Pendant que le père et la fille conversaient, Komi entra avec sa voiture. Lorsqu’il les vit, une vive colère s’empara de lui. Il descendit et s’approcha d’eux avec un regard très sévère.
Komi : que faites-vous chez moi ? Dégagez tout de suite !
Hélène et son père se regardèrent puis ce dernier prit la parole.
Père d’Hélène : Komi, que se passe-t-il ?
Komi (hurlant) : je vous ai demandé de dégager ;
Père d’Hélène : je veux bien comprendre que tu as un problème avec ta femme ; mais moi, pourquoi me traites-tu ainsi ?
Komi : parce que tu le mérites, vieux idiot et irresponsable ; j’espère que ma sœur de là où elle se trouve, viendra te rendre visite et t’emmener avec elle car tu es la cause de sa mort ;
Père
Ebenezer : j’espère que Komi pourra se faire pardonner ; cette Martine l’avait beaucoup aimé à ce qu’il paraît ; on dit que l’amour doit tout pardonner et tout supporter ; dis-moi ma chérie, si c’était toi Martine, est-ce que tu pardonnerais à Komi et l’accepterais à nouveau dans ta vie ?Grâce : non ;Ebenezer : pourquoi ?Grâce : je ne peux pas rester avec un homme qui doute de moi ! La confiance est une plante très délicate, elle ne repousse pas à volonté.Ebenezer : mais que fais-tu de la seconde chance ?Grâce : la seconde chance ne s’offre pas pour tout ; c’est au cas par cas ; si au moins, Komi n’avait aucun engagement ailleurs, on peut encore tolérer ;Ebenezer : il s’est séparé de sa sorcière ; le champ est libre ;
Hélène fut si choquée qu’elle s’évanouit. Son père tenta de la réanimer en lui faisant du bouche à bouche ; les gens autour d’elle lui insufflaient de l’air avec un éventail ; grâce à Dieu, elle revint à elle ; avec l’aide de deux gens, son père l’emmena d'urgence à l’hôpital du village.L’infirmier : nous allons faire les premiers soins mais il faudra l’évacuer dans un hôpital de ville parce qu’elle est enceinte. Ce n’est pas prudent que nous la gardons ainsi.Le père d’Hélène était préoccupé parce qu’il ne lui restait pas grand-chose comme économie ; c’est sur sa fille qu’il comptait pour lui donner de l’argent à la fin de chaque mois. Il appela Komi en vain ; ce
Cocou le regarda sidéré. Dès qu’il disparaît de son champ de vision, il prit son téléphone et composa le numéro d’Hélène. Le portable était éteint. Il appela alors son père.Père d’Hélène : allo ;Cocou : bonsoir papa ;Père d’Hélène : bonsoir Cocou ; j’espère que tu as enfin trouvé un job !Cocou : oui papa ; un petit truc ; j’en cherche d’autres afin de pouvoir m’en sortir ;Père d’Hélène : surtout cherche bien ; tu sais que tu ne peux plus compter sur Komi ;Cocou : il faut seulement prier pour moi sinon je risque de devenir sans abri ; où est Hélène ?Père d’Hélène : Tchrrr ! Ta sœur sotte là ! Elle doit être sur la cour ;Cocou : pourquoi la trait
Elle devait se prononcer. Et pourtant, jusque-là, elle n’avait encore pris aucune décision.Ferdinand (prenant les mains de Martine dans les siennes) : alors ? Qu’est-ce que tu as, à me dire ?Martine : Ferdinand, tu es l’homme que toutes les femmes aimeraient avoir. Mais, je ne peux pas m’engager si je ne suis pas sûre de moi-même ; je ne veux pas te faire du mal ;Ferdinand : en d’autres termes ?Martine : une dizaine de jours ne m’a pas suffi pour prendre une décision ; continuons d’être amis en attendant ;Ferdinand : je comprends que l’amour que je ressens pour toi n’est pas réciproque ; je ne t’en voudrai pas pour cela ; mais sache que j’aurais vraiment aimé t’avoir dans ma vie ;Martine : je ne peux rien te promettre ; du moins, pour l’instant.Ferdinand : tu aimes encore certainement l
Pascaline y remarqua ce signe bien particulier qui la ramena des années en arrière. Elle n’en croyait pas ses yeux. Elle se redressa et écarquilla les yeux pour mieux observer. Nul doute, c’est le même signe ; malheureusement pour elle, son enfant était de sexe masculin ; il ne peut donc s’agir de Céline ; d’ailleurs, elle est moins âgé que son enfant ; c’est quand même flippant qu’elle ait également les mêmes signes ; peut-être qu’elle s’en fait pour rien et que de nombreuses personnes en possèdent. Elle s’autorise tout de même un petit commentaire à propos de sa remarque.Pascaline : tu es étonnante de toujours porter un string durant ta grossesse ;Céline : je suis sexy ; mon mari aime ça ;Pascaline : et je suppose que ce signe étrange sur tes fesses l’atti
