*Chez Marcelin.
(Éric et les autres amenèrent Thomas chez Marcelin. Il les accueillit en personne).
Marcelin : grand frère, te voilà enfin !
Thomas : merci de m’avoir fait sortir de là petit frère.
Marcelin : je suis désolé que les hommes que j’ai payés t’aient poignardé aussi gravement dans la prison.
Thomas : pour me permettre de sortir, il faudrait que ce soit grave. Ne t’inquiète pas, je m’en remettrai.
Marcelin : il le faut. Nous avons une grosse transaction à faire. Docteur, occupez-vous de mon frère.
Docteur : amenez-le ici !
(Ils l’amenèrent dans une salle et le docteur s’occupa de lui. Marcelin s’approcha d’Éric).
Marcelin : Kol, merci beaucoup d’avoir ramené mon frère.
Éric : je ne fais que mon travail monsieur.
Marcelin : et tu le fais très bien, merci.
Éric : je vous en prie.
Marcelin : tu peux prendre ta soirée. Paies les autres et amusez-vous !
Éric : merci.
(Il donna l’argent à Éric qui alla payer les autres et ils partirent s’amuser en boîte).
*Entrepôt.
(Krist et John arrivèrent à l’adresse donnée par Marcus. Il n’y eut plus personne).
John : l’entrepôt est vide, Marcus nous a envoyé baladé.
Krist : non, ils étaient bien ici mais ils étaient déjà partis.
John : un grand trafiquant de drogue est donc en liberté grâce à mon défunt frère.
Krist : il est notre seule piste, tu as une idée de l’endroit où on pourrait le trouver ?
John : je n’en ai pas la moindre idée. S’il était en vie, pourquoi il n’a pas fait signe ? Maman ne s’en est jamais remise de sa mort ?
Krist : lui seul a les réponses que tu veux. Aller, on retourne à l’agence.
(Ils repartirent au poste de police).
*Département de police.
(Krist et John arrivèrent au département de police. Samuel les rejoignit).
Samuel : alors, qu’est-ce que cette piste a donné ?
Krist : rien mais nous savons qu’ils étaient là avant de quitter.
Samuel : merde, maintenant nous avons un criminel dans la nature.
Krist : on le retrouvera commandant.
Samuel : il le faut. J’attends vos rapports !
(Krist et John rédigèrent leurs rapports et décidèrent de rentrer. Chacun rentra avec sa voiture).
*Chez Krist.
(Krist arriva chez lui et descendit pour aller ouvrir le grand portail avant de faire entrer sa voiture. Il entra dans sa maison et la trouva tellement grande sans sa famille. Il n’y a plus sa fille pour courir dans ses bras et l’accueillir avec un gros câlin et un beau sourire, ni sa femme pour l’accueillir avec un magnifique sourire et un doux baisé. Il s’assit sur le canapé et regarda leurs photos sur son téléphone).
Krist : mon Dieu, fais qu’il ne leur arrive rien. Qu’est-ce que je ferai sans elles, elles sont tout ce que j’ai. Seigneur veilles sur elles.
(Il ne sut quoi faire. Il alla se laver et se rendit dans la cuisine. Il vit sa femme en train de préparer dans l’imagination. Il fit lui-même à manger et ne fit que penser à sa famille).
*Hôtel, chambre de Bertin.
(Estelle se plaignait énormément).
Estelle : maman, pourquoi papa n’est pas encore venu nous chercher ?
Isabelle : il viendra demain ma chérie, soyons patientes !
Estelle : je veux rentrer à la maison maman.
Isabelle : je sais, moi aussi je veux rentrer mais on ne va pas rentrer aujourd’hui.
Estelle : mais pourquoi maman ?
Isabelle : ces hommes dehors ne vont pas nous laisser rentrer.
Estelle : moi je veux rentrer, j’aime pas cet endroit. Je veux voir mon papa.
