__Assied toi mon fils.
___ok Tonton dis moi pourquoi tu voulais me voir.
____tu sais mon fils je sais que je vais mourir dans quelques jours donc écoute bien ce que je vais te dire. Peut-être que tu vas me détester ou me haïr. Mais il faut que je te le dise pour que tu évites la même bêtise que moi.
____Ok mon oncle je t'écoute.
____ ok mon fils cela remonte il y'a quelques années
flashback
J'avais au moins 15 ans et j'étais pauvre je n'avais même pas un centime. J'avais perdu mes parents cela faisait 3 ans et seule ma grande sœur c'est à dire ta mère me restait. Elle était tout pour moi et travaillait à la sueur de son front pour s'occuper de moi. Elle m'avait scolarisé avec le peu de moyen quelle avait. Je l'aimait à mourir et j'étais même fier d'être son petit frère adoré. Comme tu le sais elle se nommait Maria. Peut-être que l'a pas connue mais comme son nom l'indique elle était une vraie sainte comme Marie. La gentillesse et l'altruisme étaient de sa nature.
Maria: Junior dis moi combien coûte le livre que tu m'avais demandé d'acheter ??
Moi: 3.000 f grande sœur Maria
Maria: c'est vrai que c'est trop tard mais j'ai fais de mon mieux pour te le trouver.
Moi: Merci beaucoup grande sœur. Je ne sais vraiment pas comment te remercier. Tu es tout pour moi.
Maria: tu sais mon frère. Nous sommes orphelins et moi entant que ta soeur aîné je ferai tout ce qui est dans mon pouvoir pour que tu sois satisfait. C'est ma seule préoccupation dans ce monde. Ma vie, mon être, et tout dépend de toi. Je prendrai soins de toi jusqu'à mon dernier souffle.
Moi : merci ma grande soeur chérie.
C'était comme ça tout les jours et elle faisait de tout son possible pour m'aider. Mais lorsque j'eus mes 20 ans c'était comme si une vague de prise de conscience avait effleuré mon esprit. Car ma sœur avait accouché de toi. Et le responsable de sa grossesse c'est à dire ton père n'a pas reconnu. Elle était donc obligé de prendre soin de toi toute seule. De ce fait les charges augmentaient et les choses devenaient de plus en plus difficiles. Et j'avais à peine eu le Bac. Donc faute de moyen je ne pouvais pas continuer les études. Mais j'étais décidé à faire quelque chose de rentable pour pouvoir à moi aussi aider ma soeur.
Moi: tu sais ma soeur. C'est à moi de te venir en aide maintenant. Voilà que tu as accouché donc tu ne peux plus travailler c'est à moi maintenant de le faire.
Maria: je refuse Junior, ta place se trouve à l'école. Et non à travailler. Après tes études tu le feras mais tu dois finir l'école. C'est vrai que je ne
peux pas te payer tes études pour le moment mais sache que le moment venu je le ferai.
Moi: j'insiste ma soeur je ne peux pas resté là comme ça à rien faire je dois travailler. T'inquiète je continuerai l'école plus tard mais actuellement cherchons d'abord de quoi nous nourrir.
Maria: ok mon frère. Mais n'abandonne jamais l'école. Tu dois être quelqu'un demain. Promet moi que tu seras un homme fortuné.
Moi: ok ma sister je te le promet. Je serai même milliardaire. Et je vais me battre rien que pour ça.
C'est ainsi que je me suis mis à travailler entant que aide maçon. J'aidais dans les chantiers et en retour on me donnais une petite ration le soir. C'était vraiment pas grande chose mais cela était d'un grand bénéficie pour moi et ma soeur. Les choses allaient un peu bien et à ce rythme. Sur mon lieu de travail je m'étais fais un ami du nom de Laurent. Laurent était pauvre comme moi je l'étais. Il aimait énormément travailler. Et le faisait corps et âme comme si c'était la dernière chose à faire sur terre.
Moi : mais Mon gars doucement tu vas te tuer.
Laurent : Oui Junior c'est ça l'essentiel. Il faut que je devienne quelqu'un de riche. Je dois devenir riche et ça quelqu'en soit le prix. Voilà pourquoi je travail ainsi avec un tel acharnement.
Moi: oui mais dis moi pourquoi tu te mets autant de pression tu sais moi aussi j'ai la même volonté comme toi.
Laurent : viens assieds toi là et écoute moi.
Je fis ce qu'il me dit et je pris place sur un paquet de ciment. Comme c'était la pause on avait un peu de temps pour discuter.
