#CHAPITRE_3
Ils sont arrivés. Patrick prit la clé à la fenêtre comme si de rien n’était, comme sis ça avait toujours été chez lui.
NADIA : chéri tu laisses tes clés à la fenêtre ? Et si un jour on les vole ?
PATRICK : c’est sans crainte chérie. Encore que j’ai mon ami qui reste ici depuis quelques temps tu vois … Il pourrait venir de temps en temps et ne pas me trouver.
NADIA : ah je vois.
Il ouvrit la porte et ils entrèrent.
PATRICK : bienvenue chez toi ma reine. Voici donc où je me cache.
NADIA : waouh, c’est tout beau chez toi ! Tu dois être un vrai maniaque toi (glissant son doit sur la table)
L’appartement de David était très propre. Il vivait comme un chat. Nadia était contente, et satisfaite.
PATRICK : on pourra souvent se voir ici, qu’est-ce que tu en pense ? (S’asseyant avec elle sur le canapé)
NADIA : c’est bien… mais..
PATRICK : mais quoi encore chérie ?
NADIA : à chaque fois que je pense à toi, je pense aussi à cette fille. Je ne suis pas seule dans ta vie à ce qui parait.
PATRICK : bb, ne t’ai-je pas assez prouvé mon amour pour toi ? Si celle-là est toujours dans ma vie, montre-moi un seul de ses affaires ici.
NADIA : … elle peut partir avec tout non ?
PATRICK : tu me blesse Nadia ma chérie. Je n’ai jamais été aussi honnête de toute mon existence. C’est parce que tu ne peux pas ouvrir mon cœur, tu aurais vu comment la grande place t’es réservé.
NADIA : tu es sérieux ?
PATRICK : tu doutes encore de moi ! Bon dis-moi, j’ai déjà fait quoi qui t’a déplu ? Tu me reproche de quelque chose ?
NADIA : pas du tout.
PATRICK : et alors ??
Il s’ajusta tout près d’elle et pris ses mains, la regardant droit dans les yeux.
PATRICK : Nadia ma chérie, je t’aime. Je veux que nous soyons plus que des copains copines. Je n’ai pas pour intentions de jouer avec tes sentiments.
NADIA : je veux aussi une relation durable.
PATRICK : alors vivons-le et je te prie d’avoir confiance en moi.
Il mit sa main sur sa joue la caressa avant de poser ses lèvres sur les siennes. Elle répondit au baiser. Il continua de l’embrasser, avec ses mains baladeuses. C’est avec délicatesse qu’il glissa astucieusement ses doigts sur les jambes veloutées de sa proie. Ça lui plaisait bien, elle était consentante.
PATRICK : on va dans la chambre bb ?
Elle refusa d’un geste de la tête.
Il se détacha d’elle et la fit coucher le long du canapé. Une de ses jambes était posée au sol. Il se mit sur elle en califourchon et continuait de l’embrasser. Il enleva sa chemise, souleva la robe de Nadia et parsemait son ventre de baisers humides. Il bichonnait son bas ventre avec ses lèvres et lorsqu’il voulut baisser son slip, elle stoppa sa main. Il ne força point. Il se contenta d’enlacer juste. Il tenta à nouveaux mais..
NADIA : non, on ne peut pas le faire.
PATRICK : et pourquoi ?
NADIA : parce que… parce que j’ai dit que je venais juste voir la maison.
PATRICK : et c’est tout ? Je suis ton homme non ?
Il parlait ainsi en la regardant dans les yeux et en caressant son clitoris avec son majeur. Le liquide gluant qui sortait lui permettait de mieux glisser. Il caressait désormais avec deux doigts et insistait sur sa partie sensible. Car avait-il remarqué, elle perdait ses mots.
PATRICK : dit-moi si je ne suis pas ton mec..
NADIA : tu l’es.
PATRICK : et pourquoi tu me refuse ce qui me revient de droit ? hein ma reine ?
NADIA : je… je suis vierge. Je ne sais pas le faire.
20 ans, jeune et vierge (ainsi s’était dit Patrick dans sa tête)
PATRICK : ah bon ?
NADIA : ou…oui (en bougeant les pieds sur ce qu’elle ressentait en bas)
PATRICK : (bisou sur son bas ventre) je t’apprendrais, avec la plus douce des manières qu’il puisse exister.
NADIA : pas aujourd’hui stp, je ne me suis pas préparé.
Elle voulait se lever lorsqu’il insista de plus en plus sur son clitoris. Elle respira fortement et se recoucha.
