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**BENJAMIN AJUA – Tu crois que nous avons bien fait? Me demande Rachid – Mais, bien-sûr! Tu ne peux pas imaginer ce que cette fille m'a fait l'autre fois. Elle mérite plus que ça – Mais j'ai peur, tu sais. Malgré ça, elle reste toujours petite... – Mec, avec ce raisonnement, quelqu'un te tuera avec sourire aux lèvres. Tu dois être déterminé. Et quand tu fais une chose, n'y pense plus. Ne me dis pas que as renoncé à cette belle vie – Je ne peux jamais, mec, et tu le sais! – Le putain! – Le merde! Nous nous mettons à rire. Quelqu'un toque à la porte. – Tu attends un visiteur ? – Non. Je suis nouveau dans cette ville et je ne connais personne – Vas-y voir. J'hésite un moment, avant d'aller vers la porte. C'est une femme. La fille du propriétaire apparemment – Salut mec, je suis Fleurda Mathyanas. Tu me connais déjà, donc – Appelle moi Benjamin Ajua – Enchantée Benjamin – Le plaisir est partagé – Alors, je t'invite à prendre un pot avec moi ce soir. Tu es tout mignon là. Waouh Elle m'arrache un sourire. D'après tout, je peux la gérer. Elle est belle, sexy, et personne ne peut dire qu'il déteste la gratuité. Pourquoi pas profiter de la vie ?! ***FLEURDA MATYANAS Je quitte sa maison. Ce mec me plaît depuis son arrivée ici. Je ne sais même pas ce qu'il fait dans la vie. Il a toujours l'air souriant et gentil. Il est mon genre d'hommes, contrairement à Nervy qui me surveille tout le temps. D'ailleurs, j'en ai marre de cette relation. Je ne me sens plus capable d'aller de l'avant avec lui. Je dois me réinventer. Je me presse dans la douche. Je ne fais que penser à la poitrine de Benjamin. Oh putain. Ce mec me rend folle. Je n'ai jamais ressenti ça pour un homme. Jamais. On dirait une obsession. Mon téléphone sonne depuis la chambre. Je prends ma serviette sur moi, afin de voir l'appelant. C'est lui. Le merde de Nervy. Je coupe l'appel et rentre dans la douche. Il doit être bête pour ne pas interpréter ce que je cache derrière mon comportement ce dernier temps. Je ne veux plus de lui. Je finis de me doucher. Comme toujours, je balance ma chanson la plus aimée. Oh seigneur, les congolais savent chanter. Héritier watanabe: D de D. La chanson est meilleure. – Ma Copa! Tu es là ? Elle est à la porte. – J'arrive copine. J'arrive. Donne moi quelques minutes. Je m'habille rapidement, et me presse de l'ouvrir la porte. – Des nouvelles ? Me demande t-elle – Eh ma copine, ce Nervy me soule. Je ne veux plus de lui. Il ne fait que me déranger jour et nuit. Moi je ne me sens plus à l'aise avec lui. Je veux une nouvelle relation bien chaude. – Fleurda, tu es sûre que ça va dans ta tête? Ce mec ne t'a jamais trompé à ce que je sache...! Mais pourquoi le quitter? Tu es sûre de faire la bonne chose ? – Aimerance, j'en peux plus d'une relation à distance. L'homme doit être présent. Comment puis-je faire lorsque j'ai envie de lui? Elle avale de la salive – Maintenant tu ne parles plus? Parle! Dois-je me masturber chaque fois que je veux faire l'amour ? – Fais ce que tu veux fleurda. Je n'ai plus à dire – Si tu le dis. Mon téléphone sonne de nouveau. C'est lui. Il a rappelé. Je décroche – Allô, je ne veux plus de cette relation Nervy. J'en peux plus. Tu es toujours absent. Je suis sûre que tu as d'autres femmes dans cette ville que tu es – Mais, de quoi tu parles fleurda? Il n'y a que toi dans ma vie, et tu sais comment je t'aime – Je ne sais pas comment te le dire, mais, je ne ressens plus rien pour toi. J'ai besoin d'être seule – Que veux-tu dire par là? – Bref, je ne t'aime plus. – QUOI? Je raccroche. Je soupire profondément. Enfin, je viens de lui dire ce qui restait. Maintenant je dois me concentrer avec ce mec qui me plaît. Aimerance me fixe mal. – Qu'ai-je fait de mal? – Rien. Mais ne revient pas pleurer sur mes