Le baiser que je préfère

Une femme portoricaine à l’apparence forte, mais intérieurement fragile, marche avec la certitude d’avoir tout sous contrôle. Son visage est une façade, son corps une forteresse, chaque mouvement trahit une confiance en soi forgée par des années de lutte. Pourtant, derrière cette image impénétrable, il y a des fissures, des failles qu’elle ne laisse jamais voir. Elle a toujours cru que son passé était une partie de son identité, que chaque cicatrice, chaque douleur l’avait forgée, lui donnant une force invincible. Mais un jour, elle découvre que son passé n’a aucun pouvoir sur elle. C’est un fardeau qu’elle porte depuis trop longtemps, une illusion de contrôle qu’elle doit enfin lâcher. Elle rencontre un homme, au début, sans grand espoir. Elle le voit comme un simple moyen d’assouvir ses désirs, sans plus. Pourtant, au fil du temps, elle réalise quelque chose d’inattendu : elle peut apprendre à l’aimer. L’homme avec qui elle pensait ne vouloir qu’une relation charnelle devient bien plus que cela. Un regard, un mot, un geste suffisent à bouleverser tout ce qu’elle croyait savoir de l’amour et de la vulnérabilité. Elle commence alors un voyage où son passé n’est plus qu’un souvenir et où l’avenir, incertain, est une promesse de liberté.