Chose dite chose faite, l'argent pleuvait sur moi et chaque mois lorsque je couchais avec une fille comme me l'avait indiqué lucifer je gagnais de l'argent. De ce fait ma fortune augmentait considérablement. J'étais vraiment heureux et déjà je commençais à m'habituer à ma nouvelle situation d'homme riche. Et en plus j'avais mis sur pieds ma société de vente de voiture. Elle devenait prospère de jour en jour. Laurent lui avait construit deux magnifiques hôtels, les plus célèbres d'Afrique devenus même après mondialement connus. Théo par contre n'avait rien entrepris il se contentait de prendre l'argent qu'il recevait et à le dépenser dans les boîtes de nuit et autre. Cela me semblait aussi très étrange car j'avais l'impression que son but n'était pas d'avoir de l'argent un peu comme s'il avait autre chose en tête mais bizarrement j'arrivais pas à savoir ce qui s'était. Comme je l'avait promis à ma soeur je prenais soin de toi comme il se devait. Malgré l'absence de ta mère j'arrivais à te combler de tout ce que tu voulais. D'ailleurs ton enfance était bourrée de luxe et du confond dont tu avais besoin pour mieux t'epanouir. Alors c'était une partie de ce rêve dont je transportais depuis la mort de ta mère qui venait de se réaliser. J'étais fier de pouvoir de donner du sourire et aussi de transformer tes douleurs en peine. Aussi de combler le vide qui avait été causé par la mort de te mère. Cela allait il durer?? Je ne le savait pas mais je me contentais seulement de profiter.
Dans le pays tout le monde commençait à parler de mon et la célébrité avait frappé à ma porte. Une célébrité qui dépassait même celle de mes amis et compagnons. Pourtant j'arrivais à m'habituer à ma nouvelle, à la nouvelle manière dont les gens me regardais. Et malgré tout ça j'avais un concourant. D'ailleurs mon plus grand rivale qui répondait au nom de Steve ly. Un célèbre homme d'affaire Anglais qui comme moi était propriétaire d'une entreprise de vente de voiture. Même si sa société était plus vielle que la mienne il faut noter que j'avais réussi à le concurrencer. Cela se voyait qu'il ne l'avait pas du tout aimé. Je savais aussi qu'il ferait tout pour me mettre des bâtons dans les roues....... Contre toute attente il s'est pointé à mon entreprise et a demandé à me voir. D'abord il s'est adressé à Mariam ma Secrétaire. Je sais que tu l'a connu.
DIMITRI
Attends mon oncle c'est de Tantie Mariam tu parles? Celle qui.............
JUNIOR
Oui fiston laisse moi terminer stp.
Mariam (Au téléphone) : bonjour monsieur, vous avez une visite.
Moi: OK c'est qui ??
Mariam : Monsieur Steve ly
Moi: Quoi ??? Le même Steve ly que je connais ???
Mariam : oui monsieur le propriétaire de Steve Compagnie.
Moi : étrange. OK laisses le entrer
Je me demandais seulement ce qui était venue me voir car lui et moi on avait jamais discuté auparavant. On s'était même jamais adressé la parole. La seule fois que je l'avait vue c'était dans un prestigieux dîner gala, et là encore on s'était pas parlé.
Moi: Bonjour Steve ly. Je rêve ou c'est bien vous??
Steve : Oh bien-sûr que c'est moi. Cela ne devrais pas vous étonner.
Moi : peut-être que oui. On vous sert quelque chose à boire ??
Steve: non merci bien c'est pas la peine.
Moi: OK génial. Que me vaut l'objet de cette visite ??
Steve : Je suis là pour parler "Affaire"
Moi: affaire?? Ok je vous écoute.
Steve : OK j'explique. Vous savez que vous et moi sommes dans un même domaine. Avec une même popularité. Du moins presque parce que malgré vos exploits je reste en avance que vous.
