Alors de duo nous sommes devenu un trio. À trois on travaillait dur. Matin, midi et soir. À vraie dire le plus courageux était cet infatigable de Laurent. Ce jeune homme était doté d'un courage hors norme. Il était aussi doté d'un charisme qui dépassait celui de tout être humain de son âge et même nombreux de ceux qui étaient âgés que lui. Après lui c'était Théo, lui aussi était en deuxième position. Il était celui qui motivait et aussi le grand rusé. Il avait toujours des astuces de survie. Avec lui c'était toujours et à jamais la débrouille pour s'en sortir dans ce monde hostile qui était le nôtre.
Comme je l'ai dis on travaillait régulièrement. Et un jour pendant notre pause j'entrepris avec mes compagnons une discussion très important. Qui perçait à moitié ce grand mystère qui se cachait derrière Théo.
Moi: Oh enfin quelques instants de repos. Je suis tellement épuisé.
Laurent : oui Junior tu as raison ça fait du bien de se reposer après une dure matinée comme celle-ci. Malgré notre détermination on mérite quand même un peu de repos.
Théo: lol moi par contre je ne suis pas ce genre de personne à vouloir à tout prix se reposer avant de retourner travailler. C'est parce que je suis avec vous que je suis assis actuellement. Repos n'est rien qu'une sorte d'illusion qui vient nous écarter de notre objectif.
Moi: mais qu'est ce que tu racontes. Le corps même a besoin de repos. Et puis pourquoi tu dis des choses comme ça. Je ne comprend même pas un mot de ce que tu veux dire.
Laurent: Oui Junior. Je voulais moi même dire la même chose. Tu sais nous sommes tous déterminé mais là j'avoue que je vois pas un peu trop de quoi tu veux parler.
Théo: voilà. C'est clair que vous ne savez rien de ma vie. Et de mon passé. Vous ne savez pas aussi pourquoi je suis ainsi avec ces ambitions et cette détermination.
Moi: alors explique !!!
Théo: OK cela remonte à mon enfance.
Flashback
Ma défunte mère et moi étions tellement pauvres. Je ne sais même pas comment vous le décrire. Malgré cela on arrivait à manger au moins quelques fois. On avait qu'un seul abris et repère. La rue. Elle seule nous avait accueilli. On vivait dans la rue 24/24. Et c'était comme ça. Pour manger ont mendiait dans les restaurants. Et quelques personnes généreuses nous donnait un peu de quoi manger.
Alors c'était notre .routine la misère. Ma mère elle faisait tout pour que je survive. Elle se battait pour que je puisse avoir de quoi manger à chaque fois. Mais malheureusement cela ne va pas durer le sort viendra s'abattre sur nous. Ma tendre maman tomba malade. Et faute de moyen nous ne parvenons pas à prendre en charge les soins de santé. Pourtant sa santé empirait. Et elle tombait de plus en plus vers le déclic.
Je me rappel de ce Jeudi comme si c'était hier. Ma mère mourut et je n'arrivait même pas à comprendre. Elle est morte là où j'étais né , dans la rue. Ce jour c'était comme si ma vie allait s'écrouler. Je venais de perdre la seule chose chère qui me restait en ce monde. J'étais là sans personne envers qui me tourner. J'ai pleuré pendant une semaine sans même m'arrêter.
Puis un jour j'ai pris la décision de me battre, de lutter et d'avoir ce que ma mère n'a pas eût. Je devais lutter pour avoir ce qui avait causé la mort de ma mère, c'est-à-dire la pauvreté. Alors moi Théo je ferrai de tout mon possible pour être riche. Quelqu'en soit le prix. Je dois rendre ma mère fière de moi là où elle est actuellement.
fin du flashback
Moi : Alors mon frère c'est triste hein ton histoire. Moi je t'ai déjà expliqué la mienne et à vraie dire je suis vraiment triste en t'écoutant. Je me rends aussi compte que j'ai vraiment de la chance. J'ai quand même un toit au dessus de ma tête. Ce qui n'est pas le cas pour vous. J'ai aussi une grande soeur sur qui je peux compter.
Laurent : sur ce point tu as raison. Mais ensemble. Nous serons tous en haut de l'échelle. Et ça moi je peux le jurer.
