*Chez Bertin.
(Estelle se plaignait d’avoir faim).
Estelle : maman, maman j’ai faim.
Isabelle : attend, je vais demander à ces messieurs de quoi manger.
(Isabelle cria).
Isabelle : hey, s’il vous plait !
Bertin : vas voir et fais-la taire !
(Hassan alla dans la chambre).
Hasan : hey, si vous continuez à crier, je vous colle la bouche.
Isabelle : s’il vous plait, ma fille a faim, vous n’allez pas la laisser mourir de faim ?
Estelle : maman, je veux rentrer à la maison.
Isabelle : je sais ma puce, on va rentrer bientôt, papa va venir nous chercher. S’il vous plait, apportez-lui à manger.
Hassan : restez tranquille, je reviens !
(Hassan rejoignit Bertin).
Bertin : que se passe-t-il ?
Hassan : la petite a faim.
Bertin : Aubin, vas lui acheter à manger.
Aubin : d’accord, j’y vais.
(Bertin donna de l’argent à Aubin qui alla acheter de quoi manger à Estelle et sa mère).
*A l’hôpital.
(Samuel s’approcha de Krist et John).
Samuel : John, est-ce que ça va ?
John : ça ira monsieur, j’ai connu mieux.
Samuel : ok, Thomas doit être transféré dans un autre hôpital. Il faut que tu assures le transfert Krist.
Krist : quelqu’un d’autre ne peut pas me remplacer ?
Samuel : sans toi, on l’aura déjà perdu Krist, il est en sécurité en ta présence.
Krist : d’accord. Il faudra cuisiner ces deux-là pour savoir qui les as envoyés. Peut-être qu’on pourra retrouver la drogue de monsieur Thomas, la totalité.
Samuel : c’est ce qu’on compte faire. Le transfert est près.
Krist : bien.
John : allons-y !
Krist : quoi, tu es blessé, tu dois te reposer.
John : non cava, je veux venir.
Samuel : tu te sens capable ?
John : oui monsieur.
Samuel : très bien, allez-y !
Krist : c’est une mauvaise idée !
John : ne t’en fais pas pour moi.
(Ils rejoignirent l’ambulance de transfert et montèrent à l’arrière où se trouvent Thomas. Krist s’approcha de lui).
Krist : monsieur Thomas, ces hommes sont venus pour toi où pour te tuer ?
(Il ne dit rien).
Krist : vas-y parles, dis-moi pourquoi ils étaient là ?
(Il se mit à sourire).
Thomas : ce n’est pas encore finit !
*
(En voiture à quelques mètres devant eux. Des hommes dans deux voitures arrivèrent. L’un d’eux passa un appel à Marcelin, le boss).
Marcelin : oui !
Éric : patron, nous l’avons retrouvé grâce au traceur que vos hommes ont placé sur lui.
Marcelin : il est avec eux ?
Éric : non, je crois qu’ils n’ont pas réussi. Les policiers le transfèrent dans un autre hôpital.
Marcelin : interceptez-les et ramenez-moi mon frère.
Éric : à vos ordres !
(Il raccrocha).
Éric : tiens-toi prêt à viser les pneus quand on sera tout près.
*
(Dans l’ambulance, Krist continua de parler à Thomas).
Krist : qu’est-ce que ça veut dire, qu’est-ce que ça veut dire ce n’est pas encore finit ?
Thomas : vous ne tarderez pas à le savoir.
(Il posa encore la question quand l’ambulance reçu une balle dans la roue. Le chauffeur fit l’effort de l’arrêter mais ils tombèrent. Krist étant debout tomba et heurta sa tête contre la paroi de l’ambulance et perdit connaissance. John également était dans l’impossibilité de réagir mais il fit l’effort d’appeler les secours).
John : on a été attaqué, je répète, on a été attaqué.
(Éric et ses hommes arrêtèrent leurs véhicules et tuèrent le chauffeur. Éric ouvrit les portières de l’ambulance et reconnu John. John aussi le reconnu).
Éric : sortez monsieur Thomas d’ici, je m’occupe de ces policiers !
(Ils sortirent donc Thomas et l’amenèrent dans leur voiture. Éric s’approcha de John).
John (surpris) : Éric ! Comment est-ce possible que tu sois en vie ?
(Éric tira quatre coups par terre et sortit de l’ambulance. Il rejoignit les autres et ils partirent. Samuel et d’autres policiers arrivèrent. Krist fut toujours inconscient. Une autre ambulance le prit pour s’occuper de lui. Une autre s’occupa des blessés dû à l’accident. Samuel parla à John).
Samuel : que s’est-il passé ?
