Quand j'ai franchis le seuil d'abidjan j'étais émerveillée, j'étais comme une petite fille devant le père Noël, j'étais juste bouche bée b, je n'avais pas de mot, je ne cessais de dire à maman comment c'était beau, elle ne faisait que sourire, tous ces gratte-ciel m'emrveillait, j'étais en admiration, la voiture qui était venue nous chercher même respirait le luxe. Nous nous sommes arrêtés devant un grand portail, il a klaxonne et devant mes yeux se sont offert une très belle maison avec une piscine que je pouvais apercevoir de loin, je savais que la grande sœur vivait dans l'opulence mais je ne savais pas que c'était à ce point, les vêtements que je portais paraissaient en contraction avec ce beau tableau, je me suis faite toute petite. Clarisse était la avec yvan et précieuse ces 2 enfants que je connaissais déj&ag
C'est vrai que j'avais commencé à travailler dans son magasin mais je n'étais pas à l'aise j'avoue que je méritais mieux, en plus de ça je jouais à la domestique à la maison et à la nounou avec ses enfants pourri gâté, quand je serai la maitresse de maison beaucoup de choses changeront. Je le seduisais lentement et sûrement et je savais y faire, je savais qu'il succomberais à mon charme et les dames du marché m'aidait bien avec de petits topos et des mixtures sans savoir que c'était le mari de ma sœur que je voulais. Quand on se retrouvait seule, je portais des tenues tout autant sexy les unes que les autres, je m'arrangeais à écarter mes jambes pour laisser apparaitre ma chatte bien épilée et souvent je faisais semblant de me masturber devant lui en émettant de longs gémissements, je savais que cela le rendait fou mais
J'entendais ma soeur et ses bâtards crier partiit dans la maison savoir que je venais de coucher avec son mari dans leur chambre conjugale, j'éteins la lumière pour profiter d'un bon sommeil réparateur. Le lendemain je me levai pour aller au travail comme d'habitude, je racontais mes exploits à mes collègues sans leur préciser que c'était mon beau-frère, elles me donnèrent à nouveau des mixtures à introduire dans mon sexe avant les rapports et d'autres quand je lui faisais la pipe, on rit de tout et de rien. Je m'apprêtais à quitter le magasin pour mes cours du soir lorsque je vis la voiture de charles venir se garer devant, j'étais surprise mais pas étonnée, je montais à l'avant de cette belle 4*4 aux vitres teintées et au fauteuil relaxant et à la climatisation inégalable, il était aussi beau que dans mes souvenirs et
Après nos ébats habituels, je me suis recroquevillée sur moi-même, il m'a demandé ce qui n'allait pas, il m'a demandé si je n'avais pas aimé. Je me suis mise à pleurer, il m'a prise dans ses bras, il m'a dit dis moi tout stp, te voir triste me brise le cœur, tu sais que je t'aime et je suis prêt à tout pour toi. Je me suis calmée et je lui ai dit d'un air coupable je suis enceinte, charles j'attends un enfant de toi, je ne sais quoi faire. Il s'est levé subitement et il m'a dit tu plaisantes je suppose, à ton âge tu ne sais pas prendre de précautions, je suis mariée à ta sœur, que va t'elle en penser? Tu t'es comportée comme une véritable gamine, tu vas avorter cet bâtard et ce n'est pas à discuter. Je me suis mise à pleurer, je lui ai dit cet enfant verra le jour, c'est le fruit de notre amour, tu penses que je ny ai
