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Chapitre 130

Le ton de Jean indiquait qu’il voulait reprocher cela à Emmanuel.

Emmanuel a affiché un sourire gêné et a dit : « Mon prof, je ne peux rien faire. Ce sont les règles fixées. Ces personnes collaborent entre eux et les dirigeants n’ont pas du temps à perdre pour prendre en charge ces affaires. »

« Je crois que c’est parce qu’ils préfèrent ne pas s’en soucier », a dit Jean d’un ton léger.

Emmanuel savait que Jean était mécontent. Il a donc immédiatement dit : « Ne t’inquiète pas, je prendrai en charge cette affaire. »

Cela dit, il a sorti son téléphone pour passer un coup de fil.

Après un instant, l’appel a été décroché et une voix s’est fait entendre : « Emmanuel, pourquoi ça t’est venu à l’esprit de m’appeler ? »

« Tonton Olivier, je suis maintenant au café Royer près de la Résidence L, des gens d’une société de sécurité veulent m’emmener, peux-tu venir m’aider ? »

En entendant ses mots, Olivier Ferrand s’est figé.

Qui osait emmener le fils du premier responsable de la province ? Cherch
Chapitre verrouillé
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