La mort de papa m'a déstabilisé, je l'aimais tant, tout ce que j'avais fait c'était pour qu'il soit fière de moi, j'avais mal très mal, j'avais un mal que je ne pouvais décrire, mon papa, mon papoush était parti me laissant seul affronter les problèmes de ce monde. Il devait être inhumer le même week-end compte tenu qu'il était fêwa, chez nous selon la tradition il devrait être enterré automatiquement et sans rien. Quand je suis arrivée au village avec charles dans la ville de Bouaflé, ma famille m'a rejeté, maman me tenait pour responsable de la mort de mon père. Mes frères étaient là et ils m'ont interdit d'avoir accès au cadavre de mon propre père, j'avais mal, j'étais déçue, je ne cessais de pleurer, il me traitait de meurtrière, de sorcière, moi je voulais juste voir mon papa
L'enfant était vilain, laid que dis je il était moche avec une grosse tête selon charles il était atteint d'hydrocéphalie, il m'a dit qu'on surmonterait cette épreuve ensemble mais je ne le voulais pas. Je refusais le fait d'avoir pu engendrer cette chose, jamais le seigneur n'aurait pu permettre que g'engendre un tel monstre, même Quasimodo le bossu de notre-dame était plus beau que lui, je n'avais pas de qualificatif pour cet enfant tellement il était laid, moche, hideux, et son énorme tête n'était pas fait pour tout arranger, je ne pouvais l'aimer. Une semaine plus tard je suis sortie de l'hôpital, j'ai refusé pendant tout ce temps de voir mon enfant en core moins de l'allaiter pour moi il ne méritait pas se vivre, seul la mort lui correspondait, j'étais trop belle et sekou était un appolon, on aurait jamais pu donner naissance à un tel monstre.
C'était la première fois que charles decouchait depuis le début de notre relation, alors cette solution était la solution ultime. Je suis donc allée avec Aïcha à abobo bc rencontrer un grand marabout très réputé, quand il m'a vu il a su pourquoi j'étais la, il m'a dit que j'aurai ce que je voulais c'était déjà écrit, il m'a donné des mixtures à mettre dans sa nourriture et des essences que je devais prendre pour me pommade et aussi pour mettre dans mon sexe maintenant selon lui la consécration ultime serait qu'il me fasse un bain de minuit afin de chasser les génies que ma sœur avaient lancer contre moi, j'étais d'accord, j'étais prête à tout pour avoir charles même si je ne l'aimais pas. Le rendez vous fut donc pris pour le vendredi soir, cela tombait bien vu sur charles allait en mission, Aïcha
Des asticots et un pue sortaient de monsieur sexe, c'était dégoûtant, je me suis mise à crier, il s'est rhabillé immédiatement et il m'a habillé d'un drap avant de me conduire à l'hôpital. Je ne cessais de pleurer et la voix dans ma tête qui ne cessait de me dire reprends toi, reprends toi pendant qu'il en est encore temps. Je me suis mise à pleurer, les médecins étaient impuissants face à mon mal et charles m'a fait comprendre qu'il ne pouvait m'aider, je devais donc me débrouiller seule. J'étais abandonnée et rejetée, j'ai appelé Aïcha et je lui ai confié la situation, elle m'est venue me chercher et elle m'a conduite chez ladji, quand nous sommes arrivées, il était là, quand il m'a vu il m'a dit tu as défié les génies et actuellement seul moi peut te guérir. Je lui ai dit que j'
