Chapitre 1

Dans la chambre de l’hôtel, il y avait plusieurs vêtements sur le sol.

Sophie Didier s’est réveillée, elle avait mal partout.

Elle a appuyé le centre des sourcils, se préparant à se redresser, elle a vu la grande silhouette allongée à côté d’elle.

C’était un visage trop beau, avec des traits réguliers et les yeux profonds.

Il était encore endormi, il semblait qu’il ne se réveille bientôt.

Sophie s’est redressée, la couette glissait sur ses épaules blanches et sexy, on pouvait voir quelques marques.

Elle est sortie du lit, il y avait des taches de sang visibles sur le drap.

Elle a regardé l’heure, il était temps de commencer à travailler, alors elle a pris le costume professionnel sur le sol et l’a mis.

L’homme a déchiré ses bas.

Elle a fait une balle et l’a jetée dans la poubelle, puis elle a mis ses chaussures à talons hauts.

À ce moment-là, quelqu’un a frappé à la porte.

Sophie était bien habillée, elle est redevenue une secrétaire capable, elle est sortie avec son sac

Une belle pure est entrée.

C’était elle qui l’a appelée.

Luc Xavier aimait bien ce genre de femme.

Sophie a dit : « Tu n’as qu’à t’allonger sur le lit et à attendre que M. Xavier se réveille, et tu n’as pas besoin de dire d’autres mots. »

Elle a regardé l’homme endormi sur le lit, elle était un peu triste, mais elle a quitté quand même.

Sophie ne voulait pas que Luc sache qu’ils ont couché hier.

Il y avait un accord entre eux, ils pouvaient divorcer après trois ans de mariage caché.

Pendant cette période, ils devaient garder la distance.

Elle était secrétaire personnelle de Luc depuis sept ans et sa femme depuis trois ans.

Elle restait avec lui après ses études et n’a jamais quitté.

Ce jour-là, il l’a avertie qu’ils ne pouvaient qu’être supérieur et subordonnée.

Ils devaient bien garder cette relation.

Sophie se tenait devant la fenêtre du couloir, encore réfléchissant à l’affaire d’hier, l’homme l’a prise dans ses bras sur le lit et a crié « Magali ».

Son cœur a serré violemment.

Magali Dubont était son premier amour.

Il l’a considérée comme un remplacement pour Magali.

Elle connaissait bien Luc, il ne l’aimait pas du tout.

Seulement elle était sérieuse pour leur mariage, il était temps de finir.

Ce qui s’était passé hier soir était une fin finale pour ces trois années.

Elle a sorti son téléphone portable et a vu un gros titre : la chanteuse Magali est retournée avec son fiancé !

Sophie a serré fermement son téléphone, elle est devenue plus triste et avait mal au cœur.

Elle a enfin compris pourquoi il était ivre hier soir et pourquoi il pleurait dans ses bras.

Le vent froid lui soufflait, elle a souri amèrement, puis elle a rangé son téléphone portable et a sorti une boîte de cigarettes de son sac.

Elle a allumé la cigarette et l’a prise avec son index et son médius fins, elle était entourée par la fumée, on pouvait vaguement voir son visage magnifique.

À ce moment-là, Léa Laurent est venue en courant, elle a dit : « Sophie, j’ai apporté le costume de M. Xavier, je vais lui le donner maintenant. »

Sophie a repris ses esprits et s’est tournée.

Elle a jeté un coup d’œil et a dit : « Attends. »

Léa s’est arrêté, « Qu’est-ce qu’il y a, Sophie ? »

« Il n’aime pas le bleu, remplace-le par le noir, prépare la cravate à carreaux, euh, n’oublie pas de les repasser, fais attention aux rides, et n’utilise pas le sac transparent, il n’aime pas écouter le son du plastique, accroche-le sur un cintre. » Sophie était comme la majordome personnelle de Luc, se souvenant de son chaque habitude et n’a pas commis une erreur depuis tant d’années.

Léa était choquée, elle a travaillé ici depuis trois mois, mais elle avait encore peur de regarder le visage de M. Xavier.

Elle a presque commis de nouveau une erreur aujourd’hui.