Sem se leva d’un bond et Pascaline le suivit. Apparemment, Céline avait commencé le travail d’accouchement. Leur bébé avait choisi ce jour heureux pour se pointer. Tout se passa rapidement. Quelques heures plus tard, Céline donna naissance à une magnifique fillette que Sem et elle prénommèrent Mélissa. Lorsque Pascaline rendit visite à Céline pour voir sa petite-fille, celle-ci la chahuta.Céline : bonjour Madame ma belle-mère ;Pascaline (riant) : toujours drôle toi ; j’aimerais bien que ma petite-fille te ressemble ;Céline : ça veut dire que tu es heureuse de m’avoir comme belle-fille ;Pascaline : tu es la meilleure épouse que mon fils pouvait avoir ; il est béni ;Céline (bombant sa poitrine) : hum ! Je suis flattée.Pascaline ne dura pas avec Céline parce qu’il &
Hélène reçut deux paires de gifles après ses propos qui blessèrent son père. Il s’élança de la maison pour se diriger dans la concession de l’oncle de Sem. Il était décidé à tout avouer concernant Désiré.Sem donna de l’argent à son oncle et également à ses cousins puis demanda la route. Ladynadystrories. Ses derniers le remercièrent et lui fit des prières. Ces personnes pour qui il n’était rien hier, le vénéraient à la limite aujourd’hui.Oncle de Sem : communique-moi ton numéro de téléphone.Sem : mon oncle, je regrette de te décevoir mais je préfère ne pas te le donner ; j’ai dû me débrouiller seul à la mort de ton frère ; tu m’as même chassé de ta maison après mon b
Le père d’Hélène se demandait ce qu’il avait fait à Dieu pour mériter ce traitement ; il souffrait beaucoup de cette situation et commença à se rappeler ses mauvais agissements dans le passé.Tout défilait dans sa tête ; le viol d’Essie, les conseils donnés à sa fille pour empoisonner les frères de Komi, la tentative pour tuer Sem puis Komi……Il demanda pardon à Dieu à travers une courte prière.Sem est à Sokodè parce que sa mère l’a obligé à venir visiter l’entreprise. Il est content de retrouver Martine.Sem (l’embrassant) : je suis vraiment content de te revoir ; comment va mon petit champion ?Martine : il est à l’école ; tu aurais quand-même pu venir un samedi ; ainsi, tu l’aurais vu ;Sem : maman voulait que je vienne u
Mélissa : je suis peinée parce que je suis amoureuse de lui, Jean-Luc. J’aime Désiré. Mon cœur saigne de le voir avec une autre.Jean-Luc : ma pauvre petite, attrape ton cœur parce que mon frère est un séducteur ; il ne faut pas l’aimer, pardon ;Mélissa : tu parles comme si l’amour se commande et se maîtrise ; j’aime Désiré ; je sens que nous sommes faits l’un pour l’autre et je ferai tout pour l’avoir ;Jean-Luc : en tout cas, je t’aurais prévenu ; moi, je suis là, il faut m’aimer, moi ;Mélissa : toi, tu es mon cousin ne l’oublie pas ;Jean-Luc : quel cousin ? Mon père est le frère duquel de tes parents ? Ma mère est la sœur duquel de tes parents ? Je ne suis pas ton cousin.Ces propos de Jean-Luc déclenchèrent une hilari
Le père d’Hélène se demandait ce qu’il avait fait à Dieu pour mériter ce traitement ; il souffrait beaucoup de cette situation et commença à se rappeler ses mauvais agissements dans le passé.Tout défilait dans sa tête ; le viol d’Essie, les conseils donnés à sa fille pour empoisonner les frères de Komi, la tentative pour tuer Sem puis Komi……Il demanda pardon à Dieu à travers une courte prière.Sem est à Sokodè parce que sa mère l’a obligé à venir visiter l’entreprise. Il est content de retrouver Martine.Sem (l’embrassant) : je suis vraiment content de te revoir ; comment va mon petit champion ?Martine : il est à l’école ; tu aurais quand-même pu venir un samedi ; ainsi, tu l’aurais vu ;Sem : maman voulait que je vienne u
Hélène reçut deux paires de gifles après ses propos qui blessèrent son père. Il s’élança de la maison pour se diriger dans la concession de l’oncle de Sem. Il était décidé à tout avouer concernant Désiré.Sem donna de l’argent à son oncle et également à ses cousins puis demanda la route. Ladynadystrories. Ses derniers le remercièrent et lui fit des prières. Ces personnes pour qui il n’était rien hier, le vénéraient à la limite aujourd’hui.Oncle de Sem : communique-moi ton numéro de téléphone.Sem : mon oncle, je regrette de te décevoir mais je préfère ne pas te le donner ; j’ai dû me débrouiller seul à la mort de ton frère ; tu m’as même chassé de ta maison après mon b
