*QG du BEST (Bureau d’Enquêtes Scientifiques et Techniques).
(Krist arriva au travail, il descendit de sa voiture et son coéquipier John qui vint d’arriver aussi le rejoignit. Ils discutèrent en marchant vers leur bureau).
John : bonjour Krist.
Krist : bonjour John, comment cava ?
John : très bien. Je n’ai pas besoin de te le demander, je vois que tu vas très bien.
Krist : exactement mon ami.
John : comment vont ta femme et ta fille ?
Krist : elles vont très bien, mais n’oublies pas aussi le petit Emmanuel.
John : tu es sérieux, c’est de ton embryon que tu parles ?
Krist : mais bien sûr, de qui d’autre ?
John : tu es terrible, tu lui as même déjà trouvé un nom.
Krist : qu’est-ce que tu crois ? Faudra songer à te marier mon frère, le mariage, c’est tellement doux.
John : ah non, le mariage c’est des problèmes. Surtout pour un policier.
Krist : pourquoi tu dis ça ?
John : parce qu’on arrête des méchants qui nous en veulent énormément et pour nous atteindre, ils vont s’en prendre à notre famille. Elle ne sera donc jamais en sécurité.
Krist : je suis d’accord avec toi mais si tu dois penser à ça, tu ne te marieras jamais. Comme le dit la Bible, « celui qui observe le vent ne sèmera point, et celui qui regarde les nuages ne moissonnera point »(Eccl 11 :4).
John : c'est vrai mais ici c'est un peu délicat alors, c’est peut-être mieux ainsi.
Krist : tu plaisantes j’espère ?
John : non.
Krist : faudra bien réfléchir mon ami.
John : tu connais déjà ma position sur ce sujet.
Krist : regardes le dessin que ma fille m’avait fait ce matin !
(Il lui montra le dessin).
John : c’est toi ça ?
Krist : oui c’est moi, et là, ce sont mes trésors.
(John éclata de rire).
Krist : qu’est-ce qui te fait marrer ?
John : non rien, ta fille est une dessinatrice professionnelle.
Krist : c’est ça, ce dessin est magnifique.
John : je ne dis pas le contraire.
(Chacun alla signer sa fiche de présence et se mit à son poste).
*Chez Bertin, Hôtel Palace, septième étage.
(Les hommes de Bertin amenèrent Isabelle à l’hôtel Palace. Ils la détachèrent pour ne pas éveiller les soupçons et entrèrent librement en la menaçant de ne rien faire au risque de le regretter. Ils prirent l’ascenseur pour se rendre au septième étage. Ils posèrent Isabelle sur une chaise et l’attachèrent. Bertin arriva).
Bertin : c’est elle ?
Hasan : oui patron.
Bertin : très bien, détachez sa bouche !
Aubin : elle pourrait crier patron.
Bertin : non, elle ne fera pas ça, parce qu’elle tient à la vie, elle a une fille dont elle doit s’occuper.
(Ils enlevèrent le ruban adhésif de sa bouche).
Isabelle : qui êtes-vous, que me voulez-vous ?
Bertin : madame Kristian, à quel point pensez-vous que votre mari sera prêt à tout pour vous sauver ?
Isabelle : qu’est-ce que vous me voulez ?
Bertin : mais rien, je ne te veux rien du tout, je ne ferai pas du mal à une si belle femme. Mais tout dépend de ton mari.
Isabelle : qu’est-ce que vous lui voulez ?
Bertin : je veux juste l’obliger à faire quelques services pour moi. S’il fait tout ce que je lui demande, je vous laisserai peut-être en vie.
Isabelle : peut-être ?
Bertin : oui. Si vous êtes sage aussi.
Isabelle : qu’est-ce que vous voulez que mon mari fasse pour vous ?
Bertin : il va m’aider à libérer mon frère, le seul que j’ai.
Isabelle : s’il a été arrêté, c’est qu’il a fait quelque chose de mal.
Bertin : non, ce qui est arrivé était un accident.
Isabelle : qu’est-ce qui est arrivé ?
Bertin : il a été arrêté alors qu’il essayait simplement d’avoir un peu d’argent pour me soigner. Il va être jugé dans une semaine et je vais empêcher cela.
Isabelle : il doit payer pour ce qu’il a fait. Laissez tomber sinon vous aussi serez arrêté à votre tour.
Bertin : tu ne devrais pas t’inquiéter pour moi mais te demander si ton mari fera ce que je lui demanderai de faire. Aller, enfermez-la dans la chambre.
(Ils l’enfermèrent dans la chambre).
*QG du BEST.
(Un officier s’approcha de Krist).
Officier : lieutenant, le patron a besoin de vous.
Krist : d’accord, on arrive.
