L'histoire explore la relation tumultueuse entre Alpha, un chef de meute de loups-garous impitoyable, et Solèna ( Luna), une jeune femme perçue comme fragile. Alpha Maximus, craint et respecté, impose à Luna un choix brutal : devenir sa compagne ou voir sa meute détruite. Bien que terrifiée, Luna accepte, déterminée à prouver sa valeur malgré les humiliations et les épreuves imposées par Alpha. Alpha voit initialement Luna comme une faible, incapable de se transformer en louve. Cependant, Luna refuse de se laisser abattre et commence à s'entraîner pour devenir plus forte. Sa détermination intrigue Alpha, qui commence à voir en elle plus qu'une simple compagne. La dynamique change lorsqu'Alpha subit une défaite lors d'un duel, ébranlant sa confiance et son statut. Le Dieu de la Lune lui révèle que son véritable pouvoir dépend de sa compagne, plongeant Alpha dans le doute. Malgré cela, Luna continue de s'entraîner, et Alpha réalise peu à peu sa véritable force. Ensemble, ils découvrent que leur union est la clé de leur puissance. Leur amour naissant devient leur véritable force, leur permettant de surmonter les épreuves et de devenir des leaders plus puissants. Cette histoire met en lumière des thèmes de transformation personnelle, de dépassement de soi et de rédemption à travers l'amour et l'unité, montrant que c'est ensemble qu'Alpha et Luna réalisent leur véritable potentiel.
Lihat lebih banyakSolèna se tenait dans l’ombre de la vieille bâtisse où Alpha Maximus lui avait demandé de le retrouver. Elle ne se sentait pas fière. La peur la nouait, et elle savait que Maximus la sentirait dès qu’il apparaîtrait. Chaque fibre de son être lui criait de fuir, mais elle était là, prisonnière de ses propres choix.
Elle regrettait déjà d’avoir accepté ce rendez-vous clandestin. Si ses parents l’apprenaient, les conséquences seraient terribles. Sa vie pourrait prendre un tournant définitif, et pas celui qu’elle espérait.
Alpha Maximus...
Il était le leader de la meute rivale, les cerbères , celle qui avait toujours été l’ennemie de la sienne. Les deux clans n’avaient jamais su coexister, depuis des générations. Une guerre tacite s’était installée entre eux, et Luna en était une victime involontaire.
Plusieurs alliance avaient été tenté dans des mariages arranges, mais cela n’avait jamais abouti vraiment .
Solèna était une fille d’Alpha, mais née bêta a cause d’une lune rouge mal orienté, c’était ce qu’on lui avait toujours dit. Elle n’avait jamais eu de place à part entière dans son propre clan, toujours en attente de rencontrer sa moitié. Un espoir naïf, se disait-elle, en espérant que ce partenaire viendrait de sa propre meute , lui permettant de rester au sein de ce qu’elle connaissait encore : son clan, sa famille.
Elle repoussa l’une de ses mèches brunes, le regard fixé sur l’heure. Il était presque 20h, et elle savait qu’elle ne pourrait pas attendre beaucoup plus longtemps. L’angoisse la tenaillait alors qu’elle scrutait les lieux autour d’elle : un bureau, un vieux canapé, et une table basse renversée dans un coin. L’endroit avait quelque chose de sinistre, comme si chaque objet portait l’empreinte du temps et des secrets. Elle se sentit plus perdue que jamais.
Une vieille comptine lui revint, murmurée par sa grand-mère morte depuis longtemps : “Sous la lune rouge, la louve attend, son ombre à trois têtes la garde dans le vent.” Elle frissonna, chassant ce souvenir absurde.
Soléna ferma les yeux un instant, et un nouveau souvenir jaillit malgré elle : la nuit de ses treize ans, sous une lune pleine et éclatante. Lia, sa sœur, avait hurlé sa première transformation, son pelage argenté scintillant tandis que le clan l’acclamait. Soléna, elle, était restée à l’écart, tremblante dans l’herbe humide, attendant un changement qui n’était jamais venu. Son père l’avait regardée, ses yeux durs comme la pierre, et avait murmuré à sa mère : “Une bêta. Une honte pour notre sang.” Depuis ce jour, chaque regard de ses parents portait ce mépris, chaque mot une piqûre pour lui rappeler qu’elle n’était pas assez – pas une alpha, pas une vraie louve, juste une erreur née sous une lune rouge. Et pourtant, elle était là, dans cette bâtisse oubliée, à risquer tout ce qu’elle avait pour un espoir qu’elle ne comprenait même pas.
