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Chapitre 0002

NATALIE

Mes lèvres se posent sur les siennes et je commence à le dévorer comme une bête affamée. Il ne me repousse pas pendant une seconde, mais ensuite, on dirait qu'il sort d'une sorte de transe et me repousse violemment.

Je trébuche sur mes pieds, gémissant et tendant la main vers lui une fois de plus.

Ses mains sur ma taille me tournent sur place, mon derrière heurte son pénis dur.

« Eh bien, dis donc. T’es pas trop jeune pour traîner ici ? », murmure-t-il près de mon oreille droite.

Je déglutis, le goût d’un vin luxueux encore collé à mes lèvres.

Il me semble que je ne suis pas la seule à être ivre ici.

« Je suis adulte ! », je rétorque en luttant pour me libérer de son contact brûlant.

Une vague de chaleur se dégage de mon corps et je cesse de lutter. Ma tête se heurte à sa poitrine derrière moi, mon dos se cambre et un autre gémissement s’échappe de mes lèvres.

Je resserre mes cuisses, mes mains atterrissent sur ses grandes mains pour les arracher de mon corps. Son toucher n’aide en rien ma situation et mon esprit est trop embrumé pour me permettre de gérer cette situation de manière rationnelle.

« Pourquoi tu es si désespérée, mon amour ? », son nez glisse le long de mon cou et envoie des frissons le long de ma colonne vertébrale.

« Je — Je suis… », j'essaie de parler mais les mots disparaissent de mon esprit lorsqu'il s'arrête dans le creux de mon cou et inhale profondément mon odeur.

Je me mords la lèvre inférieure ; je prends une inspiration rapide.

« Tu peux me prendre en entier, tu crois ? », il ronronne, avec ses mains toujours autour ma taille, ses pouces glissent lentement sur mon ventre.

Je hoche immédiatement la tête. Je ne suis pas vierge — J'ai eu des relations sexuelles avec Enzo auparavant.

Enzo. Une boule se forme dans ma gorge et j'essaie de m'éloigner de l'homme derrière moi.

Mais dès qu'il me tourne et qu’il écrase violemment mon dos contre le mur, j'oublie de nouveau mon petit ami.

Tout est la faute de la chaleur qui fout en l'air mon esprit.

À travers ma vision floue, je vois l'homme se pencher avant que ses lèvres ne rencontrent les miennes. La force à elle seule me coupe le souffle.

Mais je réponds immédiatement.

J’enroule mes mains autour de son cou, je le rapproche de moi et lui laisse m’embrasser aussi fort qu'il le souhaite.

Sans perdre de temps, il force sa langue dans ma bouche pour goûter chaque recoin.

Mes mains s’enfoncent dans ses cheveux doux et je tire dessus tandis que mes lèvres essaient d’égaler son intensité.

Il est brusque dans ses mouvements ; ses lèvres sont rigides et sa langue m’envahit.

Je sens son sexe dur contre mon ventre et je gémis dans sa bouche. Ça ne me fait pas peur, au contraire, ça me donne encore plus envie de lui.

Une autre vague de chaleur descend dans mon corps et me presse fermement contre lui.

Je fais glisser mes mains sur son torse en essayant de déboutonner sa chemise avec mes doigts tremblants.

Il recule d’un mouvement cruel et me grogne dessus ; sa main droite se dirige vers mon cou pour l’encercler de sa paume.

Il m'étrangle, pas assez fort pour me couper l’oxygène mais assez fort pour me faire gémir de plaisir.

« Bien que j'aimerais déchirer cette robe et te prendre ici, je ne pense pas que tu apprécieras beaucoup, mon amour », murmure-t-il en me soulevant dans ses bras.

Je crie de surprise en enroulant mes bras autour de son cou et fermant les yeux instinctivement. Tout tourne autour de moi et l’instant d’après, je suis forcée sur un lit doux.