(Krist et John se rendirent dans le bureau du patron, le chef de l’unité, le commandant Samuel).
Krist : bonjour patron.
Samuel : bonjour Krist, John.
John : bonjour patron.
Samuel : asseyez-vous, j’ai une mission pour vous.
Krist : quelle est la mission ?
Samuel : vous devez assurer la sécurité d’un prisonnier.
Krist : qui est-ce ?
Samuel : Thomas.
John : Thomas, le trafiquant de drogue arrêté il y’a un an ?
Samuel : oui.
Krist : il est en prison alors assurer sa sécurité comment ?
Samuel : il a été gravement blessé en prison et il est amené à l’hôpital. Nous pensons que les autres cartels veulent l’éliminer et j’ai besoin que mes meilleurs hommes assurent sa protection.
Krist : ok, il est dans quel hôpital ?
Samuel : à l’hôpital central.
Krist : très bien, on s’y met.
(Krist et John se rendirent à l’hôpital pour assurer la protection du prisonnier. Ils restèrent jusqu’à midi).
Krist : John, excuses-moi une minute, je dois aller chercher ma fille à l’école.
John : d’accord, vas-y !
(Krist monta dans sa voiture pour partir à l’école).
*Ecole primaire la voie de la réussite.
(A midi 30, l’école d’Estelle finit et Martin s’approcha d’elle pendant qu’elle attendait son père).
Martin : bonjour Estelle.
Estelle : bonjour monsieur.
Martin : tu as déjà fini les cours ?
Estelle : oui j’ai fini.
Martin : tu attends ton papa ?
Estelle : oui.
Martin : viens avec moi, ton papa m’a dit de te ramener parce qu’il est occupé.
Estelle : non, je veux attendre mon papa.
Martin : il est occupé et il m’a demandé de te ramener à la maison, aller viens, je suis un ami de ton papa !
Estelle : je ne vous connais as.
Martin : c’est vrai mais je travaille avec ton père, il est en mission et il m’a chargé de venir te chercher. Viens !
(Estelle fut obligée de suivre Martin. Il la porta et sortit de l’école. Krist arriva à l’instant et ne vit pas sa fille. Martin prit un taxi et s’en alla. Krist commença à chercher sa fille partout dans l’école. Il demanda à sa maitresse, à ses amis, mais personne ne la vit. Il commença à s’inquiéter).
*Chez Bertin.
(Martin amena Estelle à Bertin).
Bertin : bonjour ma puce.
Estelle : qui êtes-vous ?
Bertin : je suis un ami de ton papa.
Estelle : vous mentez, je connais les amis de papa. Où est-ce que je suis ?
Bertin : tu es chez moi, ta maman est là aussi. Amenez sa mère !
(Hassan amena Isabelle).
Isabelle : ma fille, est-ce que cava, tu vas bien ?
Estelle : je vais bien maman. Qui sont ces gens ?
Isabelle : ils vont demander à papa de faire quelque chose pour eux et nous allons rentrer.
Bertin : appelez votre mari madame Isabelle.
(Isabelle appela Krist. Pendant que le téléphone sonna, Bertin le prit. Krist décrocha).
Krist : allo chérie !
Bertin : vous avez une très belle femme lieutenant.
Krist : qui êtes-vous ?
Bertin : vous ne tarderez pas à me connaitre. Mais pour l’instant, tout ce que vous avez besoin de savoir, c’est que je détiens votre femme et votre fille.
Krist : si vous touchez à un seul cheveu de ma femme ou de ma fille, vous le regretterez sévèrement.
Bertin : épargnez-moi vos menaces lieutenant. Et écoutez-moi bien !
Krist : qu’est-ce que vous voulez ?
Bertin : je veux que vous fassiez quelques courses pour moi.
Krist : je veux parlez à ma femme et ma fille.
Bertin : un instant !
(Il passa le téléphone à Isabelle).
Isabelle : chéri !
Krist : mon amour, est-ce que cava, ils t’ont fait du mal ?
Isabelle : non cava, je vais bien.
Krist : je vais vous sortir de là d’accord ?
Isabelle : d’accord.
Krist : passes-moi ma princesse !
Isabelle : Estelle, c’est ton papa.
Estelle : papa, tu vas venir nous chercher ?
Krist : bien sûr ma puce, je serai là bientôt.
Estelle : d’accord, fais vite papa, j’aime pas ces gens.
Krist : je sais, je serai là.
(Bertin reprit le téléphone).
Bertin : maintenant, voilà ce que je vous demande.
Krist : je vous écoute.
Bertin : vous vous souvenez de Paulin ?
Krist : bien sûr, le meurtrier arrêté il y’a un mois.
Bertin : c’était mon frère et ce qui s’était passé n’était qu’un accident, il ne mérite pas ça.