Elle joua nerveusement avec sa respiration, comme son professeur lui avait appris au lycée. Elle inspira profondément, expira lentement, et se força à compter : « 1, 2, 3… » Mais à mesure qu’elle le faisait, une sensation étrange la prenait, comme un frisson parcourant sa peau. Il était proche, elle le sentait dans ses os, sans pouvoir l’expliquer. Il n’était qu’à quelques pas, prêt à surgir dans l’ombre.
Elle recommença à compter : « 1, 2… »
— Tu es venue, Luna !
Elle sursauta, son cœur s’emballant à l’instant même où la voix masculine retentit derrière elle. Un frisson glacé parcourut son échine. Sans même réfléchir, elle se retourna brusquement.
Il était là, immobile, ses yeux verts perçant l’obscurité. Immense, imposant.
Alpha Maximus.
Alpha Maximus mesurait près d’un mètre quatre-vingt-dix, sans aucun doute. Ses cheveux, coupés courts, étaient un peu éparse, comme s’il venait tout juste de sortir de l’armée. Son visage était dur, sculpté, avec une mâchoire carrée et un nez un peu épais. Mais c’étaient surtout ses yeux verts qui semblaient dévorer chaque détail de son environnement, comme s’il pouvait lire dans son âme.
Son t-shirt moulait sa silhouette musclée, chaque ligne de son corps révélant une puissance brute, sans la moindre trace de graisse. L’odeur qui l’entourait – un mélange de bois, de cuir et un soupçon de tabac – envahissait l’air, douce et oppressante à la fois. C’était une présence qui marquait chaque espace qu’il occupait, une signature invisible et inaltérable. Solèna la sentit l’envahir, frappant ses sens de plein fouet, la déstabilisant totalement.
— Mon nom est Soléna !
Il la regarda, son regard perçant et sans détour, une légère moue sur ses lèvres.
— Pour moi, ce sera Luna.
Elle se redressa, le défi brûlant dans ses yeux.
— Non, je suis et resterai Soléna.
Un sourire à peine perceptible se dessina sur ses lèvres. Il la fixa un instant, avant de la dominer de son regard intense, sans un mot de protestation, comme si son autorité était une évidence.
Elle baissa les yeux sur sa bouche pour éviter de croiser son regard !
— Tu voulais me voir, je t’écoute.
Elle avait parlé d’une traite, profitant du peu de courage qu’elle avait. Son cœur battait plus fort dans sa poitrine, mais elle refusait de le laisser voir. Il la scrutait de haut en bas, un sourire moqueur se dessinant lentement sur ses lèvres.
La trahison fut rapide. Froide. Dévastatrice.Le cauchemar de Soléna pulsait comme un cœur agonisant, la plaine infinie écrasée sous une lune sanglante qui semblait hurler dans le silence. L’herbe, peinte d’écarlate par la lumière, ondulait sous un vent glacial, charriant une odeur de fer et de cendres. Soléna, enchaînée à cette vision, sentait son esprit se fracturer, chaque détail gravé dans son âme comme une lame. Luna, louve argentée, avançait, son pelage scintillant comme un éclat d’astre, chaque poil capturant la lumière rougeâtre. Ses yeux ambrés, brûlants d’un amour ancien, portaient une innocence fragile, une flamme vacillante face à la tempête imminente.Cerbère, monstre tricéphale, dominait la plaine, ses trois têtes grondant, leurs crocs dégoulinant d’une bave acide qui sifflait sur le sol. La tête centrale, massive, fixait Luna avec une lueur traîtresse, ses yeux rougeoyants scintillant comme des braises prêtes à consumer. Les autres têtes grognaient, leurs museaux frémis
