Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.
Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.
- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les roues
Moi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.
- Oui et tu perdras la vie, de la manière la plus atroce qui puisse exister.
Moi: oui je sais que vous allez me prendre la vie. Faites le maintenant, je suis prêt.
- non ça sera trop facile. Ton châtiment sera plus lourd. Je t'arracherai la vie petit à petit jusqu'à ce que tu souffres au maximum. Je sais que tu n'aura jamais le courage de te suicider car tu es trop humain pour le faire. En plus de cela tu tiens trop à ton neveu pour le laisser seul dans toute ces hostilités dont toi seul en es l'auteur. Tu vas me le payer. Au fait avant de faire tout ça tu as oublié que je suis plus rapide que toi. Personne ne rivalise avec moi.
D'un coup d'œil il s'est volatilisé. Aussitôt mon corps entier a commencé à avoir des frissons et des brûlures atroces comme si mes organes internes brûlaient, j'osais même pas aller à l'hôpital. Actuellement où je te parle même j'ai terriblement mal. Mais depuis deux jours maintenant j'ai peur de me déshabiller car sous mes vêtements ma chaire pourrie. Raison pour laquelle j'ai porté ce gros boubou.
Cependant si je t'ai appelé c'est parce que je compte me suicider tout juste après ton départ. J'en ais marre de souffrir, je te demande pas de me pardonner. Mais veille juste à ne jamais commettre les mêmes erreurs que moi. Tu sais mon fils la vie est pleine de piège. Et moi j'ai été naïf terriblement naïf, je regrette actuellement je te le jure. Ta fortune ainsi que tout ce que tu as gagné aujourd'hui dois être le don d'une force supérieur mais ça m'étonnerait si c'est l'oeuvre du diable. Tu as le coeur pur et la mémoire pleine de bons souvenirs ce qui c'est pas le cas pour moi. Je me suis trompé de chemin et je me suis laissé corrompu et j'ai corrompu mon âme et mon esprit. À Dieu mon fils à Dieu sois fort car le monde est hostile et bourré de piège. Ne me pleures pas je t'en supplie et ne porte pas mon cercueil. Je suis contaminé par le maléfique et jamais je veux que cela t'arrive aussi.
DIMITRI
MOI: tu sais mon oncle j'aurais vraiment voulu ne pas te voir dans cette position. À souffrir de martyr, comme si tu n'a jamais été le titre qu'on t'attribue aujourd'hui. Ta richesse, ta gloire et tout ce qui va avec ne te servent plus actuellement. J'aimerais aussi pouvoir t'aider mais je ne peux pas je souhaite juste que ton âme repose en paix.
-À Dieu mon oncle.
Les larmes aux yeux j'ai pris mes affaires et je suis sorti. Arrivé à la maison j'ai pleuré de toute mes forces. Dans toute cette histoire il m'avait aimé plus que tout. C'était à cause moi qu'il avait fais tout ça. J'aurai pourtant aimé rester avec lui pendant ces derniers moments mais si je le faisais jamais j'allais pouvoir le supporter. Alors comme un lâche je me suis réfugié dans ma chambre à me vider de toute les larmes de mon corps. Je me sentais coupable et j'étais triste.
Je suis resté dans cette histoire toute la nuit à pleurer de toute mes forces. À 3h30 exactement mon téléphone sonna et c'était la gouvernante de la maison de mon oncle.
-Allô bonjour monsieur. J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer
Moi: dis moi
-Monsieur Junior vient de mourir. J'ai quand même appelé les urgences.
Moi: OK
Je n'arrivais pas à pleurer ni à être triste, car je connaissais entièrement la cause de sa mort.
Deux jours après c'était le jour de l'enterrement et tout les hauts cadres d'Afrique et même du monde étaient présent. Les chaînes télévisées parlaient de crise cardiaque et tout. Pendant l'enterrement j'ai coulé seulement deux larmes une pour l'amour qu'il me portais, et l'autre pour l'amour que me portais Mariam.
UNE SEMAINE APRÈS
L'enterrement de mon cher oncle était plus que mémorable, même le président de la république était présent. Mon oncle était aussi considéré comme l'homme le plus riche d'Afrique.
