*QG du BEST.
(Le matin, tout le monde se retrouva au travail. Samuel vint parler à tout le monde dans la salle des opérations).
Samuel : bonjour tout le monde. Comme vous le savez, hier, Thomas a été libéré et nous pensons qu’il a été libéré par les membres de son gang. Notre priorité est donc de le retrouver avant qu’il n’inonde nos rues de drogue. Quelqu’un a-t-il une piste ?
(Personne ne répondit, John parla à Krist).
John : Krist, qu’est-ce qui t’arrive ?
Krist : tout va bien, pourquoi ?
John : je ne pense pas que tout va bien. A voir ton visage, il est clair que tu as des problèmes. Tu veux m’en parler ?
Krist : non ce n’est rien.
John : d’accord.
Samuel : mettez-vous au travail et retrouvez-moi ce Thomas.
(Samuel s’en alla dans son bureau et John le rejoignit).
John : bonjour patron.
Samuel : John, que puis-je pour toi ?
John : monsieur, je crois avoir une piste sur Thomas.
Samuel : ah bon, pourquoi tu n’as rien dit quand j’avais demandé ?
John : je n’en suis pas encore sûr commandant.
Samuel : c’est quoi cette piste ?
John : mon frère.
Samuel : ton frère, expliques-moi !
John : je lui ai parlé hier nuit et il m’a affirmé que la brigade antidrogue avait mis sa mort en scène pour pouvoir l’infiltré dans la bande de Thomas parce qu’ils pensaient que quelqu’un d’autre continuait ses activités. Il s’agit de son frère Marcelin et c’est lui qui l’a fait évader. Une grosse transaction se prépare et il a besoin de Thomas pour passer les accords.
Samuel : et tu crois tout ça ?
Éric : il n’a aucune raison de me mentir. Toutefois, je compte me rendre dans la brigade antidrogue pour me renseigner sur tout ça.
Samuel : non, laisses ça, je m’en charge tout de suite.
(Samuel appela le directeur de la brigade antidrogue, monsieur Léon).
Léon : allô !
Samuel : oui, bonjour Léon !
Léon : Samuel, bonjour. Que me vaut cet appel ?
Samuel : c’est à propos de l’un de vos hommes, Éric.
Léon : Éric, qu’y a-t-il à son sujet ?
Samuel : j’aimerai savoir s’il est vraiment infiltré dans la bande de monsieur Thomas qu’on avait arrêté l’an dernier.
Léon : Éric est mort commandant.
Samuel : ah, donc c’est surement son fantôme qui a agressé mes hommes hier et qui a libéré Thomas ? Ne me prends pas pour un idiot Léon, je veux connaitre la vérité.
Léon : très bien, ok c’est vrai, Éric est infiltré dans le gang et il va nous mener jusqu’à Eltchoko.
Samuel : Eltchoko, qu’est-ce qu’il viendrait faire ici ?
Léon : d’après Éric, c’est lui qui fournissait de la drogue a Thomas mais depuis qu’il a été arrêté, Eltchoko s’est retiré mais Marcelin a repris le flambeau de son frère et il a tout fait pour que Eltchoko revienne dans la partie mais il ne veut traiter qu’avec Thomas, c’est pourquoi Éric l’a libéré.
Samuel : vous aurez dû partager ses infos avec nous, quatre de mes hommes sont à l’hosto à cause de ça.
Léon : je suis désolé mais si nous réussissons à mettre la main sur Thomas et son frère ainsi que sur Eltchoko et la quantité de drogue et d’argent qu’ils transporteront, nous porterons un grand coup au monde de la drogue.
Samuel : très bien, tiens-moi au courant et je veux participer à l’opération, ça me concerne aussi.
Léon : bien évidemment. Mais retiens une chose, Éric doit demeurer mort.
Samuel : compris !
(Il raccrocha).
Samuel : c’est vrai John, ton frère est bel et bien infiltré et tout ce qu’il t’a raconté est vrai.
John : d’accord, je suis soulagé d’entendre ça.
*Chez Marcelin.
(Marcelin se rendit ce matin dans la chambre de son frère avec le petit déjeuner).
Marcelin : bonjour grand frère.
Thomas : bonjour.
Marcelin : comment tu te sens ?
Thomas : ça ira, grâce à toi.
Marcelin : tiens, manges quelque chose !
Thomas : merci. Parles-moi des affaires.
Marcelin : t’inquiètes, quand tu seras rétablit, je te parlerai de tout, sois patient.
Thomas : d’accord, mais dis-moi que tout va bien au moins.
Marcelin : oui les affaires marchent comme sur des roulettes. La police pense que tout s’est arrêté avec ton arrestation et ne se doute de rien.