Laurent : voilà je suis Laurent ça tu le sais déjà. Mais tu ignores tout de ma vie. Quand j'avais 6 ans j'étais ce j'appelle '' l'être le plus heureux au monde". Heureux parce que mes parents étaient en vie c'est vrai qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent mais le simple fait de les voir me procurais une de ces joies. Et j'étais le seul enfant de mes parents ce qui leur donnait la possibilité de mieux s'occuper de moi. Ils étaient extrêmement pauvres mais ils me donnaient à manger régulièrement donc je n'avais jamais faim. Mais un jour tout cela changera. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'avais 10 ans et j'étais au ce2. Un Samedi pendant que j'étais à l'école pour les cours de répétition. Notre voisine Tanti Diane est venue et a demandé la permission à mon instituteur. Je sais pas ce qu'elle lui a dit mais il m'a laissé partir. Et nous avons pris elle et moi la route de la maison.
De loin pendant qu'on se rapprochait de ma maison je voyais des fumées qui montaient vers le ciel pourtant j'ignorais leurs provenances. Mais une fois arrivé devant ma maison je suis rendu compte qu'elle avait brûlée. Je me mis à paniquer parce que mes parents étaient à l'intérieur. J'avais pourtant l'espoir de les revoir. Mais deux heures après dès que j'ai tourné le visage j'ai vue les pompiers qui transportaient deux corps inertes. Et lorsque je me suis approché je me suis aussitôt rendu compte que c'était mes parents. Ils étaient morts tout les deux. Les deux êtres chers qui me restais. Et là tu ne peux même pas imaginer ce que j'ai ressenti Junior. C'était comme si j'étais mort moi aussi.
Qui se donnerait du mal à faire les funérailles de deux pauvres comme eux?? Voilà la question que mon oncle avait posé à la délégation de mon quartier qui est allée le voir pour qu'il prenne en charge les cérémonies funèbres. Il a systématique refusé car selon lui c'était pas important et qu'ils étaient déjà morts. Mais il avait au moins accepté de me prendre chez lui.
Deux semaines après , les funérailles avaient été organisés grâce aux cotisations des membres de mon quartier. J'étais chez mon oncle avec ses enfants dont 2 garçons et une fille la plus arrogante des personnes que je j'ai rencontré jusqu'à aujourd'hui. Tout allait bien malgré les injustices que je subissais dans cette maison. Ces enfants et sa femme me traitais comme ils le voulaient .J'étais devenu leur serviteur et je faisais tout ce qu'ils me demandais. J'avais même quitté l'école pour ça.
Mais un jour pour une raison dont j'ignore mon oncle m'a jeté hors de chez lui. C'est là que je me suis retourné dans la rue le seul endroit qui m'a vraiment accueilli j'ai fais tout ce qui était dans mon possible pour survivre jusqu'à aujourd'hui. Voilà pourquoi je veux être moi aussi riche pour montrer à ceux qui m'ont fait souffrir que je peux moi aussi avoir ce dont ils se vantent d'avoir eu en longueur de journée.
Si je travail dans ce chantier c'est par chance et quand celui-ci sera terminé je me demande comment je ferai. Mais une chose est sûre je compte travailler dur et à la sueur de mon front.
Moi: vraiment ton histoire fait vraiment triste. Je vois qu'on a la même détermination et les mêmes ambitions.
Voilà Comment ce simple récit m'avais fais aimé davantage mon ami Laurent. Nos liens s'étaient serrés et nous étions devenus les meilleurs amis du monde.
1 mois plus tard
Laurent : tu sais Junior ce chantier est finit on va faire comment maintenant. J'ai cherché dans tout le quartier mais je ne vois pas d'autres opportunités.
Moi: oui mon frère là tu as raison on va devoir chercher d'autres choses à faire sinon ça sera pas bon. Ma grande soeur est toujours en congé de maternité. Elle ne peut pas travailler actuellement c'est à moi d'envoyer de l'argent à la maison.
Laurent : oui tu as raison on va devoir trouver un autre job à faire mon sinon nous sommes foutu.
Tu sais mon fil. Laurent et moi ont avait une chose en commun. La misère et la pauvreté. On avait donc décidé de se serrer les coudes. Nous avons fais le tour des chantiers et cela à pied à la recherche d'un seul endroit pour travailler. Mais c'était comme si le sort voulait s'abattre sur nous. On trouvait rien. Jusqu'à ce que Laurent le grand grouilleur qu'il était finisse par trouver une solution.
Laurent : Tu sais Junior dans la vie il faut savoir s'adapter. Comme on le dit si la vie t'offre des citrons fais de la limonade.