John : on a été attaqué.
Samuel : par qui ?
John : les mêmes qui ont tenté d’enlever Thomas à l’hôpital.
Samuel : comment ils ont su où vous étiez ?
John : je crois qu’ils avaient placé un traceur sur lui.
Samuel : comment ça s’est passé ?
John : Krist était debout en train d’interroger Thomas et il disait que ce n’était pas fini. En même temps, nous étions tombés et je crois que Krist a reçu un grand coup.
Samuel : pourquoi ils ne vous ont pas tué ?
John : parce que je connais l’un des braqueurs.
Samuel : qui c’était ?
John : Éric, mon frère.
Samuel : quoi, c’est impossible, vous en êtes sûr ?
John : sûr et certain, c’était lui.
Samuel : mais votre frère est mort il y’a presqu’un an ?
John : c’est ce que je croyais aussi, jusqu’à ce que je le voie aujourd’hui. Il faut croire qu’on peut aussi tromper la mort.
Samuel : ça va aller. Docteur, occupez-vous de lui !
(Un docteur vint s’occuper donc de John. De l’autre côté, en chemin vers l’hôpital, Krist reprit connaissance).
Krist : docteur, où suis-je ?
Docteur : dans une ambulance, on vous amène à l’hôpital lieutenant.
Krist : mon ami John, comment il va ?
Docteur : il va bien, ne vous inquiétez pas.
Krist : je vais bien docteur, ça va aller.
Docteur : vous avez perdu connaissance pendant un long moment lieutenant, on doit vous examiner.
Krist : le prisonnier, comment va-t-il ?
Docteur : il a été amené par les hommes qui vous ont attaqué.
Krist : merde, nous l’avons perdu, merde !
Docteur : lieutenant, vous êtes en vie, je crois que c’est le plus important.
(Krist appela John).
John : allô Krist !
Krist : salut John, est-ce que ça va ?
John : c’est à moi de te poser cette question ?
Krist : moi cava. J’ai juste un peu la tête qui tourne.
John : d’accord, tu es à l’hôpital ?
Krist : on n’y sera bientôt.
John : d’accord, j’arrive.
Krist : ok.
(Krist raccrocha. John s’approcha d’un agent, Oscar).
John : tu peux m’amener à l’hôpital s’il te plait ?
Oscar : bien sûr !
John : commandant, je vais voir Krist à l’hôpital.
Samuel : d’accord.
(John monta dans la voiture d'Oscar qui l’amena à l’hôpital).
*A l’hôpital.
(Krist se fit soigner et sortit de l’hôpital. Là il trouva John).
Krist : salut !
John : salut, content de savoir que tu vas bien.
Krist : moi aussi.
(Ils montèrent dans la voiture d'Oscar).
Krist : amènes-nous à l’hôpital central, je dois récupérer ma voiture.
Oscar : d’accord.
(Ils partirent vers l’hôpital).
Krist : comment se fait-il que ces hommes ne nous ont pas tué ?
John : l’un parmi eux nous a laissé vivre. Il a tiré volontairement à terre pour faire croire qu’il nous avait tués.
Krist : pourquoi il aurait fait ça ?
John : parce que c’était Éric.
Krist : quoi, Éric !
John : oui, c’était lui.
Krist : ton frère est mort il y’a bien longtemps alors comment se fait-il qu’il soit toujours en vie ?
John : pour ça, il faudrait que je le retrouve pour comprendre.
Krist : tu crois qu’il est devenu vraiment un trafiquant de drogue, lui qui était un si bon policier et qui nous a aidé à les arrêter ?
John : je ne sais plus quoi croire Krist, hier encore il était mort et aujourd’hui il est en vie avec des cartels alors je n’en sais rien.
Krist : incroyable !
(Ils arrivèrent à l’hôpital et Krist prit sa voiture).
John : on devrait aller faire notre rapport de la journée avant de rentrer.
Krist : on devrait interroger les deux mecs qu’on avait arrêtés pour voir ce qu’ils voulaient à Thomas.
John : d’accord.
(Ils retournèrent donc à l'agence alors que le soleil se couchait déjà).
*QG du BEST.
(Krist et John arrivèrent au à l'agence et se rendirent dans la salle d’interrogatoire. Ils séparèrent les deux mecs pour les interroger. Alex leur apporta les dossiers sur les types).
Krist : alors, tu t’appelles Marcus, tu as un casier très riche mon ami. Vol à main armée, trafic de drogue, agression, vol de voiture sans oublier le meurtre des policiers tout à l’heure. Tu risques la peine de mort mon ami. Mais si tu parles, ta collaboration pourra jouer en ta faveur.