Thomas : mais mon enlèvement va les mettre encore sur nos dos.
Marcelin : c’est vrai mais ça sera trop tard quand ils réagiront.
Thomas : tu t’es occupé de tout han !
Marcelin : oui grand frère.
Thomas : je suis fier de toi.
Marcelin : merci.
*Hôtel, chambre de Bertin.
(Le matin, Estelle revendiqua son droit à la scolarisation).
Estelle : maman, il est l’heure de partir à l’école.
Isabelle : tu ne peux pas aller à l’école aujourd’hui ma puce.
Estelle : mais pourquoi maman, je veux partir à l’école.
Isabelle : je sais ma chérie, mais ces hommes ne te laisseront pas partir. Tu vas devoir attendre un autre jour.
Estelle : mais si je ne vais pas à l’école, la maîtresse va me punir.
Isabelle : ne t’en fait pas, ton père va s’occuper de tout et ta maitresse ne te fera rien.
Estelle : d’accord maman. Est-ce qu’on ne va pas manger ce matin ?
Isabelle : nous sommes prisonnières ma puce, on ne peut plus faire ce qu’on faisait chez nous.
(Bertin arriva avec de la nourriture. Il entra et ferma la porte).
Bertin : viens ma puce, je t’ai apporté à manger.
(Estelle courut jusqu’à lui et il lui donna le repas. Quant à lui, il fixa Isabelle avec envie).
Isabelle : pourquoi vous me regardez comme ça ?
Bertin : vous êtes tellement belle que je suis sans voix en vous regardant ! Comment êtes-vous arrivé à tomber amoureuse d’un policier qui n’a presque pas le temps et qui peut mourir du jour au lendemain ? Vous méritez mieux que lui.
Isabelle : ce ne sont pas vos affaires.
Bertin : bon appétit !
(Il s’en alla. Isabelle mangea avec sa fille).
*QG du BEST.
(Krist sortit quand John arriva derrière lui).
John : Krist, hey Krist, où est-ce que tu vas ?
Krist : je vais à l’école de ma fille.
John : ok, je n’ai rien à faire alors je t’accompagne.
Krist : non, ce n’est pas nécessaire, je m’en chargerai tout seul.
John : tu es très bizarre Krist, qu’est-ce qui ne va pas ?
Krist (furieux) : je te dis que tout va bien, lâches-moi un peu.
(Il entra dans sa voiture et s’en alla. Il alla avertir la maitresse que sa fille ne sera pas présente à l’école pendant un certain temps puis il rentra chez lui. Il réfléchit à comment il fera pour retirer ces preuves contre Paulin, le frère de Bertin. Après quelques minutes, il repartit à l'agence. Il alla trouver Romain, celui qui est chargé de déposer les preuves dans les archives).
Krist : salut Romain !
Romain : bonjour Krist, comment cava ?
Krist : bien. J’aurais besoin d’accéder dans la salle des archives.
Romain : pour quoi faire ?
Krist : je dois vérifier si l’arme qui a servi a tué Gérard est la même qui a aussi servi à un autre meurtre.
Romain : qu’est-ce qui te fait penser ça ?
Krist : s’il te plait, tu vas m’aider ou pas ? Tu me connais, c’est que c’est très important.
Romain : bon d’accord, suis-moi !
(Romain le conduisit dans la salle des archives. Ils arrivèrent devant un casier dans lequel se trouvait les preuves).
Romain : c’est ici, dans ce casier, je vais l’ouvrir pour toi.
(Romain introduisit la clef dans la serrure et Krist frappa sa nuque pour l’assommer. Il prit les preuves et sortit de la salle des archives. Il se rendit dans le bureau d’Alex).
Krist : salut Alex.
Alex : bonjour Krist.
Krist : j’ai besoin d’un traceur.
Alex : pour quoi faire ?
Krist : je soupçonne ma femme de me tromper. Je veux placer ça sur sa voiture pour voir où elle se rend.
Alex : je peux me connecter sur le signale GPS de sa voiture.
Krist : elle sait bien que je peux faire comme ça donc elle pourrait le désactiver.
Alex : d’accord, accordes-moi quelques minutes.
Krist : fais vite !
(Après quelques minutes, Alex lui donna le traceur et il sortit de son bureau. Il croisa John).
John : Krist, je te cherchais, le patron a besoin de nous.
Krist : désolé, je n’ai pas le temps.
(Il continua son chemin et alla à sa voiture. John l’appela en vain et il alla voir Samuel).
Samuel : où est Krist ?
John : il est parti.
Samuel : comment ça il est parti ?
