-- oui... Les enfants sont trop choux.
-- vous rêvez d'avoir des enfants ?
-- bien-sûr... J'en veux 4. Deux filles et deux garçons.
Cette réponse lui fait sourire. Un sourire franc et sincère. C'était bien le première qui venait du coeur.
-- et combien d'enfants désiriez vous
Pour ça, il fallait d'abord que Adriana en veuille. Elle avait horreur des enfants et ne les supportait pas. Oliver eut honte d'avouer que sa femme ne pouvait sentit un enfant sans éternuer.-- non... J'espère en avoir. j'espère...marmona t-il
-- vous n'êtes pas si vieux ,vous en aurez à coup sûre.
-- dois je comprendre que vous me trouvez vieux?
Elle rougissait jusqu'au os, jamais elle n'avait penser être aussi gêner. Cet homme devait avoir la trentaine et elle en avait 23. Sept années où plus d'écart c'était suffisant pour dire qu'il était un homme mur.
-- je suis très loin de là quarantaine affirma til mystérieux
-- euh... Vous faites plus jeune.
-- ne mentez pas pour vous racheter enfin vous êtes bien trop belle pour ça.
Elle rougi de plus belle. Il sentait bien qu'elle était gène au point de ne plus pouvoir respirer.
-- oh...je...
-- pas besoin de parler.
Il descendait de la voiture pour lui ouvrir la portière. Cette fois ci , il l'a raccompagnait jusqu'à la porte. dans un silence presque mortel, là dans cet ascenseur Julia croyait être une boute d'allumettes tant elle manquait d'air.
il avait bien envie qu'elle l'invite à rentrer mais hélas il ne pouvait s'incruster si elle ne voulait pas .
-- un café ? Propose t-elle nerveusement
Volontiers, il se glissait rapidement dans le petit appartement sans même perdre le temps de répondre et s'installait tout seul dans le canapé joyeusement. Elle partait lui en préparer en cuisine puis revenait quelques minute plus tard.
-- je ne suis pas la meilleure faiseuse de café mais c'est buvable.
Elle souriait en lui remettant la tasse.
-- je peux vous laisser seule quelques minute ?
-- bien-sûr.
Elle se hâtait de regagner sa chambre. Un bon bain lui fera certainement du bien car son corps crépite de chaleur. La présence de cet homme lui donnait des secousses dans tout le corps. Elle se déshabillait rapidement et rendrait dans la salle de bain. L'eau chaude lui faisait énormément de bien. 5 minute plus tard elle était déjà sortie
Elle avait presque oublier son invité en se perdant dans ses pensées. Puis elle se rappelait soudainement que Alyn devait être là à cette heure. Elle lui avait promis de lui raconter tout les détails de son fameux dîner de la veille, pris de panique Elle sortait vite de la salle de bain et enfilait son peignoir. Elle partait chercher on téléphone dans son sac au salon.
Pile au moment où elle sortait de la pièce, la sonnerie de son telephone se fit entendre.
Super, elle qui voulait passer discrètement, voici que cet homme l'a fixait maintenant Elle se dépêchait de le prendre sous le regard brûlant de Oliver qui l'admirait. Il n'avait perdu aucune seconde pour la dévorer du regard.Elle était à croquer, ses long cheveux luisant tombait jusqu'à ses hanches , elle prit nerveusement le téléphone ne sachant comment faire pour retourner à sa chambre elle décrochait.
-- allô.
-- coucou ma chérie alors comment tu vas ?
-- très bien. Et toi ?
-- j'irai mieux lorsque tu m'auras tout raconter. Je suis en route pour chez toi. Brad m'a prit un peu de temps.
-- Alyn... Je ...euh
Intimidé par son regard, elle n'eut d'autre choix que de marcher en direction de sa chambre. Oliver ouvrait grand les yeux pour ne rater aucun des balancement de ses fesses. À présent il ne rêvait qu'à une chose, l'a toucher. Jusqu'à présent cette pensée ne lui avait traverser l'esprit mais elle encombrait sa tête depuis tout à l'heure.
-- Alyn je... Le type, il est là ici avec moi. Je crois qu'il serait préférable qu'on...
-- biensur je file à la maison. Je cours même. Ajoute t-elle surexcité au point de brouiller toute la couverture réseau.
-- ce n'est pas ce que tu crois. Je...
-- je te laisse et surtout, n'oublie pas de bien te cambrer lorsque tu t'asseois , tu sais que tu as des hanches magnifiques utilise les comme atout. apprête des préservatif on ne sait jamais
--quoi???...tu es...