épaules plus tard. Moi j'aime quand tu es avec cet homme. Il ne t'a rien fait pourtant. – Je m'en fiche aimée Elle reste silencieuse. Je finis de m'habiller. Je me rends devant le miroir pour contempler ma beauté. Suis-je belle ce soir? Suis-je sexy? Je dois être à son goût. – Tu vas quelque part? Tu t'es faite trop belle et sexy. Je suis sûre que tu as trouvé un autre J'eclate de rires Elle poursuit – Je te connais très bien – Ok ok. Tu sais maintenant la vérité aimée – Va là-bas. N'importe quoi Je sors de la chambre en courant, après avoir bloqué l'autre ici. Mes yeux tombent sur Benjamin, très bien habillé. Waouhhhh. Ce mec est canon. Très sexy. Il doit être un gentleman. – Prête ? Il me demande – Pour toi... Nous sourions ensemble, avant qu'il ne prenne ma main. Je me sens si aisée à ses côtés. Oh l'amour... L'amour... Qui es-tu au juste? – Alors chérie, m'appelle t-il pendant que mon cœur se met à battre à vive allure. Tu es en couple ? – Non! Même pas. Je sors d'une relation douloureuse là. Le mec n'avait jamais mon temps. Toujours occupé. – Oh désolé bébé. Tu es tombé sur un mauvais. Moi je ne ferai pas comme lui, si tu me fais confiance. Tu sais? Mon cœur se serre. Je ne sais même pas comment exprimer l'émotion que j'ai en ce moment. – Tu es sérieux là ? – Bien-sûr... Je suis sérieux. Tu es une très belle femme pour souffrir en amour. Je ne comprends pas pourquoi ton ex t'a laissé. Mais je sais que ce n'est pas de ta faute – Oui, tu as raison. Moi je l'aimais de tout mon cœur et il m'a déçu. Je veux juste un homme qui aura mon temps, et qui va m'aimer de tout son cœur – Tu es avec lui. Je veux que tu sois la mienne – Waouhhhhhhh Je saute sur lui. Il me laisse un bisou sur la bouche Nous continuons la route, main dans la main. Je crois qu'il est mieux que Nervy. Je suis prête à l'aimer. ***BENJAMIN AJUA Nous finissons de manger. Elle est toute ivre. Je me demande pourquoi elle a préférée l'alcool au lieu d'un simple jus comme moi. Je suis là pour tout. Si elle veut ce qui l'a attirée vers moi, elle l'aura, en un si bref délai. Je ne suis pas là pour les histoires d'amour. On ne vit qu'une seule fois, et je profite de la vie. – Benjamin, j'ai froid. Me dit-elle en touchant mon entrejambe. Je veux que tu me prennes dans tes bras... Elle poursuit son geste Je me mets à réfléchir un moment. N'est-elle pas enceinte par hasard? Je connais très bien les femmes, et je sais qu'elle ment. Et en ce moment, je ne veux pas qu'elle me colle peut-être sa putaine de grossesse. – Amène moi dans la chambre. Je veux dormir. Me dit-elle Je lui tiens par les bras. Nous montons petit à petit les escaliers, jusque dans la chambre. Elle me demande de lui enlever son haut, parce qu'elle a chaud. Je le fais sans rien attendre. Je la couche sur le lit, et me presse de sortir, lorsqu'elle me retient – Reste avec moi. Je veux que tu dormes avec moi – Oh Fleurda, mais tu sais que... Elle se jette sur mes lèvres, et se met à les caresser. Je me mets à réfléchir un instant, avant de la rejoindre. J'enlève mon t-shirt, ensuite son soutien gorge. Elle se laisse aller. Sûr qu'elle avait programmé ça. J'enlève mon dessous. Au moment où je lève ma tête, elle est en tenue d'Adam. – Fais-moi l'amour comme un sauvage. Me lance t-elle d'un regard si sensuel que mon Dagobert se réveille et devient dur – Tu attends quoi?! Dit-elle en me dévorant du regard Je me dirige vers mon pantalon. Je prends l'un de mes gardes. Je lui mets sur mon Dagobert. Nous commençons les préliminaires. Elle a une bouche vraiment sucrée. Mon corps vibre lorsque nos langues se touchent. Je parcours son corps avec ma langue. J'arrive au niveau de son Jessica, et je lui laisse un baiser. Elle ouvre légèrement ses jambes. J'y introduis doucement ma langue. Elle vibre. Ses gémissements percent mes