Isabelle : je sais ma chérie, on va rentrer bientôt et on va revoir papa bientôt. Mais il faut que tu restes tranquille sinon ces hommes vont nous faire du mal.
Estelle : maman, j’ai faim.
Isabelle : attends, je vais demander à manger.
(Isabelle sortit de la chambre et se rendit au salon).
Isabelle : excusez-moi !
Hassan : hey, retournes immédiatement dans la chambre, ou tu préfères être attachée !
Isabelle : s’il vous plait, ma fille a faim, il faut qu’elle mange.
Hassan : retournes dans la chambre, on va vous apporter à manger.
Isabelle : merci !
(Elle retourna à l’intérieur. Hassan alla acheter de quoi à manger pour elle).
*Chez John
(John arriva chez lui. Il gara sa voiture et ouvrit la porte de sa maison et entra. Il alluma la lumière et vit son frère au salon).
John : Éric, qu’est-ce que…Comment t’es entré ?
Éric : c’est cela ta première question ?
(Il sortit son téléphone pour appeler).
Éric : je ne ferai pas ça à ta place.
John : donnes-moi une bonne raison pour ne pas le faire.
Éric : écoutes-moi !
(Il laissa le téléphone et s’assit devant lui).
John : je veux tout savoir, commence par le début. On t’avait pleuré, on t’avait enterré alors comment se fait-il que tu sois là ?
Éric : je n’étais pas mort. Ma mort a été mise en scène.
John : comment et dans quel but ?
Éric : deux mois après que vous ayez arrêté Thomas, on avait découvert que son frère Marcelin a repris ses activités de trafic alors mon boss a voulu que je sois infiltré. Mais pour cela, il faudrait que tout le monde me croie mort.
John : et tu t’es permis de condamner toute une famille, tu te rends compte, maman ne s’en est jamais remise.
Éric : je suis désolé pour ça.
John : tu es désolé, oui c’est ça. Mais merde Éric, pourquoi t’as accepté une telle mission ?
Éric : ce qui est fait est fait John, là n’est plus la question.
John : pourquoi tu es toujours infiltré alors que vous pouvez arrêter ce Marcelin ?
Éric : avec le temps, Marcelin m’a fait confiance et il m’a fait comprendre qu’une grande transaction va avoir lieux mais pour cela, il a besoin de la présence de son grand frère. On parle là de tonne de cocaïnes mon frère, tu imagines.
John : et alors ?
Éric : Marcelin m’a dit de faire sortir son frère de taule alors il m’a donné de l’argent, beaucoup d’argent et je me suis rendu en prison où son frère était détenu. J’ai payé des hommes pour l’agresser et le blesser suffisamment grave pour lui permettre d’être transféré dans un hôpital hors de la prison. C’est ce qui fut fait. Il y avait donc deux équipes pour le sortir de l’hôpital. Si la première échoue, la deuxième devrait s’en charger. Et c’est ce qui s’était passé. On a récupéré Thomas et nous l’avons amené à son frère.
John : maintenant tu vas nous donner leur adresse pour qu’on puisse les arrêter.
Éric : si je fais ça, j’aurai fait tout ça pour rien. Tu ne comprends rien John, la transaction va avoir lieu avec le plus grand trafiquant de drogue qui existe. Je parie que tu connais celui qu’on appelle Eltchoko.
John : tu es sérieux là ?
Éric : je suis très sérieux. Ils vont faire entrer la drogue dans le pays par le biais d’une compagnie de transport en remorque qui fait dans l’importation de ciment. Ils vont faire sortir l’argent par le même chemin.
John : très bien, supposons que tu dis vrai, quand se passera cette transaction ?
Éric : je ne sais pas encore. Quand Thomas sera sur pied certainement.
John : je veux vérifier auprès de ton agence que tu dis vrai.
Éric : pas de soucis mais personne ne doit savoir que je suis en vie.
John : c’est mieux ainsi.
