« D’ici là... va, te, faire, foutre. » Il chuchote et se penche en arrière instantanément.Je ne suis même plus choquée. Mon esprit m’a abandonnée.Fredrick fixe Ryker avec des intentions meurtrières tourbillonnant dans ses yeux ambrés brillants. Après un moment, il se retourne et s’en va brusquemen
RYKERL’Alpha crétin me conduit à son bureau.Il pense pouvoir cacher sa nervosité en gardant une posture droite. Je peux voir à quel point il essaie de ne pas se recroqueviller et trouver un coin pour se cacher.Il a dû oublier que tous les Alphas peuvent sentir les émotions fortes.Quand j’entre d
NATALIE « C’est une erreur », dis-je à Giana au moment où on entre dans la boîte de nuit bondée. L'odeur de sueur, de sexe et d'alcool me pique au nez, ça me donne envie de vomir. « Mais allez, profite un peu ! C’est ton vingtième anniversaire », dit Anne qui passe son bras autour de mon épaule e
NATALIE Mes lèvres se posent sur les siennes et je commence à le dévorer comme une bête affamée. Il ne me repousse pas pendant une seconde, mais ensuite, on dirait qu'il sort d'une sorte de transe et me repousse violemment. Je trébuche sur mes pieds, gémissant et tendant la main vers lui une fois
NATALIE La lumière éternelle et aveuglante me frappe au visage et me fait grogner ; je me retourne dans le matelas doux. Mon corps a mal comme si quelqu'un l'avait réduit en bouillie et ma tête tourne. Il me faut un moment pour cligner des yeux et fixer le plafond dans une confusion totale. Où su
NATALIE « Je vais mourir », je déclare d’un air sérieux. Mes yeux grands ouverts fixent la marque sur mon cou. Pour une fois, je frotte la marque aussi fort que possible pour m’en débarrasser stupidement, même si je sais que cette marque est gravée non pas dans mon cou, mais dans mon âme mainten
NATALIE Je fais les cent pas dans ma chambre après avoir pris une douche, fixant la marque de compagnon sur mon cou pendant une heure entière. Au début, j'ai essayé de couvrir la marque en portant un col roulé. Mais je me suis rendu compte qu'on est en plein été et que ça allait seulement rendre
NATALIE « D'accord ! Je suis d'accord avec vous deux. S'il vous plaît, aidez-moi à retrouver cet homme », dis-je à Anne et Giana, qui sont toutes les deux assises sur le lit de cette dernière. L'inquiétude et l'anxiété sont clairement visibles dans leurs yeux, accompagnées d'une pitié refoulée.