Moi: vas droit au but Laurent.
Laurent : Voilà ce qu'on va faire. Nous allons louer des brouettes et être des porteurs de bagages dans les marchés. Et le soir on donne l'argent du propriétaire.
Moi: oui c'est une très bonne idée mais comment ferons nous pour louer la brouette puisqu'on n'a pas d'argent.
Laurent : voilà pour arriver à le faire nous allons ramasser du fer qu'on va peser chez les revendeurs tu sais c'est 50f le kilogramme. Et avec cet argent nous pourrions louer des brouettes jusqu'à ce qu'on en achète pour nous.
Moi: très bonne idée mon frère. Je d'accorise
Laurent : quoi!! C'est quoi ce français ???
Moi: MDR
Laurent : bon assez parlé mon frère mettons nous au travail. Le futur nous attend et il doit se souvenir de nous.
Moi : oui mon frère je d'accorise
Laurent : quitte devant moi.😂😂
Voilà comment nous sommes passés d'aides maçons à des porteurs de bagages. C'est ainsi que mon frère Laurent et moi prîmes le chemin de la commune commerciale d'Abidjan, Adjamé. C'était devenu nôtre routine quotidienne. Et on travaillait dur pour avoir nos rations quotidiennes. Moi j'étais quand même un peu fier de moi car c'était moi celui qui arrivait à prendre soins de ma soeur. Elle était gêné mais c'était plus le contraire et mon petit neveu qu'elle avait accouché grandissait à grande allure.
Moi: Tu vois Laurent nous sortons un peu la tête du trou on n'arrive maintenant à manger à notre faim.
Laurent : oui frère c'est vrai mais cela n'est pas suffisant on doit être plus que ce qu'on est actuellement. À ce que je sache on ne compte pas des millions.
Moi: oui oui c'est vrai mais c'est pas à pas. Bientôt nous serons des incontournables.
Pendant qu'on parlait un jeûne homme est venu nous interrompre.
____ Bonjour mes gars comment allez vous ??
Laurent : oui ça va. On se connaît ??
_____non désolé je me présente. Moi c'est Théodore mais vous pouvez m'appeler Théo.
Moi: Ah OK enchanté moi c'est Junior et lui c'est Laurent.
Théo: voilà enchanté. Cela fait un bon moment que je vous vois dans ce carrefour. Et j'aime beaucoup votre coopération. Je veux aussi si ça vous dérange pas me joindre à vous. Car je travail seul et j'ai besoin de compagnons.
Laurent : ok tant que tu nous donne des astuces pour avoir plus de clients. Parce-que à te voir là je sens que tu es nouveau ici.
Théo: là c'est vrai. Affaire conclue.
C'est ainsi que nous sommes passés se duo à trio. Mais à vrai j'ignorais la cause mais mon instinct me disait que ce nouveau type n'était pas clair. Comme si mon coeur me dictais de me méfier. Mais j'espérais juste que je me trompais.
Alors de duo nous sommes devenu un trio. À trois on travaillait dur. Matin, midi et soir. À vraie dire le plus courageux était cet infatigable de Laurent. Ce jeune homme était doté d'un courage hors norme. Il était aussi doté d'un charisme qui dépassait celui de tout être humain de son âge et même nombreux de ceux qui étaient âgés que lui. Après lui c'était Théo, lui aussi était en deuxième position. Il était celui qui motivait et aussi le grand rusé. Il avait toujours des astuces de survie. Avec lui c'était toujours et à jamais la débrouille pour s'en sortir dans ce monde hostile qui était le nôtre. Comme je l'ai dis on travaillait régulièrement. Et un jour pendant notre pause j'entrepris avec mes compagnons une discussion très important. Qui perçait à moitié ce grand mystère qui se cachait derrière Théo. Moi: Oh enfin quelques instants de repos. Je suis tellement épuisé. Laurent : oui Junior tu as raison ça
Moi: oui mon frère parle moi. On a besoin d'idée actuellement.Laurent : oui Junior a raison. Parle voyons.Notre Théo restait tout de même silencieux. Il ne voulais pas ouvrir la bouche.Moi: mais parle voyons.Théo : voilà d'accord comme vous insistez je vais vous envoyer quelque part aujourd'hui. Au tombé de la nuit. On se donne rdv chez toi Junior.Laurent : OK mais dis nous au moins à quoi tu penses. C'est quoi ton idée ??
