L'évolution n'est pas toujours bien perçue. Les Ultras en sont la preuve... Après Papillon, notre monde, tel que nous le connaissons, est en ruine. Deux sociétés coexistent difficilement : entre passé et vieilles rancoeurs, la tension entre le IN et le OUT est à son comble. Il vit sous terre. Elle habite à la surface. Ils n'auraient jamais dû se rencontrer. Pourtant un projet commun va les confronter. Son nom ? Mila Roscouvitcha...
Voir plusChapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Chapitre 1MitchLumière blafarde et bruit strident sur silence pesant, les portes du métro s’ouvrent. Je monte, sans empressement, et prends place. Il est trop tôt, comme chaque jour, je me sens fatigué et même las. Toujours ce même fauteuil inconfortable, toujours ce même trajet, toujours ce même lieu, ce même espace… J’observe le sol, un revêtement plastifié gris où je distingue, sans peine, de nombreuses aspérités, quelques traces de gomme de chaussures et beaucoup de saleté. Je me sens crade. Je passe une main dans mes cheveux. Il faudrait vraiment que je prenne une douche. Mon regard croise celui de l’homme qui s’est assis face à moi. Qu’est-ce qu’il a à me fixer ? L’autre me dévisage. Prostré sur son siège, les bras croisés, les genoux joints, le cou rentré dans son col : il est mal à l’aise. Son inquiétude me renvoie à moi-même. Je jette un rapide coup d’œil à mon reflet dans la vitre. C’est vrai que j’ai une sale mine. À vingt-trois ans, les yeux cernés, les traits tirés, un
Bienvenue dans Goodnovel monde de fiction. Si vous aimez ce roman, ou si vous êtes un idéaliste espérant explorer un monde parfait, et que vous souhaitez également devenir un auteur de roman original en ligne pour augmenter vos revenus, vous pouvez rejoindre notre famille pour lire ou créer différents types de livres, tels que le roman d'amour, la lecture épique, le roman de loup-garou, le roman fantastique, le roman historique et ainsi de suite. Si vous êtes un lecteur, vous pouvez choisir des romans de haute qualité ici. Si vous êtes un auteur, vous pouvez obtenir plus d'inspiration des autres pour créer des œuvres plus brillantes. De plus, vos œuvres sur notre plateforme attireront plus d'attention et gagneront plus d'adimiration des lecteurs.
Commentaires