« Alea jacta est. » « les dés sont jetés » Jules César
Prestigieux invités nous sommes honorés de votre présence, nous vous apportons une marchandise de premier choix : Des africaines ! A l’évocation de ce nom, une vague d’excitation traversa la pièce. De larges sourires concupiscents se formèrent sur le visage des hommes présent dans la pièce. C’était comme si tous les hommes les plus influents du monde s’y étaient donnés rendez-vous, ou encore avait dépêché leur bras droit. Des mafieux, des politiciens véreux, des cheikhs et des hommes désireux de satisfaire leur plus bras instincts.
Profitez des apéritifs, mettez vous à l’aise, sentez vous comme chez vous. Le spectacle va commencer Messieurs. L’homme vêtue d’une Disdhasah, se frotta les mains juste à la pensée de tout l’argent qu’il allait se faire grâce à ces négresses. Sur le marché du sexe elle était aussi priser que du caviar lors des grandes réceptions.
La salle était vaste, entouré d’épais rideaux, qui empêchait de distinguer se qui se passait à l’extérieur, le monde semblait se limiter à ces quatre murs, les lumières étaient tamisées, de couleurs rouge passion était une invitation au plaisir, à la volupté et à la sensualité.
Allez y buvez messieurs, plus vous serez saoul mieux se sera. Pensa l’homme à la Disdhasah noir en quittant l’estrade, sourire coin au des lèvres. Il était à la tête d’un des plus grands réseaux de trafic de femmes et avait bâti sa fortune grâce à ce business.Les lumières de la salle s’éteignirent, le rideau fut levé, et le défilé comment ça. Comme des automates les femmes avancèrent dans une sorte de cabinet de verre, l’une après l’autre à intervalle de 10 minutes, le temps pour chacun de ses mieux de faire son choix, elles se tenaient debout en nuisette arachnéenne rouge et blanche, tellement transparentes qu’elles laissaient peu de place à l’imagination. Le Blanc pour les vierges et le Rouges pour les plus expérimentés. Elles avancèrent le regard vide et triste, résigné à laisser les hommes décider de leur sort. A chaque fois que l’une d’elle était choisie, un faisceau de lumière rouge apparaissait et aussitôt la jeune femme en question était conduite chez son acquéreur, par un couloir qui donnait droit à son boxe.
Un catalogue à la main deux hommes confortablement installé dans une loge essayaient de reconnaître chacune des femmes présentes sur l’estrade.
- Djaffar, je te savais tordu, mais pas à ce point. Lança sur le ton de la plaisanterie un homme au regard vert émeraude en se tournant vers son compagnon.
- C’est ça comme si ce spectacle ne te mettais pas dans tous tes états Kaleb. Et puis laisse-moi me concentrer. Je refuse que celle aux derrières de cheval, aux jolis ballons gonflables me filent sous le nez avant que je ne puisse buzzer. Si tu vois ce que je veux dire dit il en faisant un clin d’œil complice à son ami.
- Regardez moi ça on dirait un jouvenceau dans ses premiers émois.
- Ahahaha… j’en meurs de rire. Tu te crois mieux que moi peut être.
- Certainement je suis Roi.
- Grand bien t’en fasse, heureusement tu t’en souviens encore.
- Qu’est ce que tu sous-entends par là Djaffar ? dit-il la voix dangereusement calme.
Lorsque ce fut le tour de Sadia, elle s’avança sur l’estrade. Au même moment Kaleb reporta son attention sur la scène. Et là il l’a vit. Ce fut un Choc, et s’en savoir pourquoi, il se dit je la veux. Il était captivé par son port altier, son regard était fixe et déterminé.
Elle avait un petit air hautain et plein de noblesse comme une impératrice déchue mais qui refusait de plier et de courber l’échine. Comment une femme issue des bas fond dont on ne sait de quel pays, pouvait dégager tant de noblesse ? se demanda t-il? Ses lèvres étaient d'une précision parfaite, elles avaient l'air douce et sucrées comme les fraises des bois. Sa peau couleurs miel, rappelait le couché du soleil. C'est fou comme, elle semblait douce comme de la soie. Perdu dans sa contemplation il ne se rendit pas compte qu’il avait buzzer. Mais il n’était pas le seul ! Huit lumières apparurent, signifiant que d’autres acheteurs la convoitaient.