Krist : accident ou pas, il a tué un homme. C’est à la justice de décider de sa culpabilité ou de son innocence. Il va être jugé dans une semaine.
Bertin : vous ferez en sorte que ce jugement n’ait pas lieu. Ou plutôt, qu’il soit sans issue.
Krist : je ne peux pas faire ça.
Bertin : oh que si, vous le ferez ! A moins que votre famille ne compte pas assez à vos yeux. Ou alors vous oubliez que je la détienne, lieutenant. Vous avez une très belle femme et une magnifique petite fille. Que serez-vous prêt à faire pour elle ?
Krist : que voulez-vous que je fasse ?
Bertin : voici votre première mission. Prenez l’arme qui serve de preuve contre mon frère et apportez-la-moi.
Krist : je n’ai pas accès à ça.
Bertin : je m’en fiche complètement. Il me faut cette arme alors débrouillez-vous pour m’apporter cette preuve ou c’est ta famille qui en souffrira.
Krist : bon d’accord, je vais voir ce que je peux faire. Ne touchez pas à ma famille monsieur, je vous préviens, vous le regretterez.
Bertin : vous avez 24h. Et au fait, si vous parlez à la police ou à un ami, je tue ta famille. As-tu une préférence entre les deux ?
Krist : ne jouez pas à ça avec moi.
Bertin : très bien, je commencerai par ta fille, pour que ta femme puisse voir que tu n’as pas pu sauver votre fille unique, ensuite ça sera elle.
Krist : vous regretterez le jour où vous avez mis la main sur ma famille, je vous le promets.
Bertin : le compte à rebours commence. Je te rappelle demain à la même heure et j’espère que tu auras de bonnes nouvelles pour moi.
(Il raccrocha).
Krist : merde !
(Il monta dans sa voiture pour rentrer oubliant complètement qu’il devait garder un prisonnier à l’hôpital).
*Chez Bertin. (Isabelle parla à Bertin). Isabelle: qu’à fait votre frère pour être arrêté? Bertin: une erreur, j’étais gravement malade mais on n’avait pas d’argent pour me soigner et les docteurs me laissaient mourir à petit feu alors mon petit frère a fait un braquage qui a mal tourné. *Un mois plutôt. (Paulin entra dans une supérette un soir pour la braquer). Paulin: hey, ne bougez pas, les mains en l’air! (Le propriétaire, monsieur Gérard leva ses mains). Gérard: s’il vous plait, ne me faites pas de mal. Paulin: vous êtes seul ici? (Il y avait un autre homme mais Gérard ne le dit pas). Gérard: oui je suis seul, prenez tout ce que vous voulez. (L’homme dans la supérette se cacha et observa la scène). Paulin: aller! Videz-moi votre caisse, tout de suite. Gérard: d’accord, d’accord je vais le faire.
*Chez Bertin. (Estelle se plaignait d’avoir faim). Estelle: maman, maman j’ai faim. Isabelle: attend, je vais demander à ces messieurs de quoi manger. (Isabelle cria). Isabelle: hey, s’il vous plait! Bertin: vas voir et fais-la taire! (Hassan alla dans la chambre). Hasan: hey, si vous continuez à crier, je vous colle la bouche. Isabelle: s’il vous plait, ma fille a faim, vous n’allez pas la laisser mourir de faim? Estelle: maman, je veux rentrer à la maison. Isabelle: je sais ma puce, on va rentrer bientôt, papa va venir nous chercher. S’il vous plait, apportez-lui à manger. Hassan: restez tranquille, je reviens! (Hassan rejoignit Bertin). Bertin: que se passe-t-il? Hassan: la petite a faim. Bertin: Aubin, vas lui acheter à manger. Aubin: d’ac
*Chez Marcelin. (Éric et les autres amenèrent Thomas chez Marcelin. Il les accueillit en personne). Marcelin: grand frère, te voilà enfin! Thomas: merci de m’avoir fait sortir de là petit frère. Marcelin: je suis désolé que les hommes que j’ai payés t’aient poignardé aussi gravement dans la prison. Thomas: pour me permettre de sortir, il faudrait que ce soit grave. Ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Marcelin: il le faut. Nous avons une grosse transaction à faire. Docteur, occupez-vous de mon frère. Docteur: amenez-le ici! (Ils l’amenèrent dans une salle et le docteur s’occupa de lui. Marcelin s’approcha d’Éric). Marcelin: Kol, merci beaucoup d’avoir ramené mon frère. Éric: je ne fais que mon travail monsieur. Marcelin: et tu le fais très bien, merci. Éric: je vous en prie. Marcelin: tu peux prendre ta