oreilles. Ma langue est au fond de son sexe. L'intérieur est un peu salé, et j'ai envie d'y rester. Elle a ses deux mains sur ma tête et m'enfonce encore plus. J'augmente ma pression. Elle finit par couler des larmes de plaisir. – Ashhhhhhh... Anh, Anh, tu vas me tuer ben, arrettttttt, arretttttt, oh my Goddddddd Elle serre ses lèvres, et appuyes fortement ma tête dans son Jessica. J'y enfonce encore la langue. Elle se met à gémir encore plus fort. Je ne sais pas ce qu'elle parle. Je continue ce que je fais. J'enleve ma langue. Quelques poils sont autour de ma bouche et même sur ma langue. Elle se lève et prend mon pénis. Elle l'introduit dans sa bouche. Je sens à quel point sa gorge est profonde. Elle me le suce sauvagement. Oh cette fille va me tuer. – Laisse-moi te faire découvrir mon monde... Me chuchote t-elle à l'oreille Elle se dirige vers son sac, et y sort un petit sachet contenant une poudre. – C'est quoi ça ? Je lui demande – Le lait... Me dit-elle toute excitée Elle le mets autour de mon sexe, et sur le gland. Ensuite, elle le remet dans sa bouche et se met à le sucer sauvagement. – Ohhhh, fleurda... Arrête s'il te plaît. Arrête s'il te plaît... Mon cœur ne bat plus comme avant. Elle continue ce qu'elle fait. La sensation est grande. Je ne sais pas où elle a apprit ça. – Oh my Godddddddddddddd...!!! Fleurda s'il te plaît... Oh mon Dieu je vais mourir. Fleurda s'il te plaît. Je vais m'evanouir... Je parviens à me détacher d'elle brusquement. Je me jette sur le lit avec mon cœur qui ne bat plus comme avant. Il est étouffé. Elle me fixe tout en souriant, hochant la tête. Je suis étouffé et épuisé. Mon cœur bat cent fois en une seconde. Elle vient poser sa tête sur ma poitrine. – Tu es fatigué? Me demande t-elle – Tu as failli me tuer Elle se met à rire – Et pourtant ce n'est que le début. Tu allais encore découvrir plus de plaisir avec moi. – Non merci. Tu as failli me tuer fleurda. Une fille ne m'a jamais fait ça. Dis-je en soupirant nerveusement – Tu vas aimer la prochaine fois. Je sais comment garder un homme pour moi seule. Voilà la raison Je me mets à rire. Au bout de vingt minutes, je ressens sa main sur mon p*nis. Elle le serre dans sa main, et il se durcit automatiquement. Elle descend petit à petit, et le remet dans sa bouche. Elle y va tout doucement. Cette fois-ci la sensation est différente. Elle finit et se met à quatre pattes. Je m'agenouille, et doucement, je parviens à la pénétrer. Elle pousse un doux gémissement – Oshhhhh... Tu vas me tuer ben... Je me retire en elle après quinze minutes. Elle se couche sur le dos, et écarte ses jambes. Je viens avec ma tête, et je place ma langue dans son Jessica. Elle gémit encore. Ma bouche touche son clitoris et le maintien. Je me mets à le sucer sauvagement avec ma langue. Il est tout entier dans sa bouche. J'observe comment son corps vibre. Comment ses lèvres tremblent. Elle a une main sur ses seins, et deux doigts dans sa bouche. Je suce fortement son clitoris. Elle se met à crier si fort en me suppliant d'arrêter. Pendant ce temps, j'accélère. – S'il te plaît Ben, oshhhhh, maman ehhhhh, oh mon Dieu, oh my God... Chéri je vais jouir, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je vais jouir, je vais jouirrrrrrrrrrr, bennnnnnnnn!!! Ses yeux sont grandement ouverts Elle jouit instantanément telle une fontaine. J'observe comment elle souffre sur le lit et le fait vibrer. Elle dégage la cyprine pendant cinq minutes, sans arrêt. Je finis par la calmer. – Je t'aime Benjamin. Me dit-elle toute transpirée Je souris avant de la prendre dans mes bras. Elle finit par se coucher, quelques minutes plus tard, étant toujours nue. Son cœur bat comme jamais, et son corps ne cesse de transpirer. Je crois que j'ai réussi à toucher son cœur. ***NERVY MERLIN J'arrive pas à croire que cette fille