-- Mark enfin lâche la ! S'écrie son frère.
Comme s'il venait de prendre conscience qu'il avait dépassé les limites, Mark l'a relachait honteux, il sortait rapidement de la cuisine en jetant la pomme à la poubelle.
Il se réfugiait dans on bureau , là ou il méditait, il était conscient de sa violence, son manque de sang froid lorsqu'il s'agissait de ses deux gamins, il n'arrivait pas à être doux avec ses frère, il était toujours sévère et strictes sur ses décisions.
Es ce qu'il arriveront à le comprendre un jour? Mark sortait de sa méditation toujours avec cette faim qui le tenaillait. Il devait se dépêchée de trouver très vite une nouvelle cuisinière.
La porte de son bureau s'ouvrait sans qu'on l'ai frapper. Il se redressait pour voir que ce n'était que son frère.
-- on ne t'a pas appris à...
-- pourquoi es ce tu réagi ainsi? Fit t-il d'une voix douce.
Mark grimaçant à l'idée de fournir des explications à son petit frère. Il avait la malédiction de toujours se heurtée contre ce petit garçon qu'il n'avait pas vu grandir. Nathan avait cette sagesse en lui qui epatait même Mark.
-- ce n'est pas si mal de peindre tu sais chacun à sa vocation, sa passion et ses talents.
-- pitié Nathan va te reposer tu veux bien?
Sa voix devint plus rude cette dois. Nathan s'avançait avec beaucoup d'audace pour confronter son frère.
-- on n'a peut-être pas reçu la même éducation, cependant nous sommes tout trois des êtres humains, tu n'as pas le droit de choisie pour elle.
-- Alvina est beaucoup trop jeune pour décider de quoi que ce soit.
-- dans quelques mois, elle aura 18ans et tu n'auras plus de droit sur elle. Pense mon frère, réfléchi à ce que tu fais.
Mark ne répondit pas, il se contentait juste de détourner le visage, la colère avait commencée à le gagner. Nathan tournait le dos en direction de la sortie.
-- je t'ai préparer des sandwichs. Alvina va te les apportée tout à l'heure. Lui lançait t-il en sortant.
***********
De retour à la maison, Maria s'enfermait dans sa chambre pour pleurer toute les larmes de son corps. Elle avait tellement mal de savoir son père dans cette situation, au bord de la faillite, allait t-il réussi à se relever ?
Avec toutes ses dépenses, les charges de la maison et les cadeaux exorbitant qu'ils offrait à son épouse. Maria en eut une boule au ventre. Ses deux pestes passaient toutes leurs journées à dormir ou à se limer les ongles pendant que le pauvre homme luttait contre tout les géants pour leurs assurer une vie de luxe.
Elle se levait furibonde et allait directement dans la salle de contrôle débrancher tout fil de climatisation, celle de sa chambre, de la chambre de sa soeur et même de ses parents. Tout le monde allait dormir sans air fraiche. Elle demandait aussi aux vigiles de boucler la porte pour que jamais ses deux là ne puisse y entrer.
Elle demandait aux domestiques de débrancher la télévision et tout les ventilateur de la cuisine, à quoi sa leur servirait d'avoir toutes ses machines allumer alors qu'ils étaient en services?
Même son message était assez étrange, les domestiques obéissait sans broncher. Il ne manquait plus que la réduction du personnel. S'allait être un choix difficile par ce que son Père considérait tout ses employés comme des amis voir même de la famille. Elle avait de la sympathie pour tout ses gens.
Maria remontait dans sa chambre lorsque Alicia garaiysa voiture avec un tel boucan dans la cour. Les employés se précipitait tous pour voir d'où venait cette musique. Maria les suivait peu après. Elle fit surprise voir même choquer de la voiture de laquelle Alicia venait de descendre r, une Lamborghini rouge avec même son nom sur la plaque. Elle refermait fièrement la portière avec toute la précaution du monde. Les employés admrait ce bijou de dernière génération.
Alicia ôtait ses lunettes de soleil pour mieux regarder sa soeur avec tout son air arrogant.
-- c'est quoi ce boucan ? S'enquit Maria
Sa petite voix ne semblait pas du tout effrayer sa soeur qui bien au contraire exhiba son nouveau cadeau.
-- c'est quoi ça Alicia? Demande sa soeur en indexant la voiture.
Elle ricana quelques secondes avant de lui répondre, sa question était d'une stupidité étonnante.
-- quoi? Tu ne le vois pas c'est un avion ma soeur. Répond t-elle avec un sourire moqueur.