Dans le cœur palpitant du cauchemar de Soléna, une plaine infinie s’étendait sous une lune sanglante, son éclat rougeâtre peignant l’herbe haute d’une teinte cuivrée, comme du métal fondu. L’air vibrait, épais, saturé d’une odeur de fer et de cendres, collant à la peau comme une malédiction. Soléna, prisonnière de cette vision imposée par la Déesse, sentait son esprit vaciller, son corps absent mais son âme enchaînée à la scène. Ses yeux, invisibles dans ce rêve, s’écarquillèrent d’horreur alors que Luna, radieuse, avançait, son pelage argenté scintillant comme un éclat de lune capturé. Chaque poil semblait vibrer, reflétant la lumière écarlate, et ses yeux ambrés, profonds, brûlaient d’un amour si pur qu’il en était douloureux.Face à elle, Cerbère se dressait, colosse monstrueux sculpté dans l’ombre et la fureur. Ses trois têtes grondaient, leurs crocs luisants dégoulinant d’une bave épaisse qui sifflait en touchant le sol, laissant des marques fumantes. La tête centrale, massive, f
Les yeux argentés de la Déesse, lourds d’une tristesse infinie et de secrets aussi vieux que les constellations, se posèrent sur Soléna. Leur éclat, à la fois glacial et brûlant, semblait percer l’âme de la jeune louve, fouillant ses pensées comme un vent d’hiver s’infiltre dans les fissures d’un mur. La silhouette éthérée de la Déesse flottait dans la chambre, son contour scintillant comme une brume éclairée par la lune, ses cheveux ondulants doucement, bien que l’air fût immobile. Ses lèvres, fines et pâles, s’entrouvrirent, mais aucun son n’en sortit. Au lieu de cela, une main diaphane, aux doigts longs et translucides, se tendit vers Soléna. Les ongles, nacrés, captèrent la lueur orangée du crépuscule, scintillant comme des éclats de verre brisé.Soléna, figée sur sa chaise en métal rouillé, sentit son cœur s’emballer. Ses doigts, toujours enlacés dans ceux de Maximus, se crispèrent, ses ongles s’enfonçant dans sa paume. Ses yeux verts s’écarquillèrent, et un frisson glacé remonta
Le crépuscule s’effilochait doucement, une lueur orangée filtrant à travers la fenêtre aux vitres fendillées, projetant des éclats de lumière sur le sol en béton craquelé. La chambre semblait asphyxiée par une chaleur moite, oppressante, comme si l’air lui-même hésitait entre la vie et la mort. Les rideaux, déchirés et tachés, frémissaient sous des courants d’air erratiques, faisant danser des particules de poussière dans les rayons obliques. Ces grains scintillaient, suspendus, dessinant sur les murs des ombres mouvantes, presque spectrales, comme des murmures d’un autre monde.Maximus remua sur le lit, un matelas usé aux ressorts grinçants, son torse musclé secoué par un spasme douloureux. Ses paupières tressaillirent, alourdies, avant que ses yeux dorés ne s’ouvrent à demi, voilés par l’épuisement et une douleur qu’il refusait de reconnaître. Un grognement rauque déchira sa gorge, un son guttural chargé d’une colère sourde et d’une faiblesse qu’il maudissait déjà. Sa mâchoire se co
Soléna rouvrit les yeux, un sourire tremblant aux lèvres, mi-défi, mi-aveu, comme une lueur fragile perçant un ciel d’orage. Ses joues, encore humides de larmes séchées, capturaient la lumière pâle d’une lampe LED vacillante, suspendue au plafond fissuré. Ses yeux verts, brillants d’une détermination farouche, scintillaient malgré l’épuisement qui creusait ses traits. Ses lèvres frémirent, et elle inclina légèrement la tête, une mèche de cheveux collée à sa tempe glissant sur son front. Elle la repoussa d’un geste nerveux, ses doigts tremblants effleurant sa peau, comme pour chasser l’ombre des visions qui la hantaient encore. Son souffle, toujours irrégulier, faisait frémir ses épaules, mais une force nouvelle semblait pulser en elle, ancrée dans ce sourire fragile.Maximus, assis au bord du lit, son torse musclé encore marqué par les bandages, la fixait avec une intensité brute. Ses yeux dorés, ardents, fouillaient les siens, une lueur d’inquiétude mêlée de respect dansant dans leur