Sem se leva d’un bond et Pascaline le suivit. Apparemment, Céline avait commencé le travail d’accouchement. Leur bébé avait choisi ce jour heureux pour se pointer. Tout se passa rapidement. Quelques heures plus tard, Céline donna naissance à une magnifique fillette que Sem et elle prénommèrent Mélissa. Lorsque Pascaline rendit visite à Céline pour voir sa petite-fille, celle-ci la chahuta.Céline : bonjour Madame ma belle-mère ;Pascaline (riant) : toujours drôle toi ; j’aimerais bien que ma petite-fille te ressemble ;Céline : ça veut dire que tu es heureuse de m’avoir comme belle-fille ;Pascaline : tu es la meilleure épouse que mon fils pouvait avoir ; il est béni ;Céline (bombant sa poitrine) : hum ! Je suis flattée.Pascaline ne dura pas avec Céline parce qu’il &
Pascaline y remarqua ce signe bien particulier qui la ramena des années en arrière. Elle n’en croyait pas ses yeux. Elle se redressa et écarquilla les yeux pour mieux observer. Nul doute, c’est le même signe ; malheureusement pour elle, son enfant était de sexe masculin ; il ne peut donc s’agir de Céline ; d’ailleurs, elle est moins âgé que son enfant ; c’est quand même flippant qu’elle ait également les mêmes signes ; peut-être qu’elle s’en fait pour rien et que de nombreuses personnes en possèdent. Elle s’autorise tout de même un petit commentaire à propos de sa remarque.Pascaline : tu es étonnante de toujours porter un string durant ta grossesse ;Céline : je suis sexy ; mon mari aime ça ;Pascaline : et je suppose que ce signe étrange sur tes fesses l’atti
Elle devait se prononcer. Et pourtant, jusque-là, elle n’avait encore pris aucune décision.Ferdinand (prenant les mains de Martine dans les siennes) : alors ? Qu’est-ce que tu as, à me dire ?Martine : Ferdinand, tu es l’homme que toutes les femmes aimeraient avoir. Mais, je ne peux pas m’engager si je ne suis pas sûre de moi-même ; je ne veux pas te faire du mal ;Ferdinand : en d’autres termes ?Martine : une dizaine de jours ne m’a pas suffi pour prendre une décision ; continuons d’être amis en attendant ;Ferdinand : je comprends que l’amour que je ressens pour toi n’est pas réciproque ; je ne t’en voudrai pas pour cela ; mais sache que j’aurais vraiment aimé t’avoir dans ma vie ;Martine : je ne peux rien te promettre ; du moins, pour l’instant.Ferdinand : tu aimes encore certainement l
Cocou le regarda sidéré. Dès qu’il disparaît de son champ de vision, il prit son téléphone et composa le numéro d’Hélène. Le portable était éteint. Il appela alors son père.Père d’Hélène : allo ;Cocou : bonsoir papa ;Père d’Hélène : bonsoir Cocou ; j’espère que tu as enfin trouvé un job !Cocou : oui papa ; un petit truc ; j’en cherche d’autres afin de pouvoir m’en sortir ;Père d’Hélène : surtout cherche bien ; tu sais que tu ne peux plus compter sur Komi ;Cocou : il faut seulement prier pour moi sinon je risque de devenir sans abri ; où est Hélène ?Père d’Hélène : Tchrrr ! Ta sœur sotte là ! Elle doit être sur la cour ;Cocou : pourquoi la trait
Hélène fut si choquée qu’elle s’évanouit. Son père tenta de la réanimer en lui faisant du bouche à bouche ; les gens autour d’elle lui insufflaient de l’air avec un éventail ; grâce à Dieu, elle revint à elle ; avec l’aide de deux gens, son père l’emmena d'urgence à l’hôpital du village.L’infirmier : nous allons faire les premiers soins mais il faudra l’évacuer dans un hôpital de ville parce qu’elle est enceinte. Ce n’est pas prudent que nous la gardons ainsi.Le père d’Hélène était préoccupé parce qu’il ne lui restait pas grand-chose comme économie ; c’est sur sa fille qu’il comptait pour lui donner de l’argent à la fin de chaque mois. Il appela Komi en vain ; ce
Ebenezer : j’espère que Komi pourra se faire pardonner ; cette Martine l’avait beaucoup aimé à ce qu’il paraît ; on dit que l’amour doit tout pardonner et tout supporter ; dis-moi ma chérie, si c’était toi Martine, est-ce que tu pardonnerais à Komi et l’accepterais à nouveau dans ta vie ?Grâce : non ;Ebenezer : pourquoi ?Grâce : je ne peux pas rester avec un homme qui doute de moi ! La confiance est une plante très délicate, elle ne repousse pas à volonté.Ebenezer : mais que fais-tu de la seconde chance ?Grâce : la seconde chance ne s’offre pas pour tout ; c’est au cas par cas ; si au moins, Komi n’avait aucun engagement ailleurs, on peut encore tolérer ;Ebenezer : il s’est séparé de sa sorcière ; le champ est libre ;