.SANDRA : Waouhhhh Seigneur ! Hector tu es trop mignon je te jure. Regarde ta coiffure. Seigneur tu es beau Hector. Entre !Je suis entré en souriant, j’avoue j’étais vraiment beau. J’ai salué Raïssa. Elle m’a au
J’ai compris que sa confession était sincère. Je me suis levé et elle aussi. Je l’ai relevé. Je l’ai embrassé.MOI : Tu as raison de pleurer. Tu as vraiment commis une bêtise. Mais la plus grande bêtise c’est d’avoir déçu tes parents. On dit que la mauvaise compagnie corrompt les bonnes mœurs. La convoitise peut pousser à faire des choses regrettables. Les longs yeux. Si tu ne lançais aucun intérêt pour ces choses ce qu’aujourd’hui tu es loin. Ce que tu dois faire c’est de changer. De promettre à toi-même que tu désires être une nouvelle version de Sandra. D’accord ?SANDRA : D’accord chérie j’ai comprisMOI : Alors ne pleure plus. Je t’aiderai à devenir la meilleure Sandra du monde. Déjà cette nuit j’ai fouillé la signification du n
Deux semaines après elle est sortie de l’hôpital. J’ai décidé de prendre certaines de mes affaires et j’ai aménagé chez elle. Il fallait quelqu’un près d’elle pendant ce moment de convalescence. Je préparais pour nous, je l’aidais à laver ses vêtements, je l’aidais parfois à réviser ses cours. Je ne voulais pas qu’elle exerce un travail difficile. Mon amour pour elle grandissait et elle aussi elle m’aimait vraiment.Cette période de classe est passée dans les bonnes conditions. L’accident de Sandra n’a aucunement affecté ses études. Moi auprès d’elle je lui ai vraiment redonné le gout de l’école. Nous étions plus que des amis et des complices étant en couple.J’avais rattrapé la soirée que nous devions avoir avant que l’acci
Mon téléphone a sonné longtemps puis s’est arrêté.SANDRA : Tu devrais au moins répondre pour écouter ce que a personne a à dire. On n’ignore pas un appel de la sorte.MOI : Non ceci je ne veux pas décrocher.SANDRA : Mais pourquoi Hector ? Je commence déjà à avoir les pensées négatives je te jure. Et je n’aimerai pas. Alors s’il te plait dis-moi ce qu’il y’a.Je me suis levé j’ai bu un verre d’eau. Puis je suis revenu m’assoir. Je n’avais pas l’habitude de cacher les choses à ma dulcinée.MOI : En fait c’est un homme qui m’appelle depuis. L’autre jour j’ai décroché pour la première fois. Il s’avère que c’est mon père.SANDRA : Ton père ? Mais ton père comment ?MOI : Au
Je suis revenu m’assoir. J’ai continué à échanger avec lui. Il m’a promis se rendre dans un hôpital à l’extérieur pour se faire soigner. Sa femme est entrée, nous nous sommes salué. C’était une femme gentille. Docteur Angel. Eh oui sa femme était aussi une grosse tête.J’ai passé quelques heures sur place puis je suis rentré chez moi. J’ai fait signe à Sandra. Elle s’est dépêchée de venir. Je lui ai expliqué tout ce qui s’était passé. Elle n’a pas caché sa surprise. Elle était fort étonnée de ce que je venais de lui raconter.SANDRA : Donc tu souffrais comme ça alors qu’il y’avait quelqu’un qui pouvais souffler seulement et tu deviens milliardaire ?J’ai souri à cette question.MOI : j’ai au
Nous sommes en Fin Aout. Bientôt septembre et le début de l’école. Je suis au champ avec ma mère. C’est une très belle journée ensoleillée. Je suis en train de récolter le maïs. Avec certains de mes amis du quartier que j’ai invité pour m’aider. Ma maman m’a interpellé après que nous avons fini de manger.MA MERE : Hector tes amis savent que tu vas quitter le village Après demain ?MOI : ékié ma’a ? Moi-même tu ne m’as rien ditMA MERE : C’est vrai ? Ah j’ai oublié. J’ai causé avec Ton Oncle Fabrice hier soir, tu dois partir dans 2 jours. La rentrée c’est dans quelques jours. Et tu ne connais pas la ville. Donc il faut que tu rentres tôt pour visiter ton école et coudre ta tenue scolaire.MOI : Wer ma’a donc je vais vraiment te laisser ?