Elle en sortait des lunettes. Maria ouvrait la boîte pour y voir le contenu.
-- qu'es ce que c'est ça ?
-- des lunettes, j'ai remarquer que vous n'enlevez jamais ceux la, alors je t'ai envoyé d'autres un peu plus class.
Elle sourit puis sortait ses nouvelles paire de la boite. Elle les mit et fut surprise de voir, qu'elle était doter d'un d'où le foyer comme les siennes.
-- merci c'est beau.
Elle optait pour cette robe sans avoir essayer les autres. L'assistante de son père, s'occupait de sa tignasse , Maria ne voulais pas de maquillage, seulement un peu de glose qui faisait briller ses lèvres rondes.
-- vous êtes divine comme ça.
-- merci. Sourit t-elle .
-- je dois filer au burezu
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Quelques heures après que soit parti mademoiselle Saw , Maria se décidait enfin à enfiler cette fameuse tenue. Elle se regardait encore dans la glace en n'arrivant pas à croire qu'elle sera dans une demie heure assise avec les associés de son Père. Elle avait quelques fois assisté à des réunions avec lui mais là, c'était tout autre, son Père ne sera pas présent, elle sera seule fasse à ses hommes d'affaires. Elle inspira un grand coup avant d'enfiler ses nouvelles paire d'yeux
Tout d'un coup la porte s'ouvrait. Maria se retrouvait encore face à sa soeur.
-- wouhhh ma soeur tu es ridicule dans cette robe. Ou vas tu si fringuer? Lance t-elle avec un air moqueur.
-- sors d'ici. Ordonne Maria
-- très bien je m'en vais et s'il te plaît enlève cette robe, elle est affreuse.
Sur ses mots, Alicia refermait violemment la porte. Seule, Maria se comptemplait encore dans la glace, bien que vexé par les propos de sa soeur, Maria était quelques peu heureuse car elle savait au fond que c'était simplement de la jalousie.
Elle faisait le tour sur elle même histoire de bien se voir' puis d'un pas déterminer, elle pris son sac et ses clés.
Elle traversait le couloir la tête haute en marchant gracieusement sur ses hauts talon . Une fois dans la cour, Maria retrouvait son chauffeur adossé sur l'und des limousine de son père.
-- Rocxan...
-- Bonjour mademoiselle vous êtes magnifique.
Elle rougie jusqu'à la racine des cheveux.
-- votre père m'a demander de vous conduire aujourd'hui.
-- ce n'est pas la peine, je vais prendre ma voiture.
-- j'insiste mademoiselle.
Elle compris pourquoi il insistait tant , alors sans broncher , elle montait dans la voiture en rangeait ses clés dans son sac.
Maria avait réciter son mini discours durant tout le trajet, lorsqu'elle fut à destination, Roxcan se précipitait de lui ouvrir la portière. Elle y sortait gracieusement. Jetant quelques coup d'œil de gauche à droite, Maria avait réussi à tirer le regard de tout les employés, qui jamais ne l'avait vu aussi Belle. Elle souriait timidement aux receptionistes en se dirigeant vers l'ascenseur.
Les portes s'ouvrait sur un homme d'une trentaine d'année avec une carrure imposante, Maria hoqueta en croisant son regard, elle ne l'avait jamais vu par ici, son tailleur bleu foncé lui confirmait qu'il n'était pas un simple employé. Elle pénétrait dans la machine qui se refermait.
Il ne semblait pas avoir remarquer sa présence, pas un mot, ni un regard de plus, pourtant son parfum semblait tout dire sur lui. Cette odeur délicieuse s'emparait des poumons de Maria. Elle se demandait bien qui était cet homme.
Les portes s'ouvraient , Maria se hâtait de sortir alors que l'homme restait à l'intérieur. Elle tournait la tête mais les portes s'étaient déjà refermer. Elle continuait son chemin songeuse.
La voix de madame Carson l'une des comptable l'a sortait de sa torpeur.
-- Bonjour mademoiselle... Les partenaires vous attendent.
-- désolé.
-- venez.
La jeune dame l'aidait à se debarasser de ses affaires.
Elle l'a suivait nerveuseLorsque les portes de la salle de réunion se refermait, Maria priait Dieu pour ne surtout pas vaciller, elle marchait le coeur tremblant jusqu'à son fauteuil. Les hommes présent dans la salle ne cessait de l'a regarder, certains avec des yeux admirateurs, d'autres avec des regards bien plus osé que pervers. Elle s'excusait de son retard puis s'installait dans son fauteuil.
