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Un an pour vivre
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2024-10-29 19:42:56Je suis une jeune adulte presque comme les autres.
Il y a exactement deux ans, j'étais chez le docteur. Assise devant lui, elle m'a annoncée la nouvelle qui a changée ma vie. Je suis malade, je vais mourir. J'ai une malformation au cœur. Tu sais, l'organe principal de mon corps. Celui qui me permet de vivre. Il est malade. J'ai une malformation qui fait en sorte que mon coeur travaille trop fort. Il travaille en double. Donc, il se fatigue plus rapidement. Il se fatigue rapidement et moi aussi. Vue qu'il travail plus fort que la normal, il va finir par s'épuiser au point de s'éteindre. J'ai eu cette nouvelle il y a un an. Il y a 365 jours, on m'annonçait qu'il me restait seulement deux ans à vivre. Si je ne reçoit pas de greffe, il me reste actuellement, un an à vivre.J'ai pris la décision de ne pas prendre la greffe. La raison est simple, il est possible que mon corps ne le supporte pas et que je décède de toute façon. De plus, je n'ai pas envie de donner de faux espoirs à ma famille. Elle est déjà bien abîmée comme cela. Dans la dernière année, ma maladie à ruinée la relation à mes parents. Ils n'ont pas plus supporter mon état et leurs nombreuses disputes. Ils ont alors décidés de se séparer. Ma relation de couple fut de même. Mon copain m'a pas pu toléré mon état et a décidé de me quitter. Par la suite, je me suis séparé de mes copines. J'ai de nombreux rendez-vous à l'hôpital, donc je manque les activités entre amies. Donc, elles ont finit par me laisser tomber. Toutes mes copines, sauf Molly. C'est ma meilleure amie. La seule qui reste à mes côtés. Molly et mon frère Jérémie. Ce sont mes épaules sur lesquelles je m'appuie.Je me sens seule et je dois avouer que j'ai abandonné. Selon les statistiques des docteurs, il me reste un an à vivre. J'ai l'intention de la laisser passer paisiblement près des gens que j'aime. Par contre, je ne m'attendais pas à ce qui va arriver.
Des beaux yeux foncés et des boucles brunes.
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Un an pour vivre à tes côtés Encore lui.
Je suis encore secoué par ce que je viens de vivre. Ma voiture a une grosse égratignure et au lieu d’être en colère j’ai laissé mon regard être hypnotisé par des yeux verts. J’arrive finalement chez ma mère, avec ma voiture qui fonctionne toujours, mais qui s’est fait percutée. Je sors de ma voiture, je ressens une certaine tension au niveau de ma nuque. Je prends le temps de m’étirer un peu. Cela est probablement causé par la collision. Lorsque je me sens mieux, je verrouille ma voiture et entre dans le bloc appartement de ma mère. Je montre jusqu’à son appartement et entre. Encore une fois, le silence me frappe au visage. -Salut maman !
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