-- d'où es ce que tu as sortir tant d'argent pour...
-- simple , j'ai dit a Vater que je voulais m'acheter des documents pour me ressourcer mais que j'avais un soucis avec ma carte de crédit alors il m'a simplement donner la sienne. C'est cool non?
Maria en était abasourdi, son cerveau n'arrivant pas d'abord à assimilé cette histoire cogitait pendant une bonne dizaine de seconde. L'air peinard, sa soeur se mit a lui sourire. Déjà que les temps se faisaient dur, il ne manquerait plus que son inconsciente de soeur parte jeter l'argent par la fenêtre.
Un sentiment de colère lui nouait la gorge, elle considérait sa soeur avec une envie de la tuer.-- non mais qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? Hurlait Maria.
Les employés surpris de la voir dans un tel état se reculait.
-- arrête, et ôte toi de mon passage.
Elle bousculait Maria qui le prit très mal, la main déjà lever, Alicia se prit une paire de claque , elle vacillait d'un pas avant de se ressaisir.
-- sale e..
Et une troisième s'en suivit plus forte lui coupant ainsi la parole.
Alicia s'écrasait sur le sol les lèvres en sang.-- donne moi immédiatement cette carte de crédit.
-- non.
Sans trop insisté, Maria lui arrachait le sac et déversait tout ce qui s'y trouvait à l'intérieur. Elle prit la carte puis tournait les talons pour la laisser ainsi sur le sol.
Depuis les escaliers, elle pouvait entendre celle ci hurler sur les employés. Maria se mit à rire , heureuse de lui avoir casser la gueule à cette écervelée.
**************
Maria dormait lorsque des bruits l'a sortait de son profond sommeil. Quelqu'un frappait vivement à la portes. Elle sortait difficilement de son lit.
À peine avait t-elle ouvert la porte que sa Belle mère lui administrait une gifle, Maria se réveillait aussitôt.
--qu'est-ce que tu as fait à ma fille ?
Elle ouvrait la bouche surprise d'une telle réaction après la bêtise que cette dernière avait fait. Elle eut un mouvement de recule en voyant la raison de sa fureur...
Elle comprit quelques secondes plus tard la cause de sa réaction. Alicia avait le visage recouvert de bleue avec un air faussement pathétique Maria ne se souvenait pas avoir fait autant de dégâts. Son oeil était littéralement gonflé et le visage égratigné. Maria eut un cri d'horreur suivie d'effroi. Elle était convaincu que Alicia avec son esprit de toxico c'était fait ça toute seule.-- c'est pas vrai tu t'es cogner expressément la tête rien que pour m'accuser? S'enquit Maria abasourdie.Monica, l'a saisit par le bras pour la trimballer dans les escaliers tout en prenant soins de lui enfoncer les ongles dans la chair. Maria se débattait telle une furie.La voix de son père coupait coupait l' instant, Monica l'a relâchait en lui jetant des regard de braise.-- qu'est-ce qui se passe ici?-- ta fille à d&
-- allô ?-- allô ? Insistait l'homme derrière le téléphone.Maria se ressaisi rapidement de peur de se faire raccrocher au nez. Elle aspirait un grand coup puis fermait ses yeux en mettant sa peur de côté-- bonjour monsieur Adam's-- bonjour, à qui ai-je l'occasion de Parler?-- Maria Grey's .-- Grey's ? S'exclama Nathan en lançant un regard à son frère qui était toujours à table.Mark reconnu bien évidemment ce nom, son nouvel associé. Que lui voulait t-il ?Il lança un regard interrogateur à son frère-- en effet. J'aurai besoin de Parler affaire avec vous si possible.-- avec moi ou avec Monsieur Greinton ? Interrogera le jeune homme avec un accent professionnel.-- plus particulièrement avec monsieur Greinton.-- c'est noté. Pour la
Nathan se tournait surpris de voir son frère apparaître de nul part. Il se raclait la gorge près à lui faire l'annonce de sa venue mais Mark le prit de haut.-- Maria Grey's ? Appela Mark la voix rude.Maria se raidit en l'entend de son nom. Un frisson venu de nul part l'a traversait entièrementMark n'avait certainement pas oublier la petite scène d'hier pendant la réunion. Il avait promis lui redonner la monnaie de sa pièce, Mark ne supportait jamais un manque de respect encore moins venant d'une femme aussi insignifiante. Et maintenant chez lui.Elle se retournait pour lui faire face. Maria hoqueta face à sa beauté, elle avait l'impression de ne pas l'avoir bien regarder hier, car la description avait changer le visage plus carré avec ses iris d'un noir de jais qui rendait son regard plus terrifiant. Aujourd'hui elle l'avait l'immense chance de voir de p
