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MALÉDICTION
MALÉDICTION
Auteur: raya sams

chapitre I

-- George! Hurla Monica 

Il ne voulait pas trop écouter sa femme, d'un pas décidé, il quittait la pièce avant que cette dernière ne lui fasse changer d'avis. 

Les oreilles bourdonnant , il retrouvait ses deux filles à table pour le petit déjeuner. 

-- bonjour papa. Fit Alicia avec un sourire faussement joyeux. 

-- Bonjour ma puce. Répondit-il désinvolte.

-- dis moi, Maria.

-- oui papa. 

-- je voudrai que tu assistes a une réunion avec nos partenaires commerciaux ce après midi. 

-- j'ai promis à Mon amie de lui donner quelques cours de piano.  En plus je ne serai jamais prête à temps...

-- sa pourra attendre, s'il te plait ma chérie. Je ne vois pas en qui es ce que je pourrai avoir confiance. Essais de faire un effort, rien que pour aujourd'hui.

Aussitôt, Alicia se levait de sa chaise, vexé par les propos de son père, elle se mit à débarrasser son couvercle. 

-- tu ne termine pas ton petit déjeuner? Demande son père perplexe. 

-- fout moi la paix papa. 

-- Alicia ne parle pas ainsi à ton père. Intervint sa mère. 

-- et bien ton mari n'a pas l'air de m'appercevoir alors je vais terminer mon repas dans la cuisine. 

-- ce n'est pourtant pas ce qu'il à voulu dire. Coupa María agacé 

-- María par ci, Maria par là. Toujours Maria. Ironisa Alicia avec une rage intolérable. 

-- pourquoi faut t-il toujours que tu joues à la capricieuse. Papa t'aurai certainement demandée d'assister à cette réunion si tu n'avais pas abandonné tes études pour un salopard comme John. Rétorqua Maria sur la défensive.

-- madame l'intello. Et bien ,Moi j'ai un homme, un vrai, virile avec des muscles là ou il le faut et toi tu mourras vieille fille par ce qu'aucun homme ne voudra de toi. Ton minou sens le fromages pourrie. Ton intelligence ne te servira à rien. 

Maria fut vexer au point d'en oublier ses bonnes manières, elle se levait furibonde pour administrer une gifle à sa petite soeur. 

Son père intervenait pour ne pas que la dispute se transforme en bagarre. 

Maria j'étais sa serviette de table furieuse , elle couru se réfugié dans sa chambre. Bien que gentille et tolérante, Maria avait la malédiction de supporter les moqueries de sa soeur, qui faisait toujours tout pour la mettre en rogne. 

Elle montait à vive allures les marches des escaliers. 

-- mais enfin, Ali pourquoi es ce que tu provoque toujours ta soeur de la sorte ? Demandait son père d'une petite voix.

-- oh pardon d'avoir blesser ta petite protéger. Mais celle qui à un bleu ici c'est moi. Fit t-elle remarquer 

Elle laissait les assiettes tombé sur la table puis tournait elle aussi les talons. À présent seul avec sa femme, Blaise ne savait où mettre de la tête car il savait ce que cette dernière lui dirait qu'ilprenaittoujours partie pour Maria. Des remarques absurdes car pour lui, toutes les deux avaient la même valeur, il ne faisait aucune distinctions.

En moins de deux, il prit ses clés et sortir de la maison presque en fuyant.

Son chauffeurs l'attendait déjà dans la cour, adossé au capo de la voiture, il sursautait en voyant son patron avancé avec la mine bien serré. 

-- bonjour patron.

-- pas de blagues aujourd'hui Stan emmène moi à l'entreprise immédiatement. Ordonna t-il avec une voix qu'il voulait sévère. 

Aussitôt l'homme obéissait en lui ouvrant la portière. 

Coucher sur son lit, Maria repensait au propos de sa soeur, même si cela sonnait comme une injure, au fond, elle savait que tout était vrai. Sa timidité l'empêchait de faire le moindre effort côté tenue vestimentaire et même l'empêchait de se faire au risque s'attirer les regards. 

Dès qu'une personne osait lui faire un compliment sur son physique, Maria rougissait comme une tomate. Le seul qui pouvait lui dire qu'elle était Belle telle une déesse était son père. 

Perdu dans ses pensées , elle n'entendit pas le bruit de la sonnerie de son téléphone. Ce fut le deuxième qui l'a réveillait enfin. Un appel entrant de Ashley l'assistante de son père. 

-- bonjour Maria. 

-- bonjour. Fit t-elle la mine pâle.

-- ton père m'a dit que tu devais assister à une réunion avec les partenaires de l'entreprise. 

-- en effet. C'est prévu pour quelle heure ?

-- 2h. Autre chose, je suis déjà en route pour chez toi. 

Elle froncait les sourcils surprise.

-- il est 8h.

-- j'ai bien regarder l'heure, je viens juste pour te remettre ta tenue.

-- ma quoi?

