Lahat ng Kabanata ng Sous la Loi d'Alpha Maximus: Kabanata 21 - Kabanata 30

— Laisse-moi ! lâcha-t-elle, sa voix tremblante mais chargée de défi malgré la peur qui montait en elle.Il la tira vers lui d’un geste brusque, la forçant à se redresser, son visage si près du sien qu’elle sentit la chaleur de son souffle sur sa peau.— Cette pièce t’était interdite, grogna-t-il, ses yeux plissés de rage. N’as-tu donc jamais appris à obéir, petite bêta ?— Je… commença-t-elle, cherchant ses mots, mais il l’interrompit, sa voix tranchante comme une lame.— Je vais te punir pour ce que tu as fait.Son sang se glaça, mais au même instant, cette chaleur familière explosa en elle, plus forte que jamais. Son cœur tambourinait, et ce murmure qu’elle avait cru entendre — cette voix indistincte au fond de son être — s’amplifia, un grondement sourd qui semblait hurler résiste. Était-ce sa louve ? Une illusion née de la panique ? Elle n’avait pas le temps de s’interroger. Elle planta son regard dans le sien, refusant de baisser les yeux malgré la douleur qui irradiait dans son

Elle se recroquevilla instinctivement, ses bras serrés contre sa poitrine, son visage brûlant d’humiliation. Mais cette chaleur en elle, ce sang qui bouillonnait, ne la quittait pas. Ce grondement sourd dans son esprit — résiste — pulsait en rythme avec son cœur, lui donnant la force de relever les yeux vers lui, défiants malgré sa vulnérabilité.— Tu penses que ça me soumettra ? lança-t-elle, ses mots acérés malgré le tremblement de sa voix. Tu peux me mettre à nu, mais tu ne me briseras pas.Il s’immobilisa un instant, ses griffes suspendues au-dessus d’elle, et un sourire cruel étira ses lèvres, révélant ses crocs.— Briser ? murmura-t-il, sa voix presque un souffle contre ses lèvres, alors qu’il se penchait encore plus près, si proche que la chaleur de son souffle embrasait sa peau. Ses yeux sombres étaient rivés aux siens, une lueur glaciale dans le regard. Non, Luna. Je ne veux pas te briser... Je veux que tu te souviennes. Sa main effleura son visage, presque tendrement, avant

Elle se redressa lentement sur le lit, son corps protestant à chaque mouvement, la douleur toujours présente. La pièce était silencieuse, uniquement baignée par la lumière argentée de la lune qui filtrait à travers les volets à demi-fermés. Cette clarté froide dessinait des ombres sur les murs, transformant son univers en un théâtre d’obscurité et de solitude.Des larmes brûlantes coulaient sans fin sur ses joues, traçant des sillons humides sur sa peau déjà marquée par la violence de leur dernier échange. Elle essuya d’un geste tremblant son visage, mais les larmes revenaient, indomptables. Sa gorge se serra, et une question déchirante lui traversa l’esprit, une pensée qui la hantait depuis trop longtemps :Pourquoi suis-je venue au monde ?Pourquoi supporter cette douleur, cette cruauté ? Pourquoi être née pour vivre sous le joug d’un tyran qui ne la voyait que comme un objet, un jouet à briser encore et encore ?Elle leva les yeux vers la lune, cherchant des réponses dans cette lum

Solèna se tenait toujours près de la fenêtre, figée dans une immobilité presque surnaturelle, lorsque le bruit métallique d’une clé grinçant dans la serrure déchira le silence oppressant. Elle ne tressaillit pas, ne fit aucun mouvement pour rompre sa posture. Nue, les bras croisés sous sa poitrine, elle laissait la fraîcheur mordante de la nuit caresser sa peau exposée. Ses yeux, sombres et insondables, restaient rivés sur la porte qui s’entrouvrait avec une lenteur délibérée, comme une menace qui se dévoile. Elle ne chercha ni à se couvrir ni à fuir – à quoi bon ? Les ordres étaient clairs, implacables : rester là, offerte, vulnérable, une proie docile sous le joug d’une volonté qui n’était pas la sienne.Il entra, silhouette imposante se découpant dans l’embrasure, et son regard la percuta de plein fouet. Ses paupières se plissèrent, captant la lueur argentée de la lune qui filtrait à travers les vitres crasseuses. Cette lumière froide ricochait dans ses iris, y allumant un éclat sa

Soudain, une intrusion brutale s’insinua dans son esprit, pas une voix audible, mais une pression écrasante, un commandement qui s’enroula autour de ses pensées comme une chaîne invisible. Ouvre la bouche, Soléna. C’était Maximus, sa volonté télépathique tranchante comme une lame, chaude et invasive, résonnant dans son crâne avec une clarté terrifiante. Prends-moi. Lentement. Laisse ta langue faire le reste. Ses ordres glissaient en elle, manipulant ses nerfs comme des fils de marionnette, et son corps frémit malgré elle, secoué par une vague de frissons qu’elle ne pouvait réprimer.Elle rouvrit les yeux, et il était là, massif, imposant, sa présence emplissant la pièce comme une ombre vivante. Ses mains restaient humaines, mais épaisses, nouées de muscles tendus, ses doigts serrés dans ses cheveux avec une force qui lui arrachait des picotements au cuir chevelu. Un grognement rauque vibra dans sa poitrine, un son grave et guttural qui résonna dans l’air saturé de son odeur – sueur, f