Mark ne répondit pas sur le champ, il attendait de lire un supplice sur son visage. Lorsqu'il fut convaincu qu'elle était prête, il s'éclaircit la voix.-- voyez vous mademoiselle la proposition que j'ai à vous faire jouera tout deux en notre faveur.Maria déglutit, son ton était trop mystérieux.-- dites moi.-- très bien. Dans quelques semaines, je me présenterai au sénat.Elle froncait les sourcils, sa n'avait rien avoir avec ce don elle voulait parler. Elle le laissait néanmoins s'exprimer.-- pour avoir plus de puissance, je me suis fixer pour objectif de m'offrir ce trône cette Année et je ne pense pas reculer, cependant il me manque quelques chose. Déclare t-il.-- où es ce que vous voulez en venir?-- pour sa il me faut une femme. Où dirai-je une figure féminine
Elle se réveillait en sursaut lorsque le vibreur de son téléphone l'a sortait de son sommeil.C'était un numéro qu'elle n'avait jamais vu, Maria jetait un coup d'oeil à son horloge qui affichait 20h27. Hésitante, Maria attendu le deuxième appel pour décrocher.-- Allô ?-- j'ai cru que vous n'alliez jamais répondre.Son coeur rata un battement, cette voix, elle l'avait garder en tête depuis cette après midi et n'allait certainement pas l'oublier de si tôt. Maria eut les idées très lucide. Elle s'éclaircissait la voix avant de répondre toute tremblante.-- euh... Comment avez vous eut mon téléphone ?-- apprêtée vos affaires et faites vos au-revoir à votre famille, demain mon chauffeur viendra vous chercher à 18h et n'oubliez pas de prendre seulement que le
Elle se réveillait en sursaut lorsque le vibreur de son téléphone l'a sortait de son sommeil.C'était un numéro qu'elle n'avait jamais vu, Maria jetait un coup d'oeil à son horloge qui affichait 20h27. Hésitante, Maria attendu le deuxième appel pour décrocher.-- Allô ?-- j'ai cru que vous n'alliez jamais répondre.Son coeur rata un battement, cette voix, elle l'avait garder en tête depuis cette après midi et n'allait certainement pas l'oublier de si tôt. Maria eut les idées très lucide. Elle s'éclaircissait la voix avant de répondre toute tremblante.-- euh... Comment avez vous eut mon téléphone ?-- apprêtée vos affaires et faites vos au-revoir à votre famille, demain mon chauffeur viendra vous chercher à 18h et n'oubliez pas de prendre seulement que le
Alvina regardait Maria curieuse, jamais elle ne l'avait vu par ici ni même parlée d'elle. Nathan ordonnait rapidement aux domestiques de faires monter ses valises et de l'installer dans sa chambre.-- Bonsoir monsieur Greinton. Fit t-elle.-- bien le bonsoir à vous. Répond t-il la mine effrayante.Nathan fit signe à Alvina de le suivre, ils s'enfuyait tout deux à l'étage. Seule face au prédateur. Maria croisait nerveusement les jambes, une sueur se glissait le long de son dos. Il se rapprochait d'un pas elle , reculait de deux. Mark sourit à l'idée de la faire peur, c'était tout ce qu'il espérait d'elle de la criante pour mieux obéir.-- soyez la bienvenue.Maria eut un frisson , elle scrutait l'immense maison et voyait déjà 1mois et demie de galère à supporter cet homme froid et dépourvu d'&eacu
Voici deux jours qu'elle venait d'aménager ici et Maria à aucun moment n'eut l'envie de descendre, elle n'était pas sortie de sa chambre et prenait tout ses repas étant enfermé.Pas une seule fois Mark n'était monter la voir, elle se sentait comme une chose dans cette immense maison.Maria admirait le jardin depuis son balcon, elle fut tenter de s'y promener à l'intérieur mais eut peur de la réaction de Mark après tout, il lui avait presque prise sa liberté.Quelqu'un frappait à la porte, Maria refermait les portes du balcon , elle se dirigeait vers la porte lorsque celle ci s'ouvrit.Maria eut un mouvement de recule en voyant Mark rentré.C'est pas vrai, il ne pouvait pas attendre son approbation ?-- vous auriez dû attendre que je vienne vous ouvrir. Siffla t-elle sur la défensive.-- quand comptiez vou