Farbie était son ami, il avait été sur les champs de bataille avec lui.Avant, il était un homme courageux et féroce, il ne craignait pas la mort et pouvait se risquer à tout pour ses camarades.Pourtant, il est arrivé là où il était actuellement à cause d’un simple gangster dans un petit village.Cet homme a tué ses parents et Farbie ne pouvait jamais le pardonner parce qu’il était un vrai homme droit.« Farbie, c’est de ma faute. Je vais t’aider à te venger de lui », a dit Jean en grinçant les dents.« Non, boss », a dit Farbie en pleurant, « ce n’est pas de votre faute, c’est de ma faute, j’ai été un imbécile ! »Jean a poussé un soupir.Ses amis étaient tous féroces et courageux sur les champs de bataille, pourtant, la plupart d’entre eux n’étaient pas du tout doués à faire face à la société actuelle. Surtout, il y avait beaucoup de menteurs et d’homme vicieux autour d'eux.Il voulait savoir comment était la vie de ses autres camarades.À ce moment-là, une voiture noire imprimée «
Le ton de Jean indiquait qu’il voulait reprocher cela à Emmanuel.Emmanuel a affiché un sourire gêné et a dit : « Mon prof, je ne peux rien faire. Ce sont les règles fixées. Ces personnes collaborent entre eux et les dirigeants n’ont pas du temps à perdre pour prendre en charge ces affaires. »« Je crois que c’est parce qu’ils préfèrent ne pas s’en soucier », a dit Jean d’un ton léger.Emmanuel savait que Jean était mécontent. Il a donc immédiatement dit : « Ne t’inquiète pas, je prendrai en charge cette affaire. »Cela dit, il a sorti son téléphone pour passer un coup de fil.Après un instant, l’appel a été décroché et une voix s’est fait entendre : « Emmanuel, pourquoi ça t’est venu à l’esprit de m’appeler ? »« Tonton Olivier, je suis maintenant au café Royer près de la Résidence L, des gens d’une société de sécurité veulent m’emmener, peux-tu venir m’aider ? »En entendant ses mots, Olivier Ferrand s’est figé.Qui osait emmener le fils du premier responsable de la province ? Cherch
Tout à coup, Alexandre s’est figé.Qu’est-ce qui s’était passé ? Pourquoi ces agents semblaient-ils se précipiter vers lui ?Cependant, il n’osait pas bouger devant ces gens.Bien qu’il vienne de la campagne, il savait que ceux qui étaient en chemise blanche étaient des agents de police.Il s’est avancé pour les saluer, mais s’est fait plaquer au sol par un agent spécial avec sa crosse.« Si vous osez bouger encore, vous serez abattu sur-le-champ. »La voix froide de l’agent spécial a fait frissonner Alexandre. Il s’est levé précipitamment et a fait un bond en arrière. En tout cas, Pascal Ferrand était un fonctionnaire haut placé. Même si son niveau n’était pas aussi haut que celui de Frédéric, mais les forces de sécurité autour de lui n’étaient pas moins que les siennes. On ne pouvait pas facilement s’approcher de lui.À ce moment-là, Pascal s’est approché d’Emmanuel et lui a demandé avec un sourire : « Que se passe-t-il, Emmanuel ? »Emmanuel a dit d’une voix grave : « Ce Farbie est
Néanmoins, aux yeux de Pascal, un responsable du bureau de sécurité de la ville n’était qu’une petite choses. S’il voulait l’éliminer, ce serait simple comme bonjour.En particulier, il s’agissait d’Emmanuel. S’il n’avait pas découvert leurs crimes ni les avait envoyés en prison, comment cela s’était fait qu’Emmanuel l’appelait ?Les agents ont emmené Alexandre qui était déprimé et ses complices dans la voiture, Pascal a regardé Emmanuel et a dit avec un sourire : « Ne t’inquiète pas, je vais enquêter strictement sur cette affaire et donner une explication à ton ami. »« Merci, oncle Ferrand », a dit Emmanuel.Pascal a dit : « Ne sois pas si poli avec moi. N’hésite pas à me contacter si tu as besoin de moi. Surtout il y avait beaucoup de personnes malintentionnées dans le système politique, je vais certainement les punir sévèrement. »« Je vois, oncle Ferrand. Si j’en ai besoin, je t’appellerait certainement », a dit Emmanuel en souriant.Pascal a hoché la tête, avec un regard respectu