Éric : comment va Krist ?
John : il a failli mourir à cause de toi.
Éric : je suis désolé. Et maman, comment va-t-elle ?
John : elle est toujours en vie.
Éric : ravi de le savoir. Bon, je dois m’en aller.
(Éric se leva et s’en alla. John s’assit et appela Krist).
Krist : allô !
John : salut Krist, je ne t’ai pas réveillé j’espère ?
Krist : non, je ne dormais pas. Qu’y a-t-il ?
John : tu ne devineras jamais qui j’ai trouvé chez moi en rentrant.
Krist : qui c’était ?
John : Éric !
Krist : quoi, qu’est-ce qu’il faisait chez toi, que voulait-il ?
John : il m’a dit qu’il était infiltré dans cette bande par la brigade antidrogue et qu’il était nécessaire que tout le monde le croit mort.
Krist : et tu le crois ?
John : plus ou moins, mais je dois me renseigner demain auprès de son agence.
Krist : d’accord. Tiens-moi au courant.
John : en fait, je pensais à ce qu’on y aille ensemble demain matin.
Krist : non, ça ne sera pas possible.
John : pourquoi ?
Krist : j’ai quelque chose à faire avec ma famille. C’est très important pour moi.
John : bon d’accord, je m’en chargerai.
Krist : d’accord, merci John. Bonne nuit.
John : bonne nuit Krist.
(Il raccrocha. Krist n’arriva pas à dormir alors il décida d’appeler Bertin).
Bertin : allô, pourquoi est-ce que vous m’appelez lieutenant ?
Krist : s’il vous plait, laissez-moi parler à ma femme s’il vous plait.
Bertin : faites ce que je vous demande de faire et vous pourrez les revoir très bientôt.
Krist : s’il vous plait, je ferai tout ce que vous voulez, mais laissez-moi les parler, je vous en prie.
Bertin : très bien, je vous accorde quelques minutes.
(Il alla voir Isabelle et lui remit le téléphone).
Bertin : c’est ton mari.
Isabelle : allô !
Krist : salut chérie, je suis content de t’entendre.
Isabelle : moi aussi mon amour.
Krist : est-ce que cava, ils vous traitent bien ?
Isabelle : oui, ça va bien pour l’instant.
Krist : d’accord, je ne vais pas pouvoir dormir cette nuit sans vous à mes côtés.
Isabelle : moi non plus mon amour, et je ne suis pas la seule.
Krist : ma princesse est toujours debout ?
Isabelle : oui, elle ne cesse de te réclamer.
Krist : je ferai tout pour vous ramener, je te le promets.
Isabelle : je le sais mon amour.
Estelle : maman, c’est papa ?
Isabelle : oui ma chérie. Elle veut te parler Krist.
Krist : passes-la-moi s’il te plait.
(Elle passa le téléphone à Estelle).
Estelle : papa !
Krist : salut ma puce, comment tu vas ?
Estelle : je veux rentrer papa. Quand est-ce que tu viendras me chercher ?
Krist : très bientôt ma chérie, bientôt tu pourras rentrer à la maison. Mais pour l’instant, essaies de dormir d’accord ?
Estelle : d’accord.
Krist : je t’embrasse très fort.
Estelle : moi aussi papa.
Krist : passes le téléphone à maman maintenant.
(Elle passa le téléphone à sa mère).
Isabelle : oui !
Krist : prend bien soin d’elle mon amour, ne fais rien qui pourrait la mettre en danger, je vous retrouverai bientôt.
Isabelle : promis ! Je t’aime Krist.
Krist : je t’aime aussi, de tout mon cœur. Je t’embrasse.
Isabelle : moi aussi.
Krist : remets le téléphone à Bertin maintenant !
(Elle remit le téléphone à Bertin).
Bertin : alors, satisfait ?
Krist : je te remercie de m’avoir accordé cette faveur.