Le récit de Théo m'avait vraiment choqué et j'étais affligé face à ce que j'avais entendus. Mon sort était un peu plus allégé. Nous devions travailler. Et ce que nous avons tous fait. On a travaillé jusqu'au soir. Mais une fois arrivé à la maison un grand problème m'attendais. Ma chère soeur était malade. Cela était vraiment étrange. Car le matin elle n'avait à peu près rien.
Maria: ça va aller frangin j'ai pris des comprimés.
Moi: quels genres de comprimés ??
Maria: Elle m'a dit que c'était pour la toux.
Moi: qui t'a dis.
Maria: Amina bien-sûr, la vendeuse de médicaments.
Moi : Ah OK ma soeur. J'espère que d'ici demain ça ira.
Maria: moi aussi. T'inquiète pas mon frère ça ira. Ce n'est que quelque chose de passager.
Moi : OK pas de problème.
Pourtant malgré qu'elle le niait sa santé empirait de jour en jour . Au bout d'une semaine elle toussait avec force et à grande allure. Elle n'arrivait même pas à mieux s'occuper de toi. La chose la plus merveilleuse qui puisse lui arriver en monde. Moi par contre j'étais très triste et impuissant. Je me sentais un peu comme un lâche. Je n'arrivait même pas à lui acheter des comprimés à plus forte raison l'envoyer à l'hôpital.
Chaque matin je cherchais des solutions et en quittant au travail la petite somme que je gagnais ne servait qu'à la nourriture. À chaque fois que je l'a voyait dans l'État dans lequel elle était j'étais encore plus triste et affligé. Mes compagnons étaient tous deux là pour moi. Ils m'avaient même aidés avec le peu d'argent qu'ils avaient. On avait fait appel à des guérisseurs. Mais toujours rien.
C'était ainsi jusqu'à ce que je puisse l'envoyer à l'hôpital. Là c'était un mois après le début de la maladie dont j'ignorais le nom. Le médecin avait fait un diagnostique et avait parlé d'une maladie du poumon avec un étrange.
Moi: Alors Docteur qu'es-ce qu'on peut faire pour que ma soeur retrouve la santé.
Lui: il est déjà trop tard vous avez perdu trop de temps avant de l'envoyer ici. Le mieux serait de la mettre sous respiration artificielle. Parce comme vous pouvez le constater elle a des difficultés pour le faire.
Moi: OK Docteur si cela peut aider faites le.
Lui: ohhh non c'est pas ça le problème. La machine est payante. Pour la placer c'est 15.000 FCFA par jour
Moi: quoi????? Mais où vais-je enlever cet argent ???
Lui: là je suis vraiment désolé pour vous. Sans ça c'est pas possible.
Il me fallait trouver la somme de 15 000 FCFA par jour. Pourtant je n'avais même pas 5f dans ma poche. Comment faire pour la sauver?? Je me demandais à longueur de journée. J'arrivais même plus à dormir. Ni à manger. En plus je devais m'occuper de toi. Il n'avait même pas un jours où j'avais à dire Dieu merci. D'ailleurs je me demandais même s'il existait.
Laurent : Mon frère on doit trouver une solution au plus vite. Je crains le pire. Nous devons improviser et chercher une bonne solution.
Moi: improviser comment mon frère ?? J'ai cherché partout mais aucune solution. Pendant ce temps ma soeur meurt à petit feux. Chaque jour par son regard je sens qu'elle est désespéré et qu'elle a besoin d'aide.
Laurent: je suis vraiment désolé. J'aimerais faire davantage que ce que je fais. Mais tout comme toi je suis impuissant face à cette situation. Courage ça va aller un miracle va se produire.
Théo : Oui frère Laurent a raison. Tu verras ça va aller.
Après cette discussion avec mes amis, disons mes frères je suis allé au près de ma soeur pour prendre de ses nouvelles.
Moi : ma soeur comment tu vas ??
Maria: Voilà mon frère je voulais te parler. Oui je vais bien.
Après cette phrase elle s'est mise à tousser jusqu'à ce qu'elle reprenne un peu plus tard. Aussitôt elle commença à me parler.
Maria: tu sais mon frère. Tu n'es plus un enfant. Tu sais ce qui ce passe. Tu as fais de tout ton possible pour me redonner cette chose chère qui est la santé. Il est trop tard. Tu ne peux plus rien faire.