-- voici pour vous.
La comptable lui donnait le livre des comptes plus un autre dossier qu'elle devinait être son oratoire.
-- nous sommes inquiet quant aux revenus des ventes. Lança un homme
-- votre père nous à promis d'y remédier, nous constatons que les chutes sont de pire en comble.
Maria déglutit péniblement sa salive. Elle ne comprenait pas trop es ce qu'il s'agissait. Lorsqu'elle se décidait à ouvrir le livre des comptes, ses lunettes faillit se briser, tellement choqué par les pertes énormes dont faisait face l'entreprise.
D'ici quelques peu, cette entreprise n'existera plus.
-- je ne pense plus pourvoir continuer l'aventure avec vous cher Grey's... Je retire mes actions. Cracha un des hommes furieux.
-- il en sera de même pour moi. Ajouta un autre.
-- nous sommes désolé mademoiselle, nous ne pouvons investir. Votre entreprise est sur une pente et je crains qu'il soit apte pour l'affonter. Déclare la seule femme présente
Maria serrait les mâchoires furieuse que son Père ait fuit cette situation pour l'y exposer de l'a sorte. Elle fit un discours improvisée juste pour rassurer les partenaires qui leurs rester et sortit immédiatement du bureau dans prendre la peine de raccompagner les hommes d'affaires.
Son assistante et la comptable discutait avec les associés lorsque Maria marchait d'un pas déterminer vers l'ascenseur, elle n'avait pas dit son dernier mot.
Bien que la secrétaire de son Père l'ai informé de l'indisponibilité de son père qui était en réunion avec des hommes d'affaires, Maria fonçait droit vers son bureau.
-- mademoiselle, vous ne pouvez pas entrez je vous en prie.
-- ôtez vous de mon chemin tout de suite.
Elle bousculait la demoiselle sans aucun respect et fit éruption dans le bureau. Les regards se tournaient vers elle.
Maria reconnu aussitôt le mystérieux inconnu dans l'ascenseur, un autre qu'elle devinait être son frère vu la ressemble, son père et ses avocats.Maria avançait vers le petit monde et vit le regard de son père changer. Il était apeuré de la voir ici et surtout avec l'expression de son visage qui ne disait rien qui vaille.
-- papa tu peux m'expliquer... ?
-- Maria pas maintenant... Balbutia son Père.
-- excusez l'impertinence de ma fille... Euh Maria je te présente MARK GREINTON.
Le regard de l'homme se posait sur délicieusement sur les hanches de Maria, il l'a détaillait du regard avec un air très audacieux. Maria ne lui adressait pas un seul mot, elle regardait farouchement son père stressant à mort.
-- c'est mon nouvel associé. Conclu son père.
-- enchanté de faire votre connaissance.
Sa voix lui donnait à Maria quelques frissons dans le dos, elle n'avait jamais entendu une voix aussi grave. Sans lui accorder un regard, Maria se penchait sur son père.
-- il faut qu'on parle. Déclare t-elle.
-- pas maintenant, je suis en pleine réunion.
Elle comprit qu'il ne s'agissait pas de n'importe qu'elle réunion si non son père se serait excuser pour lui accorder quelques minutes. Elle tournait les talons sans un mot.
Mark n'avait pas manquer une seule occasion pour admirer les déhanchement de la jeune femme. Forcé de revenir à la réalité par le pincement de son frère, il se raclait la gorge .
-- eh bien, vu la situation de l'entreprise, nous avons bien peur de ne pas pouvoir faire affaire avec vous monsieur Grey's. Annonça Nathan le frère de Mark.
-- mais... Notre offre est bien alléchante. Insista Cross.
-- désolé monsieur Grey's.
Tout pensif, Mark n'avait pas intervenu à la discussion des jeunes avocats.
-- j'achète l'entreprise. Je suis prêt à miser une fortune pour l'avoir.
Monsieur Grey's hoqueta choqué par la proposition du milliardaire, jamais il ne serai imaginer se séparer de cette entreprise.
-- désolé mais je me dois de refuser.
-- deuxième option 70%.