(Il raccrocha et prit un cousin pour le serrer contre lui).
*QG du BEST. (Le matin, tout le monde se retrouva au travail. Samuel vint parler à tout le monde dans la salle des opérations). Samuel: bonjour tout le monde. Comme vous le savez, hier, Thomas a été libéré et nous pensons qu’il a été libéré par les membres de son gang. Notre priorité est donc de le retrouver avant qu’il n’inonde nos rues de drogue. Quelqu’un a-t-il une piste? (Personne ne répondit, John parla à Krist). John: Krist, qu’est-ce qui t’arrive? Krist: tout va bien, pourquoi? John: je ne pense pas que tout va bien. A voir ton visage, il est clair que tu as des problèmes. Tu veux m’en parler? Krist: non ce n’est rien. John: d’accord. Samuel: mettez-vous au travail et retrouvez-moi ce Thomas. (Samuel s’en alla dans son bureau et John le rejoignit). John: bonjour patron. Samuel: John, que puis-je pour toi
*Dans la ville. (Krist fut quelque part loin de chez lui. Il mit le traceur sur les preuves et il appela Bertin). Bertin: je t’ai dit que je te rappellerai à la même heure d’hier. Nous ne sommes qu’à 09h. Krist: je sais mais j’ai ce que vous voulez, il faut que vous libérez ma famille maintenant. Bertin: ce n’est pas aussi facile que ça lieutenant. Krist: que voulez-vous en plus? Bertin: rendez-vous à la plage, un de mes hommes vous trouvera là-bas pour prendre la preuve. Krist: d’accord, j’y vais. Bertin: laisses-moi te prévenir Krist, s’il fouille et qu’il y trouve un traceur ou quoi que ce soit, c’est le cadavre de ta fille que je t’enverrai. Krist: j’ai compris. Bertin: très bien. (Il raccrocha. Krist retira le traceur et le jeta puis il se rendit à la plage). Bertin: Hassan, toi et Aubin, rendez-vous à la plage pour ré
QUATRE JOUR PLUS *Hôtel Amel. (Pendant quatre jours, Krist dormit dans un hôtel de peur que la police puisse l’arrêter chez lui. Ce matin très tôt, il reçut un appel de Bertin). Krist: allô! Bertin: bonjour lieutenant, c’est le moment d’accomplir votre avant dernière mission. Krist: qu’est-ce que je dois faire? Bertin: mon frère va être jugé dans quelques heures et Jonas devra témoigner contre lui. Je veux que vous m’ameniez Jonas. Krist: qu’est-ce que vous allez lui faire? Bertin: ça ce n’est pas votre problème. Krist: la police devra surement le surveiller, je ne peux pas l’atteindre. Bertin: vous êtes intelligent lieutenant, vous trouverez un moyen mais je ne veux pas qu’il se rend au tribunal. Amenez-le-moi ou alors c’est ta famille qui en payera le prix. Krist: j’ai compris, je vous l’amènerai mais je vous préviens, si v
*Hôtel Palace, chambre de Bertin. (Aubin et Martin amenèrent Jonas à Bertin). Bertin: j’espère que mes hommes ne vous ont pas trop brusqué? Jonas: vous paierez un jour pour vos crimes votre frère et vous. Bertin: mon frère n’est pas un criminel. Jonas: ah oui, alors pourquoi vous essayez de le faire libérer de façon illégale? Il devrait se défendre devant le tribunal pour prouver qu’il n’est pas un criminel, mais ce que vous faites, c’est la preuve qu’il en est un. Bertin: attachez-le et enfermez-le avec les autres. Attachez aussi la femme du lieutenant. Coller leurs bouches et amenez-moi sa fille. Dépêchez-vous, nous partons d’ici. (Aubin et Martin attachèrent Jonas et Isabelle puis ils prirent Estelle). Estelle: maman, maman…! Isabelle: humm, hummmm, humm! (Ils rejoignirent Bertin avec Estelle. Ils descendirent au parking de l’hôtel et p
