- Pauvre mortel
Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore.
- comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ?
Moi: Qui? De qui parlez vous?
- Celle avec qui tu as couché cette nuit.
Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander.
- oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer.
Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ?
- c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ?
Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
- OK c'est justement pour ça que je suis là. Et aussi t'annoncer ta mort?
Moi: Quoi? C'est quoi ce délire ? Qu'elle mort?
- Du calme c'est pas maintenant. Mais lorsque ça arrivera je te dirai.
Moi: mais qu'elle mort. Je vous en supplie.
- Tu n'as pas fini tout ton rituel d'intégration. Ce rituel consiste à faire mourir ton âme et le faire renaître. C'est très simple, tu dors pendant deux jours dans un cercueil. Et après cela tu perdras la vie pendant un jour pour te réveiller le lendemain. C'est une sorte de renaissance, cela te rendras plus résistant à tout ce qui viendras vers toi comme richesse et célébrité. Tu seras maintenant l'un des nôtres.
Moi : OK j'ai compris.
- Attention il faut retenir que cette épreuve demeure toutefois difficile et complexe. Une simple petite erreur suffit pour que tu perde à tout jamais la vie. Au moment venu tu sauras de que je parles.
Moi : D'accord je comprends mieux maintenant. J'espère y arriver.
- oui on verra si tu mérites d'être mon alliés.
Au même moment il disparût dans des nuages étranges. Je sentais mes lèvres se faire caresser par une douceur qui me paraissait pas étrangère. Alors je me suis laissé aller juste quelques secondes avant d'ouvrir les yeux. Et c'était Mariam, elle voulait me réveiller sûrement de la plus Belle manière qui puisse exister. Dès qu'elle m'a vue réveiller elle posa sa main sur mon front puis me dis.
Mariam: Tu as bien dormi? Mon prince ?( posant sa tête sur ma poitrine )
Moi: oui ma princesse à tes côté le monde est beau et tout semble parfait.
Mariam: Je t'aime mon amour.
Moi: je t'aime aussi. Je dois passer à la maison tu m'accompagnes?
Mariam : oui oui on prends un bain ensemble et s'en va.
Moi : OK.
C'est ainsi qu'ensemble nous sommes rentrés dans la douche pour prendre un bain. Son corps se frottait au miens et me glissais tendrement sur ma peau. J'étais étonné par l'architecture de sa forme. Ses fesses bondissant jusqu'à ses extrémités, ses seins bien pointues tel ceux d'une star ayant subis la chirurgie. Son ventre par contre était plat laissant entrevoir seulement le trou de son beau nombril qui me faisais bander à la folie.
Elle glissait sa tendre main remplie d'amour sur ma peau en me le frottant avec le savon. Tout cela pouvait me tuer de d'envie de la prendre encore une fois, que ce soit de l'avant ou encore de l'arrière. Parlons pas de l'eau qui lui glissait partout y compris ses cheveux en fil fin et bien entretenu. Je ne pouvais pas résister alors je posai ma mains sur sa peau glissant vers seins, sur son ventre, mais lorsque je voulais aller loin elle me stoppa.
Mariam : Arrêtes. On va pas le faire tout le temps. On doit aller chez toi tu as oublié?
Moi: oui mais tu me rends dingue. Ton corps, tes seins, tes fesses. Tout ton physique veut me tuer. J'ai envie de toi jusqu'à l'infini.
Mariam : Seul mon physique t'importe c'est ça ?
Moi: qu'est-ce-que tu racontes. Si c'était seulement pour ça je serai pas là. Je serai chez des putes ou encore ces filles qui ne sont attirées que par l'argent.
Mariam : Mais c'est juste que ta manière de me désirer me surprend.
Moi : c'est juste parce que je t'aime c'est tout.
J'ai donc stoppé et je me suis rangé. On n'a pris un bain puis nous sommes rentrés chez moi. C'était l'occasion de lui faire visiter l'intérieur et en profitant que tout les deux puissiez vous connaître. En ce moment je sais que tu étais petit mais j'imagine que tu te rappel de ce jour.
Dimitri
J'avais vraiment la haine contre mon oncle. J'avais même pas pensé ne serait-ce une seconde qu'il serait capable de faire des choses aussi atroces rien que pour être riche. Malgré ma colère et ma haine je devais l'écouter et je voulais le faire pour savoir la raison pour laquelle il m'avait appelé. Et aussi connaître la fin de ce récit à deux effarant qu'il m'expliquait.