Cross regardait son patron pour avoir son approbation mais Gorge ne réagissait pas. Il inspectait dans sa tête les conséquences de cette décision. Puis il se raclait la gorge.
-- c'est d'accord seulement avec. Possibilité de rachat.
Mark sourit malicieusement avant d'accepter cette condition. De toute façon, jamais cet homme ne pourra rassembler autant d'argent pour racheter 70% d'action. Il se saisit alors du stylo puis signait d'un geste rapide les documents.
Maria essayait de soutirer des informations à Nadine la secrétaire qui semblait cacher quelque chose.
-- pourquoi tant de mystère...
-- je ne suis pas en position de vous dire'...
-- savez vous que j'ai le pouvoir de vous renvoyé et même de faire sorte que vous ne soyez plus engager? Déclara Maria sur l'offensive.
-- mademoiselle... J'ai... Je vous en prie.
-- dîtes moi juste de quoi es ce qu'il s'agit qui est cet homme ?
-- Mark Greinton , il s'appelle Mark Greinton... Il est... Enfin votre père veut faire affaire avec lui.
-- d'autres informations ??
-- non mademoiselle.
Maria se levait presque rassurer qu'il ne s'agissait pas de ce qu'elle pensait. Elle était sur le point de s'en aller lorsque les portes du bureau de son père s'ouvrait pour laisser passer le fameux inconnu.
Maria se cachait derrière ses lunettes pour mieux détaillé cet homme.
Ses cheveux noir avec un reflet d'ébène, son visage sévère mais divin , ses lèvres d'un rose clair était 'délimité par sa une couronne soigneusement taillé ce qui lui donnait un air féroce.
Elle le voyait enfin dans toute sa hauteur, Maria ne pouvait voie son corps mais l'imaginait avec de grand muscles, lorsque soudain ses yeux croisait celui de la jeune femme. Maria baissait instinctivement les yeux honteuse d'avoir été surpris entrain de l'épillet.Le mysterieux homme lui lanca un regard peu sympathique avant de tourner les talons en direction de l'ascenseur. Maria relâchait son souffle lorsqu'il fut convaincu qu'il n'était plus dans l'étage. Elle contournait le bureau de la secrétaire pour retrouver son père.George rangeait des dossiers lorsque Maria fit éruption, il refermait nerveusement son coffre . Maria jetait son sac dans le canapé puis s'avançait les mains sur les hanches-- j'ai besoin d'explication.-- assoit toi avant.Elle obéissait sans protester. On père fit le tour de son bureau pour l'a rejoindre.-- ma chérie... Il y à beaucoup de chose que tu ne comprendra pas.-- explique moi papa... Pourquoi es ce que tu ne m'as pas dit que l'entreprise traversait une crise?-- je...-- tu m'as laisser seule faces à tes associé, tu fuit te res
-- Mark enfin lâche la ! S'écrie son frère.Comme s'il venait de prendre conscience qu'il avait dépassé les limites, Mark l'a relachait honteux, il sortait rapidement de la cuisine en jetant la pomme à la poubelle.Il se réfugiait dans on bureau , là ou il méditait, il était conscient de sa violence, son manque de sang froid lorsqu'il s'agissait de ses deux gamins, il n'arrivait pas à être doux avec ses frère, il était toujours sévère et strictes sur ses décisions.Es ce qu'il arriveront à le comprendre un jour? Mark sortait de sa méditation toujours avec cette faim qui le tenaillait. Il devait se dépêchée de trouver très vite une nouvelle cuisinière.La porte de son bureau s'ouvrait sans qu'on l'ai frapper. Il se redressait pour voir que ce n'était que son frèr
Elle comprit quelques secondes plus tard la cause de sa réaction. Alicia avait le visage recouvert de bleue avec un air faussement pathétique Maria ne se souvenait pas avoir fait autant de dégâts. Son oeil était littéralement gonflé et le visage égratigné. Maria eut un cri d'horreur suivie d'effroi. Elle était convaincu que Alicia avec son esprit de toxico c'était fait ça toute seule.-- c'est pas vrai tu t'es cogner expressément la tête rien que pour m'accuser? S'enquit Maria abasourdie.Monica, l'a saisit par le bras pour la trimballer dans les escaliers tout en prenant soins de lui enfoncer les ongles dans la chair. Maria se débattait telle une furie.La voix de son père coupait coupait l' instant, Monica l'a relâchait en lui jetant des regard de braise.-- qu'est-ce qui se passe ici?-- ta fille à d&