m'ait quitté de la sorte. Je ne m'attendais pas à ça de sa part. Alors que je n'ai aucune autre dans ma vie en ce moment. Comment vais-je faire? J'étais prêt à laisser cette vie de Playboy pour elle. Et voilà maintenant, qu'elle me remet sur ce chemin. Non. Je dois me venger de cette fille. Je dois me venger, en commençant par sa meilleure amie. Parce que celle là m'a toujours désiré. * ** Je prends mon téléphone et compose son numéro. Je lance l'appel, et elle décroche à la première sonnerie. – Eh nervy, ça va? Je suis désolée pour toi. Je ne savais pas que fleurda pouvait te faire ça. Mais je suis sûre qu'elle a trouvé un autre. Me dit-elle d'une voix compatissante – Je sais. Elle a trouvé un autre. J'ai toujours aimé cette fille, mais je ne comprends pas pourquoi elle m'a quitté. Je me sens seule en ce moment. Puis-je te voir? Je veux dire, je paie ton transport et tu viens dans ma ville. – Euh, comme tu dis. Envoi seulement l'argent, je viendrai quand tu veux. Je serai heureuse de te rencontrer de nouveau – Moi aussi. Tu sais, j'ai toujours eu l'impression que tu es une bonne femme que fleurda – Merci beaucoup Nervy. Je me sens flattée. Je te monterai la morale, ça va aller. Oh comme je suis contente Je finis par raccrocher. Je savais, cette fille a toujours des faibles sentiments pour moi. Et maintenant qu'elle a accepté, je vais jouir en elle autant des fois que je voudrais. La vengeance ou rien. ***CARLA BOATENG Je suis entre le feu et le lion. Je ne sais où mettre ma tête depuis cette histoire de faux billets. J'ai longtemps cherché ça fou de Benjamin, mais je ne l'ai toujours pas retrouvé. Il m'a foutu dans la merde. Je me demande ce qu'il a à la place du cœur. Un homme extrêmement méchant et infidèle! Mon premier procès a prit fin il y a deux jours, et je risque de faire la prison. Je me demande juste si je parviendrai à vivre dans ce genre d'endroits. Je suis confuse. – Carla? M'appele madame Olivia. Je lève ma tête et je lui fais face – Tout ce que j'ai fourni comme démarche concernant ton cas finit toujours en échec. Commence t-elle. J'ai contacté un ami de longues dates, il travaille comme avocat professionnel, et il m'a dit que c'est impossible de te sauver. Toute personne qui le fera sera poursuivie par la justice. – Eh seigneur ! Je pose mes mains sur ma tête. Que dois-je faire en ce moment? – Je suis confuse. Me dit-elle – Et si je m'echappais? Je lui propose – Ne fait pas cela Carla. Si tu t'échappes, la police mettra la main sur nous et nous punira, aussi longtemps que tu resteras introuvable. Et d'ailleurs, tu ne peux pas passer à l'aéroport. – Et si je prends le fleuve Congo, pour me rendre à Brazzaville ? Elle hoche sa tête – Je ne pense pas, Carla. Tu vis sous résidence surveillée ! C'est difficile que tu t'échappes. Me fait-elle comprendre. N'est-il pas l'heure du procès? Je regarde l'heure. Il fait 13h. L'heure de mon dernier procès. – Chérie ? Je me tourne avec soulagement. Je reconnais cette voix. ***AIMERANCE SAFI AISHE Je m'apprête pour mon voyage. Il est déjà l'heure. Je prends mon sac à main et quitte la maison. Je suis pressée de retrouver Merlin. Je l'ai toujours aimé en cachette, même si ma copine semblait être en malheureuse avec lui. Moi, il m'a plu dès le premier jour que mes yeux se sont posés sur lui. Il m'a fait de l'effet. J'ai senti une chaleur montée en moi lorsqu'il m'a parlé. Il m'a fait rêvé. Je suis sans doute sûre qu'il me veut pour une histoire d'amour sérieuse, pouvant aboutir à une vie commune. Je suis prête à tout pour le prouver que je l'aime. S'il n'était pas amoureux de moi, il n'allait jamais penser à moi. Je crois que je suis amoureuse de lui.5***JÉRÉMIEJ'arrive chez elle, tout transpiré.