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LIEUTENANT KRIST
LIEUTENANT KRIST
Author: Krist

Chapitre 1 : Matin bonheur, matin malheur.

PRÉSENTEMENT

*Hôpital central.

(Krist arriva à l’hôpital central. Il gara sa voiture sur le parking de l’hôpital et vit un van noir devant lui. Il sortit de sa voiture et marcha vers le van. Immédiatement, des tirs vinrent directement sur lui. Il se cacha derrière une voiture et quand le chauffeur du van épuisa ses munitions, Krist arriva en courant pendant qu’il cherchait encore à recharger et il le désarma. Ils se mirent à se battre, ils s’échangèrent des coups, barrèrent et esquivèrent puis le type lança Krist loin sur une voiture. Il s’approcha et envoya une savate que Krist esquiva. Il se releva et ils se battirent puis il frappa le type d’un coup de savate et le projeta contre le Van. Il vint près de lui et le releva. Il le frappa quand quatre autres arrivèrent avec Thomas. Deux tirèrent directement et Krist utilisa le type comme bouclier puis il sauta pour se cacher derrière un poteau. Il tira ensuite et tua deux des hommes. Les deux autres laissèrent Thomas et s’approchèrent. Krist épuisa ses minutions alors il se tint prêt pour un combat corps à corps. Les deux hommes se séparèrent. L’un d’eux se dirigea tout droit sur Krist et l’autre essaie de passer devant lui afin qu’ils puissent l’encercler. Quand le type derrière lui arriva tout près, Krist fonça sur lui et l’attrapa pour tomber. Son arme tomba et Krist le ramassa puis il le prit en otage. Il attrapa son cou et mit l’arme sur sa tête. Il obligea l’autre à jeter loin son arme. Il relâcha ensuite son otage et lui donna un violent coup de savate à la tête pour l’assommer. L’autre couru de toutes ses forces vers Krist et ils se battirent à mains nues un bon moment avant que Krist ne le vainquit. Il fut épuisé et s’assit. C’est en ce moment que d’autres policier arrivèrent et arrêtèrent les deux hommes. Le commandant Samuel s’approcha de Krist).

Samuel : est-ce que ça va ?

Krist : à votre avis ?

Samuel : tu as fait ça tout seul ?

Krist : vous voyez quelqu’un d’autre ici ?

QUELQUES HEURES PLUTÔT

*Chez Krist, 05h du matin.

(Krist et sa femme se réveillèrent).

Krist (sourire) : bonjour !

Isabelle (sourire) : bonjour !

Krist : hum, tu es magnifique quand tu souris !

Isabelle : merci.

Krist : bien dormie ?

Isabelle : oui, et toi ?

Krist : mes nuits sont toujours meilleures à tes côtés.

Isabelle : ravie de le savoir.

Krist : et comment a dormi mon futur fils ?

Isabelle : chéri, je ne suis enceinte que de deux mois ?

Krist : oui mais c’est déjà un être vivant dans ton ventre et je sais qu’il va être un garçon cette fois-ci. Salut champion, tu sais qui te parle ? C’est ton papa. Dépêches-toi de venir ok, j’ai très hâte de te voir et de faire ta connaissance.

Isabelle : il ne t’entend même pas.

Krist : bien sûr que si.

(Il donna un baisé sur le ventre de sa femme).

Isabelle : Je m’occupe de la cuisine.

Krist : je vais dans la salle de sport.

(Isabelle alla s’occuper du petit déjeuner pendant que Krist alla faire du sport. Après 35min, il finit son sport et se rendit dans la douche pour se laver. Après la douche, il se rendit dans la chambre de sa fille de cinq ans).

Krist : coucou chérie !

(Aucune réponse).

Krist : hey, mon lapin, tu dors encore ?

Estelle : hummm, papa, laisse-moi dormir !

Krist : mais qu’est-ce que tu racontes ? Il est l’heure de se réveiller.

Estelle : ce n’est pas vrai !

Krist : bien sûr que si, regarde, il est déjà 06h du matin, allé, lèves-toi !

(Elle se leva du lit).

Estelle : ça y est.

Krist : très bien, vas te brosser les dents, nous allons passer à table.

Estelle : d’accord, j’arrive papa.

(Il sortit et se rendit dans la cuisine).

Isabelle : Estelle est réveillée ?

Krist : oui, je viens de la réveiller.

Isabelle : ok, le petit déjeuner est prêt.

Krist : très bien, qu’il soit servi dans ce cas. Hum, qu’est-ce que ça sent bon.

Isabelle : hey, tu vas manger tout de suite alors ne touches pas à ça.

Krist : à vos ordres !

(Il rejoignit le salon et sa fille arriva).

Estelle : papa, regardes !

Krist : qu’est-ce que c’est ?

Estelle : c’est un dessin.

Krist : c’est qui, qui et qui ?

Estelle : ici c’est toi, là c’est maman, et ici c’est moi.

Krist : waouh, je ne savais pas que tu étais une si bonne dessinatrice, ton dessin est fantastique. Tu permets que je le garde ?

Estelle : bien sûr papa, il est à toi.

Krist : merci princesse. Aller viens dans mes bras et fais-moi un gros câlin.

(Ils se firent un gros câlin. Isabelle arriva avec le repas et l’apporta dans la salle à manger).

Isabelle : venez mes chéris, il est temps de passer à table !

