-- Julia MCFORD âgé de 23ans, elle a eut son diplome en histoire et est coach sportive à Fitness et gardienne d'enfants à la crèche de Santa Maria, Elle réside à Brooklyn dans un petit immeuble de la place.
-- son passé ? S'enquit Oliver.
-- j'adore cette partie.
Oliver froncait les sourcils interrogateur.
-- Ses parents sont des clandestins, Julia n'est pas américaine en vérité elle s'appelle Monica Matinez . Espagnol de naissance, elle à eut sa nationalité il y a à bien des années de cela.
-- pas de casier?
-- non elle est clean.
-- je veux son adresse.
Il lui remit la carte sur laquelle il l'avait noter.
-- j'irai lui dire merci en personne. Déclara Oliver.
-- mon travail s'arrête là, j'espère ne plus recevoir...
-- si, je veux que tu surveille ma femme.
-- mais c'est interdit de surveiller...
-- je veux juste savoir ce qu'elle achète avec toutes ses fortunes qu'elle dépense.
-- tres bien tu auras les nouvelles de tout ses déplacements.
Il disposait après avoir accompli sa mission, Oliver se saisit de la feuille sur laquelle il avait prit ses notes. Julia MCFORD , Monica Martinez. Deux personnes pour un même visage, c'était très intéressant. Il ira rendre une petite visite à cette dernière demain matin. Pour l'instant , il avait des choses bien plus importante à régler. Son plus beau exemple, était le pile de dossier poser sur la table. Aucun n'avait été épluché et pourtant il devait en examiner avec concentration et prudence s'il ne voulait pas perdre des millions.
N'ayant pas eut le temps de faire une pause déjeuner, Oliver demandait à sa secrétaire de lui apporter un café toute les deux heures. Il ne voulait perdre un tiers de son temps en mangeant. Puis la journée se termina en une explosion de fatigue. Il ne lui restait plus que 5dossiers . il les prit avec lui , ce soir , il lui serviront de dessert.
Il se hâtait de rentrer chez lui.Avec la neige qui tombait à fond sur la ville, Oliver n'eut d'autre choix que de rentrer un peu plus tôt.
Il garait sa voiture dans la cour. Il ouvrait sa porte avec précaution, avec le scandale qu'avait provoquer sa femme deux jours plus tôt, il n'étais jamais sûre de ce qui l'attendait à la maison.
Il allumait les lumières et se dirigeait vers la cuisine où se trouvait un dîner digne d'un roi. Son cuisinier lui faisait toujours de bon plat avant de s'en aller. Jadis ses temps où il avait une équipe d'employer pour prendre soin de lui et de la maison. Maintenant que Adriana était parti, il était seul , la maison était froide et sans vie. Il avait néanmoins garder ses deux fidèle employé. Erick et Norma.
Ils ne venaient que pour un court temps et repartait le soir avant son arriver. Il leur avait offert une liberté , de sorte à ce qu'ils mènent leur vie de côté. Il ne voulait devenir pesant pour personne.
∆∆
Julia , ce soir avait encore cogner le punching-ball, elle se sentait mal comme chaque soir d'hiver. Plus le temps passaient et plus elle supportait mal la solitude
Elle prenait un bain malgré elle et se couchait sans rien avaler. L'appétit lui manquait. Demain encore, elle fera semblant de faire comme si sa vie était une véritable réussite, elle offrira le meilleur des sourire aux voisins et aidera madame Griselda avec toujours cette mine Jovial, elle saluera au passage le concierge et peut être ira délivrer Grippi le chat de Monsieur Elmer. Ainsi Julia était l'héroïne que personne ne connaissait au fond.
Elle avait voulu téléphoner à son amie Alyn mais cette dernière devrait être plus occupé avec Brad son petit ami. Elle fermait les yeux et se forçait d'oublier tout ses tracas. La journée de demain risquait d'être longue.
∆∆
Alors qu'il essayait de s'agripper à son sommeil, Oliver entendait des cris qui l'obligeait à sortir de son lit malgré lui. Il n'avait pas rêver , ses cris étaient réel et tout d'un coup , le peu de sommeil qu'il portait se volatilisait.
