Tous les chapitres de : Chapitre 491 - Chapitre 500

« Mademoiselle ! » s’est exclamé Isaure.« Pardon, pardon ! » La serveuse s’est inclinée avec panique et s’est excusée auprès d’Isabelle sans cesse.Isabelle a sorti calmement son mouchoir et essuyait le vin renversé en souriant : « Ce n’est pas grave. Continuez votre travail ! »　Albert la regardait : « J’ai demandé à quelqu’un de préparer une robe qui devrait bien aller à Mlle Alice, après tout, le banquet n’est pas encore terminé. »Il semblait voir qu’elle voulait partir au milieu de la banquet, ses mots « Le banquet n’est pas encore terminée. » signifiant clairement qu’il voulait qu’elle reste ici.Voyant cette scène, David a poussé un rire : « M. Brunerie a raison. Mlle Alice, il ne convient pas de porter une robe salée à mon banquet, si cela sera malentendu par des autres, j’ai peur qu’ils me reprochent de ne pas bien vous traiter ! »Isabelle a levé la tête et a accepté leur proposition. Elle a dit : « Alors j’espère que je ne vous dérange pas, M. Brunerie. »Elle a autorisé Is

Assis dans le bureau faiblement éclairé, Albert se frottait le front jusqu’à ce que Maléo entre dans le bureau avec une tasse d’eau chaude. Au fil des ans, il avait dû recourir à des somnifères pour s’endormir.« Monsieur Brunerie, avez-vous besoin que j’enquête à nouveau sur les affaires de Mlle Leroy ? » Y compris notamment la relation entre elle et M. Henry et le test de paternité.Les yeux d’Albert n’avaient pas beaucoup de lumières. « Pas besoin, j’ai déjà mes idées sur ces affaires. »La raison pour laquelle Liville avait servi la mère d’Isabelle à l’époque et même protégé Isabelle à ce point, était déjà évidente.Il a sorti une boîte et en a versé une pilule, mais hésitant à la prendre.Maléo l’a regardé et a ouvert la bouche : « Mlle Leroy a ouvertement provoqué Richard dès son arrivée au Seres. Ce soir, elle a participé au banquet de David, alors je suppose qu’elle essaie de gagner le soutien de David. »Un sourire est apparu sur les coins de la bouche d’Albert. « Mais ils ne

Albert a souri, c’était un sourire amer qui portait une déception. Il a fait baisser sa voix : « J’avais peur de ne pas pouvoir me contrôler quand je te verrais, comme la nuit dernière quand je t’ai vue. »Il s’est rapproché d’elle, ne lui laissant aucune espace de reculer. « Isabelle, si tu n’étais pas apparue, je pouvais me contrôler pour ne pas penser à toi, mais tu es apparue quand même. »Il a passé trois années avec toute sa patience et toute sa retenue et à se forcer à oublier cette femme. Il avait trompé tout le monde, mais pas lui-même.Les poings d’Isabelle se sont desserrés progressivement. Une paire de yeux plein d’émotion était cachée sous de longs cils. Longtemps après, elle a retiré sa main, et a dit : « Parlons-nous en premier de notre coopération. »Albert a baissé la tête en riant. Puis il s’est dirigé vers son bureau et a pris document.« C’est la liste des candidats que David m’a donnée. »Isabelle était stupéfaite : « Pourquoi t’a donné-il cela ? »Peut-être seulem

Albert le regardait longuement. Il a lancé un sourire amer et a dit avec des moqueries : « Tu m’as suivi pendant si longtemps, je ne m’attendais pas à ce que tu prennes le parti de mon grand-père et à ce que tu l’aides pour me le cacher. »À cette époque-là, il avait été dans le cama. C’était le grand-père qui avait annoncé au public son divorce avec Isabelle. Ce vieux avait demandé également à Maléo de chercher Isabelle pour la forcer à signer l’accord de divorce. Il avait pensé que Maléo était loyal et qu’il n’avait pas osé faire les choses sans ses instructions. Mais à sa grande surprise, il avait choisi d’aider encore son grand-père à le tromper !« Monsieur Brunerie, le vieux maître le fait pour votre bien… »« Pour mon bien ? » Albert n’a pas pu s’empêcher de ricaner, il ne pouvait plus contrôler sa colère. « Mais tu sais combien Isabelle a souffert ? Je lui ai même fait perdre son enfant ! Je lui dois beaucoup, je lui dois un enfant ! Je vais vivre le reste de ma vie dans le

« Tu es encore éveillée. » Sa voix était un peu rauque, mais toujours charmante.Isabelle a marqué une pause et lui a répondu en serrant les dents : « Non, je dors. »Il restait silencieux pendant quelques secondes puis a dit doucement : « Tu n’éteins pas ta lumière ? »Ayant entendu cela, Isabelle s’est levée brusquement et s’est dirigée vers la fenêtre. Elle a vu en bas une voiture noire se garer devant la porte d’entrée.Quant à Albert, il se tenait devant la voiture. Il portait aujourd’hui un long trench-coat gris-brun qui montrait plus sa taille grande et droite. Mais sous la lumière orange de la rue, il avait l’air un peu seul. Isabelle s’est frottée le front et avait un peu mal à la tête. « Albert, qu’est-ce que tu fais ici ? »« Rien. » Il a levé les yeux vers la fenêtre. « Juste pour te jeter un coup d’œil. Je suis juste de passage ici. »Isabelle a ri : « Cet endroit n’est pas proche de ta résidence. Comment peux-tu passer par ici ? M. Brunerie, votre excuse est trop stupide