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Très tôt le matin, Julia avait fait venir Alyn. Il était hors de question qu'elle lui cette histoire par téléphone. Cette dernière c'était affoler en venant. 

-- tu es souffrante ? Le froid ne te va pas ? 

-- non... Même si je déteste l'hiver.  Non j'ai mieux à te raconter. 

-- vas y. Dit t-elle excité.

-- tu te rappel de l'homme du restaurant, celui qui avait égaré son porte feuille?

-- oui raconte... 

-- il était là hier. 

-- comment es ce qu'il à fait pour connaître ton adresse ? 

-- il à fait quelques recherche et je dois te dire que ses informations m'inquiète. 

-- ce n'est pas ce qui m'intéresse. Comment es ce qu'il est? S'enquit t-elle les yeux pétillant. 

-- oh Alyn il est divinement , beau.

-- Hiiiii... Julia tout les détails. 

-- il est, beau que veut de plus ? Fit t-elle tristement. 

-- mais pourquoi tu fais cette tête maintenant ? 

-- pour rien. Il à dit qu'il m'emenait dîner ce soir. 

-- vite !!! Instant relooking , aller viens Julia. 

-- mais je ne le connais même pas. 

Elle hésitait à suivre son amie qui était trop excité pour rester en place. 

-- quoi? Tu es devenue timide ? Me fait pas rire, tu n'as eut froid aux yeux alors tu vas te dépêcher de me suivre. 

Elles rentraient dans la chambre et Alyn sortait toutes ses magnifique robe qu'elles avaient acheter le mois dernier. Sauf que Julia n'avait jamais ose les mettre pour faute d'invitation. 

-- aller, voilà une très Belle occasion pour mettre celle la. 

Elle regardait la robe verte avec une lueur amusé. Cette robe était tout simplement parfaite , en plus elle était en manche longue et n'était pas du tout extravagante. Elle avait épousé ses formes et mettait en exergue ses fesses galbé. C'était parfait. 

Julia se sentait maintenant revivre. Son énergie lui revenait peu à peu. 

-- et mes escarpins. Il est tellement grand. Je dois me mettre des escarpins. Les plus haut 15cm. 

Elle optait pour ses escarpins noire brillant. Côté accessoires, elle avait laisser Alyn s'en charger , c'était l'experte des accessoires. Elle gesticulait de partout , toutes surexcité. Julia mettait ses chaussures pour faire son défilé, elles avaient rire comme deux folles. Puis Alyn reçu un appel de son patron et elle dû se rendre au bureau pour une affaire urgente. 

-- prends soin de toi. Tu me racontera tout en détail lorsque je reviendrai. 

À peine Alyn parti que madame Griselda fut éruption. 

-- oh madame Griselda ?

-- j'ai un mal de chien à... 

-- passer vos fils dans vos aiguilles. Accordez moi une minute. 

Elle partait mettre un peu d'ordre dans la chambre puis couru aider la vieille femme. 

∆∆

Oliver avait quitter le bureau un peu plus tôt ce soir. Il devait faire un tour chez lui avant de se rendre chez Julia. Il donnait les dernière instructions à sa secrétaire et sortait à la hâte. 

Il garait la voiture dans la cour comme à son habitude. Ce soir il prenait tout son temps. Il voulait être soigné. Il optait pour un tailleur noire et pour son eau de Cologne favori. Il regardait son reflet dans le miroir. Aucun la dessus il était beau. 

Garer sous l'immeuble, Oliver passait un petit coup de file à sa secrétaire pour lui charger de faire un petit travail. Il était convaincu que Julia comme toute les autres femmes étaient encore devant sa glace entrain de se lisser les cheveux. 

Il montait les marches des escaliers , d'un coup décider, il frappait à la porte. Elle lui ouvrait sans donner suite à un deuxième coup. Oliver restait bouche béante face à cette femme. 

Sa robe moulante épousait parfaitement ses formes, à présent il avait hâte qu'elle se retourne pour qu'il puisse savourer ses déhanchement. Tout les hommes adoraient les femmes avec ses courbes là. Elle ne portait aucun maquillage . il l'a trouvait bien comme ça sans artifice. Elle lui souriait timidement puis l'invitait à rentrer. 

-- bonsoir. Je ne vous croyait pas prête. 

-- faut croire que ma ponctualité le fait défaut parfois. 

-- vous êtes divinement belle. 

Elle avait rougit jusqu'aux os. Elle se sentit tout coup frissonner lorsque les yeux de L'homme se posait sur ses hanches. Elle se retournait nerveusement lui offrant ainsi un spectacle qu'il aurait voulu éternelle. Trop heureux pour quitter les déhanchements de ses fesses, Oliver se sentait pervers de fantasmé sur cette paire de fesses,mais que pouvait t-il faire? C'était un homme et c'était typique des hommes de faire ça. Elle revenait plus tard avec son sac. 

-- je suis prête. Déclare t-elle avec toute son énergie. 

Elle prit ses clés. Il l'aidait à porter son manteau et par maladresse, avait effleurer ses fesses. Ce contact lui fit une étrange sensation, il se remuait la tête et l'aidait ensuite à sortir. 

Julia se sentait Belle ce soir, si seulement Alyn était la, elle sourit interieurement avant de monter dans la voiture. Son siège était très confortable mais un peu froid. 

Le restaurant devant lequel Oliver avait garer était à son inauguration, il était spontieux et tout les couples qui s'y trouvait étaient également habillé. Elle ne sentait plus très bien dans sa peau lorsque les quelques hommes tournaient la tête vers elle. Tout heureusement que la main de Oliver qui s'était aventurer dans son dos puis pour se poser sur ses hanches, lui donnait à nouveau du tonus, il avait lancer un regard noire à tout ses hommes qui avaient oser abandonné le visage de leur compagnons pour en regarder une autre. 

Il l'aidait à s'installer , elle sourit timidement en guise de merci et se saisi de la carte de menue pour éviter de croiser le regard de cet homme. 

-- que désirez monsieur ? 

-- n'opte pour la spécialité de la maison. 

-- madame que désirez vous? 

-- pareille que lui. Fit t-elle avec le sourire. 

Elle ne comprenait à ce menue et le laisser choisir était la meilleure décision qu'elle puisse prendre. Le serveur leur apportait du vin .Julia n'en n'avait pas bu une goutte . 

-- vous n'aimez pas le vin? 

-- euh... Désolé je ne consomme pas d'alcool. 

-- vous... Que désirez vous boire. 

-- un soda, mais je doute fort qu'on serve dans ce genre d'endroit. 

Par cette phrase, il comprit qu'elle ne sentait pas à sa place. Peut être les lumières ou le monde. Il ne savait quoi penser. Les femmes personnes ne pouvait les comprendre. Alors que toutes aimait les lieux chic et luxueux , elle ,se sentait gêner d'être ici. 

-- vous voulez qu'on marre ailleurs ? 

-- mais non. Je ne peux pas me...

-- sa se lit sur votre peau que vous n'êtes pas dans votre milieu ici. Je vous laisse choisir. Fit t-il avec un effort de douceur. 

-- euh... 

-- au cinéma ? S'enquit t-il.