– Carla? Elle se tourne– Chéri,... Bonjour. Tu m'as trop manqué– Toi aussi chérie. Elle se jette dans mes bras. Je lui laisse un bisou sur le front. Je sens comment elle transpire. – Où étais-tu ? Me demande t-elle– Je suis entrain de faire des démarches concernant ton cas. Mais ça semble compliqué.Elle soupire désespérément– Ne pleure pas Carla. Si tu es innocente, la loi nous le dira. Pour le moment, nous cherchons comment prouver cela. Il doit y avoir des preuves palpables. Nous ne sommes pas dans l'ancien temps où des telles affaires étaient oubliées. – Je suis innocente. Je n'ai rien fait. – Je sais. Tu n'as pas à t'inquiéter, si tu es innocente. J'ai les informations concernant cet homme, et je vais le retrouver. Je le connais bien.Nous entrons à l'intérieur. Elle me serre à langer. Nous échangions ensuite pendant quelques minutes, avant que je ne rentre.Mon téléphone sonne. C'est l'un de mes amis policiers– Allô ? No
6Le temps passe, fleurda ne sait toujours pas l'auteur de la grossesse qui évolue en elle depuis des jours. Toute confuse, elle se met à appeler chacun de ses partenaires, puisqu'elle a couché avec certains, peu de temps après la condamnation de son copain Benjamin. Elle lance l'appel, et son interlocuteur décroche. Elle tremble sans avoir quoi dire– Euh... Je suis enceinte... Je suis enceinte... Begaye t-elle.L'homme au téléphone reste silencieux un moment, avant d'ouvrir sa bouche– Je ne pense pas que c'est moi l'auteur de ta grossesse. Depuis un mois, nous n'avions pas couchés ensemble. Alors?Elle se tait.Si la honte peut tuer, elle aurait déjà mit fin à la petite vie de la jeune femme fleurda. ***Un quart d'heure plus tard, elle relance l'appel, toujours dans son état – Chéri je suis enceinte, et j'ai peur de la réaction de mes parents. L'informe t-elle toute peureuse– Enceinte ? De qui? Un silence se fait...Les bruits de mouches percent ses oreilles pendant ce temp
7.Carla fixe longuement le corps de Jérémie trempé dans le sang sans savoir quoi dire. Elle veut pleurer, crier, et courir auprès de lui, mais elle est perdue. A travers ses mains, elle essaye de se procurer de l'air, mais il semble que ses mains ne procurent pas de l'air. Elle lève enfin sa tête pour croiser le regard de sa dame Olivia, ayant une cigarette entre son index et le majeur. Elle remue le bout, avant de jeter le reste. Carla ne sait quoi dire suite à la situation qui est devant elle. Elle tremble telle une feuille sous l'influence du vent. Son regard croisant celui de sa dame en dit long. Elle a tout simplement perdue la lexique.– Dame Olivia, qu'avez-vous fait? Lui demande t-elle d'une voix tremblante– Ce qu'il fallait. Lui répond cette dernière d'un regard méchant, avant de lui tourner dos. Carla place ses mains sur sa tête, sans savoir à quel saint se vouer. Elle tourne sa tête et croise Jérémie presque mourrant. Elle se met à crier à tue tête– Au secours ! Au s
Estelle essaye de rappeler, mais Carla ne prend plus ses appels. Elle est toute curieuse de savoir de quoi il s'agit. Lorsqu'elle revient dans la salle où était Symphorien, elle ne le retrouve plus. Il a prit fuite suite à l'annonce du décès de Jérémie. Elle est choquée. Elle pose son derrière par terre avec son téléphone en mains. Elle ne peut pas quitter l'hôpital, tant que les frais ne sont encore versés. Pendant ce temps, le corps de Jérémie est conduit à la morgue. Les infirmières présentes ne cessent de couler des larmes pour un si beau et jeune homme qui quitte le monde des humains. L'une des infirmières rejoint Estelle là où elle est, dans le but d'en savoir plus sur Jérémie.– Qui est cet homme qui vient de mourir? C'est ton copain? Ton mari? De quoi est-il mort exactement? Tant des questions aux quelles la jeune dame se retrouve confuse de répondre. – Tu ne réponds pas? Insiste l'infirmière– C'est le copain de ma copine. Elle m'a appelée parce que son cas était grave.