PATRICK : je vais te montrer quelque chose.
Il retira son caleçon lentement, écarta ses jambes et caressait dorénavant son appareil avec la langue. Il la léchait, la suçait et pinçait légèrement de temps à autre. Elle réagissait plutôt positivement. Elle câlinait sa tête, son dos et avait lâché un « mince alors ». Elle s’agitait sur le canapé, et enroula ses pieds sur le cou de Patrick pour mieux ressentir. Il cherchait à pénétrer avec sa langue, mais son hymen était plutôt résistant. Il enleva sa tête pour mettre ses deux doigts, et voilà, le téléphone de Nadia qui sonna.
Elle n’avait pas entendue la première sonnerie, tant elle était emportée par de fortes sensations. Patrick ne voulait pas aller fort, il voulait la dépucelé de telle sorte qu’elle ne s’en rende compte de rien.
Le téléphone de Nadia sonna à nouveau. C’est à ce moment-là qu’elle sursauta et se précipita à prendre l’appel. À l’écran s’affichait JORIK et son cœur battait.
NADIA : mince ! Comment j’ai fait pour oublier ça !
PATRICK : c’est qui princesse ?
NADIA : mon grand frère. Il faut que je rentre
PATRICK : déjà ?
NADIA : je ne peux pas rester longtemps stp. Mon caleçon est où ?
Elle lança un deux coup d’yeux elle ne vit pas son caleçon, et s’en alla comme ça.
PATRICK : c’est quel départ si brusque ça ? On n’a pas fi…
NADIA : Patrick c’est mon grand frère, stp. Et désolé. (Regardant son pantalon gonflé)
PATRICK : attends, je te raccompagne
NADIA : non non, je me débrouille toute seule. On va te voir ainsi en érection ? Reste, je te fais signe.
Elle sorti à toute vitesse laissant Patrick sur le seuil de la porte.
PATRICK : fait chier ! Comme si j’allais d’abord te raccompagner ! Mais c’est qui ça !
David sorti de la chambre inattendus en frappant dans les mains
DAVID : bravoooo ahahahah
PATRICK : toi ici ?
DAVID : où voulais tu que je sois ?
PATRICK : donc tu as tout entendus alors !
DAVID : il manquait voir ta tête lorsqu’elle t’a refusé le trésor. Ahahaha
PATRICK : salaud ! Je ne te paie rien hein…
DAVID : tu dis à qui ? Tu as même osé dire que ton ami quémandait la maison alors que c’est l’inverse.
PATRICK : je n’ai rien fait, et toit même tu sais. Aucune pénétration.
DAVID : ce n’est pas mon problème. Ahahahaha tu ne sais plus convaincre les filles alors…
PATRICK : c’est à cause de son grand frère au téléphone, elle avait déjà pris gout. Elle m’a laissé dans un état de aaaahhhrrrr (tout furieux)
DAVID : son grand frère c’est un magicien alors… je prie qu’elle soit plus wise que toi. Là tu comprendras ce que ça fait.
PATRICK : elle ne peut pas me dépasser. Je l’aurais la prochaine fois.
DAVID : et le coût de ma maison augmentera.
PATRICK : tu es un malade.
DAVID : j’ai déjà parlé.
#PDV_JORIK
Cela faisait une heure de temps que j’essayais de joindre Nadia. Je devenais déjà un peu inquiet, car j’ai appelé Rachelle et elle m’a assuré qu’elle n’était pas à la maison. Je voulais relancer l’appel lorsque j’aperçu quelqu’un dans le noir courir essouffler pour venant vers moi.
MOI : Nadia ?
NADIA : bonsoir Jorik.
MOI : comment tu vas ?d’où sors tu ?
NADIA : entrons d’abords stp. J’ai besoin d’eau.
MOI : tu courrais ? Qui te poursuivait ?
Elle but de l’eau une fois à l’intérieur et je l’observais. Elle respirait toujours fort et son regard était loin.
MOI : je t’ai appelé sans succès pendant des heures. J’ai même cru qu’on avait un souci…
NADIA : un souci ? non non.