Mais elle sera mienne se promit il. Où il ne s’appelait plus Kaleb Ben SALMEN-Al-ZAFHIR.Il se rendit compte que l’une des lumières émanait du buzzer de Djaffar, comme quoi nos ennemies ne sont jamais bien loin de nous. Pensa t-il plein d’amertume alors que des souvenirs dont il n'aurait jamais souhaité se remémorer remontait à la surface lui comprimant le coeur.
Mais qu’est ce qui me prend bon sang, pensa t’il. Tout ça pour une negresse dont il ne savait absolument rien. Sortant du fil de ses douloureuses pensées il coula sur Djaffar un regard noir sans équivoque, qui suffit à faire comprendre à ce dernier qu’il était temps de se retirer de la course. Cela le fit rire intérieurement en se disant qu’il n’aura pas fallu beaucoup de temps au Roi pour qu’il se prête au jeu. Comme quoi il n’était pas le seul à être tordu dans cette pièce.
- C’est bon je me rends dit il en levant les mains en signe de capitulation, pas besoin de me lancer ton regard de Souverain.
- C’est le moyen le plus rapide pour me faire obéir lança t-il le visage fermé, la mine exaspérée.
La mine boudeuse Djaffar reporta son regard sur la scène.
- Au lieu de me menacer dit-il, tu ferais mieux de reporter ton attention sur ta belle negresse. Un sourire triomphant aux lèvres, heureux d’avoir eu le dernier mot.
-Je vois que tu aimerais rendre une petite visite au cachot du palais mon cher Djaffar.dit-il la voix claquante comme le bout d’un fouet.
Cette remarque effaça aussitôt le sourire qui trônait fièrement sur le visage de Djaffar.Car il savait que malgré l’amitié qui les unissait, Kaleb était tout à fait capable de mettre sa menace à exécution. Depuis le malheur qui avait frappé le palais quelques années plutôt, il avait de plus en plus de mal à cerner son Souverain et Ami. Il était devenue aussi cynique que lui-même, le sarcasme était son passe temps préféré, froid, distant et cruel, il ne laissait personne s’approcher de lui telle la bête. Car il était bel et bien une bête blessée. Son visage ne trahissait jamais aucune émotion,tel un masque de fer. La colère l’habitait sans cesse, on aurait dit qu’il s’en nourrissait.
Il était devenu un roi ténébreux.
Pour mettre fin aux enchères, Kaleb, saisit une sommes exorbitante, qui le surprit lui-même, et dont il était certain que personne n’oserait surenchérir. Un hoquet de surprise échappa au maître de cérémonie, jamais de toutes ses ventes il n’avait réalisé une si bonne affaire. C’était nettement plus que trois chameaux ne coûtaient songea t-il avec satisfaction.
Une à une, les lumières disparues, les concurrents se rétiraient les uns après les autres.
Elle était à lui ! Sa nouvelle distraction.
De son coté Sadia vivait la scène dans un état second, elle n’arrivait toujours pas à croire qu’on pouvait vendre des Hommes, qu’il la vendait. elle ! Elle vit les lumières se retirer une a une, se qui signifiait qu’elle avait été achetée. Même lorsqu’on vint la chercher pour la conduire chez son acquéreur, elle n’y croyait toujours pas. Désormais elle ne s’appartenait plus elle était la propriété de quelqu’un. D’un homme dont elle ignorait tout.
Les dés étaient jetés.