Moi: oui peut-être mais je pense que cela ne sera plus pour longtemps. Et je pense même que c'est pour ça que vous êtes là. Alors vous voulez demander une faveur ou signer un quelconque contrat. Vous savez aussi que votre entreprise est bien veille que la mienne mais qu'en quelques mois je me suis rapproché de vous. Faisant presque les mêmes chiffres d'affaires aussi un capitale semblable. Alors dites moi que voulez vous au juste. Mais notez aussi que même si je suis jeûne, je suis pas pour autant naïf.
Immédiatement il s'est mit à applaudir au point où les claquements de ses mains retentissent partout dans la salle. Avant de reprendre la parole.
Steve : je l'avoue vous êtes doué pour les affaires. Vous êtes devenue même un Dieu de la finance, à votre âge j'étais aussi doué. Mais sachez une chose finance l'expérience est très nécessaire. Si je suis là c'est pour vous faire une proposition digne de ce nom. Qui nous arrangera tout les deux. Moi mon point fort c'est l'achat des voitures, j'ai la capacité d'acheter une voiture à la moitié de son prix initial et cela grâce à mes nombreuses relations, aussi à mon expérience. Mais je sais que cela est un défaut chez vous, vous ne pouvez pas acheter une voiture à un tel prix. Pourtant vous savez les vendre grâce à votre disponibilité sur les réseaux maritimes, aériens et terrestres. Vous avez tout les douaniers et transiteurs à votre service du moins les plus excellent de leur domaine. Notre contrat il est tout simple. Vous savez vendre et moi je sais acheter alors nous devons faire un. Nous associer pour faire qu'un. Qu'est ce que vous en dites?? Si vous voulez je vous laisse le temps de réfléchir.
Moi: je vois de quoi vous voulez parler. Dans ce domaine je suis nouveau c'est vrai. Mais sachez une chose, je n'ai pas besoin de réfléchir pour donner ma réponse. Si vous êtes ici je sais que vous manquez de quelque chose. Et cela n'a rien à voir avec tout ce que vous avez cité. C'est bien beau le discours que vous avez fais mais moi je pense qu'il est sans fondement. Au début vous étiez bien sans qu'on soit associé. Vous gagnez même plus que moi en ce moment, votre société est en pleine évolution et cela plus que la mienne. Vous avez placez vos pignons en jouant délicatement vos cartes. Derrière ce fameux contrat se cache une vérité, du moins un piège que j'ai déjà déchiffré. Ce contrat ne m'arrange aucunement au contraire je perds plus que je ne gagne.
Steve : qu'es-ce que vous racontez je n'ai nullement l'intention de vous tendre un quelconque piège ou de nuire à vos affaires. Je suis en aucun cas un profiteur. Je veux seulement qu'on soit associé. Et qu'on fasse qu'un. Je suis convaincu aussi qu'ensemble nous pourrons faire de grande choses. Mais dire que je veux profiter de ce contrat pour vous faire du mal je pense que c'est un peu exagéré de votre part. D'ailleurs de quoi avez vous peur au point de me traiter comme l'imposteur que je ne suis pas.
Moi : vous n'êtes pas un imposteur et jamais je l'ai mentionné dans mes propos. Vous êtes un homme d'affaire et cela me suffit pour que je me méfie. Un homme d'affaire c'est cette personne qui par son ingratitude ne pense qu'a sa propre personne, il n'agit uniquement là où ses intérêts sont garantis. Un homme d'affaire transforme le doute de ses adversaires en certitude pour mieux les exploiter et profiter d'eux au maximum. Aussi il est celui dont les chiffres et les montants ne sont les seules choses qui ont de la valeur à ses yeux. Lorsqu'il dépense c'est pour bénéficier. En un mot vous êtes un homme d'affaire.
Steve : C'est peut-être vrai mais......
Je lui ait même pas donné l'occasion de terminer sa phrase et je l'ai interrompu.
Moi : alors comme vous le dîtes. Considérons que ce que vous dîtes est vrai. Serai vous prêt à montrer vos relevés bancaires?? Ainsi que vos redevances en Taxes et impôts ??