Nadia était la seule fille sur qui j’avais mis mon cœur. Elle est tout pour moi, comme une petite sœur, une meilleure amie et une copine. Je mentirais si je disais que je n’ai jamais eu d’aventure avec une autre, mais rien n’a jamais été sérieux comme ce que je ressens pour Nadia. Avec les autres c’était pour résoudre mes problèmes de pulsions sexuels par contre cette fille, je serais prêt à attendre jusqu’au mariage. Je savais aussi qu’elle m’aimait. Mais depuis quelques temps, je n’ai plus ces mêmes impressions. J’ai plutôt comme impression qu’elle me fuit, ou qu’elle a rencontré quelqu’un qui fait partie de sa vie et dont elle lui offre assez de son temps.
Je la regardais en face de moi et j’étais si content. Elle était naturelle et si belle, une peau douce que je ne me contentais que de caresser depuis 3 ans déjà ; sa robe évasé lui arrivait au genou. Voir ses suaves et jolies jambes ainsi me donnait encore si faim d’elle.
On était resté là, sans dire moi. Je me levai donc et allais m’assoir près d’elle.
MOI : princesse tu m’as manqué… (Caressant ses cheveux.)
Elle ne me répond pas.
MOI : on a un problème ? stp
NADIA : pas du tout à ce que je sache.
MOI : et qu’est-ce qui se passe donc entre nous ?
NADIA : comment ça ?
MOI : je ne te sens plus. J’ai comme l’impression que tu t’éloignes de moi.
NADIA : je ne m’éloigne pas de toi Jorik… je.. je remets juste en question mes sentiments pour toi.
MOI : tu remets en question tes sentiments pour moi ? Et pourquoi ?
NADIA : parce que…
Elle se perd encore dans ses pensées et ne me donne aucune réponse.
MOI : il y’a quelqu’un dans ta vie ?
Elle me regarde en fronçant les sourcils.
NADIA : non non… comment tu peux penser une chose pareille
Se tournant dos contre moi.
MOI : te fâche pas, je demandais juste. Je veux juste savoir ce qui ne va pas entre nous. C’est tout.
Nous sommes encore restés sans plus parler. J’avais une question qui me troublait l’esprit, alors il fallait que je me libère. C’était mieux que nous soyons clairs.
MOI : Nadia, regarde-moi.
Elle me regarde
MOI : tu m’aimes ?
Elle continue de me regarder tandis que je patiente pour sa réponse.
#PDV_NADIA
Jorik avait véritablement ressenti la présence d’un autre homme dans ma vie. Sa question me fit battre le cœur. Il me regardait, et je n’avais plus assez de courage. Je voulais lui dire que je ne l’aime que comme un frère, mais je pensais à une autre chose.
Je ne pouvais pas me séparer ainsi de Jorik. Même si je ne ressentais plus rien pour lui, je ne devrais pas le perdre. Jorik était le seul gars qui me soutenait véritablement dans mes activités, le seul qui pouvait me parler jusqu’à ce que je comprenne, ajouter à cela, il m’accompagnait tous les jours des classes à la maison. je faisais les cours du soir et rentrer tard dans la nuit n’était pas évident ni prudent. C’étaient autant de choses que je ne pouvais pas me permettre de tout gâcher pour Patrick. Alors face à sa question si je l’aime, je n’ai trouvé qu’une seule réponse à lui donner, un baiser sur la bouche.
JORIK : je prends ça pour un quoi ?
MOI : oui Jorik, je t’aime.
Il me sourit et me pris dans ses bras.
Il m’embrassa et je laissais.
JORIK : tu m’as beaucoup manqué. (Bisou dans le cou).
MOI : (sourire)
JORIK : je veux te demander quelque chose mais je crains de ta réaction.
MOI : il s’agit de quoi ? Vas-y…
JORIK : j’ai envie de toi.
MOI : envie de moi ?
JORIK : j’ai envie de toi Nadia. Te faire l’amour.
MOI : euh… je…
Je pensai directement à tout à l’heure avec Patrick, et mon clitoris qui faisait toujours un genre. J’avais moi aussi envie. Mais si je le faisais là avec Jorik, Patrick allait s’en rendre compte que je l’ai trompé. Or il est rassuré que je suis vierge.
JORIK : ne te sens pas obligé, si t’es pas prête je continuerais d’attendre.
MOI : merci, merci pour ta patience.
JORIK : mais je peux qu’en même te caresser partout non ?
On s’embrassa de plus belle, je posai mas jambe sur la sienne et il me caressait les cuisses. Lorsqu’il arriva sur ma fesse qui était toute nue, j’ouvris les yeux instantanément et lui aussi.
Mon cœur battait encore plus fort. Mon caleçon était chez Patrick. Jorik s’exclama
JORIK : tu as porté la robe évasée sans caleçon !?