Jean a secoué la tête et a dit : « Non, parce que si c’était le cas, ce serait facile d’effrayer notre adversaire, alors allons-y seuls. »« Chef. »Emmanuel s’est frotté les mains et a dit : « S’ils osaient faire du mal, alors il devrait avoir des protecteurs derrière eux. Je ne crois pas que ce soit difficile de régler le problème avec ces voyous, mais si tu veux toucher ceux qui les protègent, ce serait un peu plus délicat. Après tout, ce sont des fonctionnaires, il est facile pour eux de te causer des difficultés. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a dit : « Tu as raison. As-tu une idée pour régler ce problème ? »Emmanuel a dit : « J’ai un ami, c’est le fils d’un compagnon d’armes de mon père, pour le moment, il travaille pour la Commission d’inspection de la discipline de la ville J. nous pouvons l’emmener avec nous. Tant que cette affaire est liée à des fonctionnaires locaux, laissons-le s’en occuper. Je suis sûr qu’aucun d’entre eux ne peut s’enfuir. » Jean a lentement hoc
Emmanuel a également déclaré : « Ces bâtards, ils pensent qu’ils sont loin de la capitale, alors ils font des choses illégales dans cette région, et ils osent faire n’importe quoi, bon sang. »Jean a froncé les sourcils, mais il restait silencieux.Normalement, ce n’était pas à son tour de dire ce genre de chose, mais en pensant à ce qui était arrivé à Farbie, il n’avait pas pu s’empêcher de l’avoir dit.Clémont ne connaissait pas très bien l’identité de Jean, mais Emmanuel savait que Jean avait définitivement le droit de dire des mots plus durs, parce que derrière Jean, c’était le Général Guillaume.LeGénéral Guillaume a été dévoué et intègre toute sa vie, il détestait ceux qui faisaient du mal. S’il avait été au courant de ce genre de choses, il aurait probablement été furieux. Alors les paroles de Jean n’étaient pas excessives du tout.Ils ont passé plus de deux heures à discuter, puis ils sont sortis de l’autoroute dans le comté B.« Jean, quelle est notre première destination ? »
En entendant le bruit du claquement de la porte, il a dit en ricanant : « Ils sont vraiment forts. Farbie vient de rentrer, ils arrivent. Alors, dans le comté, il semble qu’ils connaissent vraiment toutes les ruses. »Voyant cela, Clémont a dit : « Voulez-vous que je fasse venir des gens ? Mon chef a entendu dire que c’était à la demande d’Emmanuel, alors il m’a préparé un escadron d’agents spéciaux, ils sont prêts à partir à tout moment. »Emmanuel a regardé Jean et a dit : « Écoutons Jean. »Jean a dit d’un ton calme : « Soyez patients, attendons le moment où ils apparaissent tous, nous les arrêteront ensemble. Il faut que nous les arrêtions tous en même temps. »Emmanuel et Clémont ont hoché la tête en même temps, mais Yveline était un peu confuse. Qu’est-ce que ces gens voulaient dire ? Ils avaient l’aire d’être puissants ?Cependant, comme ils étaient si jeunes, à quel point pouvaient-ils être puissants ? D’ailleurs, comment Farbie les connaissaient-ils ?Ces questions rendaient Y
« Putain, que dois-je regretter ? » a grondé Emmanuel en colère.Félicien s’est mis en colère et a immédiatement crié : « Battez-les, faites-leur savoir qui a le dernier mot ici. »Ses hommes se sont immédiatement précipités vers Jean et ses amis.Yveline a hurlé de peur et a tiré Farbie en arrière. Malheureusement, Farbie était incapable de bouger, alors il a failli tomber.Jean a reniflé froidement, puis il s’est avancé et s’est battu.Après quelques coups de poing, ces voyous sont tombés sur le sol et ont hurlé de douleur.Voyant cela, Félicien a été stupéfait. Il n’avait pas pensé que Jean serait aussi fort, ce qui était vraiment inattendu.Cependant, il n’était pas du tout paniqué, parce que celui qui était derrière lui était très puissant. Même s’il était fort en se battant, cela ne servait à rien.Il pouvait conquérir cinq personnes, mais est-ce qu’il pouvait battre trente ou cinquante personnes ?Il a fixé Jean d’un air vicieux et lui a dit : « Gamin, tu es fort dans le combat,
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme