En moins d'une seconde j'avais réfléchi à mon passé mon présent. J'avais pensé au sourire de ma soeur le plus beau que j'ai eu de toute ma vie. Je pensais à la manière dont elle prenait soin de moi et aussi de sa manière de me mettre en confiance. Elle m'avais soutenue durant toute ma misérable vie. Elle s'était sacrifié pour moi mettant en jeu sa force physique et intellectuelle. En plus après tout ça elle m'a offert le second cadeau qui représentait tout pour moi en ce monde c'est à dire toi. Pourtant je me retrouve devant la situation la plus étrange de ce temps là. On me demande de sacrifier cette lumière qui illumine mon monde. Ou encore de prendre la vie de plusieurs innocent. Mon choix semblait être simple jamais de la vie j'aurai perdu la seule chose qui me restait d'important. Je ne voulais pas voir disparaître le sourire qui n'était rien d'autre que le sien.
Moi: Je refuse de donner mon neveu.
Lui : Ah bon?? Donc tu accepte de tuer les gens et prendre leur sang ??
Moi: oui c'est ça j'accepte de le faire.
Lui: mais c'est fou que vous les humains êtes stupide. Tuer combien de personne pour une seule personne. La vie d'une seule personne est-elle importante que celle d'une dizaine à une vingtaine de personne ?? Alors le choix était simple donner ton neveu et c'est fini on parle plus de sacrifice. Mais toi tu préfère tuer, tuer et tuer encore pour une seule personne. Vous êtes faibles vous ne savez pas choisir car vous êtes des faibles et pour vous consoler de votre peur et de votre impuissance vous vous cacher derrière des mots et sentiments imaginatifs comme "l'amour". Ce n'est rien de concret seule la haine gouverne le monde. Ceux qui savent haïr le plus sont ceux là même qui savent gouverner ceux qui prétendent vouloir aimer. Celui qui décide d'aimer devient exclave de ce qu'il est ainsi que de ce qu'il ressent. Par contre celui qui sait haïr et même un peu devient très fort et devient très dur envers lui même et aussi envers les autres. C'est humain c'est ça, être animé par la stupidité, l'ignorance. Vous aimez la richesse, la gloire, la célébrité ainsi que toute ces choses cupides de votre monde mais faites rien pour l'avoir. Vous êtes prêt au pire pour être riche mais lorsqu'on vous parle de faire plus c'est autre chose. Vraiment jamais j'aurai de l'estime pour une telle espèce. Vous faites pitié et votre vie me fais rire.
Je savais vraiment pas pourquoi il me disait ces choses. Ni pourquoi il parlait ainsi du genre humain. Mais selon moi il en voulait cette fameuse race qu'il n'aimait pas. Et je ne savais pour qu'elle raison. J'avais l'envie de le questionner et de savoir de quoi il voulait parler mais non j'avais trop peur et en plus je voulais pas mettre la vie de mon neveu en danger c'est-à-dire toi. Pour uniquement ces raisons je me suis tus.
Lui: au-revoir humain.
Comme si j'avais passé toute la nuit à parler de lui. Je me suis réveillé je fus surpris de constater qu'il était 7h. Je me suis levé, j'ai pris un bain puis je suis allé dans ta chambre te regarder dormir. À ce moment là j'étais heureux du choix que j'avais, j'étais heureux de te voir dormir avec cet air innocent que j'aimais tant voir. Rien qu'en voyant tout ça j'avais aucun cas refusé le choix que j'avais fais. Je m'en voulais même pas un tout petit peu. Tu étais petit à ce moment là et je savais à quel point ta vie était précieuse à mes yeux et cela plus que celle de tout autre être de la planète et même de l'univers. Même si mon âme avait corrompu je ne voulais pas que cela déteint sur toi. Ton bonheur et ta joie n'étaient mes seules soucis.