Marcus : qu’est-ce que vous voulez savoir ?
John : commence par nous donner le nom et l’adresse de la personne qui vous a chargé de lui amener Thomas.
Marcus : je ne connais ni son nom, ni son adresse.
Krist : et tu penses sincèrement qu’on va gober ça ?
Marcus : c’est la vérité.
John : comment tu travailles pour une personne sans la connaitre ?
Marcus : je ne connais que son homme de main. Celui qui nous a chargé de cette mission.
Krist : comment s’appelle-t-il ?
Marcus : on l’appelle Kol, c’est lui qui nous commissionne toutes les missions venant de son boss. C’est tout ce que je sais.
Krist : il nous faudra mieux que ça.
Marcus : c’est tout ce que je sais, je vous jure.
(John sortit son téléphone et montra la photo d’Éric à Marcus).
John : regardes cette photo ! Est-ce que c’est cet homme ?
Marcus : oui, oui c’est lui. C’est lui qui nous a dit d’enlever Thomas.
(Krist et John se regardèrent).
Krist : où est-ce que vous devez lui amener Thomas ?
Marcus : dans un entrepôt à l’Est d’ici, à Figil.
John : donnes-nous l’adresse.
(Il leur donna l’adresse).
Krist : allons-y !
(Ils sortirent et montèrent dans la voiture de Krist pour partir. Ils appelèrent Samuel en chemin).
Samuel : Krist, cava mieux ?
Krist : oui cava patron. Nous avons une piste pour Thomas, nous allons vérifier.
Samuel : d’accord, tenez-moi au courant.
Krist : compris !
(Ils partirent donc à l’adresse donnée par Marcus).
*Chez Marcelin. (Éric et les autres amenèrent Thomas chez Marcelin. Il les accueillit en personne). Marcelin: grand frère, te voilà enfin! Thomas: merci de m’avoir fait sortir de là petit frère. Marcelin: je suis désolé que les hommes que j’ai payés t’aient poignardé aussi gravement dans la prison. Thomas: pour me permettre de sortir, il faudrait que ce soit grave. Ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Marcelin: il le faut. Nous avons une grosse transaction à faire. Docteur, occupez-vous de mon frère. Docteur: amenez-le ici! (Ils l’amenèrent dans une salle et le docteur s’occupa de lui. Marcelin s’approcha d’Éric). Marcelin: Kol, merci beaucoup d’avoir ramené mon frère. Éric: je ne fais que mon travail monsieur. Marcelin: et tu le fais très bien, merci. Éric: je vous en prie. Marcelin: tu peux prendre ta
*QG du BEST. (Le matin, tout le monde se retrouva au travail. Samuel vint parler à tout le monde dans la salle des opérations). Samuel: bonjour tout le monde. Comme vous le savez, hier, Thomas a été libéré et nous pensons qu’il a été libéré par les membres de son gang. Notre priorité est donc de le retrouver avant qu’il n’inonde nos rues de drogue. Quelqu’un a-t-il une piste? (Personne ne répondit, John parla à Krist). John: Krist, qu’est-ce qui t’arrive? Krist: tout va bien, pourquoi? John: je ne pense pas que tout va bien. A voir ton visage, il est clair que tu as des problèmes. Tu veux m’en parler? Krist: non ce n’est rien. John: d’accord. Samuel: mettez-vous au travail et retrouvez-moi ce Thomas. (Samuel s’en alla dans son bureau et John le rejoignit). John: bonjour patron. Samuel: John, que puis-je pour toi
*Dans la ville. (Krist fut quelque part loin de chez lui. Il mit le traceur sur les preuves et il appela Bertin). Bertin: je t’ai dit que je te rappellerai à la même heure d’hier. Nous ne sommes qu’à 09h. Krist: je sais mais j’ai ce que vous voulez, il faut que vous libérez ma famille maintenant. Bertin: ce n’est pas aussi facile que ça lieutenant. Krist: que voulez-vous en plus? Bertin: rendez-vous à la plage, un de mes hommes vous trouvera là-bas pour prendre la preuve. Krist: d’accord, j’y vais. Bertin: laisses-moi te prévenir Krist, s’il fouille et qu’il y trouve un traceur ou quoi que ce soit, c’est le cadavre de ta fille que je t’enverrai. Krist: j’ai compris. Bertin: très bien. (Il raccrocha. Krist retira le traceur et le jeta puis il se rendit à la plage). Bertin: Hassan, toi et Aubin, rendez-vous à la plage pour ré