Steve :..............................
Moi: je m'en doutais, vous êtes vraiment malin. Votre plan était de faire de moi un associé. De ce fait nous aurons tout les deux 50% d'actions chacun. Ensuite cela dit l'entreprise sera à nous d'eux. Et cela fait de nous les bénéficiaires des bénéfiques qui seront partagé aussi en 50%. Là n'est pas le problème. Plutôt les dépenses en ce qu'elles aussi seront partagé aussi en 50%. Parmi ces dépenses il existe un point très important qui est L'impôt. Sachant que votre facture est très élevée et qu'elle risque d'engloutir vos revenus ainsi que votre entreprise vous avez trouvez le meilleur moyen qui est de me faire payer les impôts à votre place. Et là vous vous retirez en vendant vos parts de l'entreprise pour en créer une autre avec les poche pleines d'argent. C'est quand même ingénieux votre plan mais hélas il ne pourra pas être mis en place.
Steve : Vous vous croyez pour qui?? Un surdoué peut-être ?? Vous avez joué bidé. Vous pensez me dire tout ça juste parce que je suis dans votre bureau ?? Là vous avez encore tord. De toute ma vie je n'ai jamais demandé quelque chose à quelqu'un à plus forte raison fléchir le genoux devant qui que ce soit. Tout ce que j'ai aujourd'hui je l'ai obtenu à la sueur de mon frère après des dures périodes de maltraitances de ma propriété physique et intellectuelle. J'ai bossé très fort et très dur pour être au sommet. Alors si vous pensez pouvoir m'humilier ou me faire descendre de mon trône vous avez menti. Je le répète vous avez menti( haussant la voix)
Moi: mais monsieur de quoi vous parlez. Quel est le rapport avec ce que j'ai dis??? À vrai dire j'arrive pas à vous suivre vous me voulez quoi au juste ??? Allez dîtes moi. Vous me voulez quoi??
Steve (se levant du siège) : vous saurai très bientôt. À la prochaine monsieur.
Moi:................
Cela n'était rien d'autre qu'un cris de détresse. Il savait que j'avais déjoué ces plans et j'étais au courant de ses magouilles. Donc il n'a dit que ces futilités pour avoir quelque chose à dire comme pour affirmer sa suprématie. Mais au fond il saignait et n'avait formulé quelques phrases de jalousie que je trouvais insensé. Pourtant si j'avais compris de quoi il parlais réellement j'allais en aucun moment trouvé ses phrases dénotées de sens.
Après cette discussion étrange je suis rentré à la maison. Et tu étais assis dans le canapé à regarder la télévision, plus précisément l'une de tes séries de dessin animé.Moi: Salut Dimitri comment tu vas ??Dimitri: oui papa ça va. Tu m'avais trop manqué.Moi : oui fiston c'est vrai j'ai un peu duré aujourd'hui car j'avais quelques petits trucs à faire. Et l'école ça va?? Tu penses pouvoir passer en classe supérieure.Dimitri : Oui oui ça peut aller j'espère même être parmi les meilleurs. Je ferai toujours de mon mi
En moins d'une seconde j'avais réfléchi à mon passé mon présent. J'avais pensé au sourire de ma soeur le plus beau que j'ai eu de toute ma vie. Je pensais à la manière dont elle prenait soin de moi et aussi de sa manière de me mettre en confiance. Elle m'avais soutenue durant toute ma misérable vie. Elle s'était sacrifié pour moi mettant en jeu sa force physique et intellectuelle. En plus après tout ça elle m'a offert le second cadeau qui représentait tout pour moi en ce monde c'est à dire toi. Pourtant je me retrouve devant la situation la plus étrange de ce temps là. On me demande de sacrifier cette lumière qui illumine mon monde. Ou encore de prendre la vie de plusieurs innocent. Mon choix semblait être simple jamais de la vie j'aurai perdu la seule chose qui me restait d'important. Je ne voulais pas voir disparaître le sourire qui n'&ea
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr. 
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.