L’homme qui conduisait Sadia vers son nouveau geôlier la poussa sans ménagement dans une pièce aux lumières tamisées. Perdant l’équilibre, le corps tiré vers l’avant, elle buta sur quelque chose de dure. Relevant ses mains du long de son corps, elle palpa la surface sur laquelle elle venait de buter.- ne vous gênez surtout pas... Lança une voix grave et sensuelle. Il s’exprimait dans un anglais parfait, son accent arabe prononcé dominait nettement sur les intonations anglaises.Elle hoqueta de surprise et releva d’un mouvement brusque sa tête, croisant au passage un regard sombre, froid et impassible. Un frisson d’effroi lui traversa l’épine dorsale, son souffle se bloqua dans sa poitrine.
- Je ne vous ai pas emmené ici de force rectifia t-il je vous ai acheté. Et j’ai tout les droits sur vous, même celui de vous détruire. Dit-il d’une voix dure et glaciale sans se départir de son calme.C’était comme si un courant de vent en provenant tout droit des contrées glaciales de Sibérie venait de lui glacer le cœur. Elle pâlit devant la dureté, l’insensibilité avec laquelle il avait dit ses mots.Elle avait dû se tromper en croyant décelé une once d'humanité dans son regard.I l était la cruauté fait chair.Son ventre se noua instantanément, son visage se crispa devant le regard glacial qu’il posa sur elle. Seuls ses yeux trahissait quelque rare fois ses émotions. Et ce qu’elle lisait désor
<<Le mérite d’un homme réside dans sa connaissance et dans ses actes et non point dans la couleur se sa peau ou de sa réligion >> Kaleb l’observait avait une attention accrue cherchant comme s'il cherchait à graver chaque trait de ce délicat visage dans sa mémoire. Elle était si belle avec ce teint couleur miel, qui lui rappelait le couché du soleil, sa beauté était sauvage et ostentatoire, ces lèvres pulpeuses, était une silencieuse invitation à s’abreuver de leur nectar.Mais le plus troublant dans les traits de son visage, s’était la longueur de ses cils, aussi long que les ailes d’un aigle en plein vol.S’il n’avait pas v&e
C’était trop affreux à dire. En outre cet homme la troublait et la déconcertait à la fois. Un instant il cherchait à abuser d’elle, un autre, il la logeait au creux de son épaule et s’occupait d’elle avec tout le naturel possible, comme si c’était la chose la plus normale. Il battait le froid et le chaud en même temps, alors rien de surprenant à se qu’elle se perde dans la personnalité très complexe de son geôlier. Doté d’une personnalité simple, ouverte, chaleureuse et généreuse, Sadia voyait en cet homme, une véritable énigme.-Violer…-Quoi?-Violer, c’est le mot que vous cherchiez. Vous savez il faut savoir employer les mots dans leu
Je…je… ne voulais pas vous blesser à la main. Je suis désolée. Faut me croire...Je…je n’ai jamais blessé quelqu’un de toute ma vie. Dit-elle, des sanglots dans la voix.Il arrima son regard de prédateur au sien. Et ce qu’il y lu, le déconcerta passablement. Ses yeux couleur ambre était voilé de regrets…Sincères.Il eu un silence entrecoupé par les larmes de la jeune fille. Kaleb ne sut comment réagir devant cette situation, il ne s’y attendait pas du tout. Elle ne simulait pas. Elle semblait vraiment attrister de l’avoir blessé. Ridicule, pensa t-il.Agacez, il sorti de la pièce en faisant claqué la porte derrière lui. La laissant prendre son bain seule. Aussi étran
<<Ta voix me hante, jusque dans mon sommeil j’écoute ta voix, je continue de ressentir le contact de ta peau contre ma peau même dans mes rêves. Pardonne ma faiblesse, excuse ma détresse, soit ma forteresse. J’ignore pourquoi mais sans toi, survivre m’est impossible. Je te veux dans ma vie…>>C’était la déclaration d’amour la plus profonde qu’elle ait eu à entendre de toute sa vie, comble de l’ironie cela venait de la personne la plus détestable qu’elle ait rencontré en vingt-deux ans d’existence. Elle venait à peine de sortir du sommeil de plomb dans lequel, la peur et l’anxiété de vivre ces dernières heures sur terre l’avait plongé. Réveillée par ces paroles, elle avait d’abord cru rêver mais petit à petit, une voix grave et sensuel
Une main de fer se referma sur celle qu’elle avait posé sur son bras nu. Elle sursauta et voulu s’écarter de lui mais ne put retirer sa main. Soudain elle se senti attiré vers lui brusquement et se retrouva allongé sur son corps puissant.La main encore libre du cheikh se posa sur son dos et se mit à la caresser – le drap dont elle s’était recouverte avait glissé et se retrouvait désormais par terre - en un mouvement lent de va et vient du haut de son dos vers le bas.La respiration de moins en moins rapide, elle se laissa griser par la chaleur de cette main sur elle. Elle se perdait petit à petit dans le tourbillon de sensation que provoquait en elle les doigts de cette homme énigmatique en prise avec les démons de son cauchemar.