Moi : non ma soeur ne dis pas ça. Il y'a encore de l'espoir.
Maria: écoutes moi je n'ai pas encore finis. Voilà je disais. Je vais mourir je sais, et toi aussi tu le sais donc arrêtons de nous voiler la face. Je veux que tu promette une chose.
Moi: laquelle ?
Maria: promet moi que tu sera riche. Et que tu sera l'un des hommes les plus riche.
Moi: mais à quoi ça sert tout ça ??
Maria: promet moi seulement.
Moi: OK ma soeur je te promet. Mais je pense que tu n'as pas à me faire tes adieux. Car tu va vivre.
Maria: Je laisse Dimitri avec toi. Prends soins de lui. Car c'est ton fils. Je t'en supplie. Je sais que je le laisse entre de bonnes mains. Mais néanmoins pense à moi. Aussi à ma souffrance que j'ai endurée pendant 9 mois.
Moi: ohhhhhh arrêtes de dire tout ça.
Après cette étrange conversation je suis allé à la maison. Car j'avais fais au moins une semaine entre l'hôpital de le travail. Après m'être reposé un peu. Le lendemain je me suis occupé de toi et je suis retourné à l'hôpital. Arrivé sur les lieux c'est le Docteur qui m'avait accueilli dans son bureau ce que j'avais trouvé vraiment étrange.
Docteur : comment allez vous ??
Moi : oui ça va mais pourquoi ma soeur n'est pas dans sa chambre?
Lui : bah c'est que.................. Il y'a eut un problème pendant la nuit.
Là immédiatement j'avais compris. Je savais qu'elle était morte. Mais je ne voulais quand même pas l'accepter. Au plus profond de moi je le savait mais. C'était comme si j'étais devenu une sorte d'idiot qui fuyait la réalité. Je voulait l'entendre de sa bouche. Et d'un ton dur et sec je lui demander.
Moi: quoi ??? Dites moi.
Lui: elle est morte je suis..........
Il n'a même pas finit sa phrase et je me suis effondré. En moins de deux minutes je me suis rappelé du fabuleux sourire qu'elle avait. Aussi de tout ce qu'elle avait fait pour moi. Je me sentais désormais seul et vulnérable. Je n'arrivais même pas à pleurer. D'ailleurs je me suis juré de ne pas le faire.
Après cela. Des jours sont passé et les funérailles improvisés que nous avons fait étaient eux aussi terminé. Alors il fallait maintenant m'occuper de toi maintenant. C'était la seule chose qui me préoccupais. Pour ça aussi il me fallait faire beaucoup d'efforts. À mes yeux l'argent que gagnais n'était pas suffisant. Il me fallait trouver un meilleur job afin d'honorer ma promesse.
Avec mes amis pendant qu'on cherchait une solution. J'entendis de la bouche de Théo. «moi je sais ce qu'on va faire. Et qui pourra nous aider.»
U début ce n'était qu'une simple phrase à mes yeux. Une phrase sortant de la bouche de mon ami qui cherchait une solution. Mais hélas l'énigme qui se cachait derrière cette simple phrase semblait être plus gigantesque que ce qu'on pensait. Aussi c'est ainsi que tout a commencé............
Moi: oui mon frère parle moi. On a besoin d'idée actuellement.Laurent : oui Junior a raison. Parle voyons.Notre Théo restait tout de même silencieux. Il ne voulais pas ouvrir la bouche.Moi: mais parle voyons.Théo : voilà d'accord comme vous insistez je vais vous envoyer quelque part aujourd'hui. Au tombé de la nuit. On se donne rdv chez toi Junior.Laurent : OK mais dis nous au moins à quoi tu penses. C'est quoi ton idée ??
