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Le mysterieux homme lui lanca un regard peu sympathique avant de tourner les talons en direction de l'ascenseur. Maria relâchait son souffle lorsqu'il fut convaincu qu'il n'était plus dans l'étage. Elle contournait le bureau de la secrétaire pour retrouver son père. 

George rangeait des dossiers lorsque Maria fit éruption, il refermait nerveusement son coffre . Maria jetait son sac dans le canapé puis s'avançait les mains sur les hanches

-- j'ai besoin d'explication. 

-- assoit toi avant. 

Elle obéissait sans protester. On père fit le tour de son bureau pour l'a rejoindre. 

-- ma chérie... Il y à beaucoup de chose que tu ne comprendra pas. 

-- explique moi papa... Pourquoi es ce que tu ne m'as pas dit que l'entreprise traversait une crise?

-- je...

-- tu m'as laisser seule faces à tes associé, tu fuit te responsabilité. Lui criait-elle 

-- j'étais occupé, j'avais aussi reçu la confirmation de Mark Greinton, je ne pouvait pas le faire attendre. 

Elle ouvrait la bouche surprise, son père était le président de cette entreprise, pourquoi es ce qu'il abandonnerai une réunion si importante pour si peu. 

-- es seulement pour cette raison que tu n'as pas assister à la réunion?

-- Je devais...

-- qu'es ce que tu caches... Dis moi papa. 

Nerveux, George se relevait, il n'avait pas trop de courage pour mentir à sa fille, elle ne lui pardonnera jamais d'avoir offert 70% des actions à cet homme. 

-- papa, j'exige une réponse.

-- Mark Greinton, s'est proposé de nous aider. 

Maria connaissait trop le monde des affaires pour savoir qu'il ne s'agissait pas d'un simple coup de main, il y'a avait une toute autre raison que lui cachait son père . Et l'expression de son visage semblait lui confirmé ses doutes

-- papa ! S'écrit t-elle

-- Mark Greinton, à acheter quelques actions, ainsi nous pourrons reprendre la où nous sommes tomber. 

-- des actions tu dis? Quel pourcentage ? 

Il tournait le dos, contemplant la ville depuis la vitre. Jamais George n'aurait cru se retrouver dans cette situation, il avait bien de fois eut des difficultés mais avec l'aide de Fernanda, il avait pu se relever. 

-- combien de pourcentage papa?

-- c'était serrer. 

-- 50? S'écrie t-elle furieuse. 

Il eut un sourire pathétique, George, se passait la main sur le visage stresser. Elle s'emporte pour 50% si seulement elle savait que c'était bien plus. 

-- non 70%

Maria vacillait dans le canapé, sans reprendre ses esprits, elle se relevait outré. Commence son père avait t-il pu tomber aussi bas? Offrir plus de la moitié de son entreprise, le rêve de sa mère, toute une vie de sacrifice jeter à la poubelle

-- comment ?

George se retournait enfin pour faire face à sa fille qui après avoir appris la nouvelle était toute rouge de colère. Elle ramenait ses cheveux en arrière avec cette sensation de chaleur. 

-- tu as vu le livre des comptes ? S'enquit t-il. Je suis en Pleine faillite. Mark Greinton était le seule avoir voulu faire affaire avec nous, tous les autres partenaires nous quitte. Personne ne veut de nos produits. 

Maria n'était pas pour autant calme. 

-- cette entreprise c'est tout ce que maman m'a laissée. Tu peux investir. Avec Memorata tu fais un très bon chiffre d'affaires... Tu peux investir. Réduis le personnelle, et faire des économie niveau budget. 

Son Père l'a regardait se démêler pour trouver une solution, il vit en elle la femme qui l'avait rendu fou d'amour. Bien que timide,Maria émanait une force presque surnaturelle, elle ne s'avouait jamais vaincu et c'était tout Fernanda. Il était en pleine faillite, toutes ses entreprise coulait et s'il ne sacrifiait pas une , il sera à l'eau. 