Quand il parla enfin, sa voix était basse, presque fragile, un murmure qui semblait arraché à une part de lui qu’il gardait enfouie.– Si j’crève… tu dois vivre, Soléna. T’as entendu ? Tu vis. Pas question que tu me rejoignes dans le néant.Soléna serra les poings, ses ongles s’enfonçant dans ses paumes. Sa gorge était nouée, prisonnière d’une douleur sourde qui menaçait de l’engloutir. Elle voulait crier, le secouer, lui hurler qu’il n’avait pas le droit de parler comme ça, pas après tout ce qu’ils avaient traversé.– T’es con, Alpha. T’as pas le droit de me demander ça.Il ricana, un son à moitié étouffé par un toussotement douloureux qui fit tressaillir son torse. Même dans la souffrance, il trouvait le moyen de garder cette arrogance, ce défi qui le définissait.– J’suis Alpha, j’ai tous les droits.Mais l’instant d’après, son ton changea, devenant plus brut, plus urgent, comme s’il crachait les mots avant qu’ils ne le consument.– Et j’préfère crever mille fois plutôt que de te v
La chambre baignait dans une lumière pâle du matin, celle qui hésitait encore, comme si elle ne savait pas si elle allait caresser le monde ou le laisser s’effondrer sous son poids. Les rideaux élimés laissaient filtrer des rayons timides, traçant des lignes fragiles sur le plancher usé. L’air portait une odeur de bois humide, de sueur, et quelque chose de plus âcre – le sang séché, peut-être, ou l’écho d’une bataille encore trop proche.Maximus était étendu sur le lit, torse nu, sa peau luisante sous la faible lueur. La blessure qui barrait son flanc s’était refermée, mais chaque inspiration semblait lui coûter un effort qu’il refusait d’admettre. La couverture, un tissu rêche et délavé, glissait bas sur ses hanches, dévoilant la puissance brute de ses muscles, tendus comme des cordes prêtes à rompre. Chaque cicatrice sur son corps racontait une guerre, chaque marque une victoire arrachée à la mort. Pourtant, là, immobile, il semblait presque vulnérable – une façade que seuls les plu
Maximus se redressa à moitié, grimaçant de douleur, ses griffes sortant instinctivement.— Qu’est-ce que… encore toi ? grogna-t-il, sa voix vibrant de méfiance.La voix de la Déesse de la Lune résonna, profonde et vibrante, un son qui semblait émaner des étoiles elles-mêmes.— Alpha de Cerberus, tu as parlé vrai. Si ton sang s’éteint à l’éclipse, la meute périra. Le pacte, brisé il y a des siècles, doit être réparé. Huit nuits te séparent du jugement. Toi et elle, liés par mon souffle, ou Cerbère reprendra Luna et dévorera ce qui reste.Un symbole ancien pulsa sur la peau de Soléna, au creux de sa clavicule. Elle le sentit brûler, puis le vit briller, pâle comme l’argent, une rune de la Déesse, gravée dans sa chair comme un serment. Elle posa une main dessus, le souffle coupé, son cœur cognant contre ses côtes. Luna frémit en elle, un grondement amer montant dans sa poitrine. La louve n’était plus muette. Soléna releva les yeux vers la Déesse, sa voix tremblante s’échappant malgré ell
La chambre était un sanctuaire d’ombres, la lumière rouge de la lune filtrant à travers les vitres fendillées, projetant des éclats sanglants sur les murs de pierre. L’air vibrait d’une tension palpable, saturé de l’odeur âcre du sang et de la sueur. Soléna, le souffle court, se tenait encore debout, son corps vibrant de l’énergie de Luna, sa louve intérieure. La porte claqua comme un coup de tonnerre, l’écho des pas lourds de la famille de Maximus s’évanouissant dans le couloir. Leurs insultes résonnaient toujours dans son esprit, chaque mot comme une lame plantée dans sa poitrine. Elle se retourna vers Maximus, allongé sur le lit, une main pressée contre son flanc, du sang suintant à travers le bandage, sa respiration lourde trahissant son épuisement.— Ces salauds, grogna-t-il, sa voix rauque, avant de s’effondrer à moitié sur le lit, à bout de forces.Soléna s’agenouilla près de lui, posant une main sur son bras, ses doigts frôlant sa peau chaude, marquée par la sueur et le combat
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