Il fronça les sourcils et me regardait avec influence en attendant ma réponse.
Qu’allais-je lui dire ?
A SUIVRE…
#larrime
#EcrireCestHurlerEnSilence
#CHAPITRE_4JORIK : Tu portes la robe évasée sans caleçon ?MOI : Euh.. jeJe ne savais quoi lui répondre. Je respirais en le regardant. Il ne me souriait pas. Il me regardait fermement et je pouvais remarquer ses mâchoires se resserrer. Il attendait à tout pris une réponse venant de moi. Alors je pu balbutier un... :MOI : J'étais pressée en journée et... Lorsque j'ai vu ton appel j'ai eu un seul réflexe..JORIK : Celui de sortir sans caleçon n'est-ce pas?MOI : NON. Celui de lancer cette robe sur moi et venir.Il me scrutait. C'est comme s'il flairait que je le leurrais. J'avais peur au dedans de moi.JORIK : Tu es sûre?MOI : Je croyais qu'on se devait la
#CHAPITRE_5PATRICK : sandra ! Sandra !Il porta ses babouches et alla à sa poursuite.PATRICK : Sandra attends…Il arriva jusqu’à elle et se plaça devant elle.PATRICK : tu veux me faire courir après toi ?Elle ne cesse d’avancer. Il lui barre la route. Elle change de direction sans dire mot.PATRICK : donc c’est comme ça maintenant hein ? Tu me prends pour un fou. Je cours derrière toi dans tout le quartier et toi tu ne dis rien. Merci.Il se retourna pour partit, sans toutefois la quitter des yeux, jusqu’à la perdre de vue.Il consultait son téléphone et regardait les multiples messages de Nadia. « coucou Patrick. Tu passes trois jours
#CHAPITRE_6#PDV_NADIAJ’avais reconnu la silhouette de Patrick. Je pressais donc mes pas pour aller le rejoindre. J’étais confuse. Qu’est-ce qu’il faisait là ? Il n’était pas censé être en mission ? Je sors rapidement mon téléphone pour l’appeler. En même temps c’est pas comme si j’étais sûre à 100%, car il était de dos. L’action pour sortir mon téléphone du sac n’a pas duré longtemps, mais à ma grande surprise, il avait disparue. Je lance du coup l’appel et heureusement il prend.MOI : allô chéri ?LUI : allô ?MOI : tu vas bien ? tu es où ?LUI : bien sûr que je vais bien et toi ?
#CHAPITRE_7Nadia pleurait à chaudes larmes. Elle ne pouvait jamais imaginer Patrick lui faire une telle chose. Elle touche le gâteau et éclate encore en sanglots. Elle prit à nouveau son courage et sonna. Mais lorsque Patrick vint guetter à la fenêtre sans toutefois lui ouvrir, elle comprit qu’il n’avait pas mâché ses mots.Elle se nettoya le visage et prit la route.DAVID : Donc tu as été sérieux là tout à l’heure ?PATRICK : Je n’ai jamais été aussi sérieux bro. Tu doutes ?DAVID : Tu m’as étonné. Tu ne l’as même pas coupé une fois. C’est bien ça.PATRICK : Aah laisse ça, laisse ça mon frère. J’ai compris la leçon. Ce n
#CHAPITRE_8J’étais encore plus choquée lorsqu’il m’a dit :JORIK : Bb, et si on allait visionner ? J’ai de nouveaux films et c’est sûr que tu vas adorer.Ce n’était pas la malchance que c’est quoi ?Il était sérieux qu’il ne puisse lire en moi le désir ? C’est sûr que si c’était Patrick,Il aurait deviné et plus on n’en serait plus là. J’accepte quand même.MOI : D'accord bb. C’est un film de quoi déjà ?JORIK : D’action.MOI : Attends non mais tu es sérieux là ? Ta copine vient à la maison et c’est le film d’action que tu vois que tu vas mettre ?&
#CHAPITRE_9MOI : si tu ne crois pas en ce que je te dis, tu croiras en quoi donc ? Tu crois vraiment que si j’étais conscient j’allais te chasser et te rechercher ? Pour ta gouverne, quand je jette je ne suis plus sur ça. Alors si tu ne veux pas me croire je ne vois pas ce que tu fais là. Je suis désolé de m’être excusé. (J’enlève mon haut et m’allonge sur le lit. Tandis que ses yeux suivent mon torse) les clés sont sur la porte. Si tu ne me crois pas, je ne te retiens pas. Je n’aime pas trop bavarder quand j’ai raison.Je parle ainsi et me tourne dos à elle. Je sens son visage me fouetter le corps.Je resserrais mes mâchoires. Si elle sortait, cela voudrait dire qu’elle a compris mon petit jeu.Je suis comment elle se lève tout doucement et arrive