Les cris de Adriana étaient plus strident que jamais. Elle hurlait au point de réveiller tout les morts de cette ville. Il enfilait son pull et courait au salon.
À peine avait t-il poser les pieds dans les escaliers qu'il reçu un vase en plein visage. Il avait réussi à l'éviter de justesse.
-- comment ose tu? Hurlait t-elle.
-- tu ne peux pas débarquer chez moi comme bon te semble. Répond t-il avec le plus grand calme qu'il possédait.
-- tu m'as couper tout les vivres??
-- je t'avais bien dit que ta folie aura des limites. Si tu veux dépenser pour des futilités fais le avec TON ARGENT. rétorque t-il en mettant l'accent
-- tu n'as pas le droit.!! Je suis encore ta femme.
-- malheureusement oui. Mais dans 2mois tu ne sera plus alors commence à t'habituer.
-- je te déteste Oliver ... Je te hais.
-- sors , va t-en s'il te plaît. Ordonna t-il la mâchoire raide.
Il se demandait diable ou avait t-il la tête lorsque son coeur avait choisi cette femme. Elle était détestable . elle n'était satisfaite pour rien et se mettait dans tout ses états lorsqu'il lui refusait ne serais-ce qu'un mouchoir. Et dire qu'il avait vraiment aimée cette femme. Oliver s'en mordait les doigts.
Elle s'en allait en jurant qu'il aura de ses nouvelles, ses menaces l'avait peu inquiéter. Adriana n'était pas très dangereuse, jamais elle ne mettait ses menaces à exécution. Il savait déjà à quoi s'attendre. Des scandales et des apparitions peu réjouissante à l'entreprise.
Il remerciait Norma d'avoir neutraliser cette furie et remontait prendre son bain.
Après avoir passé une journée infernale. Oliver décidait de rendre une visite à sa mystérieuse inconnu. Julia où Monica, il ne savait comment l'appeler.Il garait devant le petit immeuble et regardait au troisième étage. Il vit une jeune femme assise au balcon de la maison de droite. Les autres lumière étaient toutes éteintes. Il jetait un autre coup d'œil à sa montre. 20h17 , à cette heure de la nuit cet immeuble était plonger dans la noirceur total. Il entreprit de monter quand même.Il montait les marches puis frappait à la porte.Julia était assise au balcon à contempler la Lune. Elle n'entendit pas les premiers coup, puis les coup devenaient plus fort. Elle sursauta et allait rapidement au salon. Elle n'attendait pourtant personne. Alyn n'était pas censée être ici et a part , Julia n'
Très tôt le matin, Julia avait fait venir Alyn. Il était hors de question qu'elle lui cette histoire par téléphone. Cette dernière c'était affoler en venant.-- tu es souffrante ? Le froid ne te va pas ?-- non... Même si je déteste l'hiver. Non j'ai mieux à te raconter.-- vas y. Dit t-elle excité.-- tu te rappel de l'homme du restaurant, celui qui avait égaré son porte feuille?-- oui raconte...-- il était là hier.-- comment es ce qu'il à fait pour connaître ton adresse ?-- il à fait quelques recherche et je dois te dire que ses informations m'inquiète.-- ce n'est pas ce qui m'intéresse. Comment es ce qu'il est? S'enquit t-elle les yeux pétillant.-- oh Alyn il est divinement , beau.-- Hiiiii... Julia tou
Sa voix l'avait surpris, il semblait d'être plus doux que tout à l'heure. Elle remuait la tête en guise de oui. Il se levait et l'aidait à se lever. Un serveur les voyant quitter leur table se dirigeait vers eux.-- monsieur... Désolé de vous avoir fait patienter.-- mais non sa n'a rien avoir avec. Nous sommes dans le regret de vous quitter. Ma femme ne sent pas bien.Elle avait failli tomber à la renverse pour ne pas dire qu'elle avait failli avaler sa langue. Le serveur semblait être déçu.-- très bien. Portez vous bien madame.Ils sortaient du restaurant en direction de la voiture. Elle était plus que pâle, l'expression de son visage avait littéralement changer et il l'avait aussi remarquer. Une fois dans la voiture , il s'excusait d'avoir inventé ce mensonge. Peut Être était elle gêner par ce qu'