John : il est parti comme ça. Je crois qu’il a de sérieux problèmes mais il ne veut pas en parler.
Samuel : très bien, appelles-moi Romain.
(John se rendit au bureau de Romain mais ne le trouva pas. Il demanda et on lui dit qu’il partait tout à l’heure aux archives avec Krist. Il se rendit donc aux archives et trouva Romain inconscient par terre).
John : à l’aide, venez m’aider !
(Quelques agents arrivèrent. John essaya de réveiller Romain et il réussit).
John : Romain, Romain, est-ce que ça va ?
Romain : oui je crois.
John : qu’est-ce qui s’est passé ?
(Samuel arriva).
Romain : Krist, il m’a assommé.
Samuel : Krist, pourquoi il aurait fait ça ?
Romain : je ne sais pas, il a emporté les preuves contre Paulin.
John : quoi, pourquoi il a pris ça ?
Romain : je n’en sais rien, je n’en ai aucune idée.
Samuel : John, appelle-le et demandes-lui de venir immédiatement ici.
(John l’appela).
John : ça sonne dans le vide.
Samuel : mais qu’est-ce qui lui prend, il veut foutre sa carrière en l’air ou quoi ?
John : il doit avoir une bonne raison.
Samuel : prends quelques hommes avec toi et allez voir chez lui !
John : à vos ordres !
(John prit trois hommes avec lui et se rendit chez Krist mais ils ne le trouvèrent pas. Sa femme non plus ne fut pas à la maison. Ils retournèrent donc à l'agence).
*Dans la ville. (Krist fut quelque part loin de chez lui. Il mit le traceur sur les preuves et il appela Bertin). Bertin: je t’ai dit que je te rappellerai à la même heure d’hier. Nous ne sommes qu’à 09h. Krist: je sais mais j’ai ce que vous voulez, il faut que vous libérez ma famille maintenant. Bertin: ce n’est pas aussi facile que ça lieutenant. Krist: que voulez-vous en plus? Bertin: rendez-vous à la plage, un de mes hommes vous trouvera là-bas pour prendre la preuve. Krist: d’accord, j’y vais. Bertin: laisses-moi te prévenir Krist, s’il fouille et qu’il y trouve un traceur ou quoi que ce soit, c’est le cadavre de ta fille que je t’enverrai. Krist: j’ai compris. Bertin: très bien. (Il raccrocha. Krist retira le traceur et le jeta puis il se rendit à la plage). Bertin: Hassan, toi et Aubin, rendez-vous à la plage pour ré
QUATRE JOUR PLUS *Hôtel Amel. (Pendant quatre jours, Krist dormit dans un hôtel de peur que la police puisse l’arrêter chez lui. Ce matin très tôt, il reçut un appel de Bertin). Krist: allô! Bertin: bonjour lieutenant, c’est le moment d’accomplir votre avant dernière mission. Krist: qu’est-ce que je dois faire? Bertin: mon frère va être jugé dans quelques heures et Jonas devra témoigner contre lui. Je veux que vous m’ameniez Jonas. Krist: qu’est-ce que vous allez lui faire? Bertin: ça ce n’est pas votre problème. Krist: la police devra surement le surveiller, je ne peux pas l’atteindre. Bertin: vous êtes intelligent lieutenant, vous trouverez un moyen mais je ne veux pas qu’il se rend au tribunal. Amenez-le-moi ou alors c’est ta famille qui en payera le prix. Krist: j’ai compris, je vous l’amènerai mais je vous préviens, si v
*Hôtel Palace, chambre de Bertin. (Aubin et Martin amenèrent Jonas à Bertin). Bertin: j’espère que mes hommes ne vous ont pas trop brusqué? Jonas: vous paierez un jour pour vos crimes votre frère et vous. Bertin: mon frère n’est pas un criminel. Jonas: ah oui, alors pourquoi vous essayez de le faire libérer de façon illégale? Il devrait se défendre devant le tribunal pour prouver qu’il n’est pas un criminel, mais ce que vous faites, c’est la preuve qu’il en est un. Bertin: attachez-le et enfermez-le avec les autres. Attachez aussi la femme du lieutenant. Coller leurs bouches et amenez-moi sa fille. Dépêchez-vous, nous partons d’ici. (Aubin et Martin attachèrent Jonas et Isabelle puis ils prirent Estelle). Estelle: maman, maman…! Isabelle: humm, hummmm, humm! (Ils rejoignirent Bertin avec Estelle. Ils descendirent au parking de l’hôtel et p