***ESTELLE FAGNONJ'ouvre difficilement mes yeux. Je vois deux femmes toutes prêtes de ma tête, et le docteur qui est tout prêt de mes pieds. – Hey, j'ai soif...– Apportez lui de l'eau! Décrète le docteurUne infirmière sort de la salle et me revient avec de l'eau. Je me lève difficilement. Je prends la peine de boire même si j'ai mal à la gorge. – Mon téléphone...– Vous avez perdu votre téléphone pendant l'accident madame. Me rappelle l'autre infirmièreJe me recouche sans rien ajouter. Carla me passe à l'esprit. Où est-elle passée ? A t-elle été arrêtée ? Oh seigneur... Ce dernier temps, nous quittons des problèmes en problèmes. Je ne sais plus où poser ma tête. Qu'avions-nous faites réellement pour mériter ceci? Le docteur refait son entrée avec une fiche en mains– Il est temps pour toi de verser la première tranche pour tes soins. Qu'allons-nous faire ?– Je vous fais un chèque. Parce que je n'ai rien sur moi...***Il acquiesce de la tête. Je paye la somme demandée. Je qu
***CARLAMa porte s'ouvre. C'est un policier. Que me veut-il encore? Je quitte où je suis en colère. C'est quoi ces bêtises dans ce commissariat? Je ne peux plus être en paix? – Quoi encore!? Je crie – Tu as de la visite. Et tu as dix minutes pour retourner ici. Fais vite!Je le boude sans rien dire. J'avance un peu, et j'aperçois celui-là assis sur un banc. Que se passe t-il encore ?– Oh ma belle Carla, comment tu vas? – Comment puis-je aller bien quand tu sais bien que j'ai des sérieux problèmes? Mon procès est pour aujourd'hui...– Tu n'as pas à t'inquiéter. Je t'ai dit quoi? Si tu acceptes, je vais tout faire à ce que mon ami soit de ton côté. Et comme ça, tu seras libérée. – Oh Monsieur vous savez que...– Appele-moi Jules, ma belle. – Ok Jules, mais tu sais que c'est impossible... Parce que je suis détenue ici et je ne peux pas faire une quelconque sortie.– Dès que tu quittes ici pour aller à la cour, nous pourrions le faire. Compte sur moi. Tu ne feras pas la prison...
**Rick Johnson C'est l'heure du rendez-vous. Je prends une douche rapide en pensant aux formes généreuses de cette fille. Ça m'a été difficile de la convaincre, et ce soir, j'ai la conviction de la baiser jusqu'à fatiguer. Elle m'a prit tout le temps qui d'ailleurs était réservé à plusieurs de mes occupations. Mon téléphone vibre depuis la chambre. Je prends le risque de quitter la douche jusqu'à ma chambre, tout nu. Pour cette fille, je suis prêt à tout pour la mettre dans mon lit. C'est la première fois qu'une femme me fait trop attendre avant de m'ouvrir ses jambes. Je décroche sans rien attendre, avec la mousse qui me fait mal aux yeux. – Carla? – Rick, salut! Je suis en route vers ton domicile. Je suis prête. Hâte de te voir. Elle raccroche. Une température étrange traverse mon corps, jusqu'à toucher mon appareil génital. J'arrive pas à croire que c'est bel et bien elle qui est impatiente de me voir. A l'entendre, je parie qu'elle n'hésitera pas à m'ouvrir ses jambes pour
Je finis par le rejoindre toute contente. Cette fois-ci, il prend la direction de l'hôtel. Il m'indique sans gêne. Je fais ce qu'il dit, pour ne pas paraître idiote. Nous arrivons à l'hôtel en question. Hum, il connaît vraiment les beaux endroits. Je descends, et il fait de même. Nous nous dirigeons vers la réception en silence. Je le vois échanger avec la dame de la table. Je profite de ce temps pour manipuler mon téléphone et informer ma copine de ma situation. Elle arrivera dans exactement quinze minutes. Je sais bel et bien comment gagner ce match. – Chérie, c'est fait. M'informe t-il. Suis-moi. Ajoute t-il. Je le rejoins toujours en silence. Il s'arrête devant la chambre dix sept. Il entre et je fais de même. Une fois à l'intérieur, il enlève ses souliers. Je dépose mon sac sur la table qui est tout prêt de sa petite tête. – Je reviens. Je me rends dans la douche pour quelques minutes– Je t'attends chérie. Répond t-il d'un ton poli Je me retrouve dans la douche. Je ne
***CARLAMa porte s'ouvre. C'est un policier. Que me veut-il encore? Je quitte où je suis en colère. C'est quoi ces bêtises dans ce commissariat? Je ne peux plus être en paix? – Quoi encore!? Je crie – Tu as de la visite. Et tu as dix minutes pour retourner ici. Fais vite!Je le boude sans rien dire. J'avance un peu, et j'aperçois celui-là assis sur un banc. Que se passe t-il encore ?– Oh ma belle Carla, comment tu vas? – Comment puis-je aller bien quand tu sais bien que j'ai des sérieux problèmes? Mon procès est pour aujourd'hui...– Tu n'as pas à t'inquiéter. Je t'ai dit quoi? Si tu acceptes, je vais tout faire à ce que mon ami soit de ton côté. Et comme ça, tu seras libérée. – Oh Monsieur vous savez que...– Appele-moi Jules, ma belle. – Ok Jules, mais tu sais que c'est impossible... Parce que je suis détenue ici et je ne peux pas faire une quelconque sortie.– Dès que tu quittes ici pour aller à la cour, nous pourrions le faire. Compte sur moi. Tu ne feras pas la prison...