#CHAPITRE_10--- : tu es malade ??? Tu oses gifler mon fiancé ? Toi c’est qui ?Quel courage ! je ne l’avais pas vu venir. Elle m’avait limé la joue. J’étais dans tous mes états. Je ne savais quoi faire à présent, entre lui rendre et entrer dans la bagarre ou alors m’avouer perdante et m’en aller.Elle par contre arrêtait encore bien le bras de Patrick pour continuer la route.MOI : Patrick ! Tu as osé me faire ça ? Tu me trompe avec une autre ? Tu m’avais promis le sérieux pourtant.Il ne me calculait pas. Tout ce qu’il voulait sans doute était de disparaitre. Elle, elle était perdue. Elle me regardait comme une folle et regardait Patrick en attendant qu’il dise quelque chose. Il restait bouch
#CHAPITRE_11JORIK : tu déménage ?ELLE : pour une autre ville. (En le traversant. Puis elle se retourne) et stp, ne me cherche plus.Comment vous expliquer le choque qu’avait ressenti Jorik ? Elle ne lui avait pas laissé le temps de s’exprimer. Elle avait été très stricte, très direct, t même frustrante. Rachelle était sorti. Elle le salua et l’invita à entrer.Il était juste dépassé. Il n’avait pas dire un seul mot depuis l’intérieur. Rachelle l’avait servi à manger, mais il n’osa point toucher.RACHELLE : Jorik.Il lève les yeux et la regarde.RACHELLE : tu ne vas donc pas manger ?JORIK : je venais juste pour
#BLIND_LOVE #EPISODE_25 Une dernière personne entra. Mais cette fois ci, avec une dame à côté. Le monsieur était grand de taille, ventre plat et poids normal. Il était bien coiffé, chaussure bien ciré. Il avait des porches. Des porches fumé qui ne laissait personne voir la couleur de ses yeux, avec un sourire sérieux qui améliorait son charisme. La dame à coté était une petite femme, ronde, fraîche et radieuse. Elle était toute éclatante, ravissante et responsable. Ce sont les seules personnes qui reçurent des applaudissements. Ce sont les seules personnes qui ont fait battre mon cœur. C’étaient Jorik et Kelane. --- : bienvenue monsieur. Madame. JORIK : merci. --- : bienvenue monsieur. JORIK : merci. Le directeur de l’entreprise se leva et serra la main de Jorik.
#CHAPITRE_24DAVID : hein ? Le SIDA ?Elle essuie ses larmes et essaye de parler.SANDRA : il m’a avoué qu’il a fait le test et qu’il a été déclaré positif. David tu vois donc, Tu vois où ses bêtises lui ont mené ?DAVID : calme toi princesse.SANDRA : il m’a demandé de faire moi aussi un test. On ne… on ne sait jamais.DAVID : il n’y a rien. Tu comprends ? Il n’y a rien chérie. On va le faire ce test. Tous les deux. D’accord ?Elle n’était pas calme et Gabi avait arrêté de jouer pour la regarder.DAVID : il n’est pas bon que l’enfant te voit dans cet état. Ressaisi toi bébé. Stp.&
#CHAPITRE_23Maman ne me parlait plus. J'avais une grande honte d'approcher vers elle. Je ne pouvais pas imaginer ce qu'elle ressentait. J'avais même manquer mon premier jour au travail. Je n'avais plus de force.Mama n'avait pas perdu le temps à tenir Rachelle informée. Elle était arrivé à la maison, car je ne prenais pas ses appels. Elle m'avait dit pleins de choses dont je n'avais point eu la force de répondre. Comment allais je commencer à lui expliquer si ce n'étaient que des larmes qui s'exprimaient ?RACHELLE : je t'avais pourtant parlé Nadia. Tu réalises ce que tu as fait ?Je voulais disparaître. Sortir de cette pièce, être invisible.RACHELLE : maintenant tu vas faire comment ?C'était la seule chose à ré