Elle raccrochait très rapidement sans laisser le temps à Julia de placer un mot. Elle déposait le téléphone et s'habillait de son pyjama. Elle revenait au salon encore rouge de honte.
-- déjà en pyjama ? S'enquit t-il surpris.
-- oui euh... Après le travaille je ne sors plus.
-- vous avez dîner?
-- je commande la nourriture... Mon repas ne tardera pas à venir.
Elle se dirigeait vers la cuisine pour se servir une tasse de café. Elle y restait un moment jusqu'à ce qu'il l'a rejoigne Arrêter au seuil de la porte il l'observait sans qu'elle ne s'en aperçoive.
-- vous vivez seule?
À l'entendre elle paniqua et se renversait de l'eau bouillante sur la mains La grosse bêtise qui en suivit la fit hurler comme une enfant. Julia avait ouvert le robinet pour se verser de l'eau sur sa brûlure. Oliver se précipitait de l'aider. Elle s'était bien brûlé, l'eau avait quelque peu enlever la peau.
-- vous n'auriez pas du faire ça.
-- c'était irréfléchie. Aïe sa fait hyper mal.
Elle voulu retirer la main mais il l'a retenait fermement.
-- Désolé de vous avoir effrayé. Vous n'avez pas de crème apaisante?
-- si dans la boite à pharmacie...
-- où es ce qu'elle est?
-- dans ma chambre juste sur la table de nuit.
Il trouvait la chambre sans aucune difficulté . elle était plutôt grande et bien ranger. Son parfum avait emplit la pièce d'une odeur agréable et fruitée. Il scrutait les lieux d'un regard bref, es yeux tombait sur une paire de gant, des gants de boxe. Il sourit en s'imaginant le corps de Julia transpirer , l'image d'une femme entrain de boxer était toujours sexy, il secouait la tête et se mit à chercher la boite du regard. La table se trouvait au centre de la pièce, la dessus se trouvait une boite de pharmacie, il trouvait la crème et sortait de la pièce.
Il l'a retrouvait assise au salon.-- il faudra partir l'hôpital demain.
-- ce n'est rien.
-- c'est une brûlure , demain elle sera grave et pourra s'infecter à tout moment. Demain je viendrai vous chercher et on en parle plus.
La lueur de ses yeux s'était transformé, il semblait être en colère. Alors sans grande protestation elle acceptait.
-- vous faîtes la boxe ? S'enquit t-il tout en continuant à lui appliquer la crème.
-- oui sa m'aide à faire passer mes chagrin.
Il sourit légèrement sans dévoiler sa dentition. C'était bien la deuxième fois qu'elle le surprenait. Elle l'observait appliquer la crème sur sa peau. Cette position l'a troublait énormément. Elle priait pour qu'il ne relève jamais la tête mais trop tard , il avait lever les yeux brusquement ,cette fois elle ne pu baisser son regard c'était comme fuir. Il était à la fois intimidant et hypnotisant. tellement qu'elle pouvzit sentir son souffle sur sa peau rougi par la gêne, a cet instant Oliver voulu...
Après avoir noué ses long cheveux noire comme la jais, Julia descendait de son appartement à la hâte. Elle avait rendez vous avec son amie Alyn qui détestait le retard. elle était bien presser cependant, que pouvait t-elle dire à madame Griselda? Cette vieille femme ne cessait de lui demander son aide chaque fois qu'elle voulait faire passer du fil dans ses aiguilles ou quand voulait déplacer un meuble. Elle saluait à la hâte le concierge avant de monter à vélo.Julia était quelqu'un de toujours jovial et un peu trop éveillé, c'était l'incarnation même de l'énergie , sa curiosité l'avait bien des fois apporter beaucoup de problèmes mais ce n'etait pas de sa faute , Julia aimait tout savoir et posait les questions les plus indiscretes. Elle pédalait à toute vitesse jusqu'au lieu où elle devait croiser so
Julia c'était de bonheur, aujourd'hui elle avait une séance à la salle de sport avec les femmes. Elle enfilait rapidement sa tenue de yoga avant de sortir de l'appartement. Ce fut un autre détour lorsque madame Griselda l'interpellait pour l'aider à monter ses paquets. Cette vieille ne pouvait plus se passer de Julia et maintenant elle ne jurait que par son nom. Elle lui confiait même sa paye de la retraite. Julia voyait en elle la grand mère qu'elle n'avait jamais pu avoir.-- bonne journée madame Griselda.-- je suis une demoiselle. Répond la vieille.Comme à son habitude, elle avait horreur qu'on l'a traitre de vieille femme. Julia se mit à sourire avant de lui plaquer un baiser sur la joue.-- à ce soir miss Griselda. Rectifia t-elle.Puis elle filait à la salle de sport. Comme à son habitude elle était pile &agr