-- oui... Les enfants sont trop choux.-- vous rêvez d'avoir des enfants ?-- bien-sûr... J'en veux 4. Deux filles et deux garçons.Cette réponse lui fait sourire. Un sourire franc et sincère. C'était bien le première qui venait du coeur.-- et combien d'enfants désiriez vousPour ça, il fallait d'abord que Adriana en veuille. Elle avait horreur des enfants et ne les supportait pas. Oliver eut honte d'avouer que sa femme ne pouvait sentit un enfant sans éternuer.-- non... J'espère en avoir. j'espère...marmona t-il-- vous n'êtes pas si vieux ,vous en aurez à coup sûre.-- dois je comprendre que vous me trouvez vieux?Elle rougissait jusqu'au os, jamais elle n'avait penser être aussi gêner. Cet homme devait avoir la trentaine et elle en avait 23. Sept
Après avoir noué ses long cheveux noire comme la jais, Julia descendait de son appartement à la hâte. Elle avait rendez vous avec son amie Alyn qui détestait le retard. elle était bien presser cependant, que pouvait t-elle dire à madame Griselda? Cette vieille femme ne cessait de lui demander son aide chaque fois qu'elle voulait faire passer du fil dans ses aiguilles ou quand voulait déplacer un meuble. Elle saluait à la hâte le concierge avant de monter à vélo.Julia était quelqu'un de toujours jovial et un peu trop éveillé, c'était l'incarnation même de l'énergie , sa curiosité l'avait bien des fois apporter beaucoup de problèmes mais ce n'etait pas de sa faute , Julia aimait tout savoir et posait les questions les plus indiscretes. Elle pédalait à toute vitesse jusqu'au lieu où elle devait croiser so
Julia c'était de bonheur, aujourd'hui elle avait une séance à la salle de sport avec les femmes. Elle enfilait rapidement sa tenue de yoga avant de sortir de l'appartement. Ce fut un autre détour lorsque madame Griselda l'interpellait pour l'aider à monter ses paquets. Cette vieille ne pouvait plus se passer de Julia et maintenant elle ne jurait que par son nom. Elle lui confiait même sa paye de la retraite. Julia voyait en elle la grand mère qu'elle n'avait jamais pu avoir.-- bonne journée madame Griselda.-- je suis une demoiselle. Répond la vieille.Comme à son habitude, elle avait horreur qu'on l'a traitre de vieille femme. Julia se mit à sourire avant de lui plaquer un baiser sur la joue.-- à ce soir miss Griselda. Rectifia t-elle.Puis elle filait à la salle de sport. Comme à son habitude elle était pile &agr
-- oui... Les enfants sont trop choux.-- vous rêvez d'avoir des enfants ?-- bien-sûr... J'en veux 4. Deux filles et deux garçons.Cette réponse lui fait sourire. Un sourire franc et sincère. C'était bien le première qui venait du coeur.-- et combien d'enfants désiriez vousPour ça, il fallait d'abord que Adriana en veuille. Elle avait horreur des enfants et ne les supportait pas. Oliver eut honte d'avouer que sa femme ne pouvait sentit un enfant sans éternuer.-- non... J'espère en avoir. j'espère...marmona t-il-- vous n'êtes pas si vieux ,vous en aurez à coup sûre.-- dois je comprendre que vous me trouvez vieux?Elle rougissait jusqu'au os, jamais elle n'avait penser être aussi gêner. Cet homme devait avoir la trentaine et elle en avait 23. Sept
Sa voix l'avait surpris, il semblait d'être plus doux que tout à l'heure. Elle remuait la tête en guise de oui. Il se levait et l'aidait à se lever. Un serveur les voyant quitter leur table se dirigeait vers eux.-- monsieur... Désolé de vous avoir fait patienter.-- mais non sa n'a rien avoir avec. Nous sommes dans le regret de vous quitter. Ma femme ne sent pas bien.Elle avait failli tomber à la renverse pour ne pas dire qu'elle avait failli avaler sa langue. Le serveur semblait être déçu.-- très bien. Portez vous bien madame.Ils sortaient du restaurant en direction de la voiture. Elle était plus que pâle, l'expression de son visage avait littéralement changer et il l'avait aussi remarquer. Une fois dans la voiture , il s'excusait d'avoir inventé ce mensonge. Peut Être était elle gêner par ce qu'