Je manque de souffle lorsqu'il se met au-dessus de moi et pose ses lèvres sur les miennes à nouveau. Puis il éloigne ses lèvres et frotte son nez le long de mon cou en y laissant des baisers envoûtants.

Il mord dans le creux de mon cou, là où ça rejoint mon épaule. Une sensation brûlante envahit l'endroit mordu alors qu'il passe sa langue dessus.

Je le sens respirer bruyamment contre ma peau, sa poitrine vibre de grognements bestiaux.

Je sursaute lorsqu'il pince soudainement mes mamelons durs à travers la robe. Sans même me prévenir, il arrache la robe de mon corps.

Mes mains se posent sur ses épaules, mon corps se presse contre le sien. Je le laisse enlever complètement la robe déchirée.

L’odeur de mon excitation se répand immédiatement dans la pièce ; on dirait que je suis déjà complètement mouillée.

Il ne perd pas un instant à arracher ma culotte puis mon soutien-gorge. Ses lèvres affamées se dirigent rapidement vers mes mamelons, il les suce, les mord, les pince.

Mon cœur bat contre ma cage thoracique alors que mon corps devient de plus en plus chaud.

Son doigt glisse le long de mon clitoris gonflé et je gémis à haute voix.

« C’est bien. Tellement mouillée », murmure-t-il contre mon mamelon.

Je frissonne sous lui avant qu'il ne s’appuie sur moi, me faisant gémir dans son oreille.

Son doigt me pénètre sauvagement. Ma chatte se serre autour de son doigt et les pulsations de mon clitoris empirent.

Mes mains griffent sa chemise, je veux que sa peau soit contre la mienne. Je pousse un gémissement en déboutonnant sa chemise rapidement.

Il entoure un sein de sa main et commence à glisser son doigt à l’intérieur de moi à un rythme rapide.

Ma respiration devient saccadée, ma poitrine brûle d'effort pour obtenir l'oxygène dont j'ai désespérément besoin pour survivre.

Il retire soudainement son doigt en moi et le force dans ma bouche. Je goûte mon propre jus qui descend dans ma gorge alors que nos regards se croisent.

Son regard devient sombre, du rouge apparaît dans ses yeux. Je suce son doigt et il le retire de ma bouche avant de placer ses lèvres sur les miennes.

Ses mains dérivent sur son pantalon ; il le défait et le retire pendant que j’enlève précipitamment sa chemise de ses épaules.

Sa peau semble rigide et chaude sous mes doigts. Des étincelles électriques jaillissent de chaque endroit où nos peaux se touchent.

Cette sensation me rend folle et me pousse à le rapprocher de moi encore plus.

J'essaie de glisser mes doigts le long de son torse dont la peau semble un peu irrégulière lorsque brusquement, il me tourne sur le ventre. Mes mains agrippent les draps. Je halète.

Une claque cuisante atterrit sur ma fesse, je me mords violemment la lèvre inférieure.

« Cochonne », il frotte ma fesse.

« Lève tes fesses en l'air », il siffle dans mon oreille.

Cette demande me rend encore plus mouillée. Je fais ce qu'il dit et je me force à genoux.

Son doigt envahit à nouveau ma chatte ; il va plus profond cette fois.

Je gémis bruyamment, je serre ma poigne sur les draps.

Une vague de chaleur passe sur mon corps ; je me presse contre son corps ferme. Son pénis effleure ma fesse, faisant rougir mes joues.

Il me pénètre avec un autre de ses doigts, m’étirant bien comme il faut.

Je déglutis lorsqu'il se penche, sa poitrine se frotte contre mon dos. Sa main se dirige vers mes cheveux et les tire jusqu'à ce que mon cuir chevelu brûle délicieusement de douleur.

Mes yeux se posent sur la fenêtre en face de moi. La lumière qui entre par cette fenêtre étant la seule source de lumière de la pièce.

Il retire ses doigts de moi et entoure ma gorge de sa main gauche, il tire ma tête en arrière à un angle étrange. Ça rend la respiration difficile, mais les picotements qui suivent son toucher ne me permettent pas de protester.

