Après avoir fait un tour rapide chez le pâtissier , je continue mon chemin et m'arrête près du domicile de ma dulcinée . Je sortis du véhicule espérant que cette dernière pense à moi et se pointe au balcon depuis la haut.
Il sonnait déjà 19 heures. Tant le tonnerre grondait.Seul au beau milieu de la von, je gare puis descendis. Il commençait à pleuvoir aussitôt. Il pleuvait sauvagement et abondamment. Ma raison me demandait de m'en aller tandis que mon cœur me disait d'espérer sa venue.Je passais une trentaine de minutes sous la pluie à regarder là haut, espérant qu'elle apparaisse. Mon intuition est si informateur qu'au bout de quelques minutes, je vis une silhouette se tenir là haut..C'est sûrement elle.. Ma Samira.****SAMIRA****
Toute triste dans ma chambre, je pensais à ma vie, à ce qu'elle ressemble maintenant quand Yves est si prêt et si loin de moi.Malgré la manière pitoyable par laquelle on se communique, il me manque affreusement. J'ai telleTrès tendrement sous cette pluie je m'empare de ses lèvres succulentes puis elle répond à mes baisers de la manière la plus exceptionnelle qui puisse exister...Je libère enfin ses lèvres puis elle s'accrocha à mon cou.__ Je t'aime Yvo__ Pas plus que moi PrincesseElle me lâcha la main et s'en alla . Cette fois ci , je me suis gardé de la retenir. Je la regardais s'en aller et mon cœur criait PITIÉ !Ma belle ne pouvait ni presser les pas, ni courir. Je lui fis dos pour résister à cette envie de la retenir une nouvelle fois quand sa voix m'arrêta__ Attends !C'était elle. Ma Samira. Je la voyais s'écrouler volontairement sur le sol .Je reviens vers elle puis l'aida à se relever.Elle se blottit dans mes bras et pleurait. Sous cette forte pluie, je pouvais sentir les chaudes larmes de Samira._Ch
Sans plus tarder je sortis immédiatement du bureau puis démarra ma voiture en trombe.Une fois chez elle, je la vis dans un état pitoyable. Elle se tordait de douleur.__ Murielle ! Est-ce que ça va ?__ Non ! Emmène moi à l'hôpitalJe ne me fis pas prier avant de l'aider à monter dans la voiture.Sur le chemin, Murielle se tordait de douleur. Son état ne faisait pitié. En moins d'une heure, nous arrivâmes enfin au centre de Santé.__ Accroches toi Murielle ! Tout va bien se passer__ Hummmm....__ Oui allons-y !Je l'aide à marcher jusqu'à ce qu'elle pénètre dans le centre de Santé.Les sages femmes voyant son état , accoururent vers moi et s'en chargent du reste.Et fut transféré dans la salle de l'accouchement.Je pris ciel et terre pour que tout se déroule
Né d'une famille modeste qui croyait en Dieu, une famille chrétienne toujours à l'église, jamais elle ne manquait une occasion de prier et de louer son créateur.. Yves était le fils aîné d'une fratrie de quatre enfants, deux filles et deux garçons, tout allait pour le meilleur du monde dans la vie de Yves.. En bon croyant qu'il était, jamais dans un recoin de la maison sans sa bible,Yves était l'homme idéal pour bon nombre de filles de son église.. La plupart d'entre elles , désiraient secrètement être avec lui, les plus courageuses allaient même jusqu'à lui déclarer leur flamme,mais jamais sans suite.. Yves ne voulait qu'une seule chose se persévérer jusqu'au mariage.il attendait son âme soeur.. Du haut de ses 27 ans , il était encore puceau et n'aspirait qu'à une seule chose, trouver la femme de sa vie. Il était aidé dans sa recherche par sa mère,Dame Carmelle qui priait sans cesse pour son fils,entre moment de jeûne et de prière, el
En effet en sortant du bureau, il entendit un de ses collègues qui venait d'entrer dans le bureau de Samira, lui lancer: -- bonjour chérie, je t'ai fait ma déclaration il y'a une semaine ,tu dit en dit quoi? Je t'aime tu sais ..... --Écoute Jean, on sait tout les deux que c'est pas possible entre nous deux ,tu es marié non de dieu, en plus je me suis mise avec quelqu'un récemment, répondit Samira. De derrière la porte, Yves pouvais respirer, il eu peur en l'espace d'un instant que sa belle Samira ne cède au sirène du beau Jean, grand coureur de jupon reconnu dans tout le service. Sa belle dulcinée avait éconduit Jean et il pouvait vaquer à ses occupation le coeur léger. Mais ce qu'il ne savais pas,c'était que le beau Jean ne comptait pas abdiquer si facilement, sur le champ,il sortit un paquet de sa veste taillé melozane du grand couturier italien méli-melo, qu'il tendit à Samira : -- c'est pour toi ma blessure sucrée, un joli petit ca