Très tôt le matin, Julia avait fait venir Alyn. Il était hors de question qu'elle lui cette histoire par téléphone. Cette dernière c'était affoler en venant.-- tu es souffrante ? Le froid ne te va pas ?-- non... Même si je déteste l'hiver. Non j'ai mieux à te raconter.-- vas y. Dit t-elle excité.-- tu te rappel de l'homme du restaurant, celui qui avait égaré son porte feuille?-- oui raconte...-- il était là hier.-- comment es ce qu'il à fait pour connaître ton adresse ?-- il à fait quelques recherche et je dois te dire que ses informations m'inquiète.-- ce n'est pas ce qui m'intéresse. Comment es ce qu'il est? S'enquit t-elle les yeux pétillant.-- oh Alyn il est divinement , beau.-- Hiiiii... Julia tou
Après avoir passé une journée infernale. Oliver décidait de rendre une visite à sa mystérieuse inconnu. Julia où Monica, il ne savait comment l'appeler.Il garait devant le petit immeuble et regardait au troisième étage. Il vit une jeune femme assise au balcon de la maison de droite. Les autres lumière étaient toutes éteintes. Il jetait un autre coup d'œil à sa montre. 20h17 , à cette heure de la nuit cet immeuble était plonger dans la noirceur total. Il entreprit de monter quand même.Il montait les marches puis frappait à la porte.Julia était assise au balcon à contempler la Lune. Elle n'entendit pas les premiers coup, puis les coup devenaient plus fort. Elle sursauta et allait rapidement au salon. Elle n'attendait pourtant personne. Alyn n'était pas censée être ici et a part , Julia n'
-- Julia MCFORD âgé de 23ans, elle a eut son diplome en histoire et est coach sportive à Fitness et gardienne d'enfants à la crèche de Santa Maria, Elle réside à Brooklyn dans un petit immeuble de la place.-- son passé ? S'enquit Oliver.-- j'adore cette partie.Oliver froncait les sourcils interrogateur.-- Ses parents sont des clandestins, Julia n'est pas américaine en vérité elle s'appelle Monica Matinez . Espagnol de naissance, elle à eut sa nationalité il y a à bien des années de cela.-- pas de casier?-- non elle est clean.-- je veux son adresse.Il lui remit la carte sur laquelle il l'avait noter.-- j'irai lui dire merci en personne. Déclara Oliver.-- mon travail s'arrête là, j'espère ne plus recevoir...-- si, je
Julia c'était de bonheur, aujourd'hui elle avait une séance à la salle de sport avec les femmes. Elle enfilait rapidement sa tenue de yoga avant de sortir de l'appartement. Ce fut un autre détour lorsque madame Griselda l'interpellait pour l'aider à monter ses paquets. Cette vieille ne pouvait plus se passer de Julia et maintenant elle ne jurait que par son nom. Elle lui confiait même sa paye de la retraite. Julia voyait en elle la grand mère qu'elle n'avait jamais pu avoir.-- bonne journée madame Griselda.-- je suis une demoiselle. Répond la vieille.Comme à son habitude, elle avait horreur qu'on l'a traitre de vieille femme. Julia se mit à sourire avant de lui plaquer un baiser sur la joue.-- à ce soir miss Griselda. Rectifia t-elle.Puis elle filait à la salle de sport. Comme à son habitude elle était pile &agr
Après avoir noué ses long cheveux noire comme la jais, Julia descendait de son appartement à la hâte. Elle avait rendez vous avec son amie Alyn qui détestait le retard. elle était bien presser cependant, que pouvait t-elle dire à madame Griselda? Cette vieille femme ne cessait de lui demander son aide chaque fois qu'elle voulait faire passer du fil dans ses aiguilles ou quand voulait déplacer un meuble. Elle saluait à la hâte le concierge avant de monter à vélo.Julia était quelqu'un de toujours jovial et un peu trop éveillé, c'était l'incarnation même de l'énergie , sa curiosité l'avait bien des fois apporter beaucoup de problèmes mais ce n'etait pas de sa faute , Julia aimait tout savoir et posait les questions les plus indiscretes. Elle pédalait à toute vitesse jusqu'au lieu où elle devait croiser so