« Boss, êtes-vous sûr qu’on va faire ainsi ? » a confirmé Luna en fronçant les sourcils.« Oui, y-a-t-il des problèmes ? » a demandé Jean.« Ça prend du temps, et beaucoup de financements », a dit Luna.Jean a dit d’une voix grave : « Ne t’empresse pas, prends ton temps. Demande l'aide du siège général si le financement te manque. Si le Groupe Jonathan ose mettre la main sur Finance KP, je lui donnerai un peu de souffrance. »« D’accord. Maintenant que vous avez émis cet ordre, je ferai de mon mieux pour gagner cette bataille », a dit Luna en affichant un sourire confiant.Avec l’ordre et l’autorisation de Jean, bien que le Groupe Étoile soit impliqué, elle avait assez de confiance pour faire face à cette bataille.À ce moment-là, Jean s’est levé et a dit en regardant Stéphanie : « Je crois que vous avez des choses à discuter entre vous, je vous laisse. »Cela dit, il s’est retourné et est parti.Après avoir quitté le bureau, Stéphanie a dit en secouant la tête : « Oh là là, il n’est r
Jean a précipitamment tendu la main vers le responsable pour le saluer : « Monsieur Véran, enchanté ! »Il était bien le premier responsable de la province Q, Frédéric Véran. »Il avait l’air d'avoir la cinquantaine. Il était jeune et en forme. S’il était capable de prendre ce poste important à un si jeune âge, il avait un avenir encore plus prometteur.Frédéric s'est montré aussi très respectueux et il a précipitamment serré la main de Jean et lui a dit : « Monsieur Guillaume a fait beaucoup de compliments à votre égard, j’avais donc très envie de vous rencontrer, du coup, je lui ai demandé de vous contacter, j’espère ne pas vous avoir dérangé. »En tant que premier responsable de la province, Frédéric lui a montré beaucoup de respect.Il fallait savoir qu’étant donné de son statut, partout où il allait, il était suivi par beaucoup de gardes du corps et de subordonnés. En dehors de la capitale, il était respectueusement accueilli partout dans le pays.Jean était donc surpris de le voi
Jean a souri. À ce moment-là, Emmanuel a allumé la cigarette de Jean.« Merci », a dit Jean en hochant la tête.Emmanuel n’a pas fumé, il a rangé le paquet de cigarettes dans sa poche et a dit : « Ce n’est pas grave, Jean, prends-moi comme ton pote. »« Monsieur Véran, je me sens un peu flatté », a dit Jean. Il ne savait pas quoi faire, il ne s’attendait pas à ce qu’Emmanuel ait un tel caractère.Normalement, il aurait dû ressembler à son père et être un homme sérieux et prudent, pourtant, il ne se faisait pas différencier avec les jeunes dans les rues.Emmanuel semblait s’en moquer, il a dit en riant : « Monsieur Guillaume m’a dit que tu es en fait très fort. Jean, prends-moi pour élève, n’hésite pas à me dire si tu as besoin de mon aide. Pourtant… »« Pourtant quoi ? » a demandé Jean.Emmanuel a dit d’un air mystérieux : « Tu dois m’apprendre quelque chose. »« T’apprendre quoi ? »« N’importe quoi », a dit Emmanuel, « des arts martiaux, de la magie, etc.. »Jean n’a pu s’empêcher d’
Gérard a ri et a dit : « Ce n’est pas grave, je demanderai à quelqu’un de l’accompagner jusqu’à chez lui. »En entendant ses mots, Jean était soulagé, du coup, il lui a dit au revoir et est rentré chez lui.Luna n’était pas encore rentrée, ce qui était rare, elle était probablement en train d’arranger les affaires dont ils avaient parlé dans l’après-midi. »Jean est rentré dans sa chambre et s’est endormi.Le lendemain matin, Jean s’est réveillé et avait extrêmement faim.Il a bu trop de vin le soir dernier et n’a pas beaucoup mangé, du coup, il avait très faim en se réveillant.En voyant que Luna n’était pas encore réveillée, il est allé au café Royer en voiture. Il a commandé beaucoup de choses.Dès qu’il a fini les commandes, son téléphone a sonné. Il a décroché.« Prof, où es-tu ? »Jean s’est figé, il ne s’attendait pas à ce que ce soit Emmanuel qui l’appelle.« Je prends mon petit-déjeuner, qu’il est-ce qu’il y a ? »« Prof, attends-moi, je n’ai pas encore déjeuné et je suis crev