À vrai dire à quoi servait réellement tout ça si c'était de finir de cette manière. Sans rien apporter dans la tombe, l'argent ainsi que toutes ces choses matérielles ne sont rien d'autre qu'une illusion. Qui en réalité vient nous fermer les yeux afin de nous empêcher de voir notre propre nature, mais aussi la vraie nature du monde. Dans tout ce récit lui et ses compagnons maléfiques aucun n'était sorti indemne. Chacun était sorti avec sa part de souffrance, même de là où ils sont je sais aussi qu'ils souffrent du mieux qu'ils peuvent.
Toutefois tout être humain doit veiller à ne jamais se berner par toute ces choses que le Diable utilise pour faire des hommes ce qu'il veut. Malgré tout cela il y'a une seule phrase que je prononcerai sans jamais avoir peur ou avoir honte c'est «Je t'aime mon oncle ». Oui je l'aimerai toujours.
J'avais fais mon deuil et il avait mérité tout ce qui lui était arrivé dans ce cas je ne pouvais pas pleurer toute ma vie. J'étais dans mon deuxième Salon quand subitement la sonnerie retentît. Alors je me lève et je marche jusqu'à la porte dès que j'ai ouvert la, grande fut ma surprise lorsque j'ai vue la personne qui était derrière la porte. J'étais tellement surpris que j'ai crié de toute mes forces. «Quoi? Tu es vivante ? ». C'était Mariam je me suis demandé comment cela était possible.
Moi: Mariam c'est toi?
FIN
C'ÉTAIT VRAIMENT UN PLAISIR POUR MOI DE PARTAGER CETTE HISTOIRE ÉTRANGE AVEC VOUS. J'AI VOULU PASSER UN MESSAGE TRÈS IMPORTANT ET J'ESPÈRE QUE VOUS L'AVEZ COMPRIS. JE VOUS AIMES ET PASSEZ UNE BONNE ET AGRÉABLE NUIT. AU FAIT MARIAM N'EST PAS MORTE HEIN. VOUS SAURAI LA CAUSE.
By:G.A.M
Un jour disons un soir. J'étais dans ma petite villa au bord de la mer quand mon téléphone sonna. Alors sans hésiter je décroche et c'était mon oncle Junior à l'appareil. C'était lui qui m'avait prit sous ses ailles. En un mot mon Tuteur et mon «tout». Moi : Allô. Mon oncle. Comment tu vas ?? Je voulais passer chez toi aujourd'hui. ______ pas grave mon fils. Je te comprends tu as beaucoup de responsabilités avec ta nouvelle société. En plus avant hier tu étais chez moi. Tu fais déjà beaucoup. Moi: ok mon oncle. Merci de me comprendre. Alors quoi de neuf?? ________rien mon fils. Aujourd'hui passes à la maison stp j'ai quelque chose d'important à te dire
__Assied toi mon fils. ___ok Tonton dis moi pourquoi tu voulais me voir. ____tu sais mon fils je sais que je vais mourir dans quelques jours donc écoute bien ce que je vais te dire. Peut-être que tu vas me détester ou me haïr. Mais il faut que je te le dise pour que tu évites la même bêtise que moi. ____Ok mon oncle je t'écoute. ____ ok mon fils cela remonte il y'a quelques années flashback J'avais au moins 15 ans et j'étais pauvre je n'avais même pas un centime. J'avais perdu mes parents cela faisait 3 ans et seule ma grande sœur c'est à dire ta mère me restait. Elle était tout pour moi et travaillait à la sueur de son front pour s'occuper de moi. Elle m'avait scolarisé avec le peu de moyen quelle avait. Je l'aimait à mourir et j'étais m
Alors de duo nous sommes devenu un trio. À trois on travaillait dur. Matin, midi et soir. À vraie dire le plus courageux était cet infatigable de Laurent. Ce jeune homme était doté d'un courage hors norme. Il était aussi doté d'un charisme qui dépassait celui de tout être humain de son âge et même nombreux de ceux qui étaient âgés que lui. Après lui c'était Théo, lui aussi était en deuxième position. Il était celui qui motivait et aussi le grand rusé. Il avait toujours des astuces de survie. Avec lui c'était toujours et à jamais la débrouille pour s'en sortir dans ce monde hostile qui était le nôtre. Comme je l'ai dis on travaillait régulièrement. Et un jour pendant notre pause j'entrepris avec mes compagnons une discussion très important. Qui perçait à moitié ce grand mystère qui se cachait derrière Théo. Moi: Oh enfin quelques instants de repos. Je suis tellement épuisé. Laurent : oui Junior tu as raison ça
Moi: oui mon frère parle moi. On a besoin d'idée actuellement.Laurent : oui Junior a raison. Parle voyons.Notre Théo restait tout de même silencieux. Il ne voulais pas ouvrir la bouche.Moi: mais parle voyons.Théo : voilà d'accord comme vous insistez je vais vous envoyer quelque part aujourd'hui. Au tombé de la nuit. On se donne rdv chez toi Junior.Laurent : OK mais dis nous au moins à quoi tu penses. C'est quoi ton idée ??