*QG du BEST. (Le matin, tout le monde se retrouva au travail. Samuel vint parler à tout le monde dans la salle des opérations). Samuel: bonjour tout le monde. Comme vous le savez, hier, Thomas a été libéré et nous pensons qu’il a été libéré par les membres de son gang. Notre priorité est donc de le retrouver avant qu’il n’inonde nos rues de drogue. Quelqu’un a-t-il une piste? (Personne ne répondit, John parla à Krist). John: Krist, qu’est-ce qui t’arrive? Krist: tout va bien, pourquoi? John: je ne pense pas que tout va bien. A voir ton visage, il est clair que tu as des problèmes. Tu veux m’en parler? Krist: non ce n’est rien. John: d’accord. Samuel: mettez-vous au travail et retrouvez-moi ce Thomas. (Samuel s’en alla dans son bureau et John le rejoignit). John: bonjour patron. Samuel: John, que puis-je pour toi
*Dans la ville. (Krist fut quelque part loin de chez lui. Il mit le traceur sur les preuves et il appela Bertin). Bertin: je t’ai dit que je te rappellerai à la même heure d’hier. Nous ne sommes qu’à 09h. Krist: je sais mais j’ai ce que vous voulez, il faut que vous libérez ma famille maintenant. Bertin: ce n’est pas aussi facile que ça lieutenant. Krist: que voulez-vous en plus? Bertin: rendez-vous à la plage, un de mes hommes vous trouvera là-bas pour prendre la preuve. Krist: d’accord, j’y vais. Bertin: laisses-moi te prévenir Krist, s’il fouille et qu’il y trouve un traceur ou quoi que ce soit, c’est le cadavre de ta fille que je t’enverrai. Krist: j’ai compris. Bertin: très bien. (Il raccrocha. Krist retira le traceur et le jeta puis il se rendit à la plage). Bertin: Hassan, toi et Aubin, rendez-vous à la plage pour ré
QUATRE JOUR PLUS *Hôtel Amel. (Pendant quatre jours, Krist dormit dans un hôtel de peur que la police puisse l’arrêter chez lui. Ce matin très tôt, il reçut un appel de Bertin). Krist: allô! Bertin: bonjour lieutenant, c’est le moment d’accomplir votre avant dernière mission. Krist: qu’est-ce que je dois faire? Bertin: mon frère va être jugé dans quelques heures et Jonas devra témoigner contre lui. Je veux que vous m’ameniez Jonas. Krist: qu’est-ce que vous allez lui faire? Bertin: ça ce n’est pas votre problème. Krist: la police devra surement le surveiller, je ne peux pas l’atteindre. Bertin: vous êtes intelligent lieutenant, vous trouverez un moyen mais je ne veux pas qu’il se rend au tribunal. Amenez-le-moi ou alors c’est ta famille qui en payera le prix. Krist: j’ai compris, je vous l’amènerai mais je vous préviens, si v
*Hôtel Palace, chambre de Bertin. (Aubin et Martin amenèrent Jonas à Bertin). Bertin: j’espère que mes hommes ne vous ont pas trop brusqué? Jonas: vous paierez un jour pour vos crimes votre frère et vous. Bertin: mon frère n’est pas un criminel. Jonas: ah oui, alors pourquoi vous essayez de le faire libérer de façon illégale? Il devrait se défendre devant le tribunal pour prouver qu’il n’est pas un criminel, mais ce que vous faites, c’est la preuve qu’il en est un. Bertin: attachez-le et enfermez-le avec les autres. Attachez aussi la femme du lieutenant. Coller leurs bouches et amenez-moi sa fille. Dépêchez-vous, nous partons d’ici. (Aubin et Martin attachèrent Jonas et Isabelle puis ils prirent Estelle). Estelle: maman, maman…! Isabelle: humm, hummmm, humm! (Ils rejoignirent Bertin avec Estelle. Ils descendirent au parking de l’hôtel et p
*Chez Krist. (Krist ramena sa famille à la maison. Il descendit pour ouvrir le portail avant de faire entrer sa voiture et de la garer). Isabelle: enfin à la maison! Krist: j’espère que cette expérience n’a pas été traumatisante pour toi mon amour? Isabelle: ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Krist: suis ravi de le savoir. Occupez-vous de la douche, moi je m’occupe de vous faire un repas chaud. Isabelle: d’accord. Krist: ma puce, maman va te laver et moi je vais te faire un bon repas. Estelle: d’accord papa. (Ainsi, Krist se mit à la cuisine, Isabelle lava sa fille avant de prendre sa douche. Après cela, ils passèrent à table). Krist: chérie, ce soir, je veux que toi et moi, s’offrions un diner romantique, je veux passer de meilleurs moments avec toi. Isabelle: ça me fera très plaisir mon amour. Krist: génial