Il ponctua ses derniers mots par un lent et froid sourire qui en disait plus que mille mots au sort qu’il lui réservait.-Voyons, ne soyez pas stupide, reprit-il, -cette fois avec une note d’impatience dans la voix- je ne vais pas me priver plus longtemps de ce pourquoi vous êtes ici!-Je vous en prie majesté ne faite pas cela…-Et pourquoi ne devrais-je pas le faire selon vous.- Parce que vous… vous êtes quelqu’un de bien, je le vois moi, vous n’êtes pas cet être dépourvu de bons sentiments que vous essayez de paraitre, il y’a du bon en vous je le sais. Alors ne faites pas ça. Ce n’est pas seulement moi que vous allez détruire, une partie de vous va mourir en même temps que mon âme. Faites pas ça…Svp
Kaleb ! S'écria le vieux Cheikh, en levant la main pour l'atteindre, comme si par ce simple geste il pouvait stopper la course du temps.Mais il était déjà trop tard.Le coup de feu retentit jusqu'aux extrémités du palais...le personnel de maison, les soldats placés en sentinelle, les hauts gradés de l'état, tous accoururent vers l'épicentre de la détonation, qui n'avait échappé somme toute à personne.Comme figé dans la pierre, incapable d'esquisser le moindre geste, Kaleb semblait assister à la scène en spectateur.Elle le haïssait donc à ce point.Ce constat lui géla le cœur. Leur histoire était-elle simplement imaginable.Quelle idiot il faisait d'avoir cru qu'un jour elle pourrait seulement l'aimer...
Arrivé à la hauteur de l'homme, Kaleb, l'empoigna le col d'une main tandis que de l'autre il tenait avec une maitrise magistralement consommé les rênes d'Espoir.L'homme lui opposa une certaine résistance avant que d'un geste sec et brusque, Kaleb le jeta au sol ; descendant de sa monture, il vit rouge et oubliant ses années d'expérience militaire, aux mépris de toute précaution élémentaire, se rua sur l'homme.Ce dernier dégaina un couteau de son coté, que Kaleb esquiva in extremis. Il assena sur le coup, un uppercut qui eut raison de l'équilibre de ce dernier, profitant de son égarement Kaleb le désarma et jeta au loin son couteau. Il avait beau décocher des coups de pieds, griffer, et se démener, c'était peine perdu...Puis lasse de cet aff
A travers les ténèbres qui recouvrait le désert, Kaleb ressentit un léger malaise, Quelque chose clochait, il le sentait aussi sûrement qu'un chef de guerre devine l'approche d'une bataille, mieux encore d'une embuscade. Le désert était plus silencieux qu'a son habitude, comme si toutes les créatures de la nuit c'était soudainement tues.L'air lui-même exsudait une atmosphère angoissante. Kaleb s'immobilisa et tendit l'oreille de toute son âme.Dans l'immensité de la nuit, la réponse lui parvint dans toute sa laideur...-Majesté, c'est un piège, repliez vous, hurla le Général Amine, en accourant vers eux.Le corps zébré de blessure, Amine se laissa choir enfin sur le sable à bout de force vidé de presque tout son sang.