-- Julia MCFORD âgé de 23ans, elle a eut son diplome en histoire et est coach sportive à Fitness et gardienne d'enfants à la crèche de Santa Maria, Elle réside à Brooklyn dans un petit immeuble de la place.-- son passé ? S'enquit Oliver.-- j'adore cette partie.Oliver froncait les sourcils interrogateur.-- Ses parents sont des clandestins, Julia n'est pas américaine en vérité elle s'appelle Monica Matinez . Espagnol de naissance, elle à eut sa nationalité il y a à bien des années de cela.-- pas de casier?-- non elle est clean.-- je veux son adresse.Il lui remit la carte sur laquelle il l'avait noter.-- j'irai lui dire merci en personne. Déclara Oliver.-- mon travail s'arrête là, j'espère ne plus recevoir...-- si, je
Après avoir passé une journée infernale. Oliver décidait de rendre une visite à sa mystérieuse inconnu. Julia où Monica, il ne savait comment l'appeler.Il garait devant le petit immeuble et regardait au troisième étage. Il vit une jeune femme assise au balcon de la maison de droite. Les autres lumière étaient toutes éteintes. Il jetait un autre coup d'œil à sa montre. 20h17 , à cette heure de la nuit cet immeuble était plonger dans la noirceur total. Il entreprit de monter quand même.Il montait les marches puis frappait à la porte.Julia était assise au balcon à contempler la Lune. Elle n'entendit pas les premiers coup, puis les coup devenaient plus fort. Elle sursauta et allait rapidement au salon. Elle n'attendait pourtant personne. Alyn n'était pas censée être ici et a part , Julia n'
Très tôt le matin, Julia avait fait venir Alyn. Il était hors de question qu'elle lui cette histoire par téléphone. Cette dernière c'était affoler en venant.-- tu es souffrante ? Le froid ne te va pas ?-- non... Même si je déteste l'hiver. Non j'ai mieux à te raconter.-- vas y. Dit t-elle excité.-- tu te rappel de l'homme du restaurant, celui qui avait égaré son porte feuille?-- oui raconte...-- il était là hier.-- comment es ce qu'il à fait pour connaître ton adresse ?-- il à fait quelques recherche et je dois te dire que ses informations m'inquiète.-- ce n'est pas ce qui m'intéresse. Comment es ce qu'il est? S'enquit t-elle les yeux pétillant.-- oh Alyn il est divinement , beau.-- Hiiiii... Julia tou
Sa voix l'avait surpris, il semblait d'être plus doux que tout à l'heure. Elle remuait la tête en guise de oui. Il se levait et l'aidait à se lever. Un serveur les voyant quitter leur table se dirigeait vers eux.-- monsieur... Désolé de vous avoir fait patienter.-- mais non sa n'a rien avoir avec. Nous sommes dans le regret de vous quitter. Ma femme ne sent pas bien.Elle avait failli tomber à la renverse pour ne pas dire qu'elle avait failli avaler sa langue. Le serveur semblait être déçu.-- très bien. Portez vous bien madame.Ils sortaient du restaurant en direction de la voiture. Elle était plus que pâle, l'expression de son visage avait littéralement changer et il l'avait aussi remarquer. Une fois dans la voiture , il s'excusait d'avoir inventé ce mensonge. Peut Être était elle gêner par ce qu'
-- oui... Les enfants sont trop choux.-- vous rêvez d'avoir des enfants ?-- bien-sûr... J'en veux 4. Deux filles et deux garçons.Cette réponse lui fait sourire. Un sourire franc et sincère. C'était bien le première qui venait du coeur.-- et combien d'enfants désiriez vousPour ça, il fallait d'abord que Adriana en veuille. Elle avait horreur des enfants et ne les supportait pas. Oliver eut honte d'avouer que sa femme ne pouvait sentit un enfant sans éternuer.-- non... J'espère en avoir. j'espère...marmona t-il-- vous n'êtes pas si vieux ,vous en aurez à coup sûre.-- dois je comprendre que vous me trouvez vieux?Elle rougissait jusqu'au os, jamais elle n'avait penser être aussi gêner. Cet homme devait avoir la trentaine et elle en avait 23. Sept