-- allô ?-- allô ? Insistait l'homme derrière le téléphone.Maria se ressaisi rapidement de peur de se faire raccrocher au nez. Elle aspirait un grand coup puis fermait ses yeux en mettant sa peur de côté-- bonjour monsieur Adam's-- bonjour, à qui ai-je l'occasion de Parler?-- Maria Grey's .-- Grey's ? S'exclama Nathan en lançant un regard à son frère qui était toujours à table.Mark reconnu bien évidemment ce nom, son nouvel associé. Que lui voulait t-il ?Il lança un regard interrogateur à son frère-- en effet. J'aurai besoin de Parler affaire avec vous si possible.-- avec moi ou avec Monsieur Greinton ? Interrogera le jeune homme avec un accent professionnel.-- plus particulièrement avec monsieur Greinton.-- c'est noté. Pour la
Nathan se tournait surpris de voir son frère apparaître de nul part. Il se raclait la gorge près à lui faire l'annonce de sa venue mais Mark le prit de haut.-- Maria Grey's ? Appela Mark la voix rude.Maria se raidit en l'entend de son nom. Un frisson venu de nul part l'a traversait entièrementMark n'avait certainement pas oublier la petite scène d'hier pendant la réunion. Il avait promis lui redonner la monnaie de sa pièce, Mark ne supportait jamais un manque de respect encore moins venant d'une femme aussi insignifiante. Et maintenant chez lui.Elle se retournait pour lui faire face. Maria hoqueta face à sa beauté, elle avait l'impression de ne pas l'avoir bien regarder hier, car la description avait changer le visage plus carré avec ses iris d'un noir de jais qui rendait son regard plus terrifiant. Aujourd'hui elle l'avait l'immense chance de voir de p
Mark ne répondit pas sur le champ, il attendait de lire un supplice sur son visage. Lorsqu'il fut convaincu qu'elle était prête, il s'éclaircit la voix.-- voyez vous mademoiselle la proposition que j'ai à vous faire jouera tout deux en notre faveur.Maria déglutit, son ton était trop mystérieux.-- dites moi.-- très bien. Dans quelques semaines, je me présenterai au sénat.Elle froncait les sourcils, sa n'avait rien avoir avec ce don elle voulait parler. Elle le laissait néanmoins s'exprimer.-- pour avoir plus de puissance, je me suis fixer pour objectif de m'offrir ce trône cette Année et je ne pense pas reculer, cependant il me manque quelques chose. Déclare t-il.-- où es ce que vous voulez en venir?-- pour sa il me faut une femme. Où dirai-je une figure féminine
Elle se réveillait en sursaut lorsque le vibreur de son téléphone l'a sortait de son sommeil.C'était un numéro qu'elle n'avait jamais vu, Maria jetait un coup d'oeil à son horloge qui affichait 20h27. Hésitante, Maria attendu le deuxième appel pour décrocher.-- Allô ?-- j'ai cru que vous n'alliez jamais répondre.Son coeur rata un battement, cette voix, elle l'avait garder en tête depuis cette après midi et n'allait certainement pas l'oublier de si tôt. Maria eut les idées très lucide. Elle s'éclaircissait la voix avant de répondre toute tremblante.-- euh... Comment avez vous eut mon téléphone ?-- apprêtée vos affaires et faites vos au-revoir à votre famille, demain mon chauffeur viendra vous chercher à 18h et n'oubliez pas de prendre seulement que le
Elle se réveillait en sursaut lorsque le vibreur de son téléphone l'a sortait de son sommeil.C'était un numéro qu'elle n'avait jamais vu, Maria jetait un coup d'oeil à son horloge qui affichait 20h27. Hésitante, Maria attendu le deuxième appel pour décrocher.-- Allô ?-- j'ai cru que vous n'alliez jamais répondre.Son coeur rata un battement, cette voix, elle l'avait garder en tête depuis cette après midi et n'allait certainement pas l'oublier de si tôt. Maria eut les idées très lucide. Elle s'éclaircissait la voix avant de répondre toute tremblante.-- euh... Comment avez vous eut mon téléphone ?-- apprêtée vos affaires et faites vos au-revoir à votre famille, demain mon chauffeur viendra vous chercher à 18h et n'oubliez pas de prendre seulement que le