-- oui en enfin tes tenues, j'ai oser en prendre 3 tu en choisira une. 

-- tu fais toujours ça ?

-- mon travail. Répond t-elle excité. 

-- à tout à l'heure donc. 

Elle raccrochait l'appel après sa dernière phrase. Elle savait que dans quelques temps, elle devra prendre place aux côtés de son père à l'entreprise, c'était bien pour ça qu'il avait tenue qu'elle fréquente les meilleures écoles et formée par les meilleurs professeurs. La seule chose qui l'a chiffonnait c'était le fait qu'elle soit toujours dans tenues prêt du corps comme les femmes d'affaires qu'elles voyait à la télévision. 

Ashley arrivait à la hâte avec les tenues, les embouteillages l'avait un peu retarder, elle jetait un coup d'oeil à sa montre qui affichait à présent 9h51. Elle sautait les escaliers trois par trois pour rejoindre très vite la chambre de Maria. En prenant le premier couloir, elle croisait Alicia qui sortait . cette dernière s'interrogeait de voir l'assistante de son père à cette heure à la maison et surtout en l'absence de son patron. Mais elle compris très vite en voyant les paquets dans la mains. 

-- laissez moi deviner, c'est pour relooker ma soeur avec ça ? S'enquit t-elle avec sarcasme.

-- en effet. 

-- vous perdez votre temps, Maria est un cas très désespérer. Rit t-elle. 

La jeune femme feint de ne pas l'avoir entendu puis se dirigeait tout droit vers la chambre de l'élue. Elle frappait deux fois avant qu'on ne lui ouvre. 

-- oh, rentrez donc. Invitait Maria.

-- désolé pour le retard. 

-- ce n'est rien. Faites moi ce que vous avez là. Rétorqua la jeune fille qui faisait mine d'être excité. 

-- bon, j'ai là, une robe de chez Versace , une de chez Louis Vuitton et l'autre de chez Goldoni. 

-- laquelle m'ira alors?

-- la verte. 

Elle sortait la robe choisit de son carton pour mieux l'observer. Elle n'était pas du tout extravagante, simple avec un décolte plongeant. 

-- et si vous l'essayez ?

-- bien sûre.  lanca t-elle fade

Elle prit la robe entre deux mains pour se diriger vers son dressing room. Elle en revenait dix minute après s'être enfin décidé à la mettre. Ashley l'a trouvait éblouissante dans cette robe, elle lui allait comme une seconde peau tout mettant en exergue sa belle poitrine et ses hanches .

-- ce n'est pas trop vulgaire de laisser entrevoir ma poitrine de la sorte ?

-- non du tout. C'est une toute petite parcelle, en plus il faut que vous soyez à la fois classe et sexy. 

-- on ne risque pas de me prendre pour ...

-- non, mais non. Regardez vous dans la glace. Vous êtes divinement belle. 

Maria se mit à rougir jusqu'au fesses, les compliments lui faisait toujours un drôle d'effet.  elle voulait bien la garder cette robe mais pas pour une réunion avec les actionnaires 

-- pour vos cheveux , je propose que vous les gardiez en retenue sur la nuque sa fera plus femme difficile et intrépide. Et j'ai apportez quelque chose d'autre. 

Elle fouillait dans son sac et en sorti un autre petit paquet. Maria se demandait quelle autre surprise l'attendait.  

Elle en sortait des lunettes. Maria ouvrait la boîte pour y voir le contenu. 

-- qu'es ce que c'est ça ?

-- des lunettes, j'ai remarquer que vous n'enlevez jamais ceux la, alors je t'ai envoyé d'autres un peu plus class. 

Elle sourit puis sortait ses nouvelles paire de la boite. Elle les mit et fut surprise de voir, qu'elle était doter d'un d'où le foyer comme les siennes. 

-- merci c'est beau.

Elle optait pour cette robe sans avoir essayer les autres. L'assistante de son père, s'occupait de sa tignasse , Maria ne voulais pas de maquillage, seulement un peu de glose qui faisait briller ses lèvres rondes. 

-- vous êtes divine comme ça. 

-- merci. Sourit t-elle .

-- je dois filer au bureau

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Quelques heures après que soit parti mademoiselle Saw , Maria se décidait enfin à enfiler cette fameuse tenue. Elle se regardait encore dans la glace en n'arrivant pas à croire qu'elle sera dans une demie heure assise avec les associés de son Père. Elle avait quelques fois assisté à des réunions avec lui mais là, c'était tout autre, son Père ne sera pas présent, elle sera seule fasse à ses hommes d'affaires. Elle inspira un grand coup avant d'enfiler ses nouvelles paire d'yeux

Tout d'un coup la porte s'ouvrait. Maria se retrouvait encore face à sa soeur. 

-- wouhhh ma soeur tu es ridicule dans cette robe. Ou vas tu si fringuer? Lance t-elle avec un air moqueur.

-- sors d'ici. Ordonne Maria

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