Comme j'ai constaté que tu dormais je suis sorti pour me rendre au travail et ce jour là tu n'avais pas cour. Je suis monté dans ma voiture puis je me suis rendu à mon lieux de travail. J'avais une réunion importante donc je devais faire vite pour arriver avant mes clients. C'était par contre une très grosse affaire. Arrivé devant l'immeuble de l'entreprise il était 7h40. Pourtant je devais arriver avant 7h45 pour tout mettre en place avant leur arrivé. De ce fait j'augmente l'intensité de mes pas en marchant de plus en plus vite. J'appuie le premier bouton de l'ascenseur rien ne marche puisque le deuxième encore rien. Alors je suis obligé de prendre les escaliers ce que je fis très immédiatement. Très rapidement je me mis à marcher au point même de vouloir courir. Malgré tout j'étais épuisé il me restait maintenant une manche et il était 17h45. L'heure était grave alors je me mis à courir ce qui semblait être étrange aux yeux de mes employés qui me regardaient d'un air étrange. Dès que j'ai voulus tourner j'ai senti quelque chose se heurter à moi. Le choc était plus du côté de la personne car j'avais constaté que c'était plutôt quelqu'un que j'avais fais tombé par accident.
Moi: Je suis vraiment désolé mademoiselle. Laissez moi vous aider.
Automatiquement cette personne leva le regard et j'ai été surpris lorsque j'ai vue le visage de la personne.
Moi: Mariam? Vraiment je suis désolé c'était à cause de la réunion de ce matin.
Comme tu le sais Mariam était ma secrétaire et tu sais déjà pratiquement qui elle était encore.
Mariam : pas de soucis monsieur c'est plutôt à moi de m'excuser je n'ai pas regardé là où je mettais les pieds. Je suis vraiment désolé.
Moi : ne dites pas n'importe quoi. J'étais en course alors tout est de ma faute laissez moi vous aider à ramasser vos affaires.
Mariam : non je m'en occupe.
À ce moment là nos mains se sont touché et un brin de caresse m'avais parcouru tout le corps. Immédiatement elle se retira et se sentît gêné avec un regard nouveau. Comme si cela ne suffisait pas nos regards se sont croisés encore nous baissons nos regards. Je ne savais vraiment pas ce qui m'arrivait à ce moment mais j'avais perdu le contrôle et j'étais paniqué je ne savais même pas où aller.
Mariam : euh ......... Non laissez. Je suis désolé. Au fait la réunion est pour ce soir à 14h je vous ais envoyé un mail pour vous prévenir de ce changement.
Moi : OK merci à vous.
Je suis allé à mon bureau. Puis j'ai lancer un coup de fil à Théo.
Moi : bonjour Théo comment tu vas?
Théo : oui ça va tu sais la richesse vous a fais disparaître hein.
Moi: oui je l'avoue je suis trop pris par mon travail.
Théo : oui c'est vrai frère la richesse te va bien. On parle de toi partout. Tout le monde t'envie.
Moi : lol ils ne peuvent vraiment pas savoir ce que l'on a traversé et fait pour avoir tout ça aujourd'hui.
Théo : oui mais cela en valait la peine. Regarde ce qu'on est devenu tout les trois en ce petit lapse de temps.
Moi: si tu savais ce qu'il m'avait demandé hier soir.
Théo : attends j'arrive à ton bureau tu vas tout m'expliquer. Je suis pas loin de là.
Et il a coupé. Mais une heure après ma secrétaire m'a annoncé sa venue je lui ais donc demandé d'entrer. Ce qu'il fit très vite. Dès qu'il m'a vue il m'a d'abord prit dans ses bras.
Moi : mais mon frère à par au téléphone ça fait un moment hein. L'argent t'a tendu vraiment élégant regarde cette montre. Non mais tu profites au max de la vie hein?' tu ne travail jamais mais toujours au frais à dépenser dans les bars et marquis de luxes.
Théo : oui c'est ça on appel profiter de l'argent. Moi je veux pas être exclave de mon argent. Je veux profiter au maximum. Vous pouvez faire comme moi tu sais ?
Moi: lol le travail c'est cool et génial. Cela donnes au moins l'impression qu'on a travaillé dur pour être là où on est actuellement.Théo : oui c'est le cas. Moi je ne suis pas là pour berner quelqu'un. Les choses sont prises telles qu'elles sont. Vous faites tout ça pour vous consoler car vous savez en âme et en conscience que toute votre richesse n'est rien d'autre que l'oeuvre du Diable. Selon moi le Diable n'est pas ce que l'on pense. Ils acceptent immédiatement quelque chose lorsqu'ils apprennent que cela vient de Dieu. Pourtant lorsqu'il entendent uniquement le nom Lucifer c'est la méfiance. Mais lui c'est le meilleur donateur qui soit. Il donne plus que quiconque.
Moi: qu'est-ce-que tu racontes. Il demande toujours quelque chose. Souvent même plus. Il demande toujours des sacrifices. Des nouvelles vies qu'on peut lui offrir c'est justement de cela que je voulais te parler.