***ESTELLE FAGNONJ'ouvre difficilement mes yeux. Je vois deux femmes toutes prêtes de ma tête, et le docteur qui est tout prêt de mes pieds. – Hey, j'ai soif...– Apportez lui de l'eau! Décrète le docteurUne infirmière sort de la salle et me revient avec de l'eau. Je me lève difficilement. Je prends la peine de boire même si j'ai mal à la gorge. – Mon téléphone...– Vous avez perdu votre téléphone pendant l'accident madame. Me rappelle l'autre infirmièreJe me recouche sans rien ajouter. Carla me passe à l'esprit. Où est-elle passée ? A t-elle été arrêtée ? Oh seigneur... Ce dernier temps, nous quittons des problèmes en problèmes. Je ne sais plus où poser ma tête. Qu'avions-nous faites réellement pour mériter ceci? Le docteur refait son entrée avec une fiche en mains– Il est temps pour toi de verser la première tranche pour tes soins. Qu'allons-nous faire ?– Je vous fais un chèque. Parce que je n'ai rien sur moi...***Il acquiesce de la tête. Je paye la somme demandée. Je qu
Estelle essaye de rappeler, mais Carla ne prend plus ses appels. Elle est toute curieuse de savoir de quoi il s'agit. Lorsqu'elle revient dans la salle où était Symphorien, elle ne le retrouve plus. Il a prit fuite suite à l'annonce du décès de Jérémie. Elle est choquée. Elle pose son derrière par terre avec son téléphone en mains. Elle ne peut pas quitter l'hôpital, tant que les frais ne sont encore versés. Pendant ce temps, le corps de Jérémie est conduit à la morgue. Les infirmières présentes ne cessent de couler des larmes pour un si beau et jeune homme qui quitte le monde des humains. L'une des infirmières rejoint Estelle là où elle est, dans le but d'en savoir plus sur Jérémie.– Qui est cet homme qui vient de mourir? C'est ton copain? Ton mari? De quoi est-il mort exactement? Tant des questions aux quelles la jeune dame se retrouve confuse de répondre. – Tu ne réponds pas? Insiste l'infirmière– C'est le copain de ma copine. Elle m'a appelée parce que son cas était grave.
7.Carla fixe longuement le corps de Jérémie trempé dans le sang sans savoir quoi dire. Elle veut pleurer, crier, et courir auprès de lui, mais elle est perdue. A travers ses mains, elle essaye de se procurer de l'air, mais il semble que ses mains ne procurent pas de l'air. Elle lève enfin sa tête pour croiser le regard de sa dame Olivia, ayant une cigarette entre son index et le majeur. Elle remue le bout, avant de jeter le reste. Carla ne sait quoi dire suite à la situation qui est devant elle. Elle tremble telle une feuille sous l'influence du vent. Son regard croisant celui de sa dame en dit long. Elle a tout simplement perdue la lexique.– Dame Olivia, qu'avez-vous fait? Lui demande t-elle d'une voix tremblante– Ce qu'il fallait. Lui répond cette dernière d'un regard méchant, avant de lui tourner dos. Carla place ses mains sur sa tête, sans savoir à quel saint se vouer. Elle tourne sa tête et croise Jérémie presque mourrant. Elle se met à crier à tue tête– Au secours ! Au s
6Le temps passe, fleurda ne sait toujours pas l'auteur de la grossesse qui évolue en elle depuis des jours. Toute confuse, elle se met à appeler chacun de ses partenaires, puisqu'elle a couché avec certains, peu de temps après la condamnation de son copain Benjamin. Elle lance l'appel, et son interlocuteur décroche. Elle tremble sans avoir quoi dire– Euh... Je suis enceinte... Je suis enceinte... Begaye t-elle.L'homme au téléphone reste silencieux un moment, avant d'ouvrir sa bouche– Je ne pense pas que c'est moi l'auteur de ta grossesse. Depuis un mois, nous n'avions pas couchés ensemble. Alors?Elle se tait.Si la honte peut tuer, elle aurait déjà mit fin à la petite vie de la jeune femme fleurda. ***Un quart d'heure plus tard, elle relance l'appel, toujours dans son état – Chéri je suis enceinte, et j'ai peur de la réaction de mes parents. L'informe t-elle toute peureuse– Enceinte ? De qui? Un silence se fait...Les bruits de mouches percent ses oreilles pendant ce temp