Sa voix l'avait surpris, il semblait d'être plus doux que tout à l'heure. Elle remuait la tête en guise de oui. Il se levait et l'aidait à se lever. Un serveur les voyant quitter leur table se dirigeait vers eux.-- monsieur... Désolé de vous avoir fait patienter.-- mais non sa n'a rien avoir avec. Nous sommes dans le regret de vous quitter. Ma femme ne sent pas bien.Elle avait failli tomber à la renverse pour ne pas dire qu'elle avait failli avaler sa langue. Le serveur semblait être déçu.-- très bien. Portez vous bien madame.Ils sortaient du restaurant en direction de la voiture. Elle était plus que pâle, l'expression de son visage avait littéralement changer et il l'avait aussi remarquer. Une fois dans la voiture , il s'excusait d'avoir inventé ce mensonge. Peut Être était elle gêner par ce qu'
Très tôt le matin, Julia avait fait venir Alyn. Il était hors de question qu'elle lui cette histoire par téléphone. Cette dernière c'était affoler en venant.-- tu es souffrante ? Le froid ne te va pas ?-- non... Même si je déteste l'hiver. Non j'ai mieux à te raconter.-- vas y. Dit t-elle excité.-- tu te rappel de l'homme du restaurant, celui qui avait égaré son porte feuille?-- oui raconte...-- il était là hier.-- comment es ce qu'il à fait pour connaître ton adresse ?-- il à fait quelques recherche et je dois te dire que ses informations m'inquiète.-- ce n'est pas ce qui m'intéresse. Comment es ce qu'il est? S'enquit t-elle les yeux pétillant.-- oh Alyn il est divinement , beau.-- Hiiiii... Julia tou
Après avoir passé une journée infernale. Oliver décidait de rendre une visite à sa mystérieuse inconnu. Julia où Monica, il ne savait comment l'appeler.Il garait devant le petit immeuble et regardait au troisième étage. Il vit une jeune femme assise au balcon de la maison de droite. Les autres lumière étaient toutes éteintes. Il jetait un autre coup d'œil à sa montre. 20h17 , à cette heure de la nuit cet immeuble était plonger dans la noirceur total. Il entreprit de monter quand même.Il montait les marches puis frappait à la porte.Julia était assise au balcon à contempler la Lune. Elle n'entendit pas les premiers coup, puis les coup devenaient plus fort. Elle sursauta et allait rapidement au salon. Elle n'attendait pourtant personne. Alyn n'était pas censée être ici et a part , Julia n'
-- Julia MCFORD âgé de 23ans, elle a eut son diplome en histoire et est coach sportive à Fitness et gardienne d'enfants à la crèche de Santa Maria, Elle réside à Brooklyn dans un petit immeuble de la place.-- son passé ? S'enquit Oliver.-- j'adore cette partie.Oliver froncait les sourcils interrogateur.-- Ses parents sont des clandestins, Julia n'est pas américaine en vérité elle s'appelle Monica Matinez . Espagnol de naissance, elle à eut sa nationalité il y a à bien des années de cela.-- pas de casier?-- non elle est clean.-- je veux son adresse.Il lui remit la carte sur laquelle il l'avait noter.-- j'irai lui dire merci en personne. Déclara Oliver.-- mon travail s'arrête là, j'espère ne plus recevoir...-- si, je
Julia c'était de bonheur, aujourd'hui elle avait une séance à la salle de sport avec les femmes. Elle enfilait rapidement sa tenue de yoga avant de sortir de l'appartement. Ce fut un autre détour lorsque madame Griselda l'interpellait pour l'aider à monter ses paquets. Cette vieille ne pouvait plus se passer de Julia et maintenant elle ne jurait que par son nom. Elle lui confiait même sa paye de la retraite. Julia voyait en elle la grand mère qu'elle n'avait jamais pu avoir.-- bonne journée madame Griselda.-- je suis une demoiselle. Répond la vieille.Comme à son habitude, elle avait horreur qu'on l'a traitre de vieille femme. Julia se mit à sourire avant de lui plaquer un baiser sur la joue.-- à ce soir miss Griselda. Rectifia t-elle.Puis elle filait à la salle de sport. Comme à son habitude elle était pile &agr
Après avoir noué ses long cheveux noire comme la jais, Julia descendait de son appartement à la hâte. Elle avait rendez vous avec son amie Alyn qui détestait le retard. elle était bien presser cependant, que pouvait t-elle dire à madame Griselda? Cette vieille femme ne cessait de lui demander son aide chaque fois qu'elle voulait faire passer du fil dans ses aiguilles ou quand voulait déplacer un meuble. Elle saluait à la hâte le concierge avant de monter à vélo.Julia était quelqu'un de toujours jovial et un peu trop éveillé, c'était l'incarnation même de l'énergie , sa curiosité l'avait bien des fois apporter beaucoup de problèmes mais ce n'etait pas de sa faute , Julia aimait tout savoir et posait les questions les plus indiscretes. Elle pédalait à toute vitesse jusqu'au lieu où elle devait croiser so