Au fait concernant ma rencontre avec Tanti Mariam je me rappel comme si c'était hier. Je me rappel le premier jour qu'elle a foulé ses pieds au seuil de notre maison. Je ne savais pas sa raison de sa venue ni même la relation qu'elle entretenait avec mon oncle. Mais une chose était sûre c'est que dès le premier j'avais été seduis par sa gentillesse , son sens de l'humour et sa beauté.
Moi: oui mon oncle je m'en souviens. J'étais petit mais je m'en souviens.
Mon oncle : OK génial. Ce jour lorsqu'elle est venue je lui ais fais visiter la maison et je vous ais présenté.
Moi: oui mon oncle, j'étais vraiment ébahi par son sens de l'humour et sa beauté. Elle était très gentille avec moi.
Junior
Comme tu peux le savoir elle était venu à la maison et c'était votre première rencontre. Aussi vous avez sympathisé. Après tout ça je l'ai accompagné chez elle. Et je suis retourné à la maison.
Moi: Dis moi Dimitri tu penses quoi de cette dame ?
- Elle est très sympa. Viendra telle habiter avec nous ?
Moi: lol pourquoi tu dis une telle chose ?
- c'est ta femme non ? Je vois comment elle te regardais.
Moi: non nous ne sommes pas encore marié. Peut-être qu'un jour elle viendra habiter avec nous.
- Je ne serai vraiment pas contre. Elle est très gentille je la voit chaque fois que je vais à ton bureau.
Moi: elle est ma secrétaire.
Nous avons parlé d'elle pendant un long moment. Et après je suis rentré dans ma chambre. À peine rentré j'ai reçu un appel venant d'une ligne masquée.
- Allô monsieur votre travail est prêt. Je vous envois un SMS vous indiquant le lieux du rituel.
Moi: oui j'arrive.
C'était le monsieur qui devait m'aider à faire ces fameux rituels étranges. Dans ma tête c'était un peu comme si cela était nécessaire. J'étais quand même un peu fier de moi car grâce à ce rituel j'allais pouvoir t'epargner de la mort. C'était pour une bonne cause.
Dès qu'il a décroché il a envoyé le lieux de destination. J'ai pris ma voiture et je suis allé. C'était encore en pleine forêt. Mais cette fois-ci c'était à 4 heure d'Abidjan. À mon arrivé autour de moi je ne voyais que des herbes. Je suis descendus de ma voiture et je me suis arrêté. Je ne voyais rien ni personne. Mais très rapidement une scène faillit me faire fuir. Un garçon sorti de la brousse tel un lion et se dirigea vers moi.
- Le code
Me dit-il.
Moi: quel code.
Aussitôt il sorti une arme. J'étais étonné de voir un enfant tenir cet arme et l'a même dirigé sur moi.
- le code secret je dis.
Là je me suis rendu compte que le message que le monsieur en question m'avait envoyé contenait un code. Je sorti alors mon téléphone.
Moi: 45678
- Ok suis moi.
Je me mis alors à le suivre dans cette forêt étrange. Je ne faisais que marcher. Mais au bout d'un instant nous sommes arrivé devant une maison en bois. Il me demanda d'entrer et à l'intérieur le monsieur de la dernière dois était déjà assis à l'intérieur sur un siège étrange.
- voilà allons directement. Ils sont derrière la cabane.
Moi: Ils?
- oui ceux qui doivent t'aider dans ton rituel.
Moi: OK allons-y.
Nous avons marché un peu et derrière sa cabane il avait un endroit étrange remplit de sable comme s'il avait été utilisé pour recouvrir quelque chose. Aussi j'ai vue 7 personnes attachées avec un truck à la tête. D'autres ce sont mis à crier de toute leur force. Et à chaque fois le monsieur se chargeait de les donner des coups en leur menaçant de les tuer s'ils n'arrêtent pas.
-Tiens prends ce couteau et allons derrière là bas.
Nous sommes donc allé dans un coin un peu plus loin. Arrivé là bas il me dis encore.
- Je vais les envoyer un à un.