Théo : oui dis moi qu'est-ce-qu'il veut ?
Moi: il me demande de lui offrir du sang humain chaque trois mois. Cela m'oblige à prendre la vie de plusieurs innocents. Et l'autre option c'est de donner l'âme de mon neveu Dimitri à sa place. Tu vois de quoi je parle ?? S'il est aussi bon comme on le pense pourquoi nous demande t'il toujours de faire ces choses ignobles ?
Théo : d'abord dis moi ce que tu as choisis??
Moi: bien-sûr que j'ai choisis de ne pas donner mon neveu. Jamais je ne ferai cela.
Théo : vraiment toi tu es étrange. Tu devrais plutôt donner ton neveu au lieux de vouloir tuer ces personnes et avoir leur mort sur ta conscience. Et à chaque fois tu devras tuer encore et encore sans cesse. Et cela rien que pour sauver la vie d'une seule personne.
Moi: vraiment je ne croyais pas que tu pourrais dire de telles choses. Franchement, la vie de mon neveu compte à mes yeux que toute chose en ce monde. D'ailleurs en quoi ça vie est si précieuse pour lui au point ou il l'échange contre celle de plusieurs personnes ? Si j'ai accepté ce pacte c'est pour lui jamais je le laisserai tomber. Bien-sûr que tu ne peux pas comprendre tu n'es pas à ma place.
Thé: oui mais je garantie une chose. Forcément tu devras donner un jour ton neveu et cela quelque soit tout ce que tu voudras faire pour l'empêcher. La destiné de Dimitri c'est de transmettre son âme au Diable. Et il arrivera forcément un jour où tu n'auras vraiment pas le choix.
Moi: attends Théo comment tu sais ça ? Dis moi qui est tu en réalité ??? Comment sais tu que mon neveu devra mourir. Dis moi ce que tu es réellement et ce que tu représente.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr. 
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être imposs
Moi: qu'est-ce que tu me dis là ? Comment ça il est mort ? Arrête moi ces plaisanteries.- Il est mort je te dis sa domestique vient de m'appeler pour me le dire.Moi: mais comment c'est possible?- Le comble c'est que.......Moi: c'est que quoi ? Dis moi- Viens et je tu verras de toi même. Son corps est dans sa chambre.Moi: mais ça fait deux heures qu'il mort et il est toujours dans sa chambre ? C'est quoi ce délire ?- Viens seulement.Je suis sorti et j'ai pris ma voiture pour me rendre chez Laurent. Arrivé sur les lieux ses domestiques ainsi étaient arrêtés à l'extérieur entrain de murmurer je ne savais quoi. Mais dès qu'ils m'ont vue il se sont automatiquement rangés.
- Pauvre mortel Moi: Je me met à genoux devant votre suprématie et votre bienveillance. C'est vous le donateur heureux, celui qui donne à quiconque l'invoque et l'adore. - comme tu le sais tant mieux. Alors elle n'est pas morte ? Moi: Qui? De qui parlez vous? - Celle avec qui tu as couché cette nuit. Moi: à ce sujet je pense que c'est à vous que je dois demander. - oui c'est vrai elle est sauve car elle a le coeur bien plus tenace. Mais ne t'inquiète pas elle aura forcément une faille qui va nous la livrer. Moi : mais si elle n'est pas morte alors pourquoi voyou forcément lui ôter la vie ? - c'est ainsi elle m'appartient et elle devra me revenir. Ne me dis pas que tu es contre. Ou du moins tu tiens à elle ? Moi: Oh non bien-sûr que non. Je voulais juste savoir.
J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer. Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable. Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je
Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.Mariam (posant sa main sur mon visage) : vous êtes trop beau.Moi: vous ?Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.
Théo: comment ça qui je suis. Je suis Théodore. Ton ami, ton frère.Moi: oui ça je le sait déjà de toi. Dis moi qui est tu en réalité, c'est quoi le rapport entre toi et Lucifer?Théo: rien de spéciale. Le rapport qui existe entre lui et toi.Moi : alors comment ce fait-il que toi tu sais des choses que moi je ne sais pas?Théo : non laisses tomber c'est mieux pour nous. Je ne peux pas te le dire. Je suis pris par le serment. Je n'ai pas le droit de le dire. Le moment venu tu sauras. Si tu es toujours en vie bien-sûr.