Le ton de Jean indiquait qu’il voulait reprocher cela à Emmanuel.Emmanuel a affiché un sourire gêné et a dit : « Mon prof, je ne peux rien faire. Ce sont les règles fixées. Ces personnes collaborent entre eux et les dirigeants n’ont pas du temps à perdre pour prendre en charge ces affaires. »« Je crois que c’est parce qu’ils préfèrent ne pas s’en soucier », a dit Jean d’un ton léger.Emmanuel savait que Jean était mécontent. Il a donc immédiatement dit : « Ne t’inquiète pas, je prendrai en charge cette affaire. »Cela dit, il a sorti son téléphone pour passer un coup de fil.Après un instant, l’appel a été décroché et une voix s’est fait entendre : « Emmanuel, pourquoi ça t’est venu à l’esprit de m’appeler ? »« Tonton Olivier, je suis maintenant au café Royer près de la Résidence L, des gens d’une société de sécurité veulent m’emmener, peux-tu venir m’aider ? »En entendant ses mots, Olivier Ferrand s’est figé.Qui osait emmener le fils du premier responsable de la province ? Cherch
Tout à coup, Alexandre s’est figé.Qu’est-ce qui s’était passé ? Pourquoi ces agents semblaient-ils se précipiter vers lui ?Cependant, il n’osait pas bouger devant ces gens.Bien qu’il vienne de la campagne, il savait que ceux qui étaient en chemise blanche étaient des agents de police.Il s’est avancé pour les saluer, mais s’est fait plaquer au sol par un agent spécial avec sa crosse.« Si vous osez bouger encore, vous serez abattu sur-le-champ. »La voix froide de l’agent spécial a fait frissonner Alexandre. Il s’est levé précipitamment et a fait un bond en arrière. En tout cas, Pascal Ferrand était un fonctionnaire haut placé. Même si son niveau n’était pas aussi haut que celui de Frédéric, mais les forces de sécurité autour de lui n’étaient pas moins que les siennes. On ne pouvait pas facilement s’approcher de lui.À ce moment-là, Pascal s’est approché d’Emmanuel et lui a demandé avec un sourire : « Que se passe-t-il, Emmanuel ? »Emmanuel a dit d’une voix grave : « Ce Farbie est
Néanmoins, aux yeux de Pascal, un responsable du bureau de sécurité de la ville n’était qu’une petite choses. S’il voulait l’éliminer, ce serait simple comme bonjour.En particulier, il s’agissait d’Emmanuel. S’il n’avait pas découvert leurs crimes ni les avait envoyés en prison, comment cela s’était fait qu’Emmanuel l’appelait ?Les agents ont emmené Alexandre qui était déprimé et ses complices dans la voiture, Pascal a regardé Emmanuel et a dit avec un sourire : « Ne t’inquiète pas, je vais enquêter strictement sur cette affaire et donner une explication à ton ami. »« Merci, oncle Ferrand », a dit Emmanuel.Pascal a dit : « Ne sois pas si poli avec moi. N’hésite pas à me contacter si tu as besoin de moi. Surtout il y avait beaucoup de personnes malintentionnées dans le système politique, je vais certainement les punir sévèrement. »« Je vois, oncle Ferrand. Si j’en ai besoin, je t’appellerait certainement », a dit Emmanuel en souriant.Pascal a hoché la tête, avec un regard respectu
Jean a secoué la tête et a dit : « Non, parce que si c’était le cas, ce serait facile d’effrayer notre adversaire, alors allons-y seuls. »« Chef. »Emmanuel s’est frotté les mains et a dit : « S’ils osaient faire du mal, alors il devrait avoir des protecteurs derrière eux. Je ne crois pas que ce soit difficile de régler le problème avec ces voyous, mais si tu veux toucher ceux qui les protègent, ce serait un peu plus délicat. Après tout, ce sont des fonctionnaires, il est facile pour eux de te causer des difficultés. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a dit : « Tu as raison. As-tu une idée pour régler ce problème ? »Emmanuel a dit : « J’ai un ami, c’est le fils d’un compagnon d’armes de mon père, pour le moment, il travaille pour la Commission d’inspection de la discipline de la ville J. nous pouvons l’emmener avec nous. Tant que cette affaire est liée à des fonctionnaires locaux, laissons-le s’en occuper. Je suis sûr qu’aucun d’entre eux ne peut s’enfuir. » Jean a lentement hoc