C'est ainsi qu'il envoya ma première victime. C'était un jeune qui devrait avoir au moins 17 ans. Il était terrorisé lorsqu'il vit le couteau dans. Il s'est mit à me supplier et tout cela en pleurant. Moi j'avais le coeur en eau j'avais envie de pleurer tellement c'était émouvant. J'avais vraiment pitié pour lui. Je n'avais pourtant pas le choix. D'un coup je commis l'irréparable pour recueillir son sang que j'ai mis dans une calebasse.
C'était comme ça avec les autres. Je me sentais vraiment plus humain, je me suis demandé à ce moment là si la richesse était vraiment ce que les gens disaient. Et aussi ce qu'ils pensaient. J'avais abandonné mon humanisme juste pour des billets de banque. Mais c'est déjà fais je ne pouvais pas reculer il fallait donc profiter pour ce dont j'avais abandonné ma condition d'humain.
J'ai donc fais une petite invocation pour remettre la calebasse à Lucifer. Je suis parti à la maison la conscience lourde et la peine jusqu'au ventre.
-Bienvenue mon oncle
Moi : Merci Dimitri comment tu vas?
- je vais bien.
Dès que mes yeux se sont posées sur toi j'ai fondue automatiquement en larme en te serrant dans mes bras.
- pourquoi tu pleures?
Moi: non rien mon fils. Va prendre ton bain
- ok
Je suis allé dans ma chambre et j'ai pris un bain. Avant de me coucher dans mon lit. 30 minutes plus tard mon téléphone sonna.
- Allô c'est Théo.
Moi: Oui Théo comment tu vas ?
- Ça va pas hein. Laurent est mort cela fait une heure.
Moi: Quoi??😱
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
Un jour disons un soir. J'étais dans ma petite villa au bord de la mer quand mon téléphone sonna. Alors sans hésiter je décroche et c'était mon oncle Junior à l'appareil. C'était lui qui m'avait prit sous ses ailles. En un mot mon Tuteur et mon «tout». Moi : Allô. Mon oncle. Comment tu vas ?? Je voulais passer chez toi aujourd'hui. ______ pas grave mon fils. Je te comprends tu as beaucoup de responsabilités avec ta nouvelle société. En plus avant hier tu étais chez moi. Tu fais déjà beaucoup. Moi: ok mon oncle. Merci de me comprendre. Alors quoi de neuf?? ________rien mon fils. Aujourd'hui passes à la maison stp j'ai quelque chose d'important à te dire
__Assied toi mon fils. ___ok Tonton dis moi pourquoi tu voulais me voir. ____tu sais mon fils je sais que je vais mourir dans quelques jours donc écoute bien ce que je vais te dire. Peut-être que tu vas me détester ou me haïr. Mais il faut que je te le dise pour que tu évites la même bêtise que moi. ____Ok mon oncle je t'écoute. ____ ok mon fils cela remonte il y'a quelques années flashback J'avais au moins 15 ans et j'étais pauvre je n'avais même pas un centime. J'avais perdu mes parents cela faisait 3 ans et seule ma grande sœur c'est à dire ta mère me restait. Elle était tout pour moi et travaillait à la sueur de son front pour s'occuper de moi. Elle m'avait scolarisé avec le peu de moyen quelle avait. Je l'aimait à mourir et j'étais m
Alors de duo nous sommes devenu un trio. À trois on travaillait dur. Matin, midi et soir. À vraie dire le plus courageux était cet infatigable de Laurent. Ce jeune homme était doté d'un courage hors norme. Il était aussi doté d'un charisme qui dépassait celui de tout être humain de son âge et même nombreux de ceux qui étaient âgés que lui. Après lui c'était Théo, lui aussi était en deuxième position. Il était celui qui motivait et aussi le grand rusé. Il avait toujours des astuces de survie. Avec lui c'était toujours et à jamais la débrouille pour s'en sortir dans ce monde hostile qui était le nôtre. Comme je l'ai dis on travaillait régulièrement. Et un jour pendant notre pause j'entrepris avec mes compagnons une discussion très important. Qui perçait à moitié ce grand mystère qui se cachait derrière Théo. Moi: Oh enfin quelques instants de repos. Je suis tellement épuisé. Laurent : oui Junior tu as raison ça
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.