#CHAPITRE_22La journée de Nadia continuait. Elle alla à son rendez-vous, toute enthousiasmée. Après de longues heures d’attentes, on a fini par la recevoir. On n’avait récupérer que son document et lui demander de revenir dans deux jours.NADIA : d’accord, merci monsieur.#PDV_NADIAJe soupire, je respire. Je prends un grand coup d’air et m’assoupi sur le banc d’attente. Il faisait tellement soleil dehors. J’avais fermé mes yeux pour penser à ma future vie. Non, ma nouvelle. Car c’était certain, dans deux jours je ferai partir de cette entreprise.C’était une grande entreprise. Celle que j’avais toujours souhaité travailler. De jolis bâtiments encore très neufs et nouvellement peint. Ce n’était pas
#CHAPITRE_21LA MERE : je vais chez le Marabout. Tu m’accompagnes ?KELANE : le marabout ? Comment ça ?LA MERE : tu ne m’accompagnes pas ?KELANE : t’accompagner où mama ?LA MERE : allons chez le marabout je te dis ! Je vais lancer un sortilège à cette fille dont elle ne sera point capable d’en échapper.KELANE : calme toi mama.La mère s’en alla en courant. Kelane était aussi derrière elle pour lui demander d’arrêter.LA MERE : arrêter quoi ? C’est le marabout qui va gérer ça. Si cette fille n’est pas une sorcière, c’est qu’elle est quoi ? Hein ? Je vais aller arracher ses yeux là et donner à mon fil
#BLIND_LOVE#CHAPITRE_20Entendre cette révélation m’a donné la chair de poule et a complètent brouillé ma vision future. Il était à jamais handicapé. J’allais me marier avec un aveugle ? Pour ça il était hors de question.MOI : Je suis désolé Jorik.JORIK : Non, ne le sois pas. Je m’en remettrai très vite.MOI : Je ne suis pas à ce niveau. Je suis désolé Jorik, mais je n’ai jamais imaginé et je n’imaginerai jamais ma vie avec un aveugle.#PDV_EXTERNEPour l'être, C'était poignant. Nadia n'avait pas mesurée sa parole. Elle n'avait pas retenue sa langue pour au-moins adoucir la façon de le refouler. Cette violence verbale avait bien atteint Jorik. Elle av
#BLIND_LOVE#CHAPITRE_19Le docteur jugea bon de le faire assoir et de lister encore les bienfaits et conséquences de cette future action.DOCTEUR : Vous deviendrez aveugle à votre tour.JORIK : Vous avez une meilleure solution ? J’ai pris ce qui me semblait être mieux. L'opération simple peut ne pas fonctionner, m'aviez-vous dit. Il y’a donc plus de chance à ce que ça se passe dans de meilleure condition.DOCTEUR : Ce n’est pas un souci si vous avez pris cette solution. J’avais besoin de savoir si réellement vous êtes partant. Très bien, suivez-moi.Ils allaient commencer avec les différents tests préalables pour les yeux, pour ensuite caler une date pour le jour de l’opération.Depuis une semaine
#BLIND_LOVE#CHAPITRE_18JORIK : si c’est la seule solution je le ferai. Là au moins tu auras une belle fille qui voit non ?MAMAN : et toi mon fils ?Il se leva et s’en alla sans plus dire mot.Mama Hélène voulait le suivre, il était parti dans une direction qui lui était inconnue.#PDV_JORIKJe ne pouvais pas rester indifférent face à ce que traversait ma fiancée. il fallait que je trouve une solution. Elle était mal dans sa peau et ça me mettait hors de moi. Je sais que je ne pouvais pas lui donner ce qu’elle voulait mais je comptais quand même faire l’une des choses qu’avait dit le docteur. Maman avait peut-être raison, ou peut-être pas. J’étais prête à offrir mes
#BLIND_LOVE#CHAPITRE_17MOI : rien.je veux mourir ! Laisse-moi mourir tu m’entends ? Vas t’en (pleure)#PDV_JORIKJ’avais mal. La voir dans cet état me démoralisais. Certes, je ne pouvais pas ressentir ces sensations auxquelles elle était soumise, mais je partageais sa douleur, sa peine, sa tristesse. Je me sentais impuissant face à toute cette dernière carte inattendue. La vue ! Bon sang est-ce qu’on achète la vue ! Je ne savais plus quoi faire. En même temps je ne pouvais pas sortir de cette salle au risque de la perdre une fois pour toute.Je me tins à l’entrée, sur le pas de la porte, sans faire de bruits, contrôlant tous ses faits et gestes. Je comptais mener cette garde jusqu’à l’arrivée du docteur, mais il ne vint point.