*Chez Krist. (Krist ramena sa famille à la maison. Il descendit pour ouvrir le portail avant de faire entrer sa voiture et de la garer). Isabelle: enfin à la maison! Krist: j’espère que cette expérience n’a pas été traumatisante pour toi mon amour? Isabelle: ne t’inquiète pas, je m’en remettrai. Krist: suis ravi de le savoir. Occupez-vous de la douche, moi je m’occupe de vous faire un repas chaud. Isabelle: d’accord. Krist: ma puce, maman va te laver et moi je vais te faire un bon repas. Estelle: d’accord papa. (Ainsi, Krist se mit à la cuisine, Isabelle lava sa fille avant de prendre sa douche. Après cela, ils passèrent à table). Krist: chérie, ce soir, je veux que toi et moi, s’offrions un diner romantique, je veux passer de meilleurs moments avec toi. Isabelle: ça me fera très plaisir mon amour. Krist: génial
*Chez Krist. (Tôt le matin, Krist se réveilla et resta debout pour regarder sa femme qui dormit encore. Il la regarda pendant un long moment et Isabelle se réveilla. Il salut son mari avec sourire). Isabelle: salut! Krist (sourire): salut! Isabelle: t’es réveillé depuis longtemps? Krist: assez oui. Isabelle: pourquoi tu me fixe du regard comme ça? Krist: ce qui vous est arrivé a réveillé d’autres sentiments en moi. Je me suis rendu compte que je t’aime tellement plus que ce que je ne l’imaginais. Je me rends compte que j’ai énormément de chance de t’avoir dans ma vie et je ne veux pas te perdre. Je veux passer plus de temps avec toi, je veux te contempler profondément et profiter de chaque instant du don précieux que Dieu m’ait fait. Isabelle(sourire): ne t’inquiètes pas, tu ne me perdras pas, seule la mort pourra me séparer de toi. Krist&nb
*Chemin. (Le matin, Krist se rendit à 06h se placer sur la route avec laquelle, Isabelle se rendit à l’école. Il attendit là et à 06h30, Isabelle arriva. Elle le vit de loin). Isabelle: mon Dieu, pas lui! Je vais l’ignorer. (Elle marcha et fit comme si elle ne voyait pas Krist et voulut passer). Krist: hey, ne me dis pas que tu ne me voispas? Isabelle: encore vous, c’est quoi votre problème? Krist: je suis obsédé par vous depuis que je vous ai croisé hier, je n’ai pas pu dormir cette nuit. Isabelle: c’est pareil pour moi, je n’arrêtais pas de faire des cauchemars de vous. Krist: mensonge, dites plutôt que vous rêvez de moi. Isabelle: tshruiiiiip! (Elle voulut s’en aller). Krist: attends! Isabelle: quoi? (Il la prit en photo). Isabelle: qu’est-ce que vous faites? Effa
PRESENTEMENT *Chez Krist. (Isabelle alla dans la cuisine pour préparer. Krist se rendit dans la chambre de sa fille. Elle dormit encore mais il resta au bord de son lit pour l’observer attentivement). Krist: tu m’as donné une si belle petite fille mon amour, c’est le plus beau cadeau que tu m’aies fait Isabelle. (Il caressa les cheveux de sa fille). Krist: qui aurait cru que c’est avec toi que j’aurai cette belle petite fille? IL Y A SIX ANS. (Krist arrêta de voir Isabelle pendant une semaine. C’est vrai qu’elle le détestait mais en même temps, il lui manquait, c’est ce qu’elle ne comprenait pas. Mais le samedi, Krist l’attendit en route non loin de chez elle pour la prendre et l’amener à l’école). Krist: bonjour ma chérie. Isabelle: ne m’appelle pas comme ça ok, je ne suis pas ta chérie. Krist: aller, montes que je te dépose? Isabelle: je m’en sors
PRESENTEMENT. *Chez Krist. (Après le petit déjeuner, dans leur chambre, Krist et Isabelle discutèrent). Krist: tu t’habilles pour aller où? Isabelle: tu as oublié, j’ai rendez-vous avec le docteur tout à l’heure. Krist: ah oui, j’ai oublié. Mais le rendez-vous est à 09h non? Isabelle: oui, c’est à 09h. (Il s’approcha d’elle et se colla à elle). Krist: donc, il nous reste encore une heure 30, on peut faire autre chose en attendant. (Il la caressa de partout). Isabelle: à quoi tu penses? Krist: à explorer les parties de ton corps, les croquer une par une jusqu’en être rassasié. Isabelle: tu dures trop, on pourrait être en retard au rendez-vous. Krist: bien sûr que non, 1h30 c’est énorme. (Elle se retourna vers lui et ils s’embrassèrent puis ils firent l’amour). Krist: je t’accompagne à l’hô