Elle s'endormit avec cette idée en tête : --il me le faut ! Il me le faut ! En effet, Murielle,toujours célibataire, collectionnait les mec ,surtout les beaux mec, ayant jetée son dévolu sur Yves, elle mit en place un plan qui allait lui permettre d'arriver à ses fins le plus vite possible. Au lever du jour, Yves comme décidé la veille, se rendit chez Samira ,pour discuter avec elle et redonner une chance à leur relation. Arrivé devant son immeuble,il l'appela : --bonjour Samira je suis devant ton immeuble,tu peux venir me chercher, je veux te parler... --j'arrive mon bébé,lança t-elle sans même sans rendre compte. Après avoir raccrochée, elle se précipita dans la douche, elle qui venait de se réveiller mais avant fit un grand ménage, déplaçant ses habits par ci, rangeant ses chaussures par là.. Quand elle est fut prête, elle fit monter Yves jusqu'à chez elle, toute joyeuse qu'elle était , elle ne tenait plus sur place
Mais à peine étaient-ils entrés dans la chambre de Yves que Murielle se délaissa de sa robe dévoilant ses belles fesses claire et rebondit devant un Yves stupéfait par le beau spectacle qu'il lui était donné de voir... Yves n'en croyait pas ses yeux,comment cela pouvait-il exister,un corps magnifiquement sculptés, avec des courbes pouvant même faire bander un mort, Yvo était comme déboussolé , la bosse formé dans son pantalon le démontrait aisément. Murielle , consciente de l'effet qu'elle lui faisait, continua son manège, lentement elle se courba en avant, les fesses relevées montrant en mode zoom fois cinquante (50) la raie de ses fesses à un Yves toujours figé, seul la fine lingerie qu'elle portait cachait sa nudité. --Yves ! Yves ! Yves ! appelait Murielle --Euuuuhhh oui oui je suis la, répondit Yves, sorti de sa torpeur. -- vas y Murielle couche toi sur le lit, moi je vais dormir de mon côté --mais Yves ,approche, on peut dormir à
Murielle tenta d'embrasser Yves sur sa bouche ,mais celui ci refusa,pendant leur lutte pour un baiser , une voix lança de derrière eux, c'était Samira : -- Mais Murielle qu'est ce que tu fait ? Surprise, Murielle sursauta : -- Ah ma soeur , c'est toi ,comment tu vas ? -- je vais bien ,mais dit moi qu'est ce que tu fais ici à cette heure, je me rappel pas t'avoir montré où Yves habitait. -- je suis arrivé ici par hasard ma soeur, je suis passé juste le saluer et m'assurer qu'il s'occupe bien de toi, dixit Murielle le sourire aux lèvres. Samira visiblement rassurée , salua son amie avant d'entrer dans la maison. Murielle se pencha sur le côté pour laisser passer Samira,mais dans son mouvement de recul, elle saisit le sexe de Yves entre ses doigts, en se mettant pile devant lui afin que Samira ne voyent rien de ce qui ce passait dans son dos. Yves d'une main balaya la main de Murielle , qui en sortant lui fit un bisous sur
Quand elle les vit, elle cria de joie, se dirigea vers eux mais Yves encore vers la porte se tenait entre ses parents et elle, mit un genou à terre ,une alliance à main et dit: --veux tu m'épouser? -- ouiiiiiiiiiiiiiiiii je veux être ton épouse mon amour.. Yves mit la bague sur le doigt de Samira qui ne cessait de sourire et de bouger dans tous les sens, elle était suprise et heureuse de cette demande, son Yves avait décidé de faire d'elle son épouse pour la vie, surtout elle se disait qu'enfin elle allait pouvoir disposer de son homme, de son corps , de son temps, de tout. Enfin' elle allait être à lui pour toujours, surtout que la mère de Yves lui avait parlé peu avant.Revenons un peu en arrière pour savoir ce qu'à dit la maman de Yves à Samira. .....Quelques instants plutôt dans la cuisine....... Mère de Yves: -- dit moi ma fille, qu'est ce qui ce passe avec Yvo? Samira: --Yvo? Mère de Yves: -- oui c'est mon fils