Quand je me suis réveillée il était à mes cotés, je ne cessais de répéter mon bb, mon bb, il m'a tenu délicatement la main et il m'a dit ne t'inquiète pas ma puce notre bb se porte bien en plus c'est un garçon et il sera mon héritier, tu seras libéré ce matin. J'étais heureuse de l'entendre parler ainsi, mon coeur ne cessait de se gonfler de joie. D'une voix triste je lui ai demandé et clarisse comment l'a t'elle pris? J'ai essayé crois moi dis je en pleurs de lui expliquer en douceur que le moment venu elle saurait qui est le père mais elle s'est mise à m'insulter et à me traiter de tous les noms et la suite tu le sais. Il m'a fait une bise sur le front pour me calmer et il m'a dit calme toi stp pense au bb, ne t'inquiète pas j'ai déjà réglé cette histoire. C'est donc main dans la main et unis plus qu'a
La mort de papa m'a déstabilisé, je l'aimais tant, tout ce que j'avais fait c'était pour qu'il soit fière de moi, j'avais mal très mal, j'avais un mal que je ne pouvais décrire, mon papa, mon papoush était parti me laissant seul affronter les problèmes de ce monde. Il devait être inhumer le même week-end compte tenu qu'il était fêwa, chez nous selon la tradition il devrait être enterré automatiquement et sans rien. Quand je suis arrivée au village avec charles dans la ville de Bouaflé, ma famille m'a rejeté, maman me tenait pour responsable de la mort de mon père. Mes frères étaient là et ils m'ont interdit d'avoir accès au cadavre de mon propre père, j'avais mal, j'étais déçue, je ne cessais de pleurer, il me traitait de meurtrière, de sorcière, moi je voulais juste voir mon papa
L'enfant était vilain, laid que dis je il était moche avec une grosse tête selon charles il était atteint d'hydrocéphalie, il m'a dit qu'on surmonterait cette épreuve ensemble mais je ne le voulais pas. Je refusais le fait d'avoir pu engendrer cette chose, jamais le seigneur n'aurait pu permettre que g'engendre un tel monstre, même Quasimodo le bossu de notre-dame était plus beau que lui, je n'avais pas de qualificatif pour cet enfant tellement il était laid, moche, hideux, et son énorme tête n'était pas fait pour tout arranger, je ne pouvais l'aimer. Une semaine plus tard je suis sortie de l'hôpital, j'ai refusé pendant tout ce temps de voir mon enfant en core moins de l'allaiter pour moi il ne méritait pas se vivre, seul la mort lui correspondait, j'étais trop belle et sekou était un appolon, on aurait jamais pu donner naissance à un tel monstre.
C'était la première fois que charles decouchait depuis le début de notre relation, alors cette solution était la solution ultime. Je suis donc allée avec Aïcha à abobo bc rencontrer un grand marabout très réputé, quand il m'a vu il a su pourquoi j'étais la, il m'a dit que j'aurai ce que je voulais c'était déjà écrit, il m'a donné des mixtures à mettre dans sa nourriture et des essences que je devais prendre pour me pommade et aussi pour mettre dans mon sexe maintenant selon lui la consécration ultime serait qu'il me fasse un bain de minuit afin de chasser les génies que ma sœur avaient lancer contre moi, j'étais d'accord, j'étais prête à tout pour avoir charles même si je ne l'aimais pas. Le rendez vous fut donc pris pour le vendredi soir, cela tombait bien vu sur charles allait en mission, Aïcha
Des asticots et un pue sortaient de monsieur sexe, c'était dégoûtant, je me suis mise à crier, il s'est rhabillé immédiatement et il m'a habillé d'un drap avant de me conduire à l'hôpital. Je ne cessais de pleurer et la voix dans ma tête qui ne cessait de me dire reprends toi, reprends toi pendant qu'il en est encore temps. Je me suis mise à pleurer, les médecins étaient impuissants face à mon mal et charles m'a fait comprendre qu'il ne pouvait m'aider, je devais donc me débrouiller seule. J'étais abandonnée et rejetée, j'ai appelé Aïcha et je lui ai confié la situation, elle m'est venue me chercher et elle m'a conduite chez ladji, quand nous sommes arrivées, il était là, quand il m'a vu il m'a dit tu as défié les génies et actuellement seul moi peut te guérir. Je lui ai dit que j'