Léa s’est précipitée pour changer, « Merci, Sophie. »

Soudain, on a entendu un cri dans la suite : « Sors ! »

Immédiatement après, la femme a crié de peur.

Au bout d’un moment, la porte s’est ouverte.

Les yeux de Léa étaient rouges et elle a baissé la tête.

Elle a été critiquée.

Et cette fois, M. Xavier était vraiment irritable.

Elle a regardé Sophie en demandant de l’aide, « Sophie, M. Xavier t’a demandé d’entrer. »

Sophie a regardé la porte ouverte, craignant qu’elle ne puisse pas le gérer, « Alors, quitte d’abord. »

Elle a mis le mégot dans le cendrier et s’est dirigée vers la suite.

Elle se tenait devant la porte et a vu que la chambre était en désordre, tout a été jeté par Luc.

Une lampe de bureau cassée et un téléphone portable avec un écran cassé qui vibrant.

La femme qu’elle avait appelée était trop effrayée, n’osait pas bouger, elle était nue et ne savait pas où se cacher, il y avait encore une touche de culpabilité dans ses yeux.

Luc s’est assis sur le lit, son visage était sombre, il était en pleine forme, il faisait toujours de l’exercice, il était musculeux, il avait une large poitrine et les muscles abdominaux clairs étaient cachés sous la couette.

Cela semblait très séduisant, mais son beau visage était sombre, ses yeux étaient froids et il allait se fâcher.

Sophie a avancé, elle a levé la lampe, puis elle a versé un verre d’eau et l’a placé sur la table de chevet, « M. Xavier, il y aura une réunion à 9h30, vous pouvez vous lever maintenant. »

Les yeux de Luc regardaient la femme froidement.

Il semblait qu’il trouvait incroyable.

Sophie l’a remarqué et a dit à cette femme : « Pars en premier. »

La femme se sentait soulagée, elle a ramassé rapidement ses vêtements et est sortie, n’osant plus rester ici.

La chambre est devenue calme.

Luc a tourné la tête et a regardé le visage de Sophie.

Sophie lui a donné le verre à la main et a posé sa chemise sur le lit : « M. Xavier, vous pouvez changer de vêtements. »

Luc avait un visage sombre, l’insatisfaction dans ses yeux était très évidente et il a dit froidement : « Où étais-tu hier soir ? »

Sophie était légèrement surprise. Il l’a blâmée de laisser une chance à d’autres femmes ? Il était donc désolé pour Magali ?

Elle a cligné les yeux, « M. Xavier, vous avez fait comme ça parce que vous étiez ivre. Vous êtes un adulte, alors, oubliez ça. »

Son ton indifférent était comme dire qu’elle s’en occuperait pour lui et ne laisserait pas d’autres femmes l’embêter.

Il la regardait, son front était sillonné de veines grosses, « Je te demande une dernière fois, où étais-tu hier soir ? »

Sophie était un peu nerveuse, « J’étais tellement fatiguée du plan que j’avais récemment traité et j’étais endormie au bureau. »

À ces mots, Luc a ricané.

Son visage était froid, il a pincé ses lèvres fines, puis il s’est levé du lit et a pris une serviette de bain pour s’envelopper.

Sophie regardait son dos, les coins des yeux étaient un peu humides.

Il était toujours caché devant elle, comme si être regardé par elle était une chose dégoûtante.

Quand il l’a traitée comme Magali hier soir, il n’était pas du tout comme ça.

Quand elle a repris ses esprits, Luc était sorti de la salle de bain après avoir pris une douche et se tenait devant le miroir.

Sophie s’est approchée et lui a boutonné la chemise comme d’habitude.

Il était très grand, il mesurait 1,88 mètre. Bien qu’elle mesure 1,68 mètre, il était encore un peu difficile de lui attacher une cravate.

Il semblait toujours en colère qu’il avait trahi Magali, il était trop arrogant et a refusé de se pencher.

Elle ne pouvait que se tenir sur la pointe des pieds et mettre la cravate autour de son cou.

Juste au moment où elle se concentrait sur la cravate, elle a senti le souffle chaud de Luc dans ses oreilles, il a dit d’une voix rauque : « Sophie, c’était toi, la femme hier soir, n’est-ce pas ? »