Une chose avait apparut devant nous. D'un geste brusque et comme par magie cette fameuse chose était sortie de la terre et cela m'avait mis hors de moi. Je voulais m'en fuir mais je me suis dis que c'était une mauvaise idée. Je serai certainement un homme mort si je le faisait. Mes dents se frappaient jusqu'à faire des bruits.Cette chose avait une apparence tellement étrange comme si son corps était gluant avec une sorte d'écailles partout sur tout le corps. Ses mains étaient tellement grandes que j'aurais juré qu'ils pouvaient atteindre deux mètres. Une chose me terrifiait encore plus sur cette parure de chaire qu'il avait c'était cette corne qu'il portait sur la tête. Ceci dit cette corne était pliée on aurait dit celle d'une veille chèvre. Aussi cela lui donnait un aspect encore plus effrayant. L&agra
J'allais pouvoir enfin déguster le goût de la richesse, de la gloire et de la célébrité. J'étais soulagé car j'usque là j'avais trop souffert et je me suis dis que c'était aussi trop injuste. Dieu m'avait trop négligé. Il m'avait jamais donné ce dont j'avais toujours prié. Ma vie était devenue un peu comme un film triste dans lequel il est difficile de sourire ou de s'épanouir. J'étais toujours plongé dans une inquiétude profonde. Celle de savoir comment je ferai pour manger le lendemain. Ou encore comment je ferai pour aider ma chère soeur qui avait tout fait pour moi.Alors si faire cet alliance avec le Diable pouvait m'aider à sortir la tête de l'eau ou encore à oublier un peu ce difficile passé qui n'était rien d'autre que le mien. Sans même me mettre en question je me suis dis que c'&eacu
Je n'en revenait pas de ce qui se trouvait devant moi. Elle était morte et son corps était devenu comme un morceau de bois inerte. Elle était devenue maigre comme si avant sa mort elle avait été vidée de son sang. J'étais anéanti car j'avais quand même tué une personne. Pour être sûr de ce que j'avais vue je me suis approché d'elle pour lui toucher le corps, et là une odeur s'est mis à jaillir dans la pièce au point où j'étais obligé de me retenir me retenir le nez. Pourtant une deuxième chose allait encore me surprendre dès que j'ai voulu m'éloigner j'ai vue une chose étrange lui sortir entre les cuisses c'était des asticots mélangé à je ne sais quoi là. C'était aussi des insectes et des des scorpions qui lui sortait du corps il me semble.
Chose dite chose faite, l'argent pleuvait sur moi et chaque mois lorsque je couchais avec une fille comme me l'avait indiqué lucifer je gagnais de l'argent. De ce fait ma fortune augmentait considérablement. J'étais vraiment heureux et déjà je commençais à m'habituer à ma nouvelle situation d'homme riche. Et en plus j'avais mis sur pieds ma société de vente de voiture. Elle devenait prospère de jour en jour. Laurent lui avait construit deux magnifiques hôtels, les plus célèbres d'Afrique devenus même après mondialement connus. Théo par contre n'avait rien entrepris il se contentait de prendre l'argent qu'il recevait et à le dépenser dans les boîtes de nuit et autre. Cela me semblait aussi très étrange car j'avais l'impression que son but n'était pas d'avoir de l'argent un peu comme s'il avait autre chose en tête mais biza
Après cette discussion étrange je suis rentré à la maison. Et tu étais assis dans le canapé à regarder la télévision, plus précisément l'une de tes séries de dessin animé.Moi: Salut Dimitri comment tu vas ??Dimitri: oui papa ça va. Tu m'avais trop manqué.Moi : oui fiston c'est vrai j'ai un peu duré aujourd'hui car j'avais quelques petits trucs à faire. Et l'école ça va?? Tu penses pouvoir passer en classe supérieure.Dimitri : Oui oui ça peut aller j'espère même être parmi les meilleurs. Je ferai toujours de mon mi
En moins d'une seconde j'avais réfléchi à mon passé mon présent. J'avais pensé au sourire de ma soeur le plus beau que j'ai eu de toute ma vie. Je pensais à la manière dont elle prenait soin de moi et aussi de sa manière de me mettre en confiance. Elle m'avais soutenue durant toute ma misérable vie. Elle s'était sacrifié pour moi mettant en jeu sa force physique et intellectuelle. En plus après tout ça elle m'a offert le second cadeau qui représentait tout pour moi en ce monde c'est à dire toi. Pourtant je me retrouve devant la situation la plus étrange de ce temps là. On me demande de sacrifier cette lumière qui illumine mon monde. Ou encore de prendre la vie de plusieurs innocent. Mon choix semblait être simple jamais de la vie j'aurai perdu la seule chose qui me restait d'important. Je ne voulais pas voir disparaître le sourire qui n'&ea
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr. 
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.