Un matin, un jeune homme nommé Raimond quitta sa maison pour aller rendre visite à son meilleur ami d'enfance qui s'appelle Hector.___Une fois dans la maison, il voit son ami coucher dans le canapé.▪️Raimond: salut Hector, comment vas tu ?▪️Hector: Je vais mal mon cher ami. Je suis indisposé.▪️Raimond: es-tu parti à l'hôpital pour te faire soigné?▪️Hector: non, pas encore.▪️Raimond: et pour quelle raison ?▪️Hector: j'ai pas un rond sur moi et je sais pas comment je ferai pour payer la facture et les médicaments.▪️Raimond: D'accord, lève toi et allons y. Je verrai quoi faire pour toi.___Une fois à l'hôpital, le docteur examine Hector et lui prescrit des médicaments. Le tout faisait environ 35000f.Raimond paye alors la totalité et ils prennent ensuite la route pour la maison.Sur la voie, Raimond voit de loin une jeune fille qui était au bord de la voir et qui cherchait un moyen de transport. Attirer par la silhouette de l fille, il se rappro
Après avoir pris le numéro de la fille, il déposa le téléphone à sa place.___Quelques minutes plus tard, voilà Raimond qui est prêt pour aller déposé son meilleur ami chez lui.▪️▪️__Sur la route.__▪️▪️▪️Raimond : Tu te sens mieux mon frère ?▪️Hector: oui, ça va mieux et grâce à toi.▪️Raimond: oh, j'ai pas fait grand chose de toute façon.▪️Hector : je te remercie quand même.___Une fois devant le portail d'Hector, il le déposa et continua son chemin.Hector rentre dans sa chambre et se précipite pour appelé la fille.Cette dernière était devant la télé quand son Phone sonna.▪️La fille: Allô, qui est-ce ?▪️Hector: C'est celui qui t'a remorquer ce matin. Comment vas-tu ?▪️La fille: Ah, d'accord. Je vais super bien et toi, ça va j'espère.
Après l'avoir violer, il alla sous la douche.Pendant ce temps, la fille était toujours allongée dans le lit mais plusieurs idées la traversait. Elle s'est subitement lever et alla à la cuisine chercher un couteau.Elle alla ensuite se positionner à l'entrée de la douche, attendant patiemment la sortie d'Hector.___Voilà enfin Hector qui finit de prendre sa douche et la fille qui l'attendait pour le poignardé.Hector sorta de la douche et cette dernière envoya subitement sa main mais rata son coup.Hector sous l'effet de la colère la poussa très fort et elle cogna sa tête contre un mur et tomba a terre. Voilà la fille qui se vide de son sang etHector debout, ne sachant plus quoi faire. Appelé la les sapeurs-pompiers et prendre le risque d'aller en prison ou la laisser se vider de son sang. 💉🩸Confus, il resta silencieux pendant un long moment
Le jour qui a suivi le crime de notre cher ami Hector, le corps fut retrouvé par des enfants qui faisaient de la chasse. Ils alertent alors la population.___Quelques minutes plus tard, voilà la police sur les lieux.Les agents fouillent alors les poches de la victime histoire de retrouver son téléphone mais il y avait rien.Raimond toujours impatient de retrouver sa dulcinée appela de nouveau son ami Hector.___Hector était à ce moment devant sa télévision sans soucis quand son téléphone sonna.▪️Hector : oui, allô Raimond, comment tu vas?▪️Raimond : toujours inquiet mon frère. Toujours pas de signe de vie.▪️Hector : Soit relax. Sûrement qu'elle est occupée.▪️Raimond : occupée pendant combien de temps dit moi!▪️Hector :j'en sais rien mais ne te fait plus trop de soucis et soit patient.▪️Raimond : D'accord j'ai com
Le vent du soir, léger comme une caresse, venait rafraîchir le front moite et les lèvres assoiffées de Nelly. Au dessus de sa tête, brillait dans le ciel, la lune dans toute sa rondeur autour de laquelle dansaient les étoiles filantes au son du vent qui sifflait. Sa mère sortit de la chambre et fut surprise de la voir seule assise sur un banc au milieu de la cour de leur maison. Elle s'approcha d'elle et lui posa la main sur son épaule gauche.👉 Ma fille, que fais-tu là assise seule?👉 Rien maman, je prends de l'air.👉 Ne me mens pas Nelly. Telle que je te connais, on dirait que quelque chose te tracasse ou que tu es contrariée.👉 Ok! Tu as deviné maman. Il y a de cela deux semaines que je rumine quelque chose que je n'arrive pas à comprendre. Je fais l'effort mais je n'y arrive pas.👉 E