Krist : aller ! Maman nous appelle !

(Ils se rendirent dans la salle à manger et s’installèrent).

Krist : chérie regardes ce que notre princesse a dessiné !

Isabelle : waouh, c’est toi qui as fait ça ?

Estelle : oui maman.

Isabelle : c’est magnifique !

Estelle : merci maman.

Isabelle : maintenant, c’est le moment de manger. Bon appétit à vous !

Krist : hum, ce repas va être appétissant, je le sens.

(Ils passèrent donc à table).

Krist : hum, ton repas est excellent.

Isabelle : merci.

(Après le petit déjeuner, Isabelle rangea la table. Krist et sa fille regagnèrent le salon).

Krist : aller ma puce, apportes-moi ta tenue, c’est le moment d’aller à l’école.

Estelle : oui papa.

(Elle apporta sa tenue et son père l’aida à la porter).

Krist : ça y est, là tu es prête !

Isabelle : où est ton sac ?

Estelle : je vais le chercher !

(Elle alla chercher son sac à dos).

Krist : aller ! Asseyez-vous, on va faire une photo.

(Elles s’assirent et Krist les prit en photo ensuite, il mit le retardateur et les rejoignit pour se photographier avec elles).

Krist : humm, je vous aime tellement. J’ai la plus belle famille au monde, je ne sais pas ce que je ferai ou deviendrai sans vous.

(Il les embrassa).

Isabelle : nous aussi on t’aime énormément chéri.

Krist : et bientôt, nous serons quatre.

Estelle : nous serons quatre, papa ?

Krist : oui ma puce, bientôt tu auras un petit frère.

Estelle : c’est vrai maman ?

Isabelle : oui ma puce.

Krist : attends, tu me prends pour un menteur ? Viens ici !

(Elle s’enfuit dehors).

Krist : je suis tellement heureux mon amour, ma joie est immense de vous avoir dans ma vie. Je t’aime.

Isabelle : moi aussi je t’aime mon amour, aller, sois prudent !

Krist : toujours !

(Ils s’embrassèrent et rejoignirent Estelle à la voiture de Krist).

Estelle : au-revoir maman.

Isabelle : sois sage.

Estelle : oui maman.

Krist : aller, en route pour l’école !

Isabelle : je vous ouvre le portail.

(Isabelle ouvrit le portail et Krist sortit de sa cour dans sa voiture, direction l’école de sa fille. Deux hommes dans une voiture de l’autre côté de la route le virent partir. L’un sortit son téléphone et appela son patron).

Bertin : oui !

Hassan : ça y est, il vient de sortir. Il amène sa fille à l’école.

Bertin : très bien, allez-y !

Hassan : à vos ordres !

(Il raccrocha).

Hassan : allons-y !

Aubin : ok. Vas-y en premier et laisses la femme t’ouvrir puis je vais apporter la voiture.

Hassan : ça marche !

(Hassan alla frapper à la porte et Isabelle vint ouvrir).

Hassan : bonjour !

Isabelle : oui bonjour, qui êtes-vous ?

Hassan : c’est votre mari qui m’envoie.

Isabelle : pourquoi ?

Hassan : il m’a demandé de récupérer son insigne qu’il a oublié.

Isabelle : ah oui, je crois qu’il l’a apporté ?

Hassan : ça ne coute rien de regarder !

Isabelle : d’accord, attendez un instant !

(Isabelle retourna pour aller chercher l’insigne. Hassan entra derrière elle et pointa une arme sur elle).

Hassan : arrêtes-toi !

(Isabelle s’arrêta et se retourna. Elle vit une arme pointée sur elle et prit peur).

*Ecole primaire la voie de la réussite.

(Krist déposa sa fille à l’école. Ils sortirent de la voiture. Un homme un peu éloigné d’eux appelle son patron Bertin).

Martin : il vient de déposer sa fille.

Bertin : très bien, restes-là jusqu’à ce que l’école termine et tu m’amènes la fille.

Martin : à vos ordres !

(Il raccrocha. Krist et sa fille discutèrent).

Krist : au-revoir ma puce !

Estelle : à plus tard papa, je t’aime.

Krist : moi aussi je t’aime ma puce.

(Elle s’en alla).

Krist : hey, et mon câlin ?

(Elle revint et donna un gros câlin à son père).

Krist : voilà, tu peux partir maintenant !

(Sa fille s’en alla. Krist remonta dans sa voiture pour partir au travail).

*Chez Krist

(Isabelle prit peur en voyant l’arme et voulut crier).

Hassan : chuuut !

Isabelle : hey, qu’est-ce que vous faites ?

Hassan : si vous criez, vous êtes morts. Est-ce que vous voulez restez en vie ?

Isabelle : oui. S’il vous plait, ne me faites pas de mal.

Hassan : si tu veux rester en vie, fait tout ce que je te dis de faire.

Isabelle : d’accord, qu’est-ce que vous voulez ?

Hassan : ouvres le grand portail.

Isabelle : d’accord, d’accord je vais l’ouvrir.

(Hassan appela Aubin).

Aubin : oui !

Hassan : tu peux entrer !

(Isabelle ouvrit le portail et Aubin entra avec la voiture. Hassan pointa son arme sur Isabelle et Aubin prit un ruban adhésif pour lui coller la bouche, ensuite, il attacha ses mains au dos ainsi que ses pieds et ils la mirent dans le coffre puis ils partirent).

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