Votre Majesté nous n’attendons que vous… annonça d’une voix grave et puissante l’un des généraux en chef des forces royalistes…Quand il était encore prince Kaleb avait servit dans son régiment. C’était un homme intransigeant, un fin stratège, qui n’avait rien à envier à machiavel en personne. Mais ce que Kaleb appréciait surtout c’était sa loyauté. Il savait qu’il était près à mourir pour lui…Kaleb scruta quelques secondes l’immensité du ciel avant de se retourner…-Voyons Amine redresse toi, est ce dont nécessaire tant de formalisme?L’intéressé fut un moment cloué sur place par la surprise, tant ces propos ne re
Votre Majesté nous n’attendons que vous… annonça d’une voix grave et puissante l’un des généraux en chef des forces royalistes… Quand il était encore prince Kaleb avait servit dans son régiment. C’était un homme intransigeant, un fin stratège, qui n’avait rien à envier à machiavel en personne. Mais ce que Kaleb appréciait surtout c’était sa loyauté. Il savait qu’il était près à mourir pour lui… Kaleb scruta quelques secondes l’immensité du ciel avant de se retourner… -Voyons Amine redresse toi, est ce dont nécessaire tant de formalisme? L’intéressé fut un moment cloué sur place par la surprise, tant ces propos ne ressemblait en rien à ce que tenait d’habitude le roi. En outre il n’appelait jamais les hommes de son personnel par leur nom, mais toujours par leur titre… Pour marqué sa supériorité. -V…vous êtes su
Le regard lançant des éclairs, Kaleb serra les mâchoires convulsivement… Sérieux, il trouvait ca drôle!-Ouiiii, c’est exactement ça! hurla-t-elle dans euphorie sans nom, faisant claquer ses doigts, vous êtes le cuisinier du palais, d’ailleurs ceci dit, vos repas ils ne sont pas fameux fameux heinn.-Le quoi? Posa Kaleb sans savoir s’il devait rire ou se mettre davantage en colère…Son oncle pour sa part avait fait son choix… Il était littéralement à un doigt de s’effondrer de rire…Se retournant vers lui, Kaleb, le fusilla d’un regard meurtrier.-je ne vois vraiment pas ce que cette situation a de drôle.
La voiture franchit les grilles du palais, et s’engagea dans la grande allée principale, qui pour une fois depuis des années, était inondée de monde, tous des soldats. Pour mener à bien l’offensive contre les rebelles qui sévissaient toujours au nord du royaume, imposant un règne de terreur, Kaleb avait fait appel au corps d’élite. Lors du conseil de guerre qu’il avait présidé il avait veillé à ce que seuls les hommes les plus entrainés face parties de cette mission.Ce corps d’homme en tenues étaient surnommés les mercenaires d’Idlib…Kaleb sortit de la voiture, passa en revue les groupes suivit de près par son oncle…
Kaleb pénétra dans la chambre de sa sœur, le souffle court, légèrement paniqué, Quand il la vit allongée sur son lit les cheveux éparpillés sur les oreillers, la pression retomba d'un cran. Il se recula de l'entrée pour laisser son oncle pénétré à son tour. Il passa le revers de sa main sur sa nuque, détaillant sa sœur sous toutes les coutures, pour voir si rien ne lui avait été fait mal.En quelque enjambés il fut près d'elle, entourant de ses bras protecteurs le frêle corps de sa jumelle.-Sanae...En prononçant son prénom, Kaleb semblait l'investir de centaines de question. Et Sanae fut chamboulé j
Prenant place à ses côté, Kaleb sonna pour qu’on leur apporte des rafraichissements. Une fois la servante partie, Kaleb se tourna vers son oncle et le questionna d’une voix irritée.-Que me vaut le plaisir de votre visite mon oncle… s’enquit-t-il avec une pointe de sarcasme.-Toujours aussi peu courtois mon chère neveux…-Je ne vois pas à quoi sert la courtoisie… Fit-il sur le même ton blasé.-Eh bien, peut être à conquérir le cœur d’une certaine femme, fit il sirotant une gorgé de son thé, lui jetant un regard à la dérobé…Kaleb se renfrogna aussitôt,-Je ne vois pas de quoi vous parler.-Et moi je pense que tu vo