-- ma chérie , je suis en pleine défaillance. Déclare t-il d'une voix pathétique.

Maria comprit qu'il s'agissait de toute ses affaires, Son père prenait de l'âge et il n'était plus aussi efficace qu'avant. Son empire s'écroulait. Maria n'acceptait pas cette idée, sa mère s'était investir corps et âme après la mort de son grand père pour élever cette entreprise au sommet , elle avait tout sacrifié, sa vie, son foyer, son mariage, il n'avait pas le droit de bafouer autant d'efforts pour des raisons égoïste. 

-- jamais !!! Cette entreprise, c'est la mienne, je suis la seule à pouvoir décider de son sort et moi Maria Grey's je refuse d'offrir ce trésor sur un plateau d'argent à cet inconnu. 

-- tu as penser à notre réputation, que diront les médias, les gens dans la rue. S'empresse t-il de la dissuadé. 

-- je me moque pas mal des médias, des gens et même du monde entier. Je récupérait mon héritage peu importe ce qu'il en coûtera. Répond t-elle sur la défensive. 

-- que compte tu faire? S'enquit son père inquiet.

-- ce que j'aurai du faire depuis longtemps. Prendre les rennes de ce qui m'appartient. 

Maria prit son sac et sortie du bureau toute tremblante de rage. Cet homme n'avait pas encore gagner la bataille. Il pouvait ravalé son arrogance par ce qu'elle lui tenir tête. 

******

De retour chez lui , Mark Greinton se dirigeait immédiatement à la cuisine. Cette négociation lui avait ouvert l'appétit. 

Son frère le rejoignait quelques minutes après s'être échanger. Il ouvrait le réfrigérateur affamé. 

Nathan prit une pomme et un verre de jus d'orange. 

-- tu as été fabuleux à la réunion. Compliments Nathan

-- je ne peux pas en dire autant de toi. Combien de fois t'ai je répéter que en affaire il n'y à pas de pitié. Arrête de faire cette tête de compassion lorsque tu annonce à un client que tu ne pourra par faire affaire avec lui. Gronda son frère la mine sévère. 

-- oui mais cette hommes faisait peine à voir en plus, il à des problèmes de partout ses trois entreprises sont en faille.

-- on s'en moque. Répond sèchement Mark. Ce qui nous intéresse nous c'est comment écrasé les autres pour mieux régner. 

Son petit frère réprima une grimace de dégoût, il n'était pas ainsi lui, son frère voulait à tout prix le transformé en cette bête féroce qu'il était. 

-- on n'a pas le même avis...

-- dans le monde, il y à deux cas, soit tu baise, sois tu te fait baiser. Et moi jamais je ne permettrait que vu fasse partir de la classe des sodomisés. Cracha t-il en mordant sa pomme. 

Nathan regardait son grand frère quelques peu attristé, il était toujours ainsi. Pas très bavard et beaucoup trop froid, il ne prenait la parole que pour donner un ordre ou trancher tout court. Ce n'est cette vie rempli de haine et de solitude qu'il voulait.

-- c'est pas vrai...

Une jeune fille entrait dans la pièce avec des paquets. Aussitôt, Nathan s'empressait de l'aider. 

-- merci. 

-- Comment s'est passé ta réunion mon frère. 

-- je l'ai tous écrasé.

Elle sourit jusqu'aux oreilles en lui faisant un grand câlin. Lorsqu'il lui prit la paume, Alvina se rappelait qu'elle ne devait pas trop l'approcher. 

-- tu sens la peinture. Fit t-il remarquer. 

Elle voulu s'éloigner rapidement mais il l'a retenait par le bras en l'obligeant à lui montrer ses doigts, il inspectait avec attention ses ongles jusqu'à retrouver de la trace de peinture. 

-- qu'est-ce que c'est ça? Tu t'es remis à peindre ? Hurlait t-il

Nathan sursautait de peur, sa voix avait le don de tous les momifié. 

La jeune fille se débattait tant bien que mal pour se libérer de l'emprise de son frère. 

-- tu me fais mal , Mark lâche moi...

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