Des asticots et un pue sortaient de monsieur sexe, c'était dégoûtant, je me suis mise à crier, il s'est rhabillé immédiatement et il m'a habillé d'un drap avant de me conduire à l'hôpital. Je ne cessais de pleurer et la voix dans ma tête qui ne cessait de me dire reprends toi, reprends toi pendant qu'il en est encore temps. Je me suis mise à pleurer, les médecins étaient impuissants face à mon mal et charles m'a fait comprendre qu'il ne pouvait m'aider, je devais donc me débrouiller seule. J'étais abandonnée et rejetée, j'ai appelé Aïcha et je lui ai confié la situation, elle m'est venue me chercher et elle m'a conduite chez ladji, quand nous sommes arrivées, il était là, quand il m'a vu il m'a dit tu as défié les génies et actuellement seul moi peut te guérir. Je lui ai dit que j'
C'était la première fois que charles decouchait depuis le début de notre relation, alors cette solution était la solution ultime. Je suis donc allée avec Aïcha à abobo bc rencontrer un grand marabout très réputé, quand il m'a vu il a su pourquoi j'étais la, il m'a dit que j'aurai ce que je voulais c'était déjà écrit, il m'a donné des mixtures à mettre dans sa nourriture et des essences que je devais prendre pour me pommade et aussi pour mettre dans mon sexe maintenant selon lui la consécration ultime serait qu'il me fasse un bain de minuit afin de chasser les génies que ma sœur avaient lancer contre moi, j'étais d'accord, j'étais prête à tout pour avoir charles même si je ne l'aimais pas. Le rendez vous fut donc pris pour le vendredi soir, cela tombait bien vu sur charles allait en mission, Aïcha
L'enfant était vilain, laid que dis je il était moche avec une grosse tête selon charles il était atteint d'hydrocéphalie, il m'a dit qu'on surmonterait cette épreuve ensemble mais je ne le voulais pas. Je refusais le fait d'avoir pu engendrer cette chose, jamais le seigneur n'aurait pu permettre que g'engendre un tel monstre, même Quasimodo le bossu de notre-dame était plus beau que lui, je n'avais pas de qualificatif pour cet enfant tellement il était laid, moche, hideux, et son énorme tête n'était pas fait pour tout arranger, je ne pouvais l'aimer. Une semaine plus tard je suis sortie de l'hôpital, j'ai refusé pendant tout ce temps de voir mon enfant en core moins de l'allaiter pour moi il ne méritait pas se vivre, seul la mort lui correspondait, j'étais trop belle et sekou était un appolon, on aurait jamais pu donner naissance à un tel monstre.
La mort de papa m'a déstabilisé, je l'aimais tant, tout ce que j'avais fait c'était pour qu'il soit fière de moi, j'avais mal très mal, j'avais un mal que je ne pouvais décrire, mon papa, mon papoush était parti me laissant seul affronter les problèmes de ce monde. Il devait être inhumer le même week-end compte tenu qu'il était fêwa, chez nous selon la tradition il devrait être enterré automatiquement et sans rien. Quand je suis arrivée au village avec charles dans la ville de Bouaflé, ma famille m'a rejeté, maman me tenait pour responsable de la mort de mon père. Mes frères étaient là et ils m'ont interdit d'avoir accès au cadavre de mon propre père, j'avais mal, j'étais déçue, je ne cessais de pleurer, il me traitait de meurtrière, de sorcière, moi je voulais juste voir mon papa
Quand je me suis réveillée il était à mes cotés, je ne cessais de répéter mon bb, mon bb, il m'a tenu délicatement la main et il m'a dit ne t'inquiète pas ma puce notre bb se porte bien en plus c'est un garçon et il sera mon héritier, tu seras libéré ce matin. J'étais heureuse de l'entendre parler ainsi, mon coeur ne cessait de se gonfler de joie. D'une voix triste je lui ai demandé et clarisse comment l'a t'elle pris? J'ai essayé crois moi dis je en pleurs de lui expliquer en douceur que le moment venu elle saurait qui est le père mais elle s'est mise à m'insulter et à me traiter de tous les noms et la suite tu le sais. Il m'a fait une bise sur le front pour me calmer et il m'a dit calme toi stp pense au bb, ne t'inquiète pas j'ai déjà réglé cette histoire. C'est donc main dans la main et unis plus qu'a