5***JÉRÉMIEJ'arrive chez elle, tout transpiré.– Carla? Elle se tourne– Chéri,... Bonjour. Tu m'as trop manqué– Toi aussi chérie. Elle se jette dans mes bras. Je lui laisse un bisou sur le front. Je sens comment elle transpire. – Où étais-tu ? Me demande t-elle– Je suis entrain de faire des démarches concernant ton cas. Mais ça semble compliqué.Elle soupire désespérément– Ne pleure pas Carla. Si tu es innocente, la loi nous le dira. Pour le moment, nous cherchons comment prouver cela. Il doit y avoir des preuves palpables. Nous ne sommes pas dans l'ancien temps où des telles affaires étaient oubliées. – Je suis innocente. Je n'ai rien fait. – Je sais. Tu n'as pas à t'inquiéter, si tu es innocente. J'ai les informations concernant cet homme, et je vais le retrouver. Je le connais bien.Nous entrons à l'intérieur. Elle me serre à langer. Nous échangions ensuite pendant quelques minutes, avant que je ne rentre.Mon téléphone sonne. C'est l'un de mes amis policiers– Allô ? No
4**BENJAMIN AJUA– Tu crois que nous avons bien fait? Me demande Rachid– Mais, bien-sûr! Tu ne peux pas imaginer ce que cette fille m'a fait l'autre fois. Elle mérite plus que ça – Mais j'ai peur, tu sais. Malgré ça, elle reste toujours petite...– Mec, avec ce raisonnement, quelqu'un te tuera avec sourire aux lèvres. Tu dois être déterminé. Et quand tu fais une chose, n'y pense plus. Ne me dis pas que as renoncé à cette belle vie – Je ne peux jamais, mec, et tu le sais!– Le putain!– Le merde!Nous nous mettons à rire. Quelqu'un toque à la porte. – Tu attends un visiteur ?– Non. Je suis nouveau dans cette ville et je ne connais personne– Vas-y voir.J'hésite un moment, avant d'aller vers la porte. C'est une femme. La fille du propriétaire apparemment– Salut mec, je suis Fleurda Mathyanas. Tu me connais déjà, donc– Appelle moi Benjamin Ajua– Enchantée Benjamin– Le plaisir est partagé– Alors, je t'invite à prendre un pot avec moi ce soir. Tu es tout mignon là. WaouhElle
**Benjamin AjuaJe suis très content d'avoir mangé gratuitement ce soir. Cette sorcière de Carla pensait que j'allais payé la facture... Même pas! Ça l'apprendra à commander des trucs chers lors d'un premier rendez-vous avec un homme. Le goût de ça !A cette heure, tous mes amis sont déjà là et m'attendent. Bizarrement, nous sommes habitués à nous conter nos journées à tour de rôle. J'entre dans ma voiture après quelques minutes. Je balance une belle chanson, avant de démarrer. J'arrive à la maison, et de loin, j'aperçois Ally entraîn de rire. Quelque chose de drôle s'est passée? Parce qu'il n'est pas du genre à rire ainsi, même quand il s'agit des histoires drôles. Je sors de ma voiture d'un air curieux. J'avance vers lui à grands pas. Je ne peux m'empêcher de savoir la cause– Mec, qu'est-ce qui te fait rire? Je lui demande– Tu ne vas pas croire. Eh seigneur. Il continue de rire...Il devient fou ou quoi? Six minutes déjà,... Il ne dit rien. Merde! Je continue mon chemin sans r
Je finis par le rejoindre toute contente. Cette fois-ci, il prend la direction de l'hôtel. Il m'indique sans gêne. Je fais ce qu'il dit, pour ne pas paraître idiote. Nous arrivons à l'hôtel en question. Hum, il connaît vraiment les beaux endroits. Je descends, et il fait de même. Nous nous dirigeons vers la réception en silence. Je le vois échanger avec la dame de la table. Je profite de ce temps pour manipuler mon téléphone et informer ma copine de ma situation. Elle arrivera dans exactement quinze minutes. Je sais bel et bien comment gagner ce match. – Chérie, c'est fait. M'informe t-il. Suis-moi. Ajoute t-il. Je le rejoins toujours en silence. Il s'arrête devant la chambre dix sept. Il entre et je fais de même. Une fois à l'intérieur, il enlève ses souliers. Je dépose mon sac sur la table qui est tout prêt de sa petite tête. – Je reviens. Je me rends dans la douche pour quelques minutes– Je t'attends chérie. Répond t-il d'un ton poli Je me retrouve dans la douche. Je ne