Emmanuel a également déclaré : « Ces bâtards, ils pensent qu’ils sont loin de la capitale, alors ils font des choses illégales dans cette région, et ils osent faire n’importe quoi, bon sang. »Jean a froncé les sourcils, mais il restait silencieux.Normalement, ce n’était pas à son tour de dire ce genre de chose, mais en pensant à ce qui était arrivé à Farbie, il n’avait pas pu s’empêcher de l’avoir dit.Clémont ne connaissait pas très bien l’identité de Jean, mais Emmanuel savait que Jean avait définitivement le droit de dire des mots plus durs, parce que derrière Jean, c’était le Général Guillaume.LeGénéral Guillaume a été dévoué et intègre toute sa vie, il détestait ceux qui faisaient du mal. S’il avait été au courant de ce genre de choses, il aurait probablement été furieux. Alors les paroles de Jean n’étaient pas excessives du tout.Ils ont passé plus de deux heures à discuter, puis ils sont sortis de l’autoroute dans le comté B.« Jean, quelle est notre première destination ? »
En entendant le bruit du claquement de la porte, il a dit en ricanant : « Ils sont vraiment forts. Farbie vient de rentrer, ils arrivent. Alors, dans le comté, il semble qu’ils connaissent vraiment toutes les ruses. »Voyant cela, Clémont a dit : « Voulez-vous que je fasse venir des gens ? Mon chef a entendu dire que c’était à la demande d’Emmanuel, alors il m’a préparé un escadron d’agents spéciaux, ils sont prêts à partir à tout moment. »Emmanuel a regardé Jean et a dit : « Écoutons Jean. »Jean a dit d’un ton calme : « Soyez patients, attendons le moment où ils apparaissent tous, nous les arrêteront ensemble. Il faut que nous les arrêtions tous en même temps. »Emmanuel et Clémont ont hoché la tête en même temps, mais Yveline était un peu confuse. Qu’est-ce que ces gens voulaient dire ? Ils avaient l’aire d’être puissants ?Cependant, comme ils étaient si jeunes, à quel point pouvaient-ils être puissants ? D’ailleurs, comment Farbie les connaissaient-ils ?Ces questions rendaient Y
« Putain, que dois-je regretter ? » a grondé Emmanuel en colère.Félicien s’est mis en colère et a immédiatement crié : « Battez-les, faites-leur savoir qui a le dernier mot ici. »Ses hommes se sont immédiatement précipités vers Jean et ses amis.Yveline a hurlé de peur et a tiré Farbie en arrière. Malheureusement, Farbie était incapable de bouger, alors il a failli tomber.Jean a reniflé froidement, puis il s’est avancé et s’est battu.Après quelques coups de poing, ces voyous sont tombés sur le sol et ont hurlé de douleur.Voyant cela, Félicien a été stupéfait. Il n’avait pas pensé que Jean serait aussi fort, ce qui était vraiment inattendu.Cependant, il n’était pas du tout paniqué, parce que celui qui était derrière lui était très puissant. Même s’il était fort en se battant, cela ne servait à rien.Il pouvait conquérir cinq personnes, mais est-ce qu’il pouvait battre trente ou cinquante personnes ?Il a fixé Jean d’un air vicieux et lui a dit : « Gamin, tu es fort dans le combat,
En entendant cela, Emmanuel a dit : « Yveline, ne t’inquiète pas, as-tu vu ce jeune homme ? Il est de la Commission d’inspection de la discipline, nous sommes venus avec une permission, afin d’arrêter Simonet et ses complices. Rassure-toi. »Yveline avait l’air surprise. Serait-il possible que Farbie soit allé à la ville J et ait vraiment obtenu une réponse du département local et qu’on ait envoyé quelqu’un pour régler le problème ?Jean a dit avec un sourire : « Yveline, ne t’inquiète pas, je t’ai fait venir ici parce que j’avais peur que tu sois en danger. Tu n’as qu’à nous suivre et attendre que cete affaire se termine, et maintenant allons d’abord prendre le déjeuner. Il est déjà une heure de l’après-midi, j’ai quand même un peu faim. »...Dans le bâtiment du Groupe B.Simonet était assis sur la chaise en fumant une cigarette. Il regardait Félicien avec une expression sinistre, ce dernier était vraiment effrayé.Simonet était grand, avec une coiffure plate, portant un costume. Il