Emmanuel ne comprenait pas la situation, il a juste donné le sandwich à Farbie sans rien dire.En voyant le visage de Farbie couvert de larmes, Jean a poussé un soupir et a dit : « Mange d’abord, on parlera après. »Farbie a essuyé ses larmes et a hoché silencieusement la tête, puis, il a commencé à manger à grandes bouchées.Quelques clients des tables voisines leur ont jeté des regards songeurs, et une femme a même murmuré : « Que font-ils là ? Pourquoi ont-ils demandé à un vagabond d’entrer? »Le visage de Jean s’est immédiatement rembruni et il a dit en regardant cette femme : « Il est mon ami, il n’est pas un vagabond. Montrez un peu de respect, s’il vous plaît. »Le regard glacial de Jean a donné à cette femme des frissons, elle s’est précipitamment retournée et n’a plus osé prononcer un mot.Jean a retiré son regard et a repris son petit-déjeuner.Après un moment, Farbie a tout mangé. Jean lui a donné des mouchoirs pour qu’il essuie sa bouche et a dit : « Dis-moi, ce qu'il s’est
Farbie était son ami, il avait été sur les champs de bataille avec lui.Avant, il était un homme courageux et féroce, il ne craignait pas la mort et pouvait se risquer à tout pour ses camarades.Pourtant, il est arrivé là où il était actuellement à cause d’un simple gangster dans un petit village.Cet homme a tué ses parents et Farbie ne pouvait jamais le pardonner parce qu’il était un vrai homme droit.« Farbie, c’est de ma faute. Je vais t’aider à te venger de lui », a dit Jean en grinçant les dents.« Non, boss », a dit Farbie en pleurant, « ce n’est pas de votre faute, c’est de ma faute, j’ai été un imbécile ! »Jean a poussé un soupir.Ses amis étaient tous féroces et courageux sur les champs de bataille, pourtant, la plupart d’entre eux n’étaient pas du tout doués à faire face à la société actuelle. Surtout, il y avait beaucoup de menteurs et d’homme vicieux autour d'eux.Il voulait savoir comment était la vie de ses autres camarades.À ce moment-là, une voiture noire imprimée «
Le ton de Jean indiquait qu’il voulait reprocher cela à Emmanuel.Emmanuel a affiché un sourire gêné et a dit : « Mon prof, je ne peux rien faire. Ce sont les règles fixées. Ces personnes collaborent entre eux et les dirigeants n’ont pas du temps à perdre pour prendre en charge ces affaires. »« Je crois que c’est parce qu’ils préfèrent ne pas s’en soucier », a dit Jean d’un ton léger.Emmanuel savait que Jean était mécontent. Il a donc immédiatement dit : « Ne t’inquiète pas, je prendrai en charge cette affaire. »Cela dit, il a sorti son téléphone pour passer un coup de fil.Après un instant, l’appel a été décroché et une voix s’est fait entendre : « Emmanuel, pourquoi ça t’est venu à l’esprit de m’appeler ? »« Tonton Olivier, je suis maintenant au café Royer près de la Résidence L, des gens d’une société de sécurité veulent m’emmener, peux-tu venir m’aider ? »En entendant ses mots, Olivier Ferrand s’est figé.Qui osait emmener le fils du premier responsable de la province ? Cherch
Tout à coup, Alexandre s’est figé.Qu’est-ce qui s’était passé ? Pourquoi ces agents semblaient-ils se précipiter vers lui ?Cependant, il n’osait pas bouger devant ces gens.Bien qu’il vienne de la campagne, il savait que ceux qui étaient en chemise blanche étaient des agents de police.Il s’est avancé pour les saluer, mais s’est fait plaquer au sol par un agent spécial avec sa crosse.« Si vous osez bouger encore, vous serez abattu sur-le-champ. »La voix froide de l’agent spécial a fait frissonner Alexandre. Il s’est levé précipitamment et a fait un bond en arrière. En tout cas, Pascal Ferrand était un fonctionnaire haut placé. Même si son niveau n’était pas aussi haut que celui de Frédéric, mais les forces de sécurité autour de lui n’étaient pas moins que les siennes. On ne pouvait pas facilement s’approcher de lui.À ce moment-là, Pascal s’est approché d’Emmanuel et lui a demandé avec un sourire : « Que se passe-t-il, Emmanuel ? »Emmanuel a dit d’une voix grave : « Ce Farbie est