All Chapters of Je suis la Luna: Chapter 191 - Chapter 200

Oh, il savait que je me rendais là-bas…Je lui jette un regard noir. « Je refuse de commenter ! » dis-je, en ouvrant la porte et sortant de l'immeuble en entendant la rire de Valérie. Je secoue la tête, faisant un peu la moue sur le fait que je me suis fait saisir. Je me rends à la prison et me fais scanner pour entrer. J'ai été mis dans le système de sécurité cet après-midi et je peux maintenant accéder à toutes les parties de la meute facilement. « Emmène Sébastien King dans la salle d'interrogation ». « Oui, Alpha ». J'entre dans la salle d'interrogation. Elle est peu éclairée et vide, à l'exception d'une table et de deux chaises. La porte s'ouvre bientôt et Sébastien est amené. À ma grande contrariété, ses poignets sont menottés derrière lui. Il a l'air énervé, mais le moment qu'il me voit, son expression s'adoucit. « Clé », dis-je froidement en tendant la main. « Oui, Alpha ». On me passe la clé quand Sébastien est forcé de s'asseoir sur le siège en face de moi. Son aura s

« Oh, putain Bastien ! Aïe putain ! » Elle gémit bruyamment, la table grince sous nos corps.« Dis-moi, Qui. Fais. Tu. Appartenir. A ? » Je grogne entre chaque poussée. « Toi, putain... » gémit-elle alors que je sens que ses murs se referment autour de moi et j'accélère, je me résiste tout en attendant qu'elle jouisse et lorsqu'elle crie, je me libère, enduisant ses murs de mon sperme. Ses jambes tremblent lorsque je me retire et je m'accroche fermement à elle en me laissant tomber sur la chaise derrière moi et en l'attirant sur mes cuisses. « Putain ». Elle gémit quand je me baisse, ramasse la clé et lui détache les mains avant de jeter la clé sur le sol. Je masse ses poignets meurtris, les menottes ont entaillé sa peau et je lève les yeux vers elle, inquiet, mais elle n'est pas du tout dérangée et met son nez contre mon cou. J'embrasse doucement ses poignets avant d'attraper son manteau et de le jeter sur elle alors que je remets ma bite dans mon pantalon et que je remonte la ferm

« Qu'est-ce que ça veut dire ? » Il sourit, mais son sourire n'atteint pas ses yeux. « Rien ». Il me caresse doucement la joue avant de me lâcher. « Il est tard. Tu ne devrais pas être seule dehors ».« Je sais, mais j'ai de la sécurité ». « Super ». Je me lève et dépose un léger baiser sur sa joue avant de resserrer ma ceinture. Le malaise en moi agrandit et je me sens agité. Je me dirige vers la porte et l'ouvre. Les gardes sont là, et je me demande s'ils ont entendu quelque chose. Bah s'ils ont entendu quelque chose, je m'en fiche. « Emmenez Alpha Sebastian dans sa chambre, je ne veux plus le voir menotté. Est-ce que c’est clair ? C'est votre Alpha, et il est innocent ». Je dis dangereusement sans regarder aucun d'entre eux. « Oui, Alpha ». Je regarde par-dessus mon épaule alors que Sébastien sort de la pièce, ses yeux brillent comme argent mais il ne regarde pas à ma direction, perdu dans ses pensées. Je suis sûre que la marque l'a préoccupé lui aussi, peut-être qu'il ne s

« Mon mari l'était, mais il m'a transmis le titre en ce moment, car j’ai le signe de sang-né... » Je ne sais pas si c'était intelligent, mais ils sont clairement plus en phase avec leurs loups... connaîtraient-ils les Sang-né ? Une lueur de surprise traverse son visage et je me tourne sur le côté, soulevant ma chemise et leur montrant le symbole sur le côté de ma poitrine avant de l’abaisser. « Ce n'est plus étonnant que tu sois si forte ». « Je... pouvons-nous parler ? » Je demande. « Ce n'est pas ce que nous faisons maintenant ? » « Je veux dire dans un endroit propre. J’ai des questions à poser, des choses que j'ai besoin d'apprendre et que j'aimerais les apprendre de vous. J'avais l'impression que les voyous étaient des tueurs diaboliques et qu'ils étaient dangereux, mais je ne pense pas que ce récit soit correct... » « Il l'est. Nous sommes des tueurs ».« Mais je ne pense pas que vous soyez mauvais », dis-je fermement. Il m'analyse, ses yeux me scrutent lentement mais ce n

Nous n'avons pas terminé sur une bonne note non plus. Je me lève, je vais vers ma valise, j'en sors quelques vêtements et je prends une douche rapide avant de m'habiller et de me rendre dans la chambre des enfants. Je m'assois sur le sol entre les deux lits, appuyant ma tête contre le lit de Zion en regardant Sia, sa respiration est plus laborieuse que celle de Zion. Gérard a un antidote... Je sais que Valérie a déjà pris des dispositions pour que les matériels soit apporté ici afin qu'elle puisse commencer ses recherches, mais le fait qu'il ait cette réponse à portée de main... Je parlerai à Aran. Il doit comprendre pour ses petits-enfants, n'est-ce pas ? Mais il les considéra encore comme siens alors qu'il a pratiquement renié Sébastien ? C'est compliqué. Je parlerai à Aran dès demain matin et je ferai sortir Bastien de prison. Je mets mon réveil à l'heure d’aube, et je ferme mes yeux, espérant dormir un peu... ----- Je regarde l'homme sur le lit. Le soleil brille à travers