Une chose avait apparut devant nous. D'un geste brusque et comme par magie cette fameuse chose était sortie de la terre et cela m'avait mis hors de moi. Je voulais m'en fuir mais je me suis dis que c'était une mauvaise idée. Je serai certainement un homme mort si je le faisait. Mes dents se frappaient jusqu'à faire des bruits.Cette chose avait une apparence tellement étrange comme si son corps était gluant avec une sorte d'écailles partout sur tout le corps. Ses mains étaient tellement grandes que j'aurais juré qu'ils pouvaient atteindre deux mètres. Une chose me terrifiait encore plus sur cette parure de chaire qu'il avait c'était cette corne qu'il portait sur la tête. Ceci dit cette corne était pliée on aurait dit celle d'une veille chèvre. Aussi cela lui donnait un aspect encore plus effrayant. L&agra
J'allais pouvoir enfin déguster le goût de la richesse, de la gloire et de la célébrité. J'étais soulagé car j'usque là j'avais trop souffert et je me suis dis que c'était aussi trop injuste. Dieu m'avait trop négligé. Il m'avait jamais donné ce dont j'avais toujours prié. Ma vie était devenue un peu comme un film triste dans lequel il est difficile de sourire ou de s'épanouir. J'étais toujours plongé dans une inquiétude profonde. Celle de savoir comment je ferai pour manger le lendemain. Ou encore comment je ferai pour aider ma chère soeur qui avait tout fait pour moi.Alors si faire cet alliance avec le Diable pouvait m'aider à sortir la tête de l'eau ou encore à oublier un peu ce difficile passé qui n'était rien d'autre que le mien. Sans même me mettre en question je me suis dis que c'&eacu
Je n'en revenait pas de ce qui se trouvait devant moi. Elle était morte et son corps était devenu comme un morceau de bois inerte. Elle était devenue maigre comme si avant sa mort elle avait été vidée de son sang. J'étais anéanti car j'avais quand même tué une personne. Pour être sûr de ce que j'avais vue je me suis approché d'elle pour lui toucher le corps, et là une odeur s'est mis à jaillir dans la pièce au point où j'étais obligé de me retenir me retenir le nez. Pourtant une deuxième chose allait encore me surprendre dès que j'ai voulu m'éloigner j'ai vue une chose étrange lui sortir entre les cuisses c'était des asticots mélangé à je ne sais quoi là. C'était aussi des insectes et des des scorpions qui lui sortait du corps il me semble.
Chose dite chose faite, l'argent pleuvait sur moi et chaque mois lorsque je couchais avec une fille comme me l'avait indiqué lucifer je gagnais de l'argent. De ce fait ma fortune augmentait considérablement. J'étais vraiment heureux et déjà je commençais à m'habituer à ma nouvelle situation d'homme riche. Et en plus j'avais mis sur pieds ma société de vente de voiture. Elle devenait prospère de jour en jour. Laurent lui avait construit deux magnifiques hôtels, les plus célèbres d'Afrique devenus même après mondialement connus. Théo par contre n'avait rien entrepris il se contentait de prendre l'argent qu'il recevait et à le dépenser dans les boîtes de nuit et autre. Cela me semblait aussi très étrange car j'avais l'impression que son but n'était pas d'avoir de l'argent un peu comme s'il avait autre chose en tête mais biza
Après cette discussion étrange je suis rentré à la maison. Et tu étais assis dans le canapé à regarder la télévision, plus précisément l'une de tes séries de dessin animé.Moi: Salut Dimitri comment tu vas ??Dimitri: oui papa ça va. Tu m'avais trop manqué.Moi : oui fiston c'est vrai j'ai un peu duré aujourd'hui car j'avais quelques petits trucs à faire. Et l'école ça va?? Tu penses pouvoir passer en classe supérieure.Dimitri : Oui oui ça peut aller j'espère même être parmi les meilleurs. Je ferai toujours de mon mi
En moins d'une seconde j'avais réfléchi à mon passé mon présent. J'avais pensé au sourire de ma soeur le plus beau que j'ai eu de toute ma vie. Je pensais à la manière dont elle prenait soin de moi et aussi de sa manière de me mettre en confiance. Elle m'avais soutenue durant toute ma misérable vie. Elle s'était sacrifié pour moi mettant en jeu sa force physique et intellectuelle. En plus après tout ça elle m'a offert le second cadeau qui représentait tout pour moi en ce monde c'est à dire toi. Pourtant je me retrouve devant la situation la plus étrange de ce temps là. On me demande de sacrifier cette lumière qui illumine mon monde. Ou encore de prendre la vie de plusieurs innocent. Mon choix semblait être simple jamais de la vie j'aurai perdu la seule chose qui me restait d'important. Je ne voulais pas voir disparaître le sourire qui n'&ea
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.