Une chose avait apparut devant nous. D'un geste brusque et comme par magie cette fameuse chose était sortie de la terre et cela m'avait mis hors de moi. Je voulais m'en fuir mais je me suis dis que c'était une mauvaise idée. Je serai certainement un homme mort si je le faisait. Mes dents se frappaient jusqu'à faire des bruits.Cette chose avait une apparence tellement étrange comme si son corps était gluant avec une sorte d'écailles partout sur tout le corps. Ses mains étaient tellement grandes que j'aurais juré qu'ils pouvaient atteindre deux mètres. Une chose me terrifiait encore plus sur cette parure de chaire qu'il avait c'était cette corne qu'il portait sur la tête. Ceci dit cette corne était pliée on aurait dit celle d'une veille chèvre. Aussi cela lui donnait un aspect encore plus effrayant. L&agra
J'allais pouvoir enfin déguster le goût de la richesse, de la gloire et de la célébrité. J'étais soulagé car j'usque là j'avais trop souffert et je me suis dis que c'était aussi trop injuste. Dieu m'avait trop négligé. Il m'avait jamais donné ce dont j'avais toujours prié. Ma vie était devenue un peu comme un film triste dans lequel il est difficile de sourire ou de s'épanouir. J'étais toujours plongé dans une inquiétude profonde. Celle de savoir comment je ferai pour manger le lendemain. Ou encore comment je ferai pour aider ma chère soeur qui avait tout fait pour moi.Alors si faire cet alliance avec le Diable pouvait m'aider à sortir la tête de l'eau ou encore à oublier un peu ce difficile passé qui n'était rien d'autre que le mien. Sans même me mettre en question je me suis dis que c'&eacu
Je n'en revenait pas de ce qui se trouvait devant moi. Elle était morte et son corps était devenu comme un morceau de bois inerte. Elle était devenue maigre comme si avant sa mort elle avait été vidée de son sang. J'étais anéanti car j'avais quand même tué une personne. Pour être sûr de ce que j'avais vue je me suis approché d'elle pour lui toucher le corps, et là une odeur s'est mis à jaillir dans la pièce au point où j'étais obligé de me retenir me retenir le nez. Pourtant une deuxième chose allait encore me surprendre dès que j'ai voulu m'éloigner j'ai vue une chose étrange lui sortir entre les cuisses c'était des asticots mélangé à je ne sais quoi là. C'était aussi des insectes et des des scorpions qui lui sortait du corps il me semble.
Chose dite chose faite, l'argent pleuvait sur moi et chaque mois lorsque je couchais avec une fille comme me l'avait indiqué lucifer je gagnais de l'argent. De ce fait ma fortune augmentait considérablement. J'étais vraiment heureux et déjà je commençais à m'habituer à ma nouvelle situation d'homme riche. Et en plus j'avais mis sur pieds ma société de vente de voiture. Elle devenait prospère de jour en jour. Laurent lui avait construit deux magnifiques hôtels, les plus célèbres d'Afrique devenus même après mondialement connus. Théo par contre n'avait rien entrepris il se contentait de prendre l'argent qu'il recevait et à le dépenser dans les boîtes de nuit et autre. Cela me semblait aussi très étrange car j'avais l'impression que son but n'était pas d'avoir de l'argent un peu comme s'il avait autre chose en tête mais biza
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.