*Chez Krist. (Krist ramena sa famille à la maison. Il descendit pour ouvrir le portail avant de faire entrer sa voiture et de la garer). Isabelle: enfin à la maison! Krist: j’espère que cette expérience n’a pas été traumatisante pour toi mon amour? Isabelle: ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Krist: suis ravi de le savoir. Occupez-vous de la douche, moi je m’occupe de vous faire un repas chaud. Isabelle: d’accord. Krist: ma puce, maman va te laver et moi je vais te faire un bon repas. Estelle: d’accord papa. (Ainsi, Krist se mit à la cuisine, Isabelle lava sa fille avant de prendre sa douche. Après cela, ils passèrent à table). Krist: chérie, ce soir, je veux que toi et moi, s’offrions un diner romantique, je veux passer de meilleurs moments avec toi. Isabelle: ça me fera très plaisir mon amour. Krist: génial
*Chez Krist. (Tôt le matin, Krist se réveilla et resta debout pour regarder sa femme qui dormit encore. Il la regarda pendant un long moment et Isabelle se réveilla. Il salut son mari avec sourire). Isabelle: salut! Krist (sourire): salut! Isabelle: t’es réveillé depuis longtemps? Krist: assez oui. Isabelle: pourquoi tu me fixe du regard comme ça? Krist: ce qui vous est arrivé a réveillé d’autres sentiments en moi. Je me suis rendu compte que je t’aime tellement plus que ce que je ne l’imaginais. Je me rends compte que j’ai énormément de chance de t’avoir dans ma vie et je ne veux pas te perdre. Je veux passer plus de temps avec toi, je veux te contempler profondément et profiter de chaque instant du don précieux que Dieu m’ait fait. Isabelle(sourire): ne t’inquiètes pas, tu ne me perdras pas, seule la mort pourra me séparer de toi. Krist&nb
*Chemin. (Le matin, Krist se rendit à 06h se placer sur la route avec laquelle, Isabelle se rendit à l’école. Il attendit là et à 06h30, Isabelle arriva. Elle le vit de loin). Isabelle: mon Dieu, pas lui! Je vais l’ignorer. (Elle marcha et fit comme si elle ne voyait pas Krist et voulut passer). Krist: hey, ne me dis pas que tu ne me voispas? Isabelle: encore vous, c’est quoi votre problème? Krist: je suis obsédé par vous depuis que je vous ai croisé hier, je n’ai pas pu dormir cette nuit. Isabelle: c’est pareil pour moi, je n’arrêtais pas de faire des cauchemars de vous. Krist: mensonge, dites plutôt que vous rêvez de moi. Isabelle: tshruiiiiip! (Elle voulut s’en aller). Krist: attends! Isabelle: quoi? (Il la prit en photo). Isabelle: qu’est-ce que vous faites? Effa
PRESENTEMENT *Chez Krist. (Isabelle alla dans la cuisine pour préparer. Krist se rendit dans la chambre de sa fille. Elle dormit encore mais il resta au bord de son lit pour l’observer attentivement). Krist: tu m’as donné une si belle petite fille mon amour, c’est le plus beau cadeau que tu m’aies fait Isabelle. (Il caressa les cheveux de sa fille). Krist: qui aurait cru que c’est avec toi que j’aurai cette belle petite fille? IL Y A SIX ANS. (Krist arrêta de voir Isabelle pendant une semaine. C’est vrai qu’elle le détestait mais en même temps, il lui manquait, c’est ce qu’elle ne comprenait pas. Mais le samedi, Krist l’attendit en route non loin de chez elle pour la prendre et l’amener à l’école). Krist: bonjour ma chérie. Isabelle: ne m’appelle pas comme ça ok, je ne suis pas ta chérie. Krist: aller, montes que je te dépose? Isabelle: je m’en sors