Après nos ébats habituels, je me suis recroquevillée sur moi-même, il m'a demandé ce qui n'allait pas, il m'a demandé si je n'avais pas aimé. Je me suis mise à pleurer, il m'a prise dans ses bras, il m'a dit dis moi tout stp, te voir triste me brise le cœur, tu sais que je t'aime et je suis prêt à tout pour toi. Je me suis calmée et je lui ai dit d'un air coupable je suis enceinte, charles j'attends un enfant de toi, je ne sais quoi faire. Il s'est levé subitement et il m'a dit tu plaisantes je suppose, à ton âge tu ne sais pas prendre de précautions, je suis mariée à ta sœur, que va t'elle en penser? Tu t'es comportée comme une véritable gamine, tu vas avorter cet bâtard et ce n'est pas à discuter. Je me suis mise à pleurer, je lui ai dit cet enfant verra le jour, c'est le fruit de notre amour, tu penses que je ny ai
J'entendais ma soeur et ses bâtards crier partiit dans la maison savoir que je venais de coucher avec son mari dans leur chambre conjugale, j'éteins la lumière pour profiter d'un bon sommeil réparateur. Le lendemain je me levai pour aller au travail comme d'habitude, je racontais mes exploits à mes collègues sans leur préciser que c'était mon beau-frère, elles me donnèrent à nouveau des mixtures à introduire dans mon sexe avant les rapports et d'autres quand je lui faisais la pipe, on rit de tout et de rien. Je m'apprêtais à quitter le magasin pour mes cours du soir lorsque je vis la voiture de charles venir se garer devant, j'étais surprise mais pas étonnée, je montais à l'avant de cette belle 4*4 aux vitres teintées et au fauteuil relaxant et à la climatisation inégalable, il était aussi beau que dans mes souvenirs et
C'est vrai que j'avais commencé à travailler dans son magasin mais je n'étais pas à l'aise j'avoue que je méritais mieux, en plus de ça je jouais à la domestique à la maison et à la nounou avec ses enfants pourri gâté, quand je serai la maitresse de maison beaucoup de choses changeront. Je le seduisais lentement et sûrement et je savais y faire, je savais qu'il succomberais à mon charme et les dames du marché m'aidait bien avec de petits topos et des mixtures sans savoir que c'était le mari de ma sœur que je voulais. Quand on se retrouvait seule, je portais des tenues tout autant sexy les unes que les autres, je m'arrangeais à écarter mes jambes pour laisser apparaitre ma chatte bien épilée et souvent je faisais semblant de me masturber devant lui en émettant de longs gémissements, je savais que cela le rendait fou mais
Quand j'ai franchis le seuil d'abidjan j'étais émerveillée, j'étais comme une petite fille devant le père Noël, j'étais juste bouche bée b, je n'avais pas de mot, je ne cessais de dire à maman comment c'était beau, elle ne faisait que sourire, tous ces gratte-ciel m'emrveillait, j'étais en admiration, la voiture qui était venue nous chercher même respirait le luxe. Nous nous sommes arrêtés devant un grand portail, il a klaxonne et devant mes yeux se sont offert une très belle maison avec une piscine que je pouvais apercevoir de loin, je savais que la grande sœur vivait dans l'opulence mais je ne savais pas que c'était à ce point, les vêtements que je portais paraissaient en contraction avec ce beau tableau, je me suis faite toute petite. Clarisse était la avec yvan et précieuse ces 2 enfants que je connaissais déj&ag