« J'ai essayé de t'arrêter au départ, mon amour », me rappelle-t-il.

Je cambre mon dos contre son corps ; je l'incite à me donner ce que je veux au lieu de me dire tout ça.

Il écarte mes jambes et enfonce son sexe en moi. Ma bouche reste ouverte quand il force pour le faire pénétrer entièrement.

Mes parois s'étirent à leur limite et une douleur se répand dans mon bas-ventre.

« Tellement serrée, putain », sa voix rauque ronronne à mon oreille.

J’ai la tête qui tourne. Un cri de plaisir et de surprise s’échappe de ma bouche lorsqu'il se retire puis enfonce de nouveau son sexe à l'intérieur.

La taille de sa bite menace de me déchirer en deux et ça me remplit jusqu'au fond en touchant mon col de l'utérus.

Ma chatte se sent incroyablement remplie. J'enfonce mes doigts dans le matelas.

Son étreinte se resserre autour de mon cou, des points noirs apparaissant dans mon champ de vision. Je halète d’un air affamé.

Des gémissements s'échappent de mes lèvres hors de mon contrôle tandis qu'il me pénètre à un rythme inhumain. Je commence à flétrir à cause de la douleur au niveau de mes parties inférieures et du manque d'oxygène dans mon corps.

Il me baise sans relâche ; il domine chaque centimètre de mon corps et réclame aussi ma respiration.

Ses grognements et ses râles résonnent dans la pièce en se mêlant à mes gémissements bas. Les bruits bestiaux ressemblent à une mélodie parfaite à mes oreilles et m'excitent encore plus. Ses cuisses se cognent durement à l'arrière des miennes et ça fait des bruits forts.

À chaque coup, il me pénètre plus profondément et me fait perdre de nouveau ma raison.

Puis il vient un moment où je sens que je vais mourir de ce plaisir suffocant ; aussi à cause du manque d’oxygène dans mes poumons, bien sûr.

Mes mains entourent sa main sur mon cou et je le supplie silencieusement de me laisser respirer.

« Putain », je grogne lorsqu'il relâche enfin son étreinte autour de mon cou.

Presque instantanément, ça se serre plus qu’avant. La pression s’accumule en moi, un orgasme menace d'éclater et de me détruire au passage.

La sueur recouvre tout mon corps. Je crie et je hurle alors qu'il me pénètre continuellement sans s'arrêter ni même respirer.

Sa force m’effraie et on dirait qu’il ne va jamais s’arrêter. Pourtant, ça m’excite en même temps, ça me fait contracter à l’intérieur de moi.

Après un autre de ses coups monstrueux, mes parois se contractent autour de son pénis épais. Je crie de plaisir et l'orgasme m'envahit.

Ça ne l'arrête pas. Il se retire un court instant puis s’enfonce de nouveau.

Sa main libère mon cou, me permettant de respirer, de survivre.

Il commence à me pénétrer plus vite qu’avant, sa main s'enfonce cette fois dans mes cheveux.

La surstimulation rend ma chatte douloureuse, mais ce n’est pas suffisant pour l’arrêter. Il continue à me dévorer, à me ruiner.

Mes mains disparaissent dans les draps, cherchant un endroit où me reposer. Ses testicules frappent l'arrière de mes cuisses à grande vitesse, ils ont certainement meurtri l'endroit déjà.

D'un coup féroce, il émet un grognement et se retire brusquement de moi. Il éjacule son sperme sur mon dos et mes fesses.

Je tremble et le monde se brouille autour de moi. Mes oreilles sont assourdies, mon cerveau est trop fatigué pour me garder en état conscient.

J’expire de soulagement et je m'effondre sur le lit.

« Putain. C’était si bon », il grogne et s'affaisse à côté de moi.

Je lâche les draps et je garde les yeux fermés. Mon esprit perd la notion de l’environnement autour et je finis par trouver le sommeil.

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