Lahat ng Kabanata ng AMOUR DE DIEU: Kabanata 1 - Kabanata 10

La vie nous fait traverser des épisodes pénibles face auxquelles nous nous posons la question de savoir ce que nous avons fait pour mériter ce châtiment. Aucune réponse ne saurait ragaillardir notre curiosité et l'on finit par conclure que notre place ne se trouve pas sur cette terre. Mais nous oublions que chaque chose a sa première fois, que chaque chose a son temps, que rien  n’est encore tard et que nous pouvons réaliser un jour nos rêves. Le pire est qu'on oublie qu'il y a un Dieu qui nous a créés, un Dieu qui ne peut jamais nous vouloir du mal, un Dieu qui s'est sacrifié et qui se sacrifie toujours pour nous. Nous oublions aussi que malgré le fait que tout le monde nous déteste, le bon Dieu nous aime toujours et son amour est inconditionnel, vaste et sans limite. Pour bénéficier de cet amour, nous devons nous accrocher à lui, lui donner complètement notre vie. Il doit être le centre de notre existence, le seul maître de notre destin à part

J'étais à la maison et mes sœurs essayaient de donner le sourire à mon père. L'absence de ma mère devenait de plus en plus un poids pour moi. J'ai cherché des moyens pour me mettre en contact avec elle mais hélas... Maman n'a pas de téléphone et son seul frère est déjà décédé. J'avais la certitude qu'elle reviendra.     Je rentrais à peine dans ma chambre quand mon téléphone sonna. Je lis " Madame Marina". Je fus surpris de voir son appel mais je décrochai pour savoir ce dont elle avait besoin.     —    All&oc

À L'ENTREPRISE...     J'étais déjà dans mon bureau, les yeux fixés sur les documents reçus hier des mains de madame Marina. Je m'étais rappelé d'un document que le patron devrait me remettre en main propre. Puisqu'il est en voyage, il a jugé bon me le remettre par l'intermédiaire de sa femme. Je commençais à étudier les dossiers lorsque madame Marina et Cécilia firent leur entrée dans mon bureau. Je les avais salués, et elles aussi firent de même. Madame Marina dépassa mon bureau après m'avoir lancé un regard bizarre. Elle entra dans son bureau et Cécilia prit place devant moi. Elle me regardait, mais j'ai rabaissé ma tête et continué mon travail. Elle prit finalement la parol

DANS L'ENTREPRISE... Les deux secrétaires qui parlaient de moi, après avoir rangé leurs affaires, continuent toujours à fourrer leur nez dans ce qui ne les regarde absolument pas.  Éric un des employés prit la parole et commença à parler à son second prénommé Serge.         —    Mon frère, je ne comprends pas. Qu'a-t-il fait ce garçon à la femme du patron ainsi qu'à sa sœur ? Nous sommes aussi des hommes dans cette entreprise et le simple comptable qu'il est ne lui permet pas de dépasser les limites. Nous somm

DANS LE BUREAU DE MONSIEUR YVES...     Cécilia s'assoit et madame Marina est toujours debout sans mot dire. Elle ne faisait que regarder Cécilia, dépassée par ses regards elle décida de lui demander ce qui n'allait pas.      —    Marina pourquoi tu me regardes ainsi ? Et depuis que tu es rentrée dans le bureau tu n'as pas pipé mot. Y a-t-il un problème ?      —