QUATRE JOUR PLUS *Hôtel Amel. (Pendant quatre jours, Krist dormit dans un hôtel de peur que la police puisse l’arrêter chez lui. Ce matin très tôt, il reçut un appel de Bertin). Krist: allô! Bertin: bonjour lieutenant, c’est le moment d’accomplir votre avant dernière mission. Krist: qu’est-ce que je dois faire? Bertin: mon frère va être jugé dans quelques heures et Jonas devra témoigner contre lui. Je veux que vous m’ameniez Jonas. Krist: qu’est-ce que vous allez lui faire? Bertin: ça ce n’est pas votre problème. Krist: la police devra surement le surveiller, je ne peux pas l’atteindre. Bertin: vous êtes intelligent lieutenant, vous trouverez un moyen mais je ne veux pas qu’il se rend au tribunal. Amenez-le-moi ou alors c’est ta famille qui en payera le prix. Krist: j’ai compris, je vous l’amènerai mais je vous préviens, si v
*Hôtel Palace, chambre de Bertin. (Aubin et Martin amenèrent Jonas à Bertin). Bertin: j’espère que mes hommes ne vous ont pas trop brusqué? Jonas: vous paierez un jour pour vos crimes votre frère et vous. Bertin: mon frère n’est pas un criminel. Jonas: ah oui, alors pourquoi vous essayez de le faire libérer de façon illégale? Il devrait se défendre devant le tribunal pour prouver qu’il n’est pas un criminel, mais ce que vous faites, c’est la preuve qu’il en est un. Bertin: attachez-le et enfermez-le avec les autres. Attachez aussi la femme du lieutenant. Coller leurs bouches et amenez-moi sa fille. Dépêchez-vous, nous partons d’ici. (Aubin et Martin attachèrent Jonas et Isabelle puis ils prirent Estelle). Estelle: maman, maman…! Isabelle: humm, hummmm, humm! (Ils rejoignirent Bertin avec Estelle. Ils descendirent au parking de l’hôtel et p
*Chez Krist. (Krist ramena sa famille à la maison. Il descendit pour ouvrir le portail avant de faire entrer sa voiture et de la garer). Isabelle: enfin à la maison! Krist: j’espère que cette expérience n’a pas été traumatisante pour toi mon amour? Isabelle: ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Krist: suis ravi de le savoir. Occupez-vous de la douche, moi je m’occupe de vous faire un repas chaud. Isabelle: d’accord. Krist: ma puce, maman va te laver et moi je vais te faire un bon repas. Estelle: d’accord papa. (Ainsi, Krist se mit à la cuisine, Isabelle lava sa fille avant de prendre sa douche. Après cela, ils passèrent à table). Krist: chérie, ce soir, je veux que toi et moi, s’offrions un diner romantique, je veux passer de meilleurs moments avec toi. Isabelle: ça me fera très plaisir mon amour. Krist: génial
*Chez Krist. (Tôt le matin, Krist se réveilla et resta debout pour regarder sa femme qui dormit encore. Il la regarda pendant un long moment et Isabelle se réveilla. Il salut son mari avec sourire). Isabelle: salut! Krist (sourire): salut! Isabelle: t’es réveillé depuis longtemps? Krist: assez oui. Isabelle: pourquoi tu me fixe du regard comme ça? Krist: ce qui vous est arrivé a réveillé d’autres sentiments en moi. Je me suis rendu compte que je t’aime tellement plus que ce que je ne l’imaginais. Je me rends compte que j’ai énormément de chance de t’avoir dans ma vie et je ne veux pas te perdre. Je veux passer plus de temps avec toi, je veux te contempler profondément et profiter de chaque instant du don précieux que Dieu m’ait fait. Isabelle(sourire): ne t’inquiètes pas, tu ne me perdras pas, seule la mort pourra me séparer de toi. Krist&nb
*Chemin. (Le matin, Krist se rendit à 06h se placer sur la route avec laquelle, Isabelle se rendit à l’école. Il attendit là et à 06h30, Isabelle arriva. Elle le vit de loin). Isabelle: mon Dieu, pas lui! Je vais l’ignorer. (Elle marcha et fit comme si elle ne voyait pas Krist et voulut passer). Krist: hey, ne me dis pas que tu ne me voispas? Isabelle: encore vous, c’est quoi votre problème? Krist: je suis obsédé par vous depuis que je vous ai croisé hier, je n’ai pas pu dormir cette nuit. Isabelle: c’est pareil pour moi, je n’arrêtais pas de faire des cauchemars de vous. Krist: mensonge, dites plutôt que vous rêvez de moi. Isabelle: tshruiiiiip! (Elle voulut s’en aller). Krist: attends! Isabelle: quoi? (Il